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Revitalisation de langues postvernaculaires : le francoprovençal en Rhône-Alpes et le rama au Nicaragua / Postvernacular languages revitalization : case of francoprovençal in Rhône-Alpes and rama in Nicaragua

Pivot, Benedicte 28 March 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat vise, par une approche sociolinguistique critique des discours et des pratiques sociales, à proposer une analyse du phénomène social de la revitalisation de deux langues en danger : le rama au Nicaragua et le francoprovençal en région Rhône-Alpes, France sous l’angle de leur postvernacularité. Ce travail de recherche adopte dans un premier temps un cadre de réflexion sur ce qu’est le phénomène de la revitalisation avec la perspective de fournir aux acteurs de la revitalisation des outils pour comprendre les situations dans lesquelles ils sont impliqués .Ce positionnement considère également que la revitalisation n’est pas seulement l’expression de revendications linguistiques mais est un phénomène social plus ample d’expression conscientisée ou non d’autres revendications, essentiellement sociales, autour d’enjeux d’identité collective, de place dans la hiérarchie sociale, de rôle dans l’économie, de pouvoir Ce travail questionne le nouveau rôle social de ces langues postvernaculaires et analyse comment celui-ci se construit dans un discours de sauvegarde et de valorisation de la diversité patrimoniale et universelle.Ce que montre cette thèse, c’est que non seulement la revitalisation linguistique n’est pas simplement (ou pas prioritairement) une affaire de langue mais que, même privée de fonctions communicatives, la langue peut être investie de sens, de sens nouveaux, et de sens concurrents. Elle peut tout autant faire l’objet de discours d’autorité, dans des sociétés qui sont aux marges de la production culturelle dominante. Ce constat nous amène, à partir de deux contextes que tout oppose apparemment mais qui présentent en fait certaines similarités, à nous questionner sur la fonction du langage dans une ère souvent décrite comme un moment d’homogénéisation et de perte de diversité culturelle. / This thesis is a critical sociolinguistic analysis of discourses and social practices, and provides an analysis of social processes of revitalization in the case of two endangered languages: Rama in Nicaragua and Francoprovençal in the Rhône-Alpes region of France. It looks particularly at their postvernacular status.This research first proposes a framework for conceptualizing revitalization with the aim of providing social actors with analytical tools to understand the situations in which they are involved. This initial stage also posits that revitalization is not only the expression of linguistic demands but rather it represents the expression, through language, of other, possibly wider, social issues. By arguing that revernacularization is not the main aim of the language movements under scrutiny, this work questions their renewed social role as post-vernacular languages, and looks at how they are framed in terms of a discourse of heritage and valorization of diversity, therefore promoting not only the local but universal values.This thesos shows therefore that language revitalization is not simply (or not primarily) a matter of language. Even deprived of communicative functions, language may be invested with meaning, new meanings, and competing ones too. It can equally be subject to authoritative discourse, in societies that lie on the margins of the dominant cultural centers. Thus, starting with two apparently very dissimilar contexts, we bring out the similarities and question the ways in which language is appropriated, contested and negotiated as a potential resource at a time of alleged homogenization.
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Dictionnaire de l’ancien francoprovençal : conception d’un projet lexicographique et réalisation sectorielle / Old Francoprovençal dictionary : conception of a lexicographic project and partial realisation

Berchtold, Elisabeth 19 December 2018 (has links)
L'objectif de cette thèse est de combler des lacunes scientifiques dans la connaissance de l’histoire du francoprovençal et de son lexique. En effet, à l'heure actuelle aucun travail de synthèse ne regroupe les matériaux anciens du francoprovençal et dans le Französisches Etymologisches Wörterbuch (FEW), qui pourrait remplir cette fonction, les états anciens du francoprovençal sont sous-représentés en raison de l'absence d'un tel travail. La conséquence est un grand déséquilibre avec la connaissance que nous avons de l'ancien français et occitan qui sont les langues romanes anciennes les mieux décrites. Les sources en francoprovençal sont relativement peu nombreuses parce que cette langue a été de tout temps confiné à un usage essentiellement oral. La littérature ancienne se borne à quelques textes d'édification et un traité juridique, surtout des traductions. À partir du XVIième siècle se développe une littérature en patois le plus souvent fortement ancrée localement. Les auteurs qui voulaient toucher un publique plus large ont très tôt opté pour le français. Les sources documentaires sont plus nombreuses, mais très inégalement réparties dans l'espace. Les sources issues de la partie française du domaine ont pour la plupart été éditées, mais beaucoup d'entre elles sont difficilement exploitables en l'absence de glossaires. La situation est plus favorable en Suisse romande où le Glossaire des patois de la Suisse romande (Gl.) documente non seulement les dialectes modernes, mais aussi leurs états anciens. Pour cette raison nous nous sommes concentrée sur la partie française du domaine et nous nous sommes basée sur le Gl. pour la partie suisse. En collaboration avec une autre doctorante, Laure Grüner, nous avons rassemblé les sources intéressantes pour l'étude de l'ancien francoprovençal de France et nous avons procédé à des dépouillements étendus. Sur cette base, nous avons élaboré un modèle de description lexicographique adapté à l’ancien francoprovençal et nous avons rédigé la tranche f de ce Dictionnaire de l'ancien francoprovençal, qui représente environ un vingtième du dictionnaire complet, afin de prouver la faisabilité du projet et d'évaluer son apport à la connaissance de l’ancien francoprovençal. Plus de la moitié de nos articles documentent des unités lexicales qui n'étaient pas encore attestées en ancien francoprovençal de France dans le FEW et dans une bonne partie des autres cas nous pouvons compléter les matériaux. Sur la base des 386 articles rédigés, nous évaluons la nomenclature complète du dictionnaires à 7’500 articles et le temps de rédaction à une bonne douzaine d'années de travail d'une personne à temps plein. Nous avons aussi envisagé plusieurs possibilités pour obtenir des résultats tangibles dans des délais plus courts / The aim of this thesis is to fill in the scientific gaps concerning the knowledge of the history of Francoprovençal and its vocabulary. Currently, there is no synthesis of the available documentation of Old Francoprovençal. In the Französisches Etymologisches Wörterbuch (FEW), that could fulfil this function, the older states of Francoprovençal are underrepresented because of the lack of this kind of work. The consequence is a huge imbalance with the knowledge we have for instance of Old French and Occitan which are the best known Romance languages of the past.There are few sources in Francoprovençal because this language has always been mostly oral. The oldest literature consists of a few religious texts and a legal treaty. Most of them are translations. From the 16th century onward, a locally based literature emerges generally with modest ambitions. Authors wanting to reach a larger audience chose French at a very early stage. The documentary sources are more numerous but very unevenly spread. Most sources from the French part are edited, but many of them lack a glossary and are difficult to handle. The situation is better in Switzerland, where the Glossaire des patois de la Suisse romande (Gl.) provides documentation not only regarding the modern dialects but also their older stages. For this reason, we concentrated our work on the French part and relied on the Gl. for the Swiss part. Together with an other PhD student, Laure Grüner, we gathered the sources and extracted the interesting lexical forms.Based on this documentation, we elaborated a lexicographical description template suitable for Old Francoprovençal. We wrote the articles of this Dictionnaire de l'ancien francoprovençal beginning with the letter f which represents about one twentieth of the whole dictionary. Not only did this provide a proof of its feasibility, but it also assessed its contribution to the knowledge on Old Francoprovençal. More than a half of the articles gather evidence for lexical units not yet documented in this language regarding the French part of the linguistic area, whereas for most of the others we could complete the existing documentation. Based on the 386 articles written, we estimate the complete nomenclature at approximately 7’500 articles and the time needed to write them at about twelve years. We also considered various possibilities to get tangible outcomes in a shorter amount of time
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Trans-border communities in Europe and the emergence of “new” languages : From “Francoprovençal patois” to “Arpitan” and “Arpitania” / Communautés transfrontalières et émergence de "nouvelles" langues : des patois francoprovençaux à l'arpitan et à l'Arpitania

Bichurina, Natalia 02 September 2016 (has links)
La thèse porte sur les processus d’émergence de nouvelles langues et des communautés transfrontalières proto-nationales fondées sur ces langues dans l’Europe occidentale d’aujourd’hui. L’analyse se centre sur le francoprovençal (ou arpitan), parlé entre la France, l’Italie et la Suisse : dans « l’espace autour du Mont Blanc », ainsi que l’identifient ses locuteurs eux-mêmes. Epistémologiquement, il s’agit de la dernière-née des langues gallo-romanes, qui vient s’ajouter à l’opposition traditionnelle langue d’oc vs. langue d’oïl, et qui est en train d’être reconnue comme langue à part entière dans les législations régionales, nationales et européenne. Conçue au croisement de la4sociolinguistique et l’anthropologie, la thèse privilégie les approches de l’analyse critique du discours et celles des études sur le nationalisme. La méthode ethnographique de l’observation participante (le vécu dans les trois pays de la zone francoprovençale) a été complétée par 60 entretiens approfondis d’une durée de 1-3h et un corpus des textes écrits (manifestes, blogs etc.) L’étude met en évidence un fossé entre les pratiques communicatives quotidiennes, avec les sens sociaux qui leur sont attribués, et l’idéologie linguistique et politique. / The thesis examines the current phenomena of the emergence of “new” languages and trans-border proto-national communities in Europe. It is demonstrated how a set of idioms on the borderland between France, Italy and Switzerland, which had been considered as patois, became recognised as a unique “language”: the Francoprovençal language, and the trans-border linguistic space became identified as Arpitania. Conceived as cross-disciplinary, the study combines methods of anthropology and sociolinguistics, drawing more particularly on critical discourse analysis and studies on nationalism. The findings are based on extensive fieldwork in which priority was given to the ethnographic method of participant observation (five months-stay in the Francoprovençal-speaking areas of France, 10 months in those in both Switzerland and Italy). The observation was combined with in-depth sociolinguistic interviews (60 interviews of 1-3 hours in length). Besides, the study includes analysis of written discourse: scientific and journalistic printed sources, manifestos, internet blogs, etc.
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Problèmes et méthodes en toponymie française : essais de linguistique historique sur les noms de lieux du Roannais / Problems and Methods in French Toponymy? : an Essay of Historical Linguistics Applied on Place Names of the Roannais

Gouvert, Xavier 04 October 2008 (has links)
Le présent travail vise à dresser un bilan critique des travaux de toponymie française et à formuler les principes d’une science des noms de lieux rigoureuse, exigeante et ouverte à la linguistique sous tous ses aspects. La première partie aborde, sous la forme d’une réflexion épistémologique et rétrospective, la place de la toponymie dans l’histoire de la linguistique en France, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. La deuxième est consacrée aux problèmes théoriques de la toponymie, et notamment à une (re)définition du « signe toponymique » : nous soutenons la thèse selon laquelle le nom propre est par essence un signe linguistique « préactualisé », c’est-à-dire actualisé en langue et non en parole. Dans ce cadre, nous redéfinissons la notion même de « lieu » comme une catégorie foncièrement linguistique, i.e. arbitraire, relative et oppositive. Dans une troisième partie, nous entreprenons de définir les buts et les techniques de la toponymie, d’un point de vue pratique et concret. À nos yeux, la toponymie ne saurait emprunter ses méthodes qu’à la linguistique historique, dont elle est une sous-discipline. Afin de mettre en pratique les conceptions et les méthodes élaborées dans les trois premières sections de notre travail, la quatrième partie prend la forme d’un dictionnaire raisonné des noms de lieux de l’ancienne province du Roannais (nord-ouest du département de la Loire). Chaque section du répertoire (fonds français, fonds dialectal, fonds protoroman et fonds gaulois/prélatin) est précédée d’un chapitre introductif où nous livrons une analyse méthodique des problèmes majeurs que pose la strate linguistique considérée. La cinquième et dernière partie se propose d’illustrer, sur la base de trois études de cas approfondies, ce qu’une toponymie plus « contrainte » peut apporter aux autres sous-disciplines de la linguistique, ainsi qu’aux sciences connexes : phonétique géohistorique ; histoire des institutions ; histoire du peuplement. / Le présent travail vise à dresser un bilan critique des travaux de toponymie française et à formuler les principes d’une science des noms de lieux rigoureuse, exigeante et ouverte à la linguistique sous tous ses aspects. La première partie aborde, sous la forme d’une réflexion épistémologique et rétrospective, la place de la toponymie dans l’histoire de la linguistique en France, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. La deuxième est consacrée aux problèmes théoriques de la toponymie, et notamment à une (re)définition du « signe toponymique » : nous soutenons la thèse selon laquelle le nom propre est par essence un signe linguistique « préactualisé », c’est-à-dire actualisé en langue et non en parole. Dans ce cadre, nous redéfinissons la notion même de « lieu » comme une catégorie foncièrement linguistique, i.e. arbitraire, relative et oppositive. Dans une troisième partie, nous entreprenons de définir les buts et les techniques de la toponymie, d’un point de vue pratique et concret. À nos yeux, la toponymie ne saurait emprunter ses méthodes qu’à la linguistique historique, dont elle est une sous-discipline. Afin de mettre en pratique les conceptions et les méthodes élaborées dans les trois premières sections de notre travail, la quatrième partie prend la forme d’un dictionnaire raisonné des noms de lieux de l’ancienne province du Roannais (nord-ouest du département de la Loire). Chaque section du répertoire (fonds français, fonds dialectal, fonds protoroman et fonds gaulois/prélatin) est précédée d’un chapitre introductif où nous livrons une analyse méthodique des problèmes majeurs que pose la strate linguistique considérée. La cinquième et dernière partie se propose d’illustrer, sur la base de trois études de cas approfondies, ce qu’une toponymie plus « contrainte » peut apporter aux autres sous-disciplines de la linguistique, ainsi qu’aux sciences connexes : phonétique géohistorique ; histoire des institutions ; histoire du peuplement.
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Problèmes et méthodes en toponymie française : essais de linguistique historique sur les noms de lieux du Roannais / Problems and Methods in French Toponymy? : an Essay of Historical Linguistics Applied on Place Names of the Roannais

Gouvert, Xavier 04 October 2008 (has links)
Le présent travail vise à dresser un bilan critique des travaux de toponymie française et à formuler les principes d’une science des noms de lieux rigoureuse, exigeante et ouverte à la linguistique sous tous ses aspects. La première partie aborde, sous la forme d’une réflexion épistémologique et rétrospective, la place de la toponymie dans l’histoire de la linguistique en France, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. La deuxième est consacrée aux problèmes théoriques de la toponymie, et notamment à une (re)définition du « signe toponymique » : nous soutenons la thèse selon laquelle le nom propre est par essence un signe linguistique « préactualisé », c’est-à-dire actualisé en langue et non en parole. Dans ce cadre, nous redéfinissons la notion même de « lieu » comme une catégorie foncièrement linguistique, i.e. arbitraire, relative et oppositive. Dans une troisième partie, nous entreprenons de définir les buts et les techniques de la toponymie, d’un point de vue pratique et concret. À nos yeux, la toponymie ne saurait emprunter ses méthodes qu’à la linguistique historique, dont elle est une sous-discipline. Afin de mettre en pratique les conceptions et les méthodes élaborées dans les trois premières sections de notre travail, la quatrième partie prend la forme d’un dictionnaire raisonné des noms de lieux de l’ancienne province du Roannais (nord-ouest du département de la Loire). Chaque section du répertoire (fonds français, fonds dialectal, fonds protoroman et fonds gaulois/prélatin) est précédée d’un chapitre introductif où nous livrons une analyse méthodique des problèmes majeurs que pose la strate linguistique considérée. La cinquième et dernière partie se propose d’illustrer, sur la base de trois études de cas approfondies, ce qu’une toponymie plus « contrainte » peut apporter aux autres sous-disciplines de la linguistique, ainsi qu’aux sciences connexes : phonétique géohistorique ; histoire des institutions ; histoire du peuplement. / Le présent travail vise à dresser un bilan critique des travaux de toponymie française et à formuler les principes d’une science des noms de lieux rigoureuse, exigeante et ouverte à la linguistique sous tous ses aspects. La première partie aborde, sous la forme d’une réflexion épistémologique et rétrospective, la place de la toponymie dans l’histoire de la linguistique en France, depuis le XVIIe siècle jusqu’à nos jours. La deuxième est consacrée aux problèmes théoriques de la toponymie, et notamment à une (re)définition du « signe toponymique » : nous soutenons la thèse selon laquelle le nom propre est par essence un signe linguistique « préactualisé », c’est-à-dire actualisé en langue et non en parole. Dans ce cadre, nous redéfinissons la notion même de « lieu » comme une catégorie foncièrement linguistique, i.e. arbitraire, relative et oppositive. Dans une troisième partie, nous entreprenons de définir les buts et les techniques de la toponymie, d’un point de vue pratique et concret. À nos yeux, la toponymie ne saurait emprunter ses méthodes qu’à la linguistique historique, dont elle est une sous-discipline. Afin de mettre en pratique les conceptions et les méthodes élaborées dans les trois premières sections de notre travail, la quatrième partie prend la forme d’un dictionnaire raisonné des noms de lieux de l’ancienne province du Roannais (nord-ouest du département de la Loire). Chaque section du répertoire (fonds français, fonds dialectal, fonds protoroman et fonds gaulois/prélatin) est précédée d’un chapitre introductif où nous livrons une analyse méthodique des problèmes majeurs que pose la strate linguistique considérée. La cinquième et dernière partie se propose d’illustrer, sur la base de trois études de cas approfondies, ce qu’une toponymie plus « contrainte » peut apporter aux autres sous-disciplines de la linguistique, ainsi qu’aux sciences connexes : phonétique géohistorique ; histoire des institutions ; histoire du peuplement.

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