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La poétique d'Édouard Glissant : errance et démesure / Edouard Glissant's poetics : wandering and "demeasure"

Hellsten, Catherine 30 September 2014 (has links)
L’œuvre d’Édouard Glissant est toute au cheminement d’une formidable et inédite pensée, une « poétique de la Relation » ; et aménage un passage, une « conversion de l’être ». L’image poétique, qui atteint à la plus sûre connaissance du monde et du vivant, y restaure le lien organique et immédiat avec la « chair du monde », dont elle peut, provisoirement, receler les formes signifiantes en perpétuel changement. L’étude de certains textes permettra de suivre l’itinéraire de « l’être qui se trouve », et les notions d’errance et de démesure, développées au fur et à mesure par l’auteur, de saisir les mouvements de ces transformations. Le « pli » d’abord, que la phénoménologie du roman imprime à l’œuvre pour accomplir la « thérapeutique globale » de la communauté antillaise. Le récit de Relation ne se trouve pleinement déplié qu’après coup, dans les années 90, avec le roman Tout-monde. La pensée de la Relation se résoudra par « consumation dialectique » dans un ultime aphorisme, « Rien n’est Vrai, tout est vivant » ; et l’œuvre, en sa « cheminaison », dans la profondeur de sa propre étendue, aménageant son apparition-disparition au sein du « grand livre mouvant » de tous ces siècles où se sont accumulées les littératures du monde entier. Cette intertextualité constitutive amènera (par une approche comparatiste) à considérer les « lieux-communs » qui relient l’œuvre d’Édouard Glissant à celle de K. Yacine, de S.-J. Perse et d’A. Césaire. De même, la question de la création de langages sera examinée sous l’angle de sa théorie sur la traduction considérant celle-ci comme une forme d’écriture à part entière, une composition traçant le « rapport entre les langues ». / Edouard Glissant’s work is the development of a great and a unique thinking: a poetics of Relation. It also allows a passage, a "conversion of the being". The poetic image attains the most accurate knowledge of the living, and restores the organic and immediate links with the “flesh of the world". This poetic image temporarily holds its signifying forms, constantly changing. The analysis of some specific texts will follow the itinerary of "the being that finds its meaning". The notions of wandering and “demeasure”, developed progressively by the author, will help to indicate the movements of those transformations. First, the "fold" that the fiction’s phenomenology prints to the work in order to accomplish the "global therapeutic" of the Antilles community. The narrative of Relation will fully unfold with the novel Tout-monde in the 90s. The thought of Relation will find its own ontological reduction in a final aphorism, "Nothing is true, all is living". The work itself will achieve the termination of its route in the depth of his own “Extent”, telling its appearance-disappearance in the "large moving book" of all these centuries, when the world literatures have accumulated. This constitutive intertextuality will lead us (by a comparative approach) to consider the "common places” that link the work of Édouard Glissant to those of K. Yacine, of S.-J. Perse and A. Césaire. In the same “horizontal” way, the "creation" of new languages will also be observed under the angle of his theory on translation, seen as a new form of writing that composes the “connection between languages".
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As obras de Edouard Vuillard na coleção do MASP

Esmeraldo, Eugenia Gorini 06 April 2000 (has links)
Orientador: Jorge Sidney Coli Junior / Dissertação (mestrado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Filosofia e Ciencias Humanas / Made available in DSpace on 2018-07-26T14:07:35Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Esmeraldo_EugeniaGorini_M.pdf: 16068585 bytes, checksum: ae65babf08db331b0440cb11e4c5e997 (MD5) Previous issue date: 2000 / Resumo: Não informado / Abstract: Not informed. / Mestrado / Mestre em História
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La poétique de la relation et ses enjeux dans la littérature francophone d’Afrique subsaharienne : cas d’Henri Lopes, Sami Tchak, Abdourahman Waberi et Fatou Diome

Hayatou, Guedeyi Yaeneta January 2016 (has links)
Ma thèse est partie d’un constat selon lequel, le monde est plus que jamais en constant mouvement, et l’Afrique faisant partie du monde, bouge également. Mais comment ce mouvement se traduit-il dans l’art littéraire et l’imaginaire africains ? Telle fut l’interrogation qui m’a conduit sur la piste de ce projet. Ayant approché mon directeur avec ladite interrogation, il m’a tout de suite orienté vers les essais d’Édouard Glissant ; une tâche qui au départ m’est apparue très laborieuse, pour la simple raison que les pensées et réflexions de Glissant présentent une certaine résistance à l’appréhension liée, entre autres, au fait qu’elles sont elles-mêmes en mouvement et sont portées par une logique de la non-maîtrise, celle-ci étant directement liée à l’opacité revendiquée par l’auteur. Mais à force de lire et relire inlassablement Glissant, j’ai fini par comprendre la vision du monde qu’il essaye de promouvoir, laquelle a comme pivot la poétique de Relation. La poétique de la Relation est le résultat d’une réflexion sur la littérature et sur les expressions culturelles, qui renouvelle les imaginaires et les visons du monde ; elle est le noyau dur d’un projet que Glissant a initié et qui s’est manifesté clairement dans son livre Le discours antillais (1981) et qu’il a consolidé plus tard dans Poétique de la Relation en 1990, dans Introduction à une poétique du divers en 1996, Traité du Tout-Monde en 1997, pour finir par en faire une Philosophie de la Relation. Refusant l’identique et l’universel qui ont produit les désastres que l’on sait (l’esclavage, la colonisation, la domination impérialiste, la haine de soi telle qu’elle est décrite dans Peau noire, masques blancs de Fanon, ou encore le néocolonialisme), Édouard Glissant convie au rapprochement des peuples, des cultures et des continents. C’est dans cette optique que surviennent entre autres ses notions de Créolisation et de Relation. Glissant entend par Créolisation, « la mise en contact de plusieurs cultures ou au moins de plusieurs éléments de cultures distinctes, dans un endroit du monde, avec pour résultante une donnée nouvelle, totalement imprévisible par rapport à la somme ou à la simple synthèse de ces éléments. » (Traité du Tout-monde, 1997, p.37). C’est un nouvel imaginaire qui n’a rien à voir avec quelques synthèses plus ou moins habiles. Elle doit produire avant tout l’inédit. Glissant prône ainsi un imaginaire dans lequel ne devrait pas exister cette pratique d’uniformisation, de globalisation et de généralisation selon le modèle d’une quelconque culture dite dominante. Quant à l’imaginaire de la Relation, il le définit comme étant : «la quantité réalisée de toutes les différences du monde, sans en oublier une seule, la manière d’aller vers l’autre et d’essayer de se changer en échangeant avec l’autre sans se perdre, ni se dénaturer ». Pour qu’il y ait relation nous dit Glissant, « il faut qu’il y ait deux ou plusieurs identités ou entités maitresses d’elles-mêmes et qui acceptent de changer en s’échangeant. » C’est un imaginaire qui va à l’encontre de l’universel au sens occidental du terme, dont la spécificité est la sublimation du particulier en une espèce de valeur dominante, et toute une hiérarchisation des valeurs et des sociétés. Ainsi que cela apparaît dans son essai Philosophie de la relation, la notion de la Relation a également l’épaisseur d’un concept philosophique qui fait qu’on peut rapprocher Glissant avec des auteurs comme Emmanuel Levinas et les autres philosophes de son époque qui tous cherchaient une voie de sortie de Hegel. On sait que depuis Socrate jusqu’à Hegel, la philosophie occidentale « est une égologie » comme le souligne Emmanuel Levinas, c’est-à-dire une philosophie où l’Autre est toujours penser à partir du Même, autrement dit où l’on a tendance à réduire l’Autre au Même. À la suprématie du Même sur l’Autre, à la réduction de l’Autre au Même, Glissant oppose la Relation, qui suppose la valorisation et la reconnaissance de l’autre dans sa singularité. Seulement, le fait que les notions porteuses de la vision nouvelle du monde que prône Glissant découlent des expériences et conditions antillaises, et qu’elles aient vu le jour aux Antilles, a parfois semé le doute en ce qui concerne leur pertinence et leur applicabilité hors de leur contexte d’origine. C’est ce doute ou ce soupçon que nous avons voulu mettre à l’épreuve à travers la lecture des romans d’Henri Lopes, Sami Tchak, Abdourahman Waberi et Fatou Diome. Notre hypothèse de départ, qui a été confirmée à la fin, était que la poétique de la relation promue par Glissant n’est pas une singularité antillaise ou martiniquaise. C’est plutôt un outil qui peut permettre de comprendre l’imaginaire de la littérature postcoloniale et, plus encore, celle de la mondialité, la manière dont ceux qui se définissent comme « enfants de la postcolonie», se définissent et voient le monde ou, plutôt le rêvent.
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Deux cartographies de la relation : Aimé Césaire, Kateb Yacine, Edouard Glissant

Matsui, Hiroshi 22 January 2015 (has links)
La controverse des écrivains étiquetés « francophones » en 2006 indique la fin du « paradigme national de littérature ». Ce paradigme se construit sur trois unités : la langue, le peuple et la littérature. Fortement centralisée, la France est l’État qui a le mieux réussi à souder la nation et la littérature ; cette liaison se réalise par la territorialisation. Ceci dit, pour penser au contraire la littérature sans territoire et en dehors du paradigme national, il faut l’examiner en termes de la dissémination et de la déterritorialisation, ce qui devient d’ailleurs de plus en plus visibles aujourd’hui. Cette thèse discute le monde et la littérature dans l’optique de la Relation d’Édouard Glissant. Il observe trois trajectoires tracées par les écrivains modernes. La première part du Centre vers la périphérie, qui s’inscrit dans le contexte de la colonisation européenne du monde. La deuxième va dans le sens opposé, de la périphérie vers le Centre, ce qui correspond à la montée des coloniaux en Métropole ainsi qu’à leurs pensées anticolonialistes. Or, ces deux trajectoires sont identiques tant qu’elles s’articulent autour de la dichotomie Centre/périphérie et donnant corps à la Relation concentrique du monde. En revanche, la troisième démolit la dichotomie Centre/périphérie, errant d’une périphérie à une autre et réalisant la Relation interpériphérique. Appuyé sur le couple conceptuel d’arborescence et de rhizome proposé par Gilles Deleuze et Félix Guattari, cette thèse cartographier ces deux sortes de Relations. Elle vise de révéler le devenir-rhizome du monde en étudiant les œuvres d’Aimé Césaire, de Kateb Yacine et d’Édouard Glissant. / The controversy of so-called “francophone” writers in 2006 indicates the end of “national paradigm of literature”. This paradigm consists of three unities: language, people and literature. Because of its highly centralized system, France is the State that succeeded the most in bundling its nation and literature. Their tight connection is assured by the principle of territorializaion. Then, in order to think about literature without territory and outside national paradigm, it is necessary to examine it in terms of dissemination and deterritorialization, which are becoming increasingly visible today. This dissertation discusses about the world and literature in perspective of Édouard Glissant’s concept of Relation. He observes three trajectories that modern writers have drawn. The first trajectory departs from the Center to periphery that conforms to European colonization over the world. The second trajectory goes from colonial periphery to the Center, which corresponds with the migration of colonized people to Metropolitan France as well as their anti-colonial thoughts. Though, these two trajectories seem identical so far as they are constructed by Center/periphery dichotomy, realizing a concentric Relation of the world. The third trajectory, however, demolishes such Center/periphery dichotomy, by wandering from a periphery to another periphery and realizing the inter-peripheral Relation. Applying Gilles Deleuze and Felix Guattari’s pair of concepts, Tree and Rhizome, this dissertation maps those two sorts of Relations. It reveals the becoming-rhizome of the world by studying the literary works of Aimé Césaire, Kateb Yacine, and Édouard Glissant.
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Loosing the Bound: Pierre Teilhard de Chardin's Analogical Imagination in the Post-Euclidean Tradition

Eloe, Laura January 2019 (has links)
No description available.
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The artist and the Opéra : Manet, Degas, Cassatt

Bronfman, Beverly January 1991 (has links)
No description available.
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Édouard Batiste's Symphonie militaire (1845): edition and commentary

Smialek, William 05 1900 (has links)
Symphonie Militaire is a three movement work for twelve solo wind instruments composed by Edouard Batiste (1820-1876), a professor at the Paris Conservatoire and organist. The composition is scored for flute, two oboes, two B-flat clarinets, two bassoons, E-flat trumpet with valves, two F horns with valves, trombone, and B-flat ophicleide. In this edition, which was prepared from the original manuscript, the trumpet part is transposed to B-flat and a tuba has been substituted for the ophicleide. Based on a study of the score, as well as knowledge of wind band music of the period, several speculations have been made concerning the reason for the composition of the piece. The limited instrumentation supports the idea that, like other military symphonies, Symphonie Militaire may have been written for a special occasion. The work is, however, at least a reflection of the concern in 1845 for the reconstruction of the French military bands.
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BLOWING BUBBLES, BURSTING BULLES: AN ANALYSIS OF MANET'S BOY BLOWING BUBBLES AND THE POLITICIZATION OF HOMO BULLA

Cooperstein, Shana January 2013 (has links)
This paper analyzes the political dimensions surrounding visual and literary allusions to soap bubbles. Traditionally, iconographic studies consider soap bubbles within the history of northern Baroque vanitas, attaching to bubbles notions of ephemerality and transience. Building on these interpretations, eighteenth- and nineteenth-century French artists and writers created a complex metaphor for soap bubbles that relied on their impermanence and fragility, as well as their illusory nature. By coupling the earliest conceptual meanings of soap bubbles with their almost imperceptible formal properties, the bubble blower came to symbolize deceivers, or figures creating illusions or delusions. Eventually, this transformed vanitas symbolism became harnessed to political critiques and representative of chimerical assertions of papal authority, calumny, and false promises of liberal reform. I not only describe the alternative meanings associated with soap bubbles in eighteenth- and nineteenth-century France, but also I situate Edouard Manet's Les Bulles de savon (1867) within this trajectory. While most scholars interpret Manet's painting and accompanying prints as a continuation of, and legacy to, the Dutch vanitas tradition, I illustrate how the artistic and political milieu in which Manet worked mirrored earlier criticisms employing allusions to bubbles. / Art History
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Variações sobre o preto e o negro na pintura moderna / Variações sobre o preto e o negro na pintura moderna

Rangel, Marcela Freire 15 April 2009 (has links)
Esse estudo trata de seis variações do preto na pintura. O trabalho apresenta telas de Edouard Manet, Vincent van Gogh, Henry Matisse, Iberê Camargo, Eduardo Sued e Pierre Soulages. A pesquisa das obras e procedimentos poéticos desses pintores visa a indicar para diversas maneiras como o preto, não mais usado para o sombreado, se transforma em áreas de cor e como esses campos cromáticos atuam nas pinturas. A análise mostra que a cor preta, na qual há variações de tonalidade e saturação, pode ser usada como um meio de tensão cromática na superfície pictórica, como um elemento expressivo, ou para criar uma nova espacialidade para além do plano do quadro. Vale a pena notar que esses usos não são mutuamente exclusivos e, por exemplo, o preto que cria a tensão cromática pode ser expressivo e criar uma nova espacialidade. / This essay deals with six variations of black in painting. Reaserch on the production and poetic procedures by Eduoard Manet, Vincent van Gogh, Henry Matisse, Iberê Camargo, Eduardo Sued and Pierre Soulages, indicates several manners where black, contrary to its use as a shadowing component, transforms itself in areas of color. The manner in which the cromatic fields act upon the painting is analised and show that the color black, with its variations in tone and depth, may be used as an element of expession; as a means for chromatic tension over the pictures surface or for the production of a new spaciality beyond its surface. These uses are not mutually exclusive and, as where black creates chromatic tension, it may also be expressive and generate a new spaciality.
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Variações sobre o preto e o negro na pintura moderna / Variações sobre o preto e o negro na pintura moderna

Marcela Freire Rangel 15 April 2009 (has links)
Esse estudo trata de seis variações do preto na pintura. O trabalho apresenta telas de Edouard Manet, Vincent van Gogh, Henry Matisse, Iberê Camargo, Eduardo Sued e Pierre Soulages. A pesquisa das obras e procedimentos poéticos desses pintores visa a indicar para diversas maneiras como o preto, não mais usado para o sombreado, se transforma em áreas de cor e como esses campos cromáticos atuam nas pinturas. A análise mostra que a cor preta, na qual há variações de tonalidade e saturação, pode ser usada como um meio de tensão cromática na superfície pictórica, como um elemento expressivo, ou para criar uma nova espacialidade para além do plano do quadro. Vale a pena notar que esses usos não são mutuamente exclusivos e, por exemplo, o preto que cria a tensão cromática pode ser expressivo e criar uma nova espacialidade. / This essay deals with six variations of black in painting. Reaserch on the production and poetic procedures by Eduoard Manet, Vincent van Gogh, Henry Matisse, Iberê Camargo, Eduardo Sued and Pierre Soulages, indicates several manners where black, contrary to its use as a shadowing component, transforms itself in areas of color. The manner in which the cromatic fields act upon the painting is analised and show that the color black, with its variations in tone and depth, may be used as an element of expession; as a means for chromatic tension over the pictures surface or for the production of a new spaciality beyond its surface. These uses are not mutually exclusive and, as where black creates chromatic tension, it may also be expressive and generate a new spaciality.

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