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Die Ekklesiologie Heinrich Kalteisens O.P. in der Auseinandersetzung mit dem Basler Konziliarismus.Prügl, Thomas. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss.--München--Univ. München, 1993/94. / Bibliogr. p. [XI]-XXXVIII. Index.
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Literatur und Ordensreform im 15. Jahrhundert : deutsche Abendmahlsschriften im Nürnberger Katharinenkloster /Willing, Antje. January 2004 (has links)
Texte remanié: Dissertation--Philosophische Fakultät--Universität Erlangen-Nürberg, 2000. / Bibliogr. p. 276-289.
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Beiträge zur Geschichte des Predigerordens : die Reform des Basler Konvents 1429 und die Stellung des Ordens am Basler Konzil 1431-1448 /Egger, Franz, January 1991 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophisch-Historische Fakultät--Basel--Universität, 1987. / Bibliogr. p. 245-256. Index.
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Un instrument de travail dominicain pour les prédicateurs du XIII siècleBartkó, Janós Bériou, Nicole. January 2003 (has links)
Reproduction de : Thèse de doctorat : Histoire : Lyon 2 : 2003. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Mort et sépulture des papes et des cardinaux chez les Mendiants au XIIIe siècle / Popes’ and Cardinals’ Death and Burial by Mendicant Orders in the 13th CenturyMorvan, Haude 20 September 2013 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’usage de la mort et de la sépulture des papes et des cardinaux dans la propagande dominicaine et franciscaine au XIIIe siècle. Sont considérés aussi bien les tombes qui se trouvaient dans des églises mendiantes que les textes produits en milieu mendiant racontant la mort des prélats. Même en l’absence de documentation précise sur leur commande et leur réalisation, les tombes, situées en Italie et en France, révèlent une intervention des frères dans les choix d’emplacement, de forme et d’iconographie. Les Dominicains montrent une politique maîtrisée de leur espace en acceptant dans l’ecclesia fratrum seulement les sépultures de membres de l’ordre, surmontées d’une plate-tombe. Plusieurs innovations iconographiques peuvent être assignées à une conception mendiante : le gisant de Clément IV comme représentation du cadavre est une invention dominicaine, tandis que la figuration des funérailles sur le tombeau du cardinal Vicedomini pourrait être née sur impulsion des Franciscains. Cet accueil de tombes parfois monumentales n’est pas contraire à la législation des deux ordres, comme le montre une étude attentive des actes capitulaires. Au contraire, les sources normatives prévoient un usage homilétique des œuvres placées dans l’espace ecclésial. Les thèmes de la mort et de la sépulture sont au cœur de la propagande visuelle, mais aussi de la propagande orale : dans leurs exempla, les frères les utilisent pour montrer comment une mort sainte vient récompenser les prélats amis de l’ordre, alors qu’une fin ignominieuse frappe leurs ennemis. / This study focuses on the use of the death and burial of popes and cardinals in dominican and franciscan propaganda during the 13th century. We consider graves located in mendicant churches (all in Italy and France) as well as texts written by Mendicants about prelates’ death. Despite the lack of precise documents about their realisation, the graves reveal the involvement of friars through choices of location, form and iconography. Dominicans show a controlled politic of space, as only members of the order are buried in the ecclesia fratrum under a slab. Some iconographic innovations can be linked with mendicant conception: in Clement IV’s tomb the recumbent figure as representation of the dead body is a dominican invention, whereas the picture of the funeral on the cardinal Vicedomini’s tomb could be due to Franciscans. The acceptance of tombs, even monumental ones, is not contrary to the legislation of the two orders as an accurate study of capitular acts reveals. On the contrary normative sources forsee an homiletic use of the art located in churches. Themes of death an burial are at the heart of visual propaganda, but also of oral propaganda: in their exempla friars use them to show how a holy death rewards the friendly prelates, while an ignominious end beats their enemies.
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Le Romulus Roberti, traduction latine de l'Ésope de Marie de France : édition critique et traductionBrun, Laurent January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La difficile émergence de la communauté transnationale d'origine haïtienne et l'espace des droits en République dominicaineGabriel, Ambroise Dorino 13 December 2023 (has links)
Il est un fait indéniable qu'il existe une grande cohabitation entre un monde de l'opulence qui se dit champion du respect des droits humains, où l'individu constituerait le centre d'attention exclusive et la situation des millions de ces individus qui dans les faits vivent dans des conditions de vie abjectes d'esclaves. La conscience occidentale crée l'illusion selon laquelle la vie aisée et riche est atteignable par tous ceux et celles qui se la donnent pour objectif. Tout serait une question de choix individuel. Cette perspective fait aussi de la migration une question de choix. Tout en acceptant paradoxalement que la grande majorité des migrants migrent à cause des situations socioéconomiques et politiques précaires qui sévissent dans leurs pays respectifs. Cette mentalité nourrie à dessein par les médias appuierait très difficilement l'optique selon laquelle la pauvreté, la migration et la clandestinité tant décriée et condamnée seraient des produits du système. L'histoire des Dominicains-Haïtiens ostracisés dans les bateys et dans les quartiers marginalisés constituerait un des contre-arguments difficilement réfutables à cette conception individualiste de la vie. Cette histoire révèlerait bel et bien la fausseté d'un système qui dit combattre la pauvreté et l'exclusion tout en les produisant. En République dominicaine ce système a atteint son paroxysme en septembre 2013, lorsque le Tribunal constitutionnel a décrété l'apatridie des milliers de Dominicains-Haïtiens. Paradoxalement ce sont ces histoires particulières qui donnent espoir parce que le pauvre finit par s'accepter pauvre c'est à partir de l'appropriation de son exclusion, de sa pauvreté économique mais de sa riche spiritualité et de sa culture, qu'il devient sujet de son destin. Comme dans le cas des Dominicains-Haïtiens, l'exclusion devient source et espace de recréation et ipso facto pose un problème au système. La principale revendication des exclus n'est plus une vie riche faite d'accumulation de biens illimitée, mais une vie digne qui exige le respect scrupuleux des droits fondamentaux. Le droit de pouvoir raconter sa propre histoire et participer dans le vivre ensemble national. / It is an undeniable fact that there is a great cohabitation between a world of opulence that claims to be a champion of human rights, where the individual is the exclusive focus of attention, and the situation of millions of those individuals who in fact live in the abject conditions of slaves. The Western consciousness creates the illusion that a wealthy life is attainable by all those who set it as a goal. It is all a matter of individual choice. This perspective also makes migration a matter of choice. While paradoxically accepting that the vast majority of migrants migrate because of the precarious socio-economic and political situations in their respective countries. This mentality, intentionally fed by the media, would hardly support the view that poverty, migration and clandestinity, so decried and condemned, are products of the system. The story of the Dominican-Haitians ostracized in bateys and marginalized neighborhoods would constitute one of the counter-arguments that would be difficult to refute to this individualistic conception of life. This story would reveal the falsity of a system that claims to fight poverty and exclusion while producing them. In the Dominican Republic this system reached its climax in September 2013, when the Constitutional Court decreed the statelessness of thousands of Dominican-Haitians. Paradoxically it is these particular stories that give hope because the poor end up accepting themselves as poor. it is from the appropriation of their exclusion, existential poverty, but from their rich spirituality and culture, that they become subjects of their destiny. As in the case of the Dominican-Haitians, exclusion becomes a source and a space for recreation and ipso facto poses a problem for the system. The main demand of the excluded is not a rich life made of unlimited accumulation of goods, but a dignified life that requires the scrupulous respect of fundamental rights and the right to be able to express oneself and to participate in the construction of national vivre ensemble. / Es un hecho innegable que existe una gran cohabitación entre un mundo de opulencia que pretende ser paladín de los derechos humanos, en el que el individuo es el centro de atención exclusivo, y la situación de millones de esos individuos que, de hecho, viven en las condiciones abyectas de los esclavos. La conciencia occidental crea la ilusión de que la vida opulenta y rica es alcanzable por todos los que se lo proponen. Todo es cuestión de elección individual. Esta perspectiva también hace que la migración sea una cuestión de elección. Aunque paradójicamente se acepta que la gran mayoría de los emigrantes emigran por la precaria situación socioeconómica y política de sus respectivos países. Esta mentalidad, alimentada a propósito por los medios de comunicación, difícilmente apoyaría la opinión de que la pobreza, la migración y la tan discutida y condenada clandestinidad son productos del sistema. La historia de los dominico-haitianos condenados al ostracismo en bateyes y barrios marginales sería uno de los contraargumentos difíciles de refutar a esta visión individualista de la vida. Esta historia revelaría la falsedad de un sistema que pretende luchar contra la pobreza y la exclusión mientras las produce. En la República Dominicana este sistema alcanzó su punto álgido en septiembre de 2013, cuando el Tribunal Constitucional declaró apátridas a miles de dominico-haitianos. Paradójicamente, son estas historias particulares las que dan esperanza porque los pobres acaban aceptándose como pobres, y es a partir de la apropiación de su exclusión, de su pobreza espiritual y existencial, que se convierten en sujetos de su destino. Como en el caso de los dominico-haitianos, la exclusión se convierte en fuente y espacio de recreación e ipso facto plantea un problema para el sistema. La principal reivindicación de los excluidos no es una vida rica hecha de acumulación ilimitada de bienes, sino una vida digna que exige el respeto escrupuloso de los derechos fundamentales. el derecho a poder expresarse y a participar en la construcción del vivre ensemble
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Les sermons de Guillaume de Sauqueville : l'activité d'un prédicateur dominicain à la fin du règne de Philippe le BelBoyer Chevalier, Christine 12 February 2007 (has links) (PDF)
Le dominicain Guillaume de Sauqueville a laissé peu de traces historiques, mais on connaît de lui une collection de 106 sermons de tempore et de sanctis conservée aujourd'hui dans cinq manuscrits en Europe. L'étude de sa prédication se fonde avant tout sur l'édition complète de ses sermons, inédits jusqu'à aujourd'hui. Guillaume de Sauqueville fut actif à Paris à l'extrême fin du règne de Philippe le Bel, il montre une bonne connaissance du milieu universitaire de son époque et fut très probablement étudiant au collège de Sorbonne. L'homme est très peu connu, il ne fait pas partie des intellectuels en vue de son époque et cette collection de sermons constitue aujourd'hui sa seule oeuvre clairement attribuée. Ses écrits témoignent d'une technique de prédication efficace au service d'un message théologique et moral. Guillaume s'efforce de bâtir des sermons compréhensibles de tous: le latin est sa langue d'écriture, mais il use à aussi de nombreuses reprises de la langue française. L'étude des sermons permet également de comprendre son travail de composition, notamment son usage des instruments de travail. Enfin, les thèmes de prédilection du dominicain témoignent d'un engagement dans des questions politiques, pas seulement pastorales, mettant enjeu des pouvoirs majeurs de la cité: l'université de Paris, le clergé et la royauté française.
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Jean Bréhal : inquisiteur d'exception ou inquisiteur exemplaire de la fin du Moyen Age / Jean Bréhal : exceptional inquisitor or exemplary inquisitor in the late Middle AgesSilvestre, Laurence 08 December 2017 (has links)
Jean Bréhal est un dominicain normand, docteur en théologie, qui s’est fait un nom en tant qu’inquisiteur du royaume de France, non pas en traquant l’hérésie, ou en poursuivant des sorcières, mais en annulant des condamnations, et plus particulièrement celle de la Pucelle d’Orléans, vingt-cinq ans après le bûcher de Rouen. Sa longévité dans l’officio inquisitionis (de 1452 à 1474), sous les règnes de Charles VII et de Louis XI, contraste avec le nombre réduit d’affaires qu’il a instruites, d’après les sources. Aussi on peut se demander s’il fait figure d’exception, ou s’il est inquisiteur exemplaire de la fin du Moyen Âge. Le «cas Bréhal» invite à examiner la charge d’inquisiteur après le Concile de Vienne, dans le contexte particulier, à la fois d’un territoire encore marqué par les antagonismes de la guerre de Cent ans, et d’une Église éprouvée par le Grand Schisme et ses séquelles. Sur la base d’un corpus composé principalement des écrits du dominicain, dont certains éléments sont des manuscrits inédits, mais dont le noyau est constitué par la procédure en nullité de la condamnation de Jeanne d’Arc, cette thèse se propose non seulement d’appréhender l’homme et son parcours, mais aussi et surtout sa pensée, d’analyser son écriture scolastique, de saisir le sens de son action, percer ses motivations, et peut-être comprendre la nature du «pouvoir» qu’il a incarné pendant plusieurs décennies. Au final, c’est une époque, des milieux, et la situation d’un office, que cette étude centrée sur Jean Bréhal éclaire, tout autant que la spécificité d’un individu. Elle a surtout pour but de faire connaître une œuvre qui embrasse des champs variés et des centres d’intérêts divers. / Jean Bréhal is a Dominican friar from Normandy and a theology professor, who became renowned as an inquisitor in the kingdom of France, neither for tracking down heresy nor pursuing witches, but for quashing sentences, more especially the sentence of condemnation of the Maid of Orléans, twenty five years after she was burnt at the stake in Rouen. The longevity of his tenure in the officium inquisitionis (from 1452 until 1474), in the reigns of Charles VII and Louis XI, contrasts with how few investigations he actually conducted, according to the documentation. So we wonder whether he was an exception or exemplary for the late Middle Ages. The “Bréhal case” suggests looking upon the office of inquisitor after the Council of Vienne, in the particular context of a territory that was still scarred by the divisions of the Hundred Years’ war, and of a Church that had been tested by the Great Schism and its aftermaths. Our corpus mostly consists of the Dominican’s own writings, of which some documents are unpublished manuscripts, and its core lies in the trial of nullification of the condemnation of Joan of Arc. On that basis, the aim of this thesis is to know not only the man and his journey but also, and above all, his thinking, to parse his scholastic prose, to grasp the meaning of his action, to discover his motivation, and to understand the nature of the “power” that he has embodied over several decades. Eventually, this study, while focusing on Jean Bréhal, sheds light as much on a time, a world and the state of an office, as on the specificities of one individual. Above all, its goal is to introduce readers to a body of works that contains various fields and interests.
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Du péché à la faute : l'"advertance de raison" et les théologies de l'imputation morales, XVe - XVIIe siècles / From sin to fault : the notion of advertentia rationis and the theologies of moral imputation, 15th-17th centuriesNicolas, Paola 11 December 2015 (has links)
Entre le début du XVe siècle et la fin du XVIIe siècle, la question de la justice de l’élection et de la damnation divine fait l’objet de débats d’une grande virulence entre les théologiens catholiques. Contre la conception luthérienne d’un «Dieu aimant les uns et détestant les autres d’un amour et d’une haine éternels», les Dominicains et les Jésuites interrogent les raisons motivant le châtiment de Dieu, quand les Jansénistes clament que Dieu ne doit rien à personne. Les théologies de l’imputation morale de la période s’affrontent à propos de la définition de l’offense au Créateur, de la question du salut des païens, des conditions d’attribution de la grâce, et portent à leur paroxysme les tensions inhérentes au catholicisme post-tridentin. Ce présent travail montre comment la théologie n’a pas assisté en spectatrice impuissance à l’élaboration du sujet laïc, mais y a participé de manière active et paradoxale. C’est au beau milieu des feux mutuels que se lancent les polémistes que l’on peut suivre la manière dont s’élabore peu à peu la distinction de deux sphères de l’imputation morale – celle de l’homme et celle du chrétien –, et ainsi, la manière dont on vient à concevoir une version sécularisée de la faute morale, ou une offense à la droite raison qui ne soit nullement une offense à Dieu. / Between the beginning of the 16th and the late 17th century, Catholic theologians argue about the justice of the divine election and damnation. Against the Lutheran conception of “a God loving ones but detesting the others with eternal love and hate”, Dominicans and Jesuits question the reasons motivating God reprobation, while the Jansenist position is that “God owes us nothing”. At this period, theologies of moral imputation fight on multiple topics: how to define the offence to the Creator, how to ground pagans’ salvation, what are the conditions of grace attribution, and overall these debates will bring the tensions inherent to post-Tridentine Catholicism into focus. In this work, I show that theology did not passively watch the making of the secular subject but was instead an active and paradoxical player. It is in the middle of the controversy between the different polemists that we can trace back the way the distinction between the two spheres of moral imputation – the one of the men and the one of the Christians – is progressively grounded, and thus, we can understand the path leading to a secularized version of the moral fault, namely, an offense to reason that is not an offense to God.
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