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Figuras de la poética de Carlos Liscano : cuando la literatura es el surco del delirio : ficción, autoficción, testimonio / Figures de la poétique de Carlos Liscano : quand la littérature devient le sillon du délire : fiction, autofiction, témoignage / Poetic figures in Carlos Liscano's writing : when litterature is the furrow of delirium : fiction, autofiction, testimony

Brando, María Carolina 20 November 2013 (has links)
Ma thèse porte sur l'oeuvre de l'écrivain uruguayen Carlos Liscano (Montevideo, 1949) et sur les rapports de celle-ci avec la dictature uruguayenne (1973-1985). Après avoir présenté la société uruguayenne des années soixante et soixante-dix à partir de la notion de crise et le groupe révolutionnaire Tupamaro auquel Liscano a appartenu, il s'agira de comprendre de quelle façon l'écrivain devient sujet par l'écriture de tout ce qu'il a vécu. Pour comprendre cela, deux images, qui se complètent l'une et l'autre, sont le fil directeur de ma thèse : l'écriture comme un sillon et comme une spirale. Ainsi, dans le chapitre 1 (L'écriture en prison : 1981-1985), j'analyse les conditions dans lesquelles l'homme est devenu écrivain à la prison et la relation entre le délire et l'écriture ; dans le deuxième chapitre (La vie en Suède : 1986-1996), j'étudie l'écrivain et sa relation avec le public, la réception de son oeuvre par la critique uruguayenne et la négation par l'écrivain de l'adjectif "carcéral" que la critique a associé à sa littérature. Je m'interroge là sur le fait que l'écrivain ne soit parvenu à produire des récits de fiction que lorsqu'il habitait en Suède. Dans le troisième chapitre (Le retour en Uruguay) j'essaie de comprendre la décision de rentrer en Uruguay et pour cela, je décrypterai l'unique témoignage de Liscano au sein du développement d'un nouveau genre en Uruguay, à l'époque de la postdictature. je propose également d'étudier les romans d'autofiction en rapport lien avec la dimension civique et publique de la vie de l'écrivain depuis son retour. Enfin ,je finis avec une étude du travail de réécriture que l'auteur pratique depuis toujours. / This thesis attempts to analyze Carlos Liscano's literature both itself and as it relates to the Uruguayan dictatorship of the period 1973-1985. In a first section of the introduction, Uruguayan society of the sixties and seventies is characterized starting from the notion of crisis, and outlining some features of the revolutionary group the author belonged to ; in a second section, the key notion of this thesis is presented : that writing is how the author makes himself a subject of lived experience. Two complementary images are the guiding thread of this approach to Liscano's work : that of writing as a furrow, and the spiral. In chapter 1 the emergence of the writer in prison and the relation between delirium and writing is analyzed. In the second chapter the public confirmation of the writer starting from his life in Sweden, the first reception of his work, and his rejection of the "prison litetrature" label attributed to it.. An attempt is made to answer why his narrative production came during his life in Sweden, suggesting it may be related with the estrangement that comes from living in two languages. In the third chapter the author's decision to return to Uruguay and its meaning is discussed. The only testimony book to address the development of the genre in post-dictatorship Uruguay is analyzed. The writer's recovered civic dimension is discussed as one of the paths that lead to his discovery of autofiction. The possibility of setting a limit to the autofiction form and the opening towards a plagiarism aesthetic is entertained. Lastly, an analysis of rewriting is presented, although it is a permanent feature in Liscano's work.
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Les intellectuels conservateurs entre le culturel et le politique : l'Académie Brésilienne des lettres pendant la dictature militaire (1964-1979) / The conservative intellectuals between culture and politics : the Brazilian Academy of Letters during the military dictatorship (1964-1979)

Cunha, Diogo 06 November 2014 (has links)
Cette thèse porte sur les relations entre l’Académie Brésilienne des Lettres (ABL) et le régime militaire brésilien. L’objectif de cette étude est d’analyser dans quelle mesure cette institution – officiellement « apolitique » - put être une instance de légitimation pour la dictature militaire. Nous sommes revenus sur l’histoire de l’ABL depuis sa fondation, privilégiant son rôle dans le champ culturel brésilien dans les années 1960 et 1970. Elle formait à ce moment-là, avec l’Institut Historique et Géographique Brésilien (IHGB) et le Conseil Fédéral de la Culture (CFC) une « structure culturelle conservatrice », lieu de sociabilité des élites intellectuelles et politiques de droite et d’élaboration d’un discours conservateur. La prosopographie a permis de mettre en lumière un groupe d’intellectuels brésiliens tombés dans l’oubli pourtant très actif depuis le régime de Vargas jusqu’au coup d’Etat, ayant du pouvoir dans les médias et dans les réseaux qui facilitaient l’accès aux postes administratifs et politiques. Le quotidien de l’ABL va des cérémonies d’investiture, des visites que les académiciens recevaient, des hommages qu’ils rendaient, à la construction d’une mémoire des héros de la Nation et à l’exaltation de la Patrie. Les militaires se rendaient en grand nombre à chaque investiture, hommage ou commémoration de l’ABL ; réciproquement, lors des hommages et commémorations organisés par le régime, nombre d’académiciens étaient présents. Les académiciens s’engagèrent individuellement en faveur du régime, moins par une participation active dans l’appareil d’Etat que par l’élaboration et la diffusion d’un discours de légitimation fondé sur les grandes interprétations du Brésil des années trente, en particulier celles de Gilberto Freyre. Les données recueillies montrent que l’institution créée par Machado de Assis à la fin du XIXe siècle a concouru à légitimer le régime instauré en 1964. Cependant, cette légitimation ne s’est pas faite par une « collaboration » active mais plutôt par une forme de complicité. C’est le comportement de l’ensemble des membres de l’ABL, en particulier par le silence et différents degrés d’accommodation, par la proximité qu’ils avaient avec les représentants du régime, et par l’élaboration, la diffusion et la circulation d’un discours conservateur renforçant les notions de civisme et de patriotisme qui jouèrent le premier rôle dans ce processus. / This thesis examines the relationship between the Brazilian Academy of Lettres (ABL) and the Brazilian military dictatorship (1964-1979). The aim of this study is to analyse to what extant this institution – officially “apolitical” – could have been an instance of legitimation for the military dictatorship. This thesis addressed the history of the ABL since its foundation, focusing especially on its role in the Brazilian cultural field in the 1960s and 1970s. At that time, along with the Brazilian Historical and Geographical Institut (IHGB) and the Federal Council for Culture (CFC), the ABL constituted a “conservative cultural structure”. It was a place in which right-wing intellectual and political elites socialised and where a conservative discourse was constructed. The prosopography brought to light a group of Brazilian intellectuals that had fallen into oblivion. This group was very active from the Vargas regime to the military coup, with media relations and political power, which enabled a more direct access to administrative and political positions. The everyday life of the ABL intellectuals includes the inauguration ceremonies, visits that academicians received, the construction of a memory of the heroes of the nation and the exaltation of the homeland. The military attended in large number each ceremony, tribute or commemoration organised by the ABL; in turn, several academicians were also present in tributes gathering s and commemoration organised by the military regime. This sociability between academics and members of the military dictatorship contributed to legitimising the regime in place. The academics where individually committed with the regime, less for their participation in the state apparatus than for the development and dissemination of a discourse of legitimation based on the global interpretation of the Brazilian history written in the 1930s, particularly that of Gilberto Freyre. The conclusions of the analyses undertaken in this thesis demonstrate that the institution created by Machado de Assis in the late nineteenth century helped legitimise the military regime established in Brazil in 1964. However, this legitimation was not developed by an active “collaboration” but rather by a form of complicity. It was the behaviour of all the ABL members, especially their silence and their different degrees of accommodation with the dictatorship, the proximity they had with the representatives of the regime, and the construction, the dissemination and circulation of a conservative discourse reinforcing notions of “public spirit” and patriotism that have played a crucial role in this process of legitimation.
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Propagande et représentations sous l'ère rosiste [1835-1852] / Propaganda and Representations Under the Rosist Era (1835-1852)

Poncioni Consuegra Mérian, Antonio 23 February 2013 (has links)
Comment la propagande et la représentation, ces armes de la politique, viennent-elles influencer la mémoire des peuples et, donc, leur histoire ? Comment, dans le contexte spécifique de l’Argentine rosiste, le rapprochement de ce binôme a-t -il opéré pour que des espaces et des populations disparates parviennent, peu à peu, à se réunir et à se reconnaître dans des principes fédérateurs ? Ce travail se propose d’explorer les ressorts d’un pouvoir et d’un système construits autour d’un homme – despote éclairé pour d’aucuns – dans le cadre d’un vaste processus dont on constate rétrospectivement qu’il a facilité l’émergence d’un sentiment d’appartenance dont nous dirons qu’il fut d’appartenance, à défaut d’être national.A partir de Buenos Aires, sa province natale, Juan Manuel de Rosa a dicté pendant près de vingt-trois années le sort d’une population forte d’une histoire dépourvue de mémoire propre. Tel est le fait historique. Sa contribution, indéniable, à la construction tout à la fois nationale, politique et identitaire d’un pays en devenir est l'objet d'analyses radicalement opposées que, poussés par des raisons diverses et également opportunistes, des mémorialistes et des politiques ont présentées et que des historiens ont soutenu et soutiennent avec une vigueur parfois proche de la polémique. Rosas, restaurateur de la Loi et père de la nation argentine, tyran et fossoyeur de la République : c ’ est dans le tiraillement entre ces deux pôles que nous avons essayé de nous situer pour analyser, sans prendre parti , l’apport de l’homme aux fondations du grand édifice , l’Argentine moderne, parfaità la suite de Caseros par les grands penseurs romantiques et libéraux qui avaient tant combattu le « Restaurador de las Leyes » . / How do propaganda and representation, these two political weapons, influence people's memory and, thus, their history? How, in the specific context of Rosist Argentina, did the approximation of this binomial operate so that disparate spaces and populations were, little by little, brought together and could share in fine unifying principles? This work aims to explore the bases of a power and a system built around a man - for some, an enlightened despot - as part of a vast process, which in retrospect, proved critical for the emergence of a common, if not national, sense of belonging.From Buenos Aires, his home province, Juan Manuel de Rosas dictated f o r nearly twenty-three years the fate of a large population that had a history of its own but was deprived from a proper memory. This is a historical fact. Rosas’ undeniable contribution to a country’s national, political and identity build-up o f a country in motion inspired radically opposed analyses, which, moved by diverging and sometimes opportunistic reasons, memoirists and politicians have presented and historians have questioned and argued with force close sometimes to controversy. Rosas, the restorer of the Law and father of the Argentine nation, tyrant and destroyer of the Republic ; it is the tension between these two poles that we have tried to position ourselves in order to analyze, without taking sides , the contribution of this man to the foundations of a large building, modern Argentina, which was perfected, following Caseros, by the Romantic and Liberal thinkers who had fought so fiercely y the « Restaurador de las Leyes » .
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Danse indépendante au Chili : Nouvelles pratiques de résistance vingt ans après la fin de la dictature / Independent Dance in Chile : New Practices of Resistance Twenty Years after the End of the Dictatorship

Maxwell, Adeline 22 September 2014 (has links)
Le 11 septembre 1973, à Santiago du Chili, le général Pinochet, prit le pouvoir de ce pays, en yinstaurant une dictature qui allait durer 17 ans. Après le coup d’état militaire les activités artistiquesdisparurent précipitamment sous la politique de l’« apagón -Panne- culturelle ». C’est dans cescirconstances que naquit une forme de danse indépendante de l’État et résistante, qui se pratiquaitdiscrètement faisant passer un message contestataire et renforçant une communauté rebelle. Cettedanse puisait ses bases de ce qu’il restait de la danse « moderne » chilienne, des techniques de danseapportée d’Europe et des explorations artistiques de ses chorégraphes. Environs vingt ans plus tard,la danse indépendante chilienne a suivi son chemin, elle traversa les périodes de la post-Dictature etescorta les changements sociaux et culturels. Le contexte pour la création en danse changea, celle-Cise développa suivant le contexte historique, politique et économique du pays. Cependant, depuisapproximativement trois ou quatre ans, un nouveau courant de la danse indépendante commence àgermer au Chili. Il s’agit d’un mouvement qui remet radicalement en question les formes, lesmessages et les manières de faire de la danse scénique, mettant l’accent sur l’expérimentation, larupture de codes et la suppression de limites disciplinaires : une nouvelle résistance en danse naît auChili. Le but de cette thèse est, après un travail de champ de trois ans au Chili, de déchiffrer la nature résistante, à travers une analyse comparative, et les mutations de ce de la danse indépendante actuelleau Chili. / September 11, 1973 in Santiago, Chile, General Augusto Pinochet took power in this country,bringing a bloody dictatorship that lasted 17 years. After the military coup artistic activities hurriedlydisappeared under the policy of the "cultural apagón-Blackout-." It is in these circumstances that aform of independent dance- both economically and ideologically- and resistant eraised, practiceddiscreetly passing a protest message and strengthening a rebel community. This dance drew its rootsof what remained of the Chilean "modern" dance, the dance techniques brought from Europe andthe artistic explorations of his choreographers. Near twenty years later, the Chilean independentdance followed its path, it crossed the periods of transition and post-Dictatorship and escorted thesocial and cultural changes. The context for creating dance changed and it developed following thehistorical, political and economic context of the country. However, since approximately three or fouryears, a new wave of independent dance begins to sprout in Chile. It is a movement that radicallycalls into question the forms, messages and ways to make the scenic dance made so far in Chile,focusing on the experimentation, the breaking of codes and the removal of disciplinary boundaries: anew resistance dance is born in Chile. The aim of this thesis is, after a field work of three years inChile, to decipher the resistant nature, through a comparative analysis, and the mutations in thecurrent independent dance in Chile.
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Le "mouvement populaire haitien" des années 1980-1990 : pratiques et perspectives analytiques

Paulcéna, Francisco January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire porte sur le « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990 qui force la démission du dictateur Jean-Claude Duvalier le 7 février 1986 et déclenche une transition démocratique qui prend fin avec les élections du 16 décembre 1990 par lesquelles Jean-Bertrand Aristide accède au pouvoir. Nous voulons comprendre les pratiques et les perspectives analytiques de ce « mouvement populaire ». Il met en scène des exclus posant des actions radicales et non-conventionnelles telles que les émeutes de la faim, les veillées de prière, les funérailles symboliques du régime, les foules gigantesques dans les rues, les notes de presse ou not pou laprès, les barricades et les slogans hostiles au régime. Ce sont des actions spontanées, non-violentes et sans organisation, par lesquelles les exclus défient la possible intervention brutale de l'armée et des forces paramilitaires en vue de réclamer l'accès au système politique et de dénoncer la monopolisation de la richesse nationale par une petite minorité qui se fait passer pour héritière naturelle. L'étude de cette période historique et mouvante s'appuie sur une synthèse de la littérature des principaux auteurs haïtiens et étrangers qui ont déjà analysé ce « mouvement populaire ». Nous présentons le contexte sociohistorique de 1804 à nos jours dans lequel nous tirons des catégories permettant de décrire les contradictions sociales et le fonctionnement de l'État et la dictature duvaliériste en particulier. Ensuite, nous présentons l'ensemble des événements que les différents auteurs qualifient de « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990. Nous étudions le thème de « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990 à l'intérieur d'un cadre d'analyse qui le saisit d'une part, comme un cycle d'actions collectives (Tarrow, 1989) et d'autre part, comme une action collective typique des sociétés dictatoriales (Wieviorka, 1995). Enfin, nous nous situons dans une perspective sociohistorique et notre analyse s'appuie sur une démarche méthodologique et des techniques de la revue de la littérature et d'analyse de contenu. L'analyse du corpus nous a permis de vérifier que le « mouvement populaire haïtien » des années 1980-1990 est un cycle d'actions collectives rendu possible par une combinaison de trois facteurs structurels, précipitants et idéologiques. Grâce à la conscience collective acquise dans les niveaux social, politique et culturel et moral, les acteurs formulent des revendications s'opposant à la dictature et à l'exclusion sociale. Quand la hiérarchie de l'Église catholique vers les années 1980, dans sa lutte en faveur du respect des droits de la personne se positionne contre la dictature, elle devient une alliée incontournable des exclus qui profitent de cette opportunité politique pour passer à l'action. Elle participe, à travers les comités ecclésiaux de base (théologie de la libération), à la sensibilisation et à l'émergence d'un nouveau cadre de pensée. Avec l'appui de la presse indépendante, un cycle de protestations et d'actions collectives s'ouvre entre 1980 et 1990. L'assassinat des trois jeunes lycéens aux Gonaïves, en 1985, radicalise et élargit l'agitation au niveau national avec l'entrée en scène de nouveaux acteurs. L'entrée des exclus en scène donne lieu à la formulation d'un ensemble de revendications sociales (les émeutes de la faim), culturelle (la langue créole, le vaudou) et politique (l'accès au système politique). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Haïti, Dictature, Mouvements populaires, Action collective Démocratie.
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La rationalité des révolutions arabes

Alkanatri, Ahmad 09 1900 (has links) (PDF)
Une vague de révolutions a balayé le monde arabe pendant l'année 2011. Ce mémoire tente d'étudier ces révolutions de point de vue de la théorie des jeux afin d'examiner la rationalité de ces soulèvements. Mais avant cela, le mémoire amène le débat sur la nature de ces révoltes; « Est-ce qu'il s'agit de révolutions ou non? » Aussi, il présente une synthèse des événements du "Printemps Arabe" en plus d'offrir une explication des raisons potentielles. Cette recherche traite la révolution comme un jeu entre trois joueurs; le régime dictateur, l'élite opposante et la masse publique. Pour cela, elle étudie les différents contextes liants ces trois joueurs en expliquant la construction des régimes arabes et les raisons économiques, politiques et sociales des révolutions arabes. L'analyse décrit trois cas différents qui se distinguent les uns par rapport aux autres en fonction du moment de la prise de décision de chacun des joueurs mais principalement des deux derniers : c'est-à-dire l'élite et la masse publique. Nous appelons le premier cas où ces deux derniers prennent une décision simultanément "le jeu simultané". "Le jeu de l'élite" représente le cas où la masse publique attend la décision de l'élite pour prendre une décision. Le troisième cas qui est le cas contraire au deuxième s'appelle "le jeu de la masse publique". L'analyse vise à trouver les conditions qui déterminent la décision de chaque joueur, de les interpréter et ensuite de les appliquer dans le cas des révolutions arabes. Ce travail conclut que les régimes dictateurs peuvent éviter, dans la plupart des cas, des révolutions contre eux en offrant des concessions additionnels aux peuples. Cependant, ces concessions sont limitées par la capacité du régime. Aussi, ce dernier peut parfois éviter une révolution contre lui en exerçant plus de violence envers le peuple. Toutefois, la violence peut apporter des risques non seulement à la société mais aussi sur le régime lui-même. Dans le cas des révolutions arabes, cette recherche peut utiliser le modèle pour interpréter les comportements des régimes et des peuples avant et pendant les révolutions. ______________________________________________________________________________
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Kunst und Politik inder DDR : Eva-Maria Hagens Standpunkt in Eva und der Wolf

Labelle, Karine January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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A frágil “abertura” de João Figueiredo: a redemocratização campinense em apuros (1979-1985).

LEITE, Jonathan Vilar dos Santos. 09 May 2018 (has links)
Submitted by Lucienne Costa (lucienneferreira@ufcg.edu.br) on 2018-05-09T20:54:53Z No. of bitstreams: 1 JONATHAN VILAR DOS SANTOS LEITE – DISSERTAÇÃO (PPGH) 2017.pdf: 2022419 bytes, checksum: 1a44dfa901352cdc04d906bf663a2ca4 (MD5) / Made available in DSpace on 2018-05-09T20:54:53Z (GMT). No. of bitstreams: 1 JONATHAN VILAR DOS SANTOS LEITE – DISSERTAÇÃO (PPGH) 2017.pdf: 2022419 bytes, checksum: 1a44dfa901352cdc04d906bf663a2ca4 (MD5) Previous issue date: 2017 / Capes / Em 15 de Março de 1979 o general João Baptista Figueiredo é anunciado novo presidente da República, assumindo o lugar de Ernesto Geisel. Já de cara, em seus discursos, o recente presidente militar anuncia que uma de suas principais tarefas será “fazer deste país uma democracia”. Começa assim o derradeiro governo militar, chamado e considerado por muitos de “período de redemocratização”, marcado por uma suposta abertura política e um afrouxamento do regime em vários aspectos. Acoplado ao ascendente número de estudos em torno da cidade como objeto de estudo da História e aos recém-completados 30 anos que marcam o fim da ditadura militar temos como objetivo para este estudo uma análise mais minuciosa deste obscuro período da nossa história e como a cidade paraibana de Campina Grande vivenciou esse processo entre os anos de 1979-1985. Analisando fontes tanto da imprensa local, relatos orais de memória e documentações oficiais, iremos problematizar e questionar esse dito processo de “redemocratização” e “abertura política” – enquanto projeto político e também de classe – mostrando a diversas particularidades e nuances de como se deu esse processo e como os sujeitos históricos se articularam e se mobilizaram em Campina Grande nesse interim tomando como ponto de partida questionamentos provenientes da História Social. / Le 15 Mars, 1979 Général João Baptista Figueiredo est annoncé le nouveau président, la prise en charge de Ernesto Geisel. Dès le départ, dans ses discours, le récent président militaire annonce que l'une de ses tâches principales sera de « faire de ce pays une démocratie. » alors commence le dernier gouvernement militaire, appelé et considéré par beaucoup « période de démocratisation », marquée par une ouverture politique supposée et un relâchement du régime à plusieurs égards. Couplé avec le nombre croissant d'études autour de la ville comme objet d'Histoire et les récemment terminés les 30 années qui marquent la fin de la dictature militaire que nous visons cette étude une analyse plus détaillée de cette période sombre de notre histoire et comment la ville de Campina Grande, Paraiba, a connu ce processus dans les années 1979-1985. L'analyse des sources de la presse locale, des rapports oraux de la mémoire et de la documentation officielle, nous allons discuter et remettre en question ce processus que l'on appelle la « démocratisation » et « ouverture politique » - en tant que projet politique et aussi classe - montrant différentes caractéristiques et les nuances de la façon dont était ce processus et la façon dont les sujets historiques ont été articulés et mobilisés à Campina Grande dans l'intervalle, en prenant comme une question de point de départ de l'Histoire Sociale.
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Les Mécanismes de la Représentation du Pouvoir Dictatorial dans le Roman Africain Francophone AprÈs la Periode Coloniale. Le Cas d’<i>Ex-Pere de la Nation</i> d’Aminata Sow Fall et <i>Branle-Bas</i> en Noir et Blanc de Mongo Be

Hayatou, Guedeyi Yaeneta 21 March 2011 (has links)
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La représentation du pouvoir dictatorial dans les romans africains et caribéens des années soixante-dix à quatre-vingt-dix / The representation of the dictatorial power in the african and caribbean novels of the seventies in ninety

Diouf, Ibrahima 14 February 2011 (has links)
Les littératures d’Afrique et des Caraïbes des années soixante-dix à quatre-vingt-dix comptent une série de romans ayant pour thème de prédilection la politique. Certains critiques y voient l’émergence d’un genre romanesque baptisée « nouveau roman ». D’autres en soulignent la confluence thématique dans des travaux se rapportant au roman dit « politique » ou « anti-utopiste ». Jusque-ici, il semble que la réception de cette forme d’écriture et son thème favori n’ont pas été mis en étroite corrélation avec le contexte historique particulier dans lequel ils s’inscrivent. Or, ce dernier est déterminant dans le cadre d’une meilleure connaissance de ces textes encore en quête de définition. En effet, les années soixante-dix à quatre-vingt-dix correspondent à la période des dictatures d’Afrique et des Caraïbes. Ce constat nous a amené à envisager une nouvelle réception de cette tendance romanesque sur un modèle universel : le « roman politique », pour ne retenir que ce concept. Pour l’expérimentation de cette hypothèse de recherche, dans le cadre d’une démarche comparatiste, le choix a été de confronter les « constantes » et les « variantes » de ces littératures à la lumière d’un corpus de six ouvrages. Ainsi, la représentation de la dictature a permis de découvrir un univers conflictuel clos institué par une pratique et une pensée politiques inédites. Le jeu des acteurs y est une tragédie dans un espace labyrinthique. Le tableau dévoile des individus désarmés et sous la domination d’un système à l’allure de monstre. L’image du « cercle de feu » illustre bien cette tragédie à grande échelle où toute tentative d’évasion rapproche l’homme de la mort. Un style d’écriture métonymique y entretient l’errance des personnages qui, sans cesse, butent contre les murs infranchissables de la dictature. Le discours littéraire n’y est pas qu’une plaidoirie en faveur de l’homme et de la liberté ; il y est également une dénonciation de la condition de l’écrivain et de l’asservissement de la littérature. / The literatures of Africa and the Caribs of the seventies in ninety count a series of novels having for theme of preference the politics. Certain critics see there the emergence of a romantic kind baptized "new novel ". Others underline the thematic confluence in works relating to the said novel "politics" or "anti-utopian". Up to now, it seems that the reception of this shape of writing did not put in narrow correlation its favourite theme with the particular historic context, which unites them. Now, this last one is determining within the framework of a better knowledge of these texts still in search of definition. Indeed, the seventies in ninety correspond to the period of the dictatorships of Africa and the Caribbean islands. This report brought to us to envisage a new reception of this romantic tendency on a universal model: the "political novel ", to retain only this concept. For the experiment of this hypothesis of search, within the framework of a comparative approach, the choice was to confront "constants" and "variants" of these literatures in the light of a corpus of six works. Therefore, the representation of the dictatorship allowed discovering a closed conflicting universe established by one new political practice and a thought. The set of the actors is there a tragedy in a space, which looks like a labyrinth. The board reveals moved individuals and dominated by a system to the speed of monster. The image of the "circle of fire" the illustrious property a large-scale tragedy where any escape attempt moves closer to the man of the death. A style of metonymical writing maintains the wandering of the characters there who, ceaselessly, stumble over the unbridgeable walls of the dictatorship. The literary speech is not there that a plea in favour of the man and of the freedom; it is there a termination of the condition of the writer and the subjection of the literature.

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