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Régulation juridique du travail, pouvoir stratégique et précarisation des emplois dans les réseaux : trois études de cas sur les réseaux de services d’aide à domicile au Québec

Boivin, Louise 08 1900 (has links)
L’expansion de l’organisation de la production des biens et services sous forme de réseau, découlant de la recherche de flexibilité face à une concurrence économique accrue, soulève des enjeux importants pour les relations industrielles. Notre thèse s’intéresse au processus de précarisation des emplois dans les segments externalisés des réseaux de production. Elle se base sur trois études de cas portant sur les réseaux de services publics et privés d’aide à domicile au Québec. Les études en droit critique ont montré que le droit du travail, fondé sur le modèle de l’entreprise intégrée et de la relation d’emploi bipartite, ne parvient pas à identifier comme employeurs certaines organisations dont l’action a pourtant un effet déterminant sur les conditions de travail dans les réseaux. Notre thèse visait donc à mettre en lumière la réalité empirique des relations de pouvoir qui traversent les réseaux et leurs effets et ce à partir d’un modèle analytique transdisciplinaire intégrant les dimensions juridiques et sociologiques. Les résultats nous amènent d’abord à constater que l’employeur juridique des travailleuses employées par les prestataires privés intégrés aux réseaux – une majorité de femmes – est le plus souvent une agence de location de personnel, une entreprise d’économie sociale ou même l’usager-ère des services d’aide à domicile. Cet employeur est rarement identifié aux organismes publics, donc sous l’égide de l’État, qui exercent un pouvoir prépondérant dans ces réseaux. Le décalage entre la régulation juridique du travail et la réalité empirique du pouvoir intra-réseau entraîne une précarisation de la protection sociale et des conditions de travail de ces travailleuses. Ainsi, la faible protection de leurs droits de représentation et de négociation collectives facilite l’imposition de la « disponibilité permanente juste-à-temps », combinant les logiques du lean et du travail domestique, ainsi qu’une déqualification sexuée et racialisée de leurs emplois par rapport à la situation dans le secteur public. Notre étude montre néanmoins que certaines pratiques innovatrices d’action collective réticulaire ont pu influencer la dynamique de pouvoir, en particulier celles portées par des associations locales de personnes handicapées recourant aux services et par un syndicat de travailleuses d’agence. / The increasing trend towards organizing the production of goods and services into networks as a result of the quest for flexibility in the face of fierce economic competition raises critical issues for industrial relations. Our thesis examines the precarization of jobs in the externalized segments of production networks. It is based on three case studies focusing on the networks of public and private homecare services in Quebec. Critical law studies have shown that labour law, based on the model of the integrated firm and the binary employment relationship, fails to identify as employers some organizations whose action nevertheless has a decisive impact on working conditions in these networks. Our thesis thus aimed to shed light on the empirical reality of the power relations prevailing throughout the networks and their effects, using an interdisciplinary analytical model that integrates the legal and sociological dimensions. Results indicate that the legal employer of workers – most of them women – employed by private service providers integrated into the networks is most often an employment agency, a social economy enterprise or the individual using the homecare services. This employer is rarely identified as being among the public organizations which, under the aegis of state, exercise predominant power over these networks. The gap between the legal regulation of labour and the empirical reality of intra-network power leads to a precarization of the social protection and working conditions of these women workers. Thus, the weak protection of their rights to collective representation and collective bargaining facilitates the imposition of “just-in-time permanent availability”, combining lean management logic with domestic work logic, and leads to a gendered and racialized deskilling of their jobs compared to the situation prevailing in the public sector. Our study nevertheless shows that some innovative practices involving reticular collective action – in particular practices implemented by local associations of disabled persons using the services and by a union of female agency workers – have had an influence on these power dynamics.
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Critique féministe matérialiste du droit civil québécois : le travail « domestique » et les violences sexuées, les « impensés » du droit du logement

Laperrière, Marie-Neige 09 1900 (has links)
No description available.
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Les insuffisances des grands outils juridiques protégeant le droit à l'égalité en emploi : l'exemple de la déqualification des immigrantes et migrantes au Québec

Lévesque, Myriam 05 1900 (has links)
No description available.
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La travail, l'argent et l'amour : les arrangements de couples de parents québécois à revenus modestes

Seery, Annabelle 04 1900 (has links)
Cette thèse porte sur les arrangements de couples de parents hétérosexuels québécois à revenus modestes en s’attardant aux pratiques et aux significations mises de l’avant dans le récit des personnes rencontrées. Elle vise principalement à cerner les arrangements conjugaux en regard de la division du travail et de la gestion de l’argent et, plus spécifiquement à 1) décrire ces arrangements, 2) cerner l’articulation entre la division du travail et la gestion financière entre conjoints, et 3) cerner les écarts et les convergences entre les pratiques et les significations de ces arrangements dans le récit des personnes participantes. À partir de l’analyse de 30 entretiens semi-directifs réalisés dans une perspective inductive et compréhensive auprès de 17 femmes et 13 hommes, nous mettons au jour l’intrication entre la division sexuelle du travail, la signification sociale de l’argent et la sémantique de la conjugalité contemporaine pour saisir la complexité des arrangements décrits. Nos analyses montrent que les trajectoires professionnelles des femmes sont très marquées par la maternité, contrairement à celles des hommes pour qui des facteurs extérieurs à la famille expliquent les changements. L’utilisation du congé parental de même que les arrangements de garde des enfants montrent les limites qu’imposent à la fois les conditions de travail et de rémunération de même que la ségrégation professionnelle selon le genre. De plus, la division du travail domestique dans les couples rencontrés rend compte du maintien de la division sexuelle du travail. Nos analyses montrent aussi que les arrangements financiers des couples peuvent être décrits à partir des logiques des modes de gestion (mise en commun des revenus ou partage des dépenses), mais que des dimensions de la gestion de l’argent doivent également être abordées (propriété de l’argent, accès à l’argent, contrôle de l’argent et responsabilité du travail de gestion financière). En observant ces quatre dimensions, nous pouvons prendre la pleine mesure de la complexité des arrangements financiers. Étroitement liées entre elles, elles rendent compte de la prégnance des rapports sociaux de sexe au sein des couples. Que ce soit dans la façon de percevoir ses revenus, au-delà de leur source, des liens qui se maintiennent toujours entre la maternité et le dévouement attendu envers ses enfants et le type de dépenses faites, ou de la continuité entre la responsabilité du travail domestique et du travail de gestion financière dans les couples où l’argent est limité, etc., la division sexuelle du travail imprègne fortement les significations de l’argent ainsi que les arrangements financiers observés au sein des couples. Enfin, tant la mise en place des arrangements conjugaux étudiés que la satisfaction que les personnes participantes en ont reflètent les logiques de la division sexuelle du travail, de la signification sociale de l’argent et des règles de la sémantique de la conjugalité contemporaine (fiction de la durée, investissement continu dans la relation, communication, altruisme ou désintérêt, réciprocité différée et confiance). Contrairement à l’idée répandue voulant que les hommes et les femmes en couples hétérosexuels, en tant qu’individus indépendants et égaux, négocient leurs arrangements, nous affirmons, d’une part, qu’ils et elles n’ont pas autant le « choix » qu’il y parait et que, d’autre part, la communication n’est pas le moyen par lequel les arrangements sont mis en place. / This doctoral dissertation is centred on the arrangements of couples of low-income Québec heterosexual parents by focusing on the practices and meanings put forward in the stories of those interviewed. Its main purpose is to identify couples’ arrangements with regard to the division of labour and money management and, more specifically, to 1) describe these arrangements, 2) identify the articulation between the division of labour and financial management between spouses, and 3) identify gaps and convergences between the practices and the meanings of these arrangements in the narrative of the participants. Based on the analysis of 30 semi-structured interviews conducted with an inductive and comprehensive perspective with 17 women and 13 men, we bring to light the entanglement between the sexual division of labor, the social meaning of money and the semantics of contemporary conjugality to grasp the complexity of the arrangements described. Our analysis shows that women's occupational trajectories are very marked by motherhood, unlike those of men for whom factors outside the family explain the changes. The use of parental leave as well as childcare arrangements show the limits imposed by both working and remuneration conditions as well as occupational segregation by gender. In addition, the division of domestic work among the couples met reflects the maintenance of the sexual division of labour. Our analysis also shows that couples' financial arrangements can be described from the logic of management methods (pooling income or sharing expenses), but that money management dimensions also need to be addressed. By observing the property of money, access to money, control of money and moneywork, we can take full measure of the complexity of the financial arrangements. Closely linked, these four dimensions reflect the importance of the social relations of the sexes within couples. Whether it is in the way of perceiving one's income, the links that are still maintained between maternity and the expected dedication towards the children and the types of expenses made, or the continuity between the responsibility of domestic work and moneywork in couples where money is limited, etc., the sexual division of labour strongly imbues the meaning of money as well as the financial arrangements observed within couples. Finally, both the set up of the couples’ arrangements studied and the satisfaction of the participants reflect the logic of the sexual division of labour, the social meaning of money and the rules of the semantics of contemporary conjugality (fiction duration, continuous investment in the relationship, communication, altruism or disinterest, delayed reciprocity and trust). Contrary to popular belief that men and women in heterosexual couples, as independent and equal individuals, negotiate their arrangements, we affirm, on the one hand, that they do not have as much “choice,” and that, on the other hand, communication is not the means by which arrangements are put in place.
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Identité de genre et expérience professionnelle des hommes éducateurs à la petite enfance

Bédard, Édith 20 April 2018 (has links)
Il y a peu d’hommes dans les milieux de garde et beaucoup de ceux qui optent pour le métier d’éducateurs finissent par l’abandonner. La recherche présentée dans ce mémoire vise à comprendre comment s’articule l’identité de genre des hommes qui deviennent éducateurs avec leur choix de carrière et leur expérience du métier. L’enquête par entretiens menée auprès de treize éducateurs montre que ceux qui optent pour ce métier le font souvent dans le cadre d’une réorientation ou alors qu’ils sont déjà dans la vingtaine et après avoir longuement hésité. Ils découvrent ce métier le plus souvent par l’entremise d’une femme de leur entourage, qui est elle-même éducatrice, et leur choix de carrière est généralement bien reçu par leur entourage. Ils apprennent à jouer leur rôle d’éducateur d’abord en observant et en imitant des femmes éducatrices, puis développent des manières de faire qui leur sont propres et qu’ils décrivent comme masculines et différentes des manières de faire des éducatrices. Ceux-ci se réfèrent à des modèles masculins pour jouer leur rôle d’éducateur et envisagent celui-ci comme centré sur le jeu, la communication et l’expressivité.
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Género, tirra, trabajo y migración en el contexto de las nuevas ruralidades en Tlaxcala, México

Flores Hernández, Aurelia 16 April 2018 (has links)
L'intérêt général de cette thèse est d'identifier les éléments sociaux, économiques et de genre que constituent les nouvelles ruralités dans le cadre des transformations mondiales, à l'aube du XXIe siècle. Spécifiquement, l'objet d'étude concerne les formes d'énonciation et d'expression du marché du travail, de la migration et des systèmes de propriété de la terre, et les manières dont elles redéfinissent les relations de genre dans le milieu rural mexicain. Le cadre théorique s'appuie sur la littérature des sciences sociales concernant les nouvelles ruralités. L'approche des rapports de genre est le fondement central pour reconnaître les nouvelles réalités rurales comme processus dynamiques. L'analyse méthodologique se déploie sur deux niveaux: celui des structures et celui des pratiques des acteurs ruraux. Une des contributions anthropologiques de la thèse est l'étude des transformations des relations de genre dans deux localités rurales de l'état de Tlaxcala, situé dans la région centre de la République mexicaine, chacune caractérisée par un profil sociodémographique et historique différent, où a été appliqué un modèle de développèment apparemment similaire. Grâce à la comparaison effectuée entre ces deux localités on a pu relever la complexité des processus s'y déroulant notaniment en raison de systèmes de propriété foncière différents. L'analyse révèle que la redéfinition des rapports de genre dans ces localités est influencée non · seulement par les transformations produites dans chacun des axes choisi sinon par une combinaison de ceux-ci, mais aussi par les circonstances spécifiques propres aux hommes et aux femmes des localités à l'étude dans leurs espaces familiaux et quotidiens.
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Parcours de travail aux marges de l'emploi : récits du salariat domestique, Québec, deuxième moitié du XXe siècle

Charron, Catherine 23 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2015-2016 / Cette thèse porte sur les figures contemporaines du salariat domestique ainsi que les principales évolutions de ce secteur d’activités dans la deuxième moitié du XXe siècle à Québec. Les récits de vie d’une trentaine de femmes ayant expérimenté diverses formes de travail domestique rémunéré constituent la base empirique de cette étude. Durant cette période historique marquée par l’accroissement spectaculaire de la main-d’œuvre féminine, de même que par le déclin du fordisme et la polarisation du marché du travail, le secteur domestique se diversifie. Les nouvelles formes de service domestique s’inscrivent dans la continuité historique ― notamment en regard de la personnalisation et de la naturalisation du rapport de travail, qui ont maintenu ce secteur à l’écart de la norme salariale depuis le XIXe siècle ―, tout en participant pleinement à la construction de nouveaux régimes d’inégalités de classe, de race et de genre autour de la division du travail dans la société québécoise contemporaine. Les récits de vie témoignent de l’indissociabilité des formes rémunérées et non rémunérées de travail domestique, et de leur caractère structurant dans la construction du rapport des femmes de milieux populaires au travail, à l’emploi et à la famille. De l’apprentissage du service domestique comme mode de socialisation des filles à la permanence domestique assurée par les femmes à toutes les étapes de leur vie familiale, les réseaux féminins familiaux et communautaires tissent la toile de toute une économie des échanges domestiques, sur un continuum entre entraide et emploi. Au cours des dernières décennies du XXe siècle, divers mécanismes se mettent en branle pour créer un bassin de main-d’œuvre domestique, dont certains sont directement liés à l’institution patriarcale du mariage, et concernent les femmes divorcées ou celles qui ont connu une longue absence du marché du travail. L’univers des petits boulots domestiques apparaît comme une sorte d’archipel où sont refoulées des femmes exclues du marché de l’emploi formel. Au sein de cette nébuleuse des emplois domestiques, les dynamiques de professionnalisation, d’institutionnalisation et de segmentation s’articulent autour de la frontière entre service et servitude, laquelle nourrit les pratiques et les représentations dans ces métiers où l’héritage ancillaire fait figure de spectre.
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"Día tras día" : une comparaison inter-générationnelle du travail quotidien des femmes en milieu rural dominicain

Carrier, Nancy 17 April 2018 (has links)
Ce mémoire explore les impacts qu'ont les transformations socio-économiques sur le travail quotidien des femmes. Il analyse en fait comment, depuis les années 1960, les transformations au niveau économique et agricole et les changements survenus au sein de la famille et de la santé reproductive ont influencé le quotidien de femmes qui ont un ou plusieurs enfants. L'étude se concentre sur les récits de femmes de deux générations différentes et habitant la zone du Rancho de los Plâtanos, en République Dominicaine. Dans ce milieu rural, la notion de "développement" occupe une place de choix depuis quelques décennies et ce mémoire prend en considération ce concept, en plus de s'attarder aux concepts de maternité et de division sexuée du travail. C'est en explorant la revue de la littérature et en effectuant des entrevues auprès de douze femmes appartenant à deux générations différentes que cette recherche démontre les changements et les continuités dans le quotidien des femmes dominicaines en milieu rural depuis les années 1960. Les principales constances sont que les femmes demeurent à travers le temps les grandes responsables des tâches domestiques et des soins apportés à leur famille. La famille est en effet fondamentale pour toutes les femmes rencontrées et la maternité demeure synonyme de féminité. De grands changements bouleversent tout de même le quotidien des femmes. Si la famille reste centrale, sa constitution change grandement entre 1960 et les années 2000. Effectivement, grâce à la planification familiale, les femmes contrôlent de plus en plus le nombre d'enfants qu'elles ont. Les changements se font aussi sentir au niveau économique. La place toujours plus grande du néolibéralisme et la baisse de l'agriculture de subsistance poussent les femmes à occuper des emplois rémunérés hors du foyer. Ces emplois de plus en plus précaires demeurent souvent dans le domaine agricole, mais les cultures exploitées changent. La culture du café, qui occupe annuellement les femmes jusqu'aux années 1990, laisse la place aux cultures d'exportation non-traditionnelles. Les femmes qui prennent la parole dans ce mémoire démontrent bien que malgré tous les changements socio-économiques qui ont marqué leur pays depuis les années 1960, une constance demeure : parmi tous les rôles qu'elles occupent, la maternité occupe une place de choix.

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