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Les espaces publics dans les politiques métropolitaines. Réflexions au croisement de trois expériences : de Paris aux quartiers centraux de Berlin et IstanbulFleury, Antoine 14 December 2007 (has links) (PDF)
Au centre des métropoles européennes, les formes et les pratiques des espaces publics que sont les rues, les places et les jardins ont beaucoup évolué au cours des deux dernières décennies. En se plaçant au croisement de trois expériences – à Paris, Berlin et Istanbul – cette thèse démontre que les pouvoirs publics jouent un rôle moteur dans cette transformation. Au-delà des différences liées aux contextes locaux, l'analyse des formes de l'action publique montre tout d'abord qu'il y a une permanence, une diversification et un renouvellement des politiques métropolitaines en Europe. Les politiques de marketing urbain, de gestion des déplacements, d'amélioration du cadre de vie et d'animation de la ville convergent en effet vers un investissement considérable dans les espaces publics. En analysant la distribution des rôles entre les acteurs, cette thèse montre ensuite que les transformations de l'action publique s'appuient sur une profonde recomposition des modes de production. Ce changement se traduit d'une part, par une diversification des acteurs publics impliqués et un renouvellement des méthodes d'action, et d'autre part, par une ouverture en direction de la société civile et des habitants ainsi que par une implication croissante de prestataires extérieurs, privés ou semi-publics. Par ailleurs, l'action publique est mise en œuvre de manière différenciée au sein des espaces centraux. Par ailleurs, l'action publique est mise en œuvre de manière différenciée au sein des espaces centraux, selon les contextes sociaux et les niveaux de centralité. C'est dans le choix de la proximité et de la participation qu'apparaissant les plus fortes d'entre elles. En effet, ces deux principes structurants apparaissent en tension constante avec ce qui fait la ville et ses espaces publics.
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L'expérience des jeunes de la rue au centre-ville de Montréal : occasion d'interactions multiplesRainville, Sabine Éléonore January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Espaces imaginés, espaces habités. Au-delà de la mondialisation : Téhéran, Rabat, New York, ParisBailly, Émeline 08 December 2009 (has links) (PDF)
La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s'inventent, la façon dont elles s'ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l'espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu'il n'y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d'influences s'inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s'inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d'ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d'interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l'expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l'expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d'habiter, d'être au monde. Plus encore, l'expérience subjective et symbolique permet d'être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d'inventer un horizon pour " habiter poétiquement la terre " (F. Hölderlin).
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Changing public space : the recent redevelopment of Dutch city squares /Melik, Rianne van, January 1900 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Utrecht University, 2008. / Includes bibliographical references (p. 217-230).
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Les espaces publics au prisme de l’art à Johannesburg (Afrique du Sud) : quand la ville fait œuvre d’art et l’art œuvre de ville / Publics spaces through art in Johannesburg (South Africa) : when the city makes art and art makes the cityGuinard, Pauline 28 November 2012 (has links)
Cette thèse porte sur les espaces publics à Johannesburg, capitale économique de l’Afrique du Sud. Dans le contexte contemporain, l’utilisation de la notion occidentale d’espaces publics pose problème : d’une part, du fait des ségrégations passées qui ont eu tendance à faire de ces espaces des lieux de séparation et de mise à distance des différents publics ; et d’autre part, du fait des forts taux de violence et du fort sentiment d’insécurité, qui tendent à encourager la sécurisation et la privatisation de ces mêmes espaces. L’enjeu est alors de comprendre les éventuels processus de construction de la publicité (au sens de caractère public) de ces espaces, à la fois sur le plan juridique, social et politique. Pour ce faire, l’art qui se déploie dans les espaces juridiquement publics de la métropole depuis la fin de l’apartheid, est utilisé comme une clef de lecture privilégiée de ces phénomènes, en tant qu’il permettrait, ainsi que nous entendons le montrer, de créer des espaces de rencontre et de débats ou, à l’inverse, de mieux réguler et contrôler ces espaces. Selon une approche qualitative, notre étude se base à la fois sur des observations de terrain et sur des entretiens conduits auprès des producteurs mais aussi des récepteurs de cet art qui a lieu dans les espaces publics. A la croisée de la géographie urbaine et de la géographie culturelle, nous envisageons donc de réexaminer la notion d’espaces publics au prisme de l’art à Johannesburg en vue de saisir – entre tentative de normalisation et résistance à cette normalisation – quelle ville est aujourd’hui à l’œuvre non seulement à Johannesburg, mais aussi, à travers elle, dans d’autres villes du monde. / This Ph.D. thesis deals with public spaces in Johannesburg, the economic capital of South Africa. In the current context, the issues raised by the use of the western notion of public spaces are explored. On one hand, the previous segregations tended to mark off spaces into different publics completely separated from each other. On the other hand, the high rates of violence and sense of insecurity enhance securitization and privatization of these same spaces. What is at stake is to understand how the publicness of these spaces can be legally, socially, and politically built. In that framework, art spread in legally public spaces of Johannesburg since the end of apartheid is used as a tool to understand and reveal these phenomena since it is presented, as we aim at demonstrating, as a mean to create spaces of encounter and debate or, conversely, to regulate and control better these spaces. In a qualitative approach, our study is based on field observations and interviews with both producers and receivers of this art which takes place in public spaces. At the crossroads of urban geography and cultural geography, we are therefore re-examining the concept of public spaces through the prism of art in Johannesburg to figure out – between normalization and resistance to this normalization – which city is today at work not only in Johannesburg, but also, through her, in other cities of the world.
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Espaces imaginés, espaces habités, au-delà de la mondialisation : Téhéran, Rabat, New York, Paris / Imagined spaces, inhabited spaces, beyond globalization : Tehran, Rabat, New York, ParisBailly, Émeline 08 December 2009 (has links)
La mondialisation est souvent associée à une homogénéisation et une standardisation des métropoles. Pour autant, des représentations urbaines singulières émergent. En questionnant la réalité des modèles internationaux, mon ambition était de comprendre la manière dont les pensées urbaines se fabriquent, se diffusent, se confrontent et s’inventent, la façon dont elles s’ancrent dans une culture, projettent une société en devenir et créent les lieux publics. La mise en regard de la conception de l’espace urbain dans quatre métropoles, Paris, Rabat, Téhéran et New York, a révélé qu’il n’y avait non pas émergence de grands modèles types mais, au contraire, une atomisation de références qui co-existent et fondent les nouveaux lieux de la ville. Ce faisceau d’influences s’inscrit en continuité avec le passé pour mieux le réinventer. Il s’inspire de visions de plus en plus diversifiées, venues d’ailleurs. Plus encore, il prend appui sur des symboles, des représentations imaginaires de la ville. La réalité urbaine émerge de cet enchevêtrement d’interprétations individuelles et collectives, passées ou importées, théoriques ou imaginaires. Les lieux publics apparaissent alors comme un espace de dialogue inachevé sur une représentation du monde elle-même en évolution. Ils sont une redéfinition infinie de l’expérience de la relation des hommes à leur environnement. Cette hybridation amène à penser autrement le fait urbain. La proximité et l’expérience partagée de la fabrication de la ville permettent de charger les lieux des existences, émotions, passions et rêves des hommes. Ceux-ci sont potentiellement ouverts à une possibilité d’habiter, d’être au monde. Plus encore, l’expérience subjective et symbolique permet d’être présent au monde et à autrui, de transposer la vie humaine au-delà de sa condition mortelle, d’inventer un horizon pour « habiter poétiquement la terre » (F. Hölderlin). / Globalization is often associated with a homogenization and standardization of cities, However, representations of unique urban models continue to emerge. By questioning the veracity of a homogenous international model, my desire was to understand the manner in which urban thinking is formed, how it is disseminated, how it is challenged and reinvented, how it is rooted in a culture, projecting a vision of society and the création of public space. An overview of the design of urban space in four cities : Paris, Rabat Tehran and New York, does not reveal the emergence of any global design types, but rather a splintering of references which co-exist and form the basis for new urban spaces. This palette of influences is in continuity with the past so as to better reinvent it. It inspires visions which are more and more diversified by places afar. More than ever, it is attached to symbols, imaginative representations of the city. The urban reality emerges from this entwinement of individual and collective interpretations, of the past or imported, theoretical or imaginary. In perpetual reinterpretation, public spaces then appear as places of open dialogue that are based on an everchanging representation of a world that is still in flux. They are the infinite redefinition of the experience of the relation of humankind's to the environment. This hybridization brings to mind a new urban reality. The intimacy and shared experience in the creation of cities allows for spaces that are charged with the existence, emotions and passions of mankind. They are open to the possibility of living, of being, of the world. Even more, the experience of the subjective and symbolic allows for the presence of the worldly and the « other », the transposition of human life beyond its mortal condition, to create a horizon « for poetic living on Earth ». (F. Hölderlin).
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Ce que tous les parents disent ? : approche compréhensive de l’encadrement parental des pratiques urbaines des enfants en contexte de mixité sociale (Paris-Milan) / A comprehensive study of the parental supervision of children’s urban practices in two socially mixed areas (Paris-Milan)Riviere, Clément 28 March 2014 (has links)
Le titre de la thèse renvoie aux deux enjeux principaux qu’elle se propose de traiter. Il s’agit tout d’abord d’approcher empiriquement le processus de socialisation urbaine, peu étudié en tant que tel, en l’abordant par le prisme de l’encadrement parental des pratiques urbaines des enfants. L’étude de ce rôle régulateur des parents permet notamment d’approcher la transmission plus ou moins consciente de compétences d’interaction et de mobilité, mais aussi de normes de jugement et de comportement. Le second enjeu de la thèse est la mise en lumière de la différenciation sociale et spatiale de ce processus, qui conduit à interroger par le biais de pratiques urbaines ordinaires la (re)production d’inégalités entre enfants ainsi que le rapport de leurs parents à l’altérité sociale, dans une perspective complémentaire des travaux disponibles sur la ségrégation résidentielle et scolaire. La première partie de la thèse en précise le cadre théorique et les choix méthodologiques opérés, en particulier l’enquête par entretiens (n=78) auprès de parents d’enfants âgés de 8 à 14 ans, la perspective comparée Paris-Milan et le choix de contextes de mixité sociale. La deuxième partie propose une approche compréhensive des mécanismes de la prise d’autonomie urbaine à partir d’une analyse de ses étapes ainsi que des évolutions perçues par les parents au regard de leur propre expérience enfantine. Enfin, la troisième partie s’attache à informer la différenciation de l’encadrement parental, interrogeant en particulier le rôle tenu dans celle-ci par les propriétés sociales des familles, le sexe des enfants et le contexte national et local. / This work considers the parental supervision of children’s daily urban practices as an original research object for the study of socialization processes in contemporary metropolises. The study of the regulatory role of parents aims to understand how interactional and mobility skills are transmitted, and how social and gendered inequalities arise through this process in urban childhoods. Complementing previous works on urban segregation and school choice, this research compares two socially mixed areas located in Milan (Italy) and Paris (France). The data includes 78 interviews carried out with 88 parents of children aged from 8 to 14 and ethnographic fieldwork. Theoretical and methodological issues are tackled in the first part of the work. The second part focuses on the different mechanisms and stages of the urban socialization process, in both a synchronic and diachronic perspective. The third part highlights the social, sexual and local differentiation of the way children’s urban practices are supervised and suggests the effects on children of these contrasts.
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Espaces publics et action artistique à Montpellier : de nouveaux enjeux culturels pour la ville contemporaine. / Public spaces and artistic action in Montpellier : new cultural stakes for the contemporary city.Baticle, Johana 14 December 2016 (has links)
Cherchant à croiser projets urbain et culturel notre position critique met en avant les tendances principalesqui articulent enjeux culturels et enjeux urbains. Les arts et la culture servent le discours urbain plus qu'ils ne cofabriquentle projet de ville. Aujourd'hui l'art dans la ville se territorialise en un espace qui devient événement. Nousnous appuyons sur l'analyse de situations concrètes, où l'art investit la ville et où les pratiques culturelles migrentdes lieux dédiés (musées, théâtres) vers l'espace public. Notre étude de cas porte sur les pratiques culturelles de etdans l'espace public avec les Zones Artistiques Temporaires (Zat) à Montpellier de 2010 à 2015. D'une part, nousobservons la spatialité et la matérialité de neuf quartiers investis par les Zat, d'autre part, nous qualifions le temps, lemouvement ct l'action en étudiant comment les thèmes artistiques interrogent la ville concrète, l'imagibililé urbaineou encore la ville pratiquée. Enfin nous observons les transformations des espaces publics investis. En mettant enrésonance le projet culturel des Zat ct le projet urbain pour Montpellier il l'horizon 2040 nous cherchons ilproblémariser la possible transformation concrète du milieu urbain par l'action artistique. En imaginant unealternative pour le futur nous cherchons à faire mieux avec moins pour favoriser les expressions de l'art et de laculture mais aussi à agir sur la qualité des espaces à vivre de la ville. Dans l'idée d'une écologie culturelle, la thèsevise un potentiel de requalification des espaces publics en mettant en évidence les leviers d'une diffusion plus largede la culture dans la ville. Nous menons une réflexion sur les supports de cette diffusion autour des espaces pour lesarts et la culture à l'intérieur du projet urbain, mais aussi à travers diverses temporalités, le durable, le temporaire etl'éphémère. Dans un territoire qui révèle de trop grandes disparités, la question de la diffusion culturelle dans unformat d'éducation populaire cherche à atteindre tous les publics. Les pratiques culturelles s'appuient alors sur unespace public média de sa propre constitution ct des spécificités locales mais aussi sur une action artistique qui agitcomme médiateur sur l'altérité des lieux. A la recherche de valeurs symboliques, dans un projet urbain spatial ctsocial, les dimensions éphémère et temporaire sont susceptibles de répondre d'une plus large diffusion culturellemais aussi d'une plus grande acceptabilité grâce à la mobilité et au nomadisme envisagés par les dispositifs. Laquestion du vivre-ensemble est alors entendue au travers des possibilités de communautés éphémères pourintensifier l'urbanité. L'action artistique doit être en mesure de proposer des dispositifs multi-sensoriels visant àinduire des pratiques dans l'espace public. Au travers d'un art de j'espace dans l'espace, avec des esthétiques quipeuvent être temporaires voire éphémères mais surtout qui induisent des pratiques sensibles, il s'agit de proposer descentralités temporaires ct mobiles au travers d'un espace public plus muable. / Seeking to cross urban and cultural projects our critical position highlights the key trends that articulatecultural and urban issues. Arts and culture serve the urban discourse more than they co-produce the city project.Today art in the city temtorializes itself in a space that becomes an event. We rely on the analysis of concretesituations, in which art inveslS the town and cultural practices migrate from dedicated places (museums, theaters) tothe public space. Our case study focuses on cultural practices in the public space as shown by the Temporary ArtisticZones (Zat) in Montpellier from 2010 to 2015. On the one hand, we observe the spatiality and materiality of ninedistricts Ï.nvested by these Zat; on the other hand, we qualify time, movement and action by analyzing how artisticthemes question the concrete city, urban imageabilily, or the practiced city. Finally wc watch the transformation ofthe public spaces investigated. By attuning the Zat cultural project to the urban project for MontpeUier in 2040, weseek to question a possible real transformation of urban environment through artistic action. By imagining analternative for the future we aim to do more witb less in order to encourage expressions of art and culture but also toact on the quality of the city's Uving spaces. Bearing in mind a cultural ecology, the thesis ai ms to the potentialredevelopment of public spaces by highlighting levers ofa wider dissemination of culture in the city. Wc conduct areflection on the supports of this dissemination around spaces for arts and culture within the urban project, but alsothrough various time frames, sustainable, temporary and ephemeral. ln a territory wbich reveals significantdisparities, the issue of cultural diffusion in a popular education format endeavors to reach ail audiences. Culturalpractices are then based on a media public space of its own constitution and local specificities but also on an artisticaction which acts as a mediator on the otherness of places. Searching for symbolical values in a spatial and socialurban project, the ephemeral and temporary dimensions are likely to ensure a wider cultural diffusion but alsogreater acceptability through the mobility and nomadism imagined through these devices. The question of livingtogether is then tacklcd through the possibilities of ephemeral communities aiming to intensify urbanity. Artisticaction must be able to offer multi-sensory devices capable of inducing practices in the public space. Through an artof space inside space, witb aesthetics that can be temporary or even ephemeral but above ail that induce sensitivepractices, it offers temporary and mobile centralities through a public space that is more mutable. ET
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La dynamique des rassemblements. Les agrégations juvéniles : un espace public de confrontationBoissonade, Jérôme 19 December 2003 (has links) (PDF)
Les évolutions urbaines contemporaines amenuisent le rôle du centre en le dissociant de la notion de rassemblement. Cette menace d'un centre vide interroge l'urbaniste pour qui l'espace n'existe que par sa fréquentation. En nous appuyant sur un travail de terrain à Bobigny. Créteil et Nanterre. Nous nous intéressons à la "ville comme rassemblement" (H. Lefiebvre). Puis à la "pratique des rassemblements'" (E. Goffman). Le travail ethnographique mené au sein de groupes de jeunes indique le caractère relatif et "situé" de l'urbanité des situations rencontrées. Face aux épreuves qu'ils ont à affronter lors de leurs mouvements quotidiens. Les jeunes mettent en place des modes d'appropriation. D'anticipation, de territorialisation et de passage qui sont autant de -cultures territoriales" négligées par les politiques urbaines. Suscitant à dessein une inquiétude légitime parmi les différents acteurs urbains. Les "pauses publiques" peuvent aider à la réalisation d'un espace public pratique.
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Ethnographie des relations de cohabitation dans un quartier du centre-ville de MarseilleBoucher Guèvremont, Sarah January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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