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Resistance and political change in southwest France : a case study of Vienne, Charente, Haute Vienne and DordogneMeaney, Mary C. January 1996 (has links)
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Le PCF et les usages du passé résistant (1944-1974) / The FCP and the political usages of the past (1944-1974)Campo, Silvina 03 December 2014 (has links)
Les usages politiques du passé de la Résistance sont au cœur de cette thèse. Cette recherche n’entend donc pas se centrer sur la Résistance au sens strict, mais sur les formes d’instrumentalisation de ce passé, au sein d’un groupe : le Parti Communiste Français. Parmi les passés choisis par le PCF, la Résistance occupe une place déterminante, en raison du réel engagement communiste dans l’armée des ombres, ainsi qu’en raison du brevet de patriotisme qu’elle offrait à une formation créditée d’une fidélité aveugle à Moscou. La participation des communistes à l’épopée résistante leur a permis de reconquérir de la crédibilité et de consolider leur position dans un espace public où ils risquaient d’être disqualifiés en raison des positions adoptées par le parti en 1939-1941. La pluralité des significations attachées à ce passé et la fluidité des interprétations attribuées ont permis l’adaptation à la réalité dans laquelle agissaient les communistes. Ainsi, il a été possible de répondre aux objectifs divers que s’assignait le PCF. La période étudiée s’ouvre en 1944, avec la libération d’une grande partie du territoire français, même si la guerre n’est alors pas finie. L’étude s’achève avec l’année 1974, date significative que signale le XXXème anniversaire de la Libération dans le contexte national de la fin des Trente Glorieuses. / The political exploitation of its involvement in the resistance movement is the subject of this thesis. The objective of this study is not the Resistance per se but how it was used for political purposes by the French Communist Party. The Resistance is an essential period for the FCP not only because of its real involvement in the Resistance movement but also because this involvement was used to hide its blind alliance to Moscow. The involvement of the FCP in the Resistance allowed it to regain credibility and to strengthen its position in despite the errors committed between 1939 and 1941. The multiple interpretations and exploitations of its involvement in the Resistance were adapted by the party according to its political objectives and needs in any given moment. The historical period of this research begin in 1944 with the Liberation and ends in 1974, the 30th Anniversary of this date.
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Un intellectuel communiste illégitime : Roger Garaudy / An illegitimate communist intellectual : Roger GaraudyGauvin, Didier 05 April 2018 (has links)
Après avoir atteint l'excellence en tant qu'intellectuel de parti stalinien pendant la Guerre froide, Roger Garaudy s'est construit comme intellectuel "véritable" contre la doxa du PCF qu'il était pourtant chargé d'incarner, à la faveur de son autonomisation suite au choc du XX° Congrès du PCUS périmant sa foi en Staline. C'est ainsi que la résurgence progressive de son habitus théologico-philosophique a fait de lui l'homme du dialogue par excellence adapté à la démarginalisation du PCF dans le champ intellectuel des années 1960. Mais si son engagement sur la tagente hérétique a fait de lui l'un des intellectuels communistes poussant le plus loin le projet de rénovation du PC en offrant une véritable stratégie alternative à celle du Parti après 1968, l'exclusion qui s'en est suivie s'est traduite par un retour du refoulé religieux qui, couplé à la posture prophétique d'un intellectuel désormais excentré dans le champ intellectuel français, a largement contribué à la délégitimation de l'ancien philosophe du PC avant même sa radicalisation ultime qui a achevé de le disqualifier suite à sa condamnation pour négationnisme. / After he reached excellence as a stalinist party intellectual during the Cold War, Roger Garaudy built himself as a real intellectual against the doxa that he was yet supposed to embody, following his emporwement after the shock of the 20th Congress of the CPSU which made his faith in Stalin obsolete. That is how the progressive resurgence of his theologico-philosophical habitus allowed him to become by excellence the "man of dialogue" within the French Communist Party, the most adjusted intellectual to the demarginalization of the FCP in the french intellectual field of the 1960s. But if his undertaking to the heretic tangent made him the communist theoretician who went the furthest on the way towards destalinization by offering a real alternative strategy to the Party's after 1968, his ensuing exclusion manifested thereafter as a backlash of the religiously repressed which, together with the prophetic posture of an intellectual henceforth unwarranted in the french intellectual field, largely explains the delegitimation of the former leading communist philosopher, even before his ultimate radicalization which completed his disqualification after he was condemned by french justice for negationism.
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Se confronter à "l'Europe" : prises de position et recompositions du PCF / Face "Europe" : positions and recompositions of the French Communist Party (PCF)Azam, Nicolas 07 December 2015 (has links)
Cette thèse est une étude de la production des prises de position partisanes sur l'intégration européenne. Elle entend rompre avec la logique classificatoire privilégiée dans les travaux sur « l'euroscepticisme ». Pour ce faire, elle adopte une approche relationnelle de la compétition politique attentive aux contextes international, interpartisan et intrapartisan. A partir de ce cas particulier qu'est le Parti communiste français, il s'agit de restituer l'émergence progressive d'une catégorie « Europe » associée à la construction européenne, et la manière avec laquelle le problème communautaire et les enjeux afférents ont été construits, les grilles de lecture à travers lesquels ils ont été interprétés. Ainsi, elle interroge à nouveaux frais les changements occasionnés par l'intégration européenne sur les espaces nationaux en montrant des dynamiques de spécialisation et l'éclosion d'un personnel politique spécifiquement en charge de ces questions au sein d'un parti politique pourtant souvent classé parmi les partis hostiles ou critiques envers le processus d'intégration européenne. Par ce biais, elle met aussi en évidence les recompositions plus générales dont ce parti politique est l'objet. / This thesis is a study of the production of party positions about the European integration. It stands out from the classificatory approach of the research on « euroscepticism». It takes a relational approach of the political competition which takes account of the international context, external and internal party politics. By examining a specific case, the French Communist Party, it observes the progressive emergence of a category « Europe » which ties into the building of Europe, and the modalities of the construction of a EC/EU problem and political issues. It revisits the question of the changes caused by the European integration on the national spaces. It highlights process of specialization and the advent of a political staff in charge of these questions within a political party which is frequently classified as hostile towards European integration process. It brings to light the large recompositions affecting this political party.
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Contribution à l'étude du processus décisionnel au PCF : les notes de bureau politique de Maurice Thorez (1947-1964) / Contribution to the study of the decision-making process in the french communist party : Maurice Thorez's notes of Politburo (1947-1964)Regnaud, Mathilde 30 November 2013 (has links)
Entre 1947 et 1964, Maurice Thorez, secrétaire général du Parti communiste français, assiste à 381 réunions du Bureau politique et prend des notes pendant la plupart d'entre elles. Présentant une édition critique des notes de cinq années cruciales pour le PCF, ce travail définit le rôle du Bureau politique comme groupe dirigeant dans le processus décisionnel au sein du parti communiste français. Il s'est agi de montrer comment, en s'appuyant sur les notes de Maurice Thorez et en les mettant en relation avec les autres sources disponibles, le Bureau politique joue le rôle de médiateur à la direction du PCF. Composé de dirigeants sélectionnés selon des critères précis spécifiques à une organisation communiste, loyaux envers l'URSS et leur secrétaire général, il se réunit au moins une fois chaque semaine pour traiter principalement de l'actualité politique, intérieure comme extérieure, mais aussi du mouvement communiste international, ainsi que des sujets de prédilection du parti communiste: mouvement de la paix, luttes syndicales et catégories sociales par exemple. Même si, souvent, la ligne est tracée par l'URSS, Maurice Thorez se charge de l'adapter au cadre national et il a besoin, pour ce faire, du Bureau politique. Celui-ci nourrit et enrichit sa réflexion, lui sert de vecteur de transmission. Il est une interface indispensable entre le secrétaire général, relais du mouvement communiste international, et la base militante communiste représentée par le Comité central. / Between 1947 and 1964, Maurice Thorez, general secretary of the French Communist Party (PCF), attended 381 meetings of the Politburo and took notes during most of them. This work reports commented notes of five crucial years for the PCF and defines the role of the Politburo as the directing organ in the decision-making process of the PCF. Relying on Maurice Thorez' notes and relating them to other available sources, the purpose was to demonstrate how the Politburo played a mediation role at the direction of the party. Composed of leaders selected on precise criteria, specific to communist organizations, faithful to the USSR and to their general secretary, the Politburo used to meet at least once a week for talking mainly about the political context - national and international, but also for discussing the international communist movement and brother parties, as well as favourite subjects of the communist party, i.e. the movement for peace, union struggles or social classes for instance. Even if the guidelines were often drawn by the USSR, Maurice Thorez used 10 adapt them to the French context, with the help of the Politburo. The latter fed and enriched the general secretary's thoughts and acted as a transmission vehicle. It was an essential intermediary between the general secretary, representing the international communist movement, and the grassroots represented by the Central Committee.
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Vztahy Polské sjednocené dělnické strany a Francouzské komunistické strany v roce 1956 / The Relations between the Polish United Workers' Party and the French Communist Party in 1956Kůželová, Michaela January 2011 (has links)
The master thesis -The Relations between the Polish United Workers' Party and the French Communist Party in 1956‖ deals with the relations between the Central European Polish United Workers' Party (PZPR) and the West European French Communist Party (PCF) in the crisis year of 1956. Analysing their mutual relations in 1956 is not only interesting from the point of view of East- West connections, but chiefly of the different approaches to Khrushchev's policy of destalinisation. Whereas the PCF was more or less under the Stalinist Maurice Thorez's control, which prevented Khrushchev's French supporters from influencing their party's politics, in case of the PZPR, the death of Bolesław Bierut in March 1956 made room for larger variety of opinions within the party. This master thesis describes not only the situation of both parties in 1956. It also analyses the images that the parties made about each other and the ways in which these images were spread and how they influenced the relations between them. The striking difference laid in the approach to the destalinisation. The parties perceived differently Khrushchev's -secret speech‖. The PCF leadership firstly denied its existence and later on claimed they did not know about it. The PZPR leadership decided to distribute the copies of the secret speech...
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Contemporary Perspectives on the French Communist Party: A Dying Ideology?Hughes, Hannah Cole 14 May 2013 (has links)
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La petite bibliothèque rouge : portrait de l'intellectuel communiste français en critique littéraire au temps de la Guerre Froide / The little red library : portrait of the French communist intellectual as a literary critic during the Cold WarCaulet, Erwan 19 January 2015 (has links)
La thèse examine ce que signifie être intellectuel et communiste à travers le cas du critique littéraire. Dans ce but elle reconstitue « l’ordre des livres » communiste lors de la première Guerre froide (milieu des années 1940-milieu des années 1950). Après une présentation liminaire du contexte d’exercice et d’écriture de la critique littéraire d’« expression communiste » en Guerre froide, une première partie dresse un panorama de cette critique et de ses caractéristiques dans l’avant-Guerre froide et un contexte encore de basses eaux idéologiques. Puis la thèse étudie son durcissement et sa « pamphlétarisation », son anti-américanisation : son entrée en Guerre froide. Une troisième partie restitue le déploiement bibliographique, la « petite bibliothèque rouge » communiste de Guerre froide qui en découle, tandis que la dernière partie brosse les variantes, la crise larvée et l’ébauche d’inflexion du milieu des années 1950 de cette critique littéraire. Il résulte de ce parcours un portrait du critique littéraire communiste en « penseur d’orthodoxie » des livres et des auteurs, aux tendances « publicistes » fortes et un aperçu de la « culture littéraire » communiste : réaliste social(ist)e, soucieuse de thématiques issues du quotidien, des luttes politiques et sociales en France et dans le monde, dix-neuviémiste dans ses références esthétiques et littéraires, soucieuse d’efficience politique et sociale, anti-formaliste sur les plans esthétique et thématique… / This Master's thesis tackle what it means to be a Communist and an intellectual through the example of literary appreciation. In order to do so, it will reconstruct the Communist “order of books” during the first Cold War (mid 1940s-mid 1950s). After a presentation of how this literary criticism came to be and its writing process, a first part will give a comprehensive overview of the criticism and its caracteristics, before the Cold War, when ideologies were still fledgling. Then the thesis will focus on how the literary criticism became more radical, sounding more like pamphlets and being more anti-American; in other words, how it took part in the Cold War. The next part will analyze the development of a bibliography, which would later evolve into the "little red library" of Communism during the Cold War. Finally, the last part will show how the literary criticism started to morph in the mid 1950s, it will explain its variations and the dormant crisis that it experienced. As a result of this work, we will be able to draw a portrait of the Communist literary critic as a thinker who would envision his readings and its authors through the prism of Marxist orthodoxy, someone who would strongly feel about expressing his political views. We will see a glimpse of the Communist literary culture, with its both social and socialist realism, which was concerned with everyday issues or political and social struggles, both in France and abroad. In this culture, the influence of the 19th century could be seen in its esthetic and literary references alike, as it strove to achieve something socially and politically, in an uncluttered fashion, as far as topics and style were concerned.
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Militants et militantisme communiste à la Martinique, 1920-1970 : identification, formes et implication / Communist militants and activism in Martinique 1920-1971 : identification, forms and involvementBosphore-Pérou, Rolande 08 December 2014 (has links)
A travers diverses sources et particulièrement des sources orales recueillies auprès d’anciens militants communistes simples adhérents ou responsables et d’articles de la presse communiste martiniquaise, cette thèse cherche à éclairer sur la ferveur militante d’hommes et de femmes de la Martinique, d’une famille politique essentielle dans le courant du XXe siècle.Cette étude parcourt une longue période s’étendant principalement de 1920 à 1971, montrant les débuts balbutiants du communisme à la Martinique, son ascension, sa période florissante et les débuts de son lent déclin. La problématique est d’abord de faire découvrir des Martiniquais dans leur vécu de militant communiste, montrer comment ces hommes et ces femmes s’approprièrent une doctrine, la transformèrent peut-être pour l’adapter à leurs besoins, à leur culture. Il s’agit également d’examiner quelle structure communiste fut mise en place en Martinique, cette organisation était-elle à l’image des fédérations métropolitaines ou était-ce une formation politique spécifique au milieu martiniquais?Ensuite pour mieux appréhender les choix et les parcours, il a fallu arriver à l’identification des modèles, des origines de ce militantisme et la formation des militants. Les référents furent tant des figures propres au marxisme et au socialisme international et national que des personnalités contestataires du milieu politique martiniquais.Puis proposer une lecture des pratiques et des stratégies militantes pour évaluer la qualité et la particularité de cette militance ainsi que les conséquences de l’engagement de ces militants dans différentes sphères. Quelles étaient leurs propositions, pourquoi leurs revendications politiques différaient-elles de celles des autres communistes coloniaux ? Comment expliquer leurs choix d’une nouvelle société plus égalitaire dans un État socialiste mais toujours associé à la France ?Ce travail de recherches positionne cette militance au centre d’une analyse qui explore l’histoire politique et sociale d’une population, en s’appuyant sur d’autres disciplines comme la sociobiographie et les sciences politiques. Il examine le façonnement d’une société par un groupe politique prégnant entre 1920 et 1971, ainsi que les réponses de ce groupe face à différents problèmes politiques et sociaux en privilégiant une approche par les acteurs. / Through various sources, particularly oral sources collected from ancient communists, ordinary members or officials, and articles of martinican Communist press, this thesis shows about the militant fervor of martinican men and women and essential political family in the course of the twentieth century. This study covers a long period extending mainly from 1920 to 1971 showing the early stuttering of communism in Martinique, his ascension, his prosperous period and the beginning of his slow decline. The issue is first to make discover Martinicans in their experience of communist militant, present how these men and women appropriated a doctrine, transformed it perhaps to suit at their needs, at their culture. It is also to consider what communist structure was put in place in Martinique; this organization was it like the metropolitan federations or was it a specific political party? Then to better understand the choices and paths, it’s necessary arrive at identifying mentors, origins of this activism and training of militants. Referents were as figures specific to Marxism and international and national socialism as figures as specific martinican politics. Then offer a reading of practices and activist strategies for assessing the quality and uniqueness of this militancy and the consequences of the commitment of these activists in different spheres. What were their political choices, why their political demands did they differ from others colonial Communists? How to explain their choice of a new society more egalitarian in a socialist state, but always associated with France? This research study positions that militancy in the center of an analysis that explores the political and social history of a population, based on other disciplines such as socio-biography and political-sciences. It examines the shaping of a people by a political significant group between 1920 and 1971, and the proposals of this group face different political and social problems in promoting an approach by the actors.
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L'opposition du PCF et du PCI au bloc atlantique : entre politique intérieure et enjeux internationaux (1947-1955)Sollai, Luca 08 1900 (has links)
Cette thèse étudie l’opposition du Parti communiste italien (PCI) et du Parti communiste français (PCF) au bloc atlantique, du début de la guerre froide jusqu’à l’admission de la République fédérale d'Allemagne (RFA) dans l'OTAN. L'approche choisie est d'intégrer les sphères « nationale » et « internationale », pour éviter de limiter l’analyse seulement aux logiques d’opposition de la Guerre froide.
La compréhension des stratégies d’opposition de deux partis au bloc atlantique est primordiale, vu que, le PCF et le PCI sont, à l’époque, les deux plus grands partis communistes de l’Europe occidentale, et favorables aux constitutions française et italienne de l’après Deuxième Guerre mondiale. En tenant compte de l’interaction entre enjeux nationaux et pressions internationales, la thèse dresse un portrait de l’évolution des PCF/PCI dans leur opposition au bloc atlantique, en mettant en relief les similitudes et les différences. En s’appuyant sur plusieurs sources primaires, telles que les documents officiels des deux partis et les documents diplomatiques et ministériels italiens, français, russes et américains, elle explique l’évolution de deux partis.
Si les conditions de départ, avec l’éviction des gouvernements nationaux des deux partis et la pression accrue des États-Unis et de l’Union soviétique, sont similaires, l’élaboration à long terme des stratégies est différente. En termes généraux, le PCF se caractérise par une stratégie plus « dogmatique », par rapport au bloc atlantique. Par conséquent, la tendance des communistes français sera celle d’une opposition plus attentive à la situation internationale qu’aux enjeux nationaux, avec une inversion de cette tendance qui arrive seulement à la moitié des années 1950, avec la campagne contre la CED. De leur côté, les communistes italiens sont capables, depuis le début et nonobstant les pressions internationales, d’élaborer une opposition plus équilibrée entre enjeux nationaux et situation internationale. Il en résulte que la stratégie du PCI sera plus efficace car, à plusieurs reprises, elle mettra en difficulté le gouvernement italien sur le fond de son choix atlantique. / This thesis studies the opposition of the Italian Communist Party (ICP) and the French Communist Party (FCP) to the Atlantic bloc, from the beginning of the Cold War until the entry of the Federal Republic of Germany (FRG) into NATO. The approach chosen is to integrate the 'national' and 'international' spheres, in order to avoid framing the analysis solely in terms of Cold War opposition.
The comprehension of the oppositional strategies of two parties to the Atlantic bloc is very important, as the PCF and the PCI were the two largest communist parties in Western Europe at the time, and favorable to the French and Italian constitutions after World War II. Considering the interaction between national issues and international pressures, the dissertation draws a portrait of the evolution of the CPF/CPI in their opposition to the Atlantic bloc, highlighting similarities and differences.
The thesis relies on several primary sources, such as official documents of the two parties and Italian, French, Russian and American diplomatic and ministerial documents, to explain the evolution of the two parties.
While the starting conditions, with the exclusion from the national governments of both parties and the increased pressure from the US and the Soviet Union were similar, the long-term development of strategies was different. In general, the PCF was more "dogmatic", in relation to the Atlantic bloc. Consequently, the tendency of the French communists was to focus more on the international situation than on national issues, with a reversal of this tendency only in the mid-1950s, during the campaign against the EDC. For their part, the Italian communists were able, from the start and notwithstanding international pressures, to develop a more balanced opposition taking into account national issues and the international situation. As a result, the PCI's strategy was more effective, as it repeatedly challenged the Italian government on its Atlantic choice.
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