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La métallurgie du fer en France méditerranéenne de l'Antiquité au début du Moyen Âge : jalons d'une approche interdisciplinaire

Pagès, Gaspard 01 December 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat en archéologie propose un panorama sur la métallurgie du fer en France méditerranéenne de l'Antiquité au début du Moyen Âge. Pour se faire, elle se fonde sur une démarche archéologique dans laquelle est assimilée une approche archéométrique spécialement adaptée à l'analyse de la sidérurgie ancienne : la métallographie et la pétrographie.<br />Des inventaires bibliographiques précis sont dressés pour envisager le problème dans son ensemble et faire état des connaissances acquises par le passé, mais cette thèse s'ancre principalement sur les études inédites et détaillées de douze contextes métallurgiques dits témoins et significatifs de problématiques propres. Ces derniers sont documentés par l'ensemble des données archéologiques et, spécialement, sur la base d'une description rigoureuse des aménagements, du tri de près de vingt-huit mille pièces métallurgiques – objets et scories – et de l'analyse archéométrique de cent soixante-neuf d'entre elles.<br />Cette thèse est structurée autour des trois grandes activités qui se dégagent de la chaîne opératoire de la métallurgie du fer directe : la production du matériau fer – la réduction directe du minerai –, la fabrication des objets – leur forgeage – et le commerce du matériau fer sous une forme semi-finie – la circulation des demi-produits. Ainsi, à travers l'évolution de ces trois types d'activités économiques, il est possible de mettre en évidence les choix et les comportements qui ont été adoptés pour un même exercice des cadres antiques à l'orée de la réforme carolingienne pour, au final, contribuer à une meilleure connaissance de la société de l'époque romaine au début du Moyen Âge en Gaule du Sud.
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La Réforme de l'Etat et des entreprises au Vietnam : le cas des infrastructures de transport

Pham, Phi Long 07 March 2007 (has links) (PDF)
La réforme économique, menée depuis 1986, a montré la grande dynamique des acteurs vietnamiens dans de nombreux domaines économiques. Notre thèse suggère que d'autres ressources peuvent être mobilisées pour améliorer la qualité et l'efficacité des organisations au Vietnam. Elle s'intéresse donc avant tout aux transformations en cours.<br />Le terrain retenu pour nos analyses est celui de la réalisation des infrastructures de transport. Nos analyses révèlent l'incomplétude des règles et des mécanismes de coordination. Elles montrent aussi un manque de coopération et de coordination entre les acteurs-organisations et entre les individus-salariés des entreprises d'état de travaux publics du Vietnam. Dans ce contexte, nous mettons l'accent sur les facteurs organisationnels dans la réforme des administrations de l'Etat et des entreprises au d'état au Vietnam.
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Chocs de change, dynamique des prix et conduite de la politique monétaire. Le cas de la Tunisie dans le cadre de l'Accord d'Agadir

Ben Sliman, Lilia 24 June 2008 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de la relation entre le taux de change nominal et les prix dans le cadre de la conduite de la politique monétaire au sein des pays membres de l'Accord d'Agadir. Cette question est abordée sous différentes approches empiriques. La première consiste à étudier la contribution du taux de change nominal dans l'ajustement macroéconomique des effets des chocs sur la base du critère de la persistance de l'inflation avancé par Gerlach et Gerlach-Kristen (2006). La deuxième est fondée sur l'étude du «Pass-through» des mouvements du taux de change nominal aux prix des biens échangeables et non échangeables dans le but de déterminer le rôle du taux de change nominal en tant qu'outil d'absorption des effets inflationnistes des chocs. Cette approche suit le courant de pensée d'Edwards (2006). La troisième approche repose sur notre étude empirique moyennant l'estimation des modèles SVAR (auto-régressifs vectoriels structurels) contraints. Notre approche empirique permet non seulement de se prononcer sur la capacité du taux de change nominal d'agir en tant qu'instrument d'amortissement des effets des chocs sur les différentes variables de la politique monétaire, mais aussi d'évaluer la sensibilité de ces variables aux différents chocs structurels. Les différents outils d'absorption des effets des chocs sont également identifiés. Dans tous les cas, nous aboutissons à la même conclusion : en Tunisie, le taux change nominal ne joue pas le rôle d'un instrument d'absorption des effets des chocs, notamment sur les prix. En revanche, en Jordanie, le taux de change nominal est un outil d'ajustement des effets inflationnistes des chocs.
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Stratégies d'entreprises et nouvelles formes de rationalisation de la production dans le bâtiment au Brésil et en France

Cardoso, Francisco 29 January 1996 (has links) (PDF)
La recherche de l'efficacité de l'entreprise de construction, à partir des gains d'efficience, nous a conduit à étudier les nouvelles formes de rationalisation de la production dans le Bâtiment, en France et au Brésil. L'un des résultats de cette<br />recherche est également la construction d'une démarche permettant d'identifier et de caractériser les facteurs clés d'efficacité à partir desquels se joue la compétition dans les deux pays.<br />Le travail place au centre de la réflexion les stratégies d'entreprises, et plus particulièrement les stratégies concurrentielles, définies par PORTER.<br />Notre thèse centrale est que l'efficacité de l'entreprise de construction est fortement associée aux gains d'efficience obtenus selon une logique technico-économique. Des gains sont acquis en agissant sur des procès, entendus comme des<br />regroupements cohérents dans le temps des activités qui mènent à l'obtention d'une véritable valeur ajoutée au produit-bâtiment. Ces actions se matérialisent à travers des outils et des méthodes d'organisation et de gestion. Elles portent non seulement sur des aspects locaux, mais aussi transversaux, exigeant d'intervenir aussi bien au<br />sein de l'entreprise de construction elle-même, qu'au niveau des acteurs du secteur et de leurs relations.<br />Les nouveaux enjeux concurrentiels et de marché dans le Bâtiment / Logement constituent donc l'occasion de revenir sur la problématique de l'entreprise de construction face à l'efficacité. Les pays comme le Brésil, où l'efficacité commerciale<br />et l'efficience financière primaient traditionnellement sur l'efficience technique, n'échappent pas à cette règle.
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Les règles de fonctionnement du marché européen du carbone (2005-2007): le rôle du stockage et de l'emprunt de quotas, les fondamentaux du prix et les stratégies de gestion des risques

Chevallier, Julien 05 November 2008 (has links) (PDF)
L'objet de cette thèse est l'analyse des règles de fonctionnement du marché européen du carbone (EU ETS) sur la période 2005-2007. Nous menons une analyse théorique et empirique sur le rôle du stockage et de l'emprunt de quotas, les fondamentaux du prix et les stratégies de gestion des risques, en lien avec l'introduction de quotas échangeables pour couvrir les émissions de CO2 d'environ 10,600 installations en Europe.<br /><br />Un premier Chapitre détaille les effets économiques et environnementaux attendus des mécanismes de stockage et d'emprunt de quotas sur un marché de permis d'émissions négociables. Plus spécifiquement, vis-à-vis des provisions adoptées dans l'EU ETS, nous étudions les effets de la restriction du transfert de quotas stockés ou empruntés entre les Phases I et II sur les changements de prix du CO2. Nous montrons statistiquement que les bas niveaux de prix du CO2 enregistrés jusqu'à la fin de la Phase I sont expliqués par la restriction du transfert de quotas inter-périodes, au-delà des principales explications proposées par les observateurs de marché.<br /><br />Un deuxième Chapitre développe une étude originale des fondamentaux du prix du carbone, introduit depuis le 1er Janvier 2005 en Europe. Nous soulignons le role central joué par l'évènement annuel de conformité 2005 imposé par la Commission Européenne, qui sert de révélateur des positions nettes courtes/longues des installations en quotas par rapport à leurs émissions vérifiées. Le résultat principal de cette étude met en évidence le fait que les fondamentaux du prix du CO2 liés aux marchés des énergies et aux évènements climatiques non-anticipés varient en fonction des évènements institutionnels. Par ailleurs, nous montrons l'influence de la variation de la production industrielle dans trois secteurs couverts par l'EU ETS sur les changements de prix du CO2 en menant une analyse par décomposition, étendue par pays.<br /><br />Un troisième Chapitre s'intéresse aux stratégies de gestion des risques liés à la détention de quotas de CO2. Nous proposons une méthode utilisée sur les marchés d'action pour recouvrer les changements dans l'aversion au risque moyenne des investisseurs. Cette étude indique que, sur la période considérée, l'aversion au risque est plus élevée sur le marché du carbone que sur les marchés d'action, et que le risque est lié à une structure de prix strictements croissants après l'évènement de conformité 2006. En lien avec le Chapitre 1, nous évaluons enfin comment le stockage de quotas peut être utilisé comme un outil de gestion des risques, pour faire face à l'incertitude politique sur un marché de quotas. Nous détaillons une règle optimale de partage des risques, et discutons du principe de mutualisation du risque lié à l'échange de quotas quotas entre agents.<br /><br />Nos travaux témoignent des difficultés rencontrées suite à la création du marché européen du carbone pour atteindre un signal prix cohérent avec des réductions d'émissions effectives par les industriels. Cependant, dans un contexte institutionnel mouvant, ces inefficiences ne semblent pas avoir été reportées vers la période 2008-2012.
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« Les politiques publiques dans la création et le financement de Start-up en France, une évaluation du concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes »

Le Gloan, Caroline 19 December 2007 (has links) (PDF)
Cette recherche s'inscrit dans une démarche originale d'évaluation de politiques publiques en France à travers l'étude du concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes (crédit incitatif issu de la Loi sur l'Innovation du 12 Juillet 1999). <br />Son efficacité est évaluée sous l'angle de la qualité de son ciblage et de l'information qu'il procure aux autres agents (notamment les investisseurs) en s'appuyant sur le concept de quality certification (ou label public). <br />Le travail empirique se base sur le traitement statistique d'un échantillon de 500 entreprises créées sur la période 1999-2006, sur une étude de cas portant sur 11 entreprises issues du concours ayant réalisé une forte levée de fonds sur le marché du capital risque, et sur une enquête de satisfaction auprès d'une vingtaine d'investisseurs. <br />Les résultats mettent en valeur l'impact positif de ce financement public en termes de ciblage, de performance des bénéficiaires, d'effet de levier financier et d'efficience systémique. Mais la viabilité des entreprises créées reste incertaine et la quality certification est insuffisante auprès des différents partenaires financiers. Dans un contexte institutionnel encore peu favorable, la pluralité et la forte décentralisation de l'intervention publique est plus largement pointée tout comme les déterminants et barrières à la croissance et au financement des Jeunes Entreprises Innovantes. Des préconisations méthodologiques, pratiques et politiques sont enfin formulées.
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Hétérogénéité spatiale d'un service de réseau, équité et efficacité collective : la distribution rurale d'électricité et la maîtrise de la demande

Nadaud, Franck 18 November 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objet l'évolution de l'optimum économique sous contrainte d'équité territoriale de l'industrie électrique, industrie de réseau fixe présentant une hétérogénéité spatiale forte de ses conditions d'offre. Cette problématique porte sur l'analyse de l'évolution du régime de l'électrification rurale en France en termes d'efficacité économique et sociale. Il s'agit de prolonger une longue tradition de recherche du CIRED initiée au début des années 1980 par Louis Puiseux, dont les principaux développements ont été la thèse de Colombier (1992) puis l'évaluation des écarts entre coûts de développement des réseaux ruraux et tarifs par De Gouvello (1996). Ce programme de recherche met en lumière les contradictions entre équité redistributive et équité territoriale, c'est-à-dire entre les visions aspatiales de l'économie théorique (Ponsard, 1988) et les dynamiques territoriales de développement, notamment en mettant l'accent sur les médiations institutionnelles.<br>Notre question de départ porte donc sur la rationalité de l'élargissement de la démarche de l'optimisation sectorielle sous contrainte d'équité à la rationalisation des usages de l'électricité dans l'espace hétérogène de la fourniture d'électricité en zones rurales. La dérive des besoins de renforcement de réseaux ruraux a conduit ainsi à partir de 1995 le régulateur à encourager les collectivités qui sont les propriétaires et investisseurs en réseaux ruraux à rechercher des alternatives moins coûteuses du côté de la demande pour deux raisons économiques. D'abord les réseaux basse tension ruraux sont généralement très longs et comptent peu de clients desservis, par conséquent, l'optimisation des usages chez les clients peut s'avérer beaucoup moins coûteuse que le simple renforcement du réseau. Ensuite cette optimisation permet de rétablir l'équité de la qualité de fourniture entre les clients par le biais de la baisse des besoins d'investissement mais aussi par la réduction du temps d'attente pour les plus défavorisés, autrement dit, les clients situés sur les réseaux les plus coûteux à renforcer.<br>Cette question conduit à analyser d'abord historiquement les institutions de l'électrification rurale dans le contexte évolutif de consolidation de l'industrie électrique en régime de monopole public pour repérer les structures d'intérêts inhérentes à cette organisation qui conduisent à une inefficience sociale à la fois en termes d'efficacité économique et en termes d'équité. Ce qui mène à un double questionnement : <br>- comment compléter les institutions de l'électrification rurale pour modifier les incitations des propriétaires de réseaux ruraux à investir au-delà du compteur chez l'usager ?<br>- comment, dans une situation de forte hétérogénéité spatiale des fonctions locales d'offre et de demande d'électricité dans l'espace rural, repérer les points de réseaux en sous-optimalité économique ?<br>Dans un chapitre liminaire nous définirons précisément l'objet de la thèse à partir du repérage des difficultés d'application de l'innovation réglementaire que constitue la MDE dans la distribution d'électricité en zones rurales. Ce repérage s'effectue par l'analyse de l'organisation de la distribution rurale et de la place du régime d'électrification dont on peut déduire les intérêts des agents économique et des acteurs politiques qui constituent les barrières à cette innovation réglementaire.<br>Dans la première partie on caractérise dans le premier chapitre la trajectoire institutionnelle de l'électrification rurale à partir du projet initial de solidarité nationale sous l'effet de la dynamique des consommations rurales puis de la diffusion des usages thermiques de l'électricité sur les réseaux ruraux induit par des stratégies de développement commercial totalement extérieures au dispositif de solidarité nationale. L'introduction de la MDE s'inscrit dans une mouvement de correction et d'adaptation de ce régime.<br>Dans la seconde partie d'analyse économique normative, le constat précédent conduit à identifier les défauts d'incitation à la MDE qui sont sous-jacents aux institutions de l'électrification rurale et à la structuration de ses acteurs pour repérer comment contourner cet obstacle. Ce constat conduit aussi à imaginer une méthode de calcul économique permettant de prendre en compte les paramètres d'hétérogénéité spatiale de la demande et des coûts de réseau en développement pour répondre à l'évolution de la fonction de demande spatialisée.<br>Au premier niveau d'analyse, on procède dans le quatrième chapitre à une analyse microéconomique du comportement des différents types d'acteurs de l'électrification rurale en partant de leur fonction : régulateur, propriétaire-investisseur ou exploitant, du type de choix qui relève de leurs fonctions et de leurs contraintes pour analyser la structure d'incitations à l'investissement en réseau et à la MDE. On insiste plus particulièrement sur la nature d'acteur politique de l'agent investisseur que sont les collectivités locales, nature qui éloigne du comportement de l'agent économique rationnel. On examine en particulier la relation d'asymétrie d'information entre propriétaires-investisseurs et le régulateur qui répartit les aides à l'investissement. Cette asymétrie porte sur les coûts ex-ante et ex-post des projets. Dans la relation principal-agent, la structure informationnelle est compliquée dans le cas réel par l'imperfection même de l'information que détiennent les agents sur leurs projets. Ces défauts de la structure informationnelle expliquent la dérive du régime d'électrification rurale et les défauts d'allocation des ressources.<br>A ce même niveau d'analyse, on propose dans le cinquième chapitre des correctifs afin d'améliorer l'allocation des ressources du régime d'électrification rurale. On identifie des règles visant à inciter à la MDE les propriétaires investisseurs en recherche récurrente de subventions. Nous utilisons une méthode de calcul du surplus social des actions de MDE et d'identification de sa répartition en termes d'avantages-coûts entre les différents agents parties prenantes : les consommateurs, les propriétaires investisseurs et l'exploitant vendeur d'électricité (ici EDF). L'idée est de sortir du seul mode d'évaluation en cours qui ne regarde que l'avantage net pour les collectivités qui investissent alors que les autres agents bénéficient des actions de MDE. Ceci conduit à définir un mode de réallocation d'une partie des externalités positives des actions de MDE sur l'agent investisseur. On teste ainsi le principe de versements incitatifs à la MDE sous la forme de dotations supplémentaires sous réserve de certification des gains en investissement dégagés par les collectivités.<br>Au second niveau d'analyse normative, dans le sixième chapitre, on se confronte à l'obstacle de l'hétérogénéité des actions de MDE dans le but d'éviter le coût administratif très élevé d'une multitude d'actions dispersées spatialement pour définir une méthode d'évaluation des potentiels de MDE par repérage des configurations les plus intéressantes. Le fondement de cette approche propose de dépasser le caractère aspatial de l'analyse économique (Ponsard, 1986, 1988) par le biais d'une articulation entre deux catégories d'hétérogénéités spatiales : d'une part celle du réseau électrique (Juricic, 1975) et d'autre part celle des déterminants de la demande. Nous supposons que les lieux sont porteurs de sens sur le plan économique, au travers des caractéristiques du réseau et de la demande, ce qui nous conduit à construire un zonage géographique comme moyen de faire apparaître simultanément les attributs économiques pertinents associés aux lieux (Beguin et Thisse, 1979).<br>L'objectif de cette méthode est de permettre de concevoir des projets de MDE d'ampleur significative à l'échelle d'un département. Il s'agit donc d'une méthodologie de recherche des potentiels économiques de MDE qui repose sur une approche d'analyse statistique spatialisée dont le but est de produire un zonage de l'espace pertinent sur le plan des projets de MDE. Le zonage est ensuite mobilisé pour proposer des paniers d'actions et sélectionner des zones d'intervention de MDE dont le montant des économies d'investissement en renforcement de réseaux est calculé.
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Mésalignement et dynamique de convergence du taux de change réel en zone CFA

Yamb, Elie 11 December 2007 (has links) (PDF)
La thèse étudie et met en évidence les mésalignements (déviation du taux de change réel par rapport à sa valeur d'équilibre) du taux de change pour un certain nombre de pays des deux zones franc CFA, à savoir la Côte d'Ivoire et le Mali pour l'UEMOA, le Tchad, la République Centrafricaine et le Cameroun pour la CEMAC. En fait, il s'agit de savoir si l'organisation des unions monétaires en change fixe avec l'euro, avec leurs règles monétaires et les règles de convergence budgétaires adoptées ne conduisent pas à une surévaluation structurelle et chronique des taux de change réels des pays qui seraient préjudiciables à leur croissance ou plus généralement à leur développement ceci en dépit des gains de crédibilité obtenus en matière d'inflation et les avantages en terme de risque pays que procure des règles strictes, mais claires et constantes au cours du temps. Cela dit le taux de change réel d'équilibre de long terme est apprécié dans la thèse en fonction des termes de l'échange, de la part des biens non échangeables et échangeables internationalement, de la balance courante, de la demande intérieure, des droits et taxes sur les importations et exportations, du degré d'ouverture et des dépenses publiques. Nous en arrivons à la conclusion selon laquelle les taux de change réels ont été en général surévalués (en moyenne sur la période 1965-2003) quoique de manière diverse selon les pays, ce qui justifie après coup la dévaluation de 1994, les mésalignements ne se résorbant pas plus vite dans les « petits pays » que dans les « grands ». Un développement en quatre parties est proposé : la première décrit l'évolution des économies des zones franc selon le régime de change (dévaluation de 1994, passage à l'euro en 1999), la situation de la dette (crise de la dette et politiques d'ajustement structurelles entre 1986 et 1994), la spécialisation du commerce extérieur et le taux de croissance du PIB. Le problème récurrent du déficit extérieur et les taux de croissance faibles sont également mis en exergue. La seconde partie passe en revue les théories du taux de change réel d'équilibre et se termine par une évaluation très précise et originale des taux de change réels. La troisième partie étudie et discute une spécification d'une forme réduite de taux de change réel d'équilibre dans l'esprit de la théorie d'Edwards et développe les modèles VAR et VAR à correction d'erreur qui permettent de penser l'évolution du taux de change vers sa valeur de long terme considérée comme une fonction des fondamentaux décrite par une relation de cointégration. La quatrième partie enfin présente les estimations complètes pour les cinq pays étudiés, les discutent et les utilisent pour produire les conclusions rappelées au début de ce résumé.
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Evaluation des politiques de transport et préférences individuelles

Faivre D'Arcier, Bruno 02 February 1998 (has links) (PDF)
L'interaction entre transport et urbanisme est au cœur d'une réflexion s'appuyant sur une double approche spatiale et temporelle de l'observation. Aussi les approches théoriques ne peuvent elles que se segmenter afin de mieux se focaliser sur des relations de cause à effet potentielles facilement isolables et interprétables. Pour mon compte, les travaux entrepris depuis la thèse se sont ainsi orientés prioritairement dans deux directions complémentaires.<br />La première est celle de l'évaluation, vue comme la production d'un jugement de valeur destiné à éclairer les acteurs de la décision, au travers d'indicateurs représentatifs des effets nés de l'action publique sur le système de transport urbain. Depuis quelques années, la réflexion théorique et l'effort méthodologique se sont amplifiés dans le domaine de l'évaluation ex post des politiques publiques. A l'inverse, le domaine des transport urbains a plutôt connu une régression jusqu'au début des années 90, et n'opère que depuis peu une véritable introspection, rendue nécessaire à la fois par les contraintes financières et par une meilleure perception des fortes incidences négatives de l'automobile sur la vie urbaine. Une redéfinition des procédures d'évaluation, a priori comme a posteriori, est en cours, afin d'adapter les méthodes aux nouvelles orientations des politiques de déplacements urbains. Le recours à l'Analyse Coûts/Avantages pour l'évaluation des investissements se fait dans un contexte différent, que je présenterai dans la première partie de ce rapport, en montrant en quoi cette méthode peut constituer un outil de dialogue, dès lors qu'elle est conçue comme le moyen de simuler les transformations d'état d'un système de transport.<br />La seconde découle pour partie des nécessités de l'évaluation. Elle porte sur l'évolution des préférences des individus, sur la compréhension de leurs comportements et de leurs attentes, afin d'apprécier leurs réactions aux transformations du système de transport. Cette seconde orientation revêt un caractère principalement méthodologique, dans la mesure où l'accent est mis sur l'observation des réactions comportementales à des innovations, qu'elles soient organisationnelles ou technologiques. Les méthodes usuelles d'enquêtes (préférences révélées, préférences déclarées) sont en effet développées pour répondre à deux questions principales : mesurer la mobilité individuelle pour connaître la nature de la demande de transport (et ainsi la modéliser), et quantifier les préférences individuelles, en tant que facteurs explicatifs des choix de transport. Ces méthodes se révèlent souvent inadaptées à l'observation des mutations comportementales générées par des changements de valeurs. Mes travaux portent sur la conception des enquêtes d'Adaptation Déclarées, fondées sur le recours à des jeux de simulation destinés à faire exprimer aux individus leurs attitudes et leurs comportements, face à des transformations structurelles des systèmes de transport.<br />Le présent rapport fait la synthèse des avancées obtenues dans les recherches que j'ai entreprises sur ces deux questions, Il insiste en conclusion sur l'intérêt de les étudier de front, dans un contexte économique, social et institutionnel de plus en plus mouvant, qui laisse présager de profonds bouleversements des politiques de déplacements à l'aube du 21° siècle, et incite à une approche renouvelée de l'évaluation des stratégies de transport dans un contexte de plus en plus incertain.
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Les Bouthillier, de l'avocat au surintendant (ca 1540-1652). Histoire d'une ascension sociale et formation d'une fortune

Le Guillou, Yves 17 March 1997 (has links) (PDF)
A part les quelques pages écrites, dans les années soixante, par Orest Ranum sur Claude et Léon Bouthillier et leur activité de secrétaires d'Etat des Affaires étrangères entre 1635 et 1642, la famille Bouthillier n'avait jamais fait l'objet d'aucune étude. Pourtant, du surintendant des finances Claude Bouthillier à l'abbé de Rancé, Armand-Jean Bouthillier, du secrétaire d'Etat Léon Bouthillier, mieux connu sous le nom de Chavigny, à Marie Bouthillier, femme du maréchal-duc de Choiseul, cette famille compte des personnages éminents.<br />L'obscurité de ses origines n'en rendait l'étude que plus attrayante. Rien, ou peu de choses, sur l'avocat Denis Bouthillier, père de Claude. Pas davantage sur les avocats à cette époque.<br />L'accent a été mis sur l'étude du mouvement qui a porté Denis et Claude Bouthillier, dans leur carrière et dans la formation de leur fortune. Cela a permis, entre autres choses, de se pencher sur la vie d'un avocat à la fin du XVIe siècle et au début du XVIIe siècle, mais également de suivre pas à pas la formation de la fortune d'un surintendant des finances.

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