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Le paysage et ses rapports avec l'art, la nature et l'environnementGagnon, Dominique 24 March 2024 (has links)
Cette thèse/œuvre démontre, dans la partie thèse, comment l’art pictural a joué un rôle clé dans la formation et l’évolution du concept de paysage en Occident de la Renaissance au XXe siècle et comment ce genre pictural a contribué à ancrer notre intérêt pour les paysages pittoresques matériels et leur représentation. L e déroulement de l’histoire du mot « paysage » qui est apparu simultanément dans différentes langues à la Renaissance est d’abord passé en revue. Les différentes théories sur le concept de paysage sont ensuite présentées. Puis les concepts de nature et d’environnement sont développés dans leur rapport avec le paysage. La dernière partie traite du corpus présenté en accompagnement de la thèse, dans le contexte où les arts visuels peuvent à nouveau jouer un rôle à l’époque actuelle pour réévaluer et éventuellement nous aider collectivement à réinventer notre rapport à la nature, au paysage et à l’environnement. / This thesis in research/creation will develop in the research portion, how painting has played a major role in the evolution and formation of the concept of landscape in Western civilization, from the Renaissance to the 20th century. It will explain how landscape painting has contributed to our present fascination in the ‘picturesque’ landscape, and its representation. The evolution and transformation of the word ‘landscape’, which emerged simultaneously in several European languages during the Renaissance will be summarized. The various theories on the concept of landscape will be presented, and the concepts of ‘nature’ and ‘environment’ will be developed in relation to the landscape. The last part is dedicated to the body of work linked to this thesis. It expresses how the visual arts may now, as during the Renaissance and several centuries after, play a role in the reevaluation and re-creation of our relationship to nature, landscape and the environment.
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Le geste cinématographique de performance : documenter et concrétiser l’espoirParenteau-Rodriguez, Maria-Dolorès 02 1900 (has links)
En partant de la documentation filmique de deux performances (Da ist eine kriminelle Berührung in der Kunst [Ulay, 1976] et Data [Gagnon, 2010]) qui a comme particularité commune d’avoir été soumise à des manœuvres cinématographiques, ce mémoire élabore une théorisation permettant de les penser autrement qu’en tant que documents, mais en tant que films, et plus précisément en tant qu’œuvres esthétiques complémentaires à la performance d’origine. Tombant dans une béance théorique par le fait de leur hybridité supposément contradictoire (performance, éphémère/cinéma, préservation), les deux films nous invitent à penser une conceptualisation renouvelée de la performance. Depuis cette perspective, nous démontrerons que, si le geste de performance est lui-même enchâssé dans le geste cinématographique, c’est en fonction de cette co-constitution des œuvres qu’il faut les aborder : en plus de référer à un contenu performatif, ces films performent une réalité inachevée, en termes de classification théorique mais aussi en termes de valeur politique. Nous verrons finalement qu’à travers le thème fédérateur du détournement artistique, pensé dans un rapport critique des institutions culturelles, les deux œuvres ont pour visée une transformation qui a pour but l’établissement de nouveaux rapports sociaux et politiques. Ultimement, nous défendrons que cette intervention à même une structure sociale établie ne soit possible que si la performance d’origine est présentée cinématographiquement, par le concept du geste cinématographique de performance. / The present thesis takes as its point of departure the filmed documentary works relating to two performances: Da ist eine kriminelle Berührung in der Kunst (Ulay, 1976) and Data (Gagnon, 2010). These documents have in common the fact that they were both subject to cinematic manipulation. Are we to think of them merely as documents or as films in their own right, i.e., as aesthetic objects complementary to the performances that provided the occasion for their production? Rather than leaving these documents to languish in a theoretical void or to waver between their apparently contradictory tendencies (ephemeral performances or cinematic preservation?), this thesis takes up the theoretical challenge they articulate and proposes a fresh approach to the question of performance. In particular, it will be argued that, to the extent that the performative gesture is framed by the cinematographic gesture, these works can only be made sense of in virtue of their co-constitution. As such, in addition to referring to a performative content (i.e., the original performances), these documentary films also put an incomplete reality on display, first in terms of the question of how to classify them, but also in terms of their political content. Through the common themes of an aesthetic “hijacking” of performance and of a critical perspective on cultural institutions, the thesis shows how these two documentary works suggest a transformative renewal of social and political relations. Ultimately, through the notion of a cinematic-performative gesture, which is parasitical upon established social structures, it will be shown that the success of these works depends inherently upon cinematic form.
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performance / Contemporary art and documentation : the musealisation of performance worksGiguère, Amélie 24 May 2012 (has links)
Quarante années après la parution de l’article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, la notion de « dématérialisation » apparait toujours dans les discours sur l’art contemporain. Elle désigne une tendance de la création qui dévalorise la matérialité de l’objet, ses qualités plastiques, de même que son caractère permanent. En outre, la dématérialisation de l’art peut être interprétée comme une critique du musée et les œuvres qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui « résistent » à la muséalisation. Qu’en est-il de la performance? Est-elle présente aujourd’hui dans les collections muséales? Et si oui, sous quelle forme? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ses propositions assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de la performance? Le « document » s’impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cette pratique contemporaine. Une hypothèse de travail est formulée : les performances ne se présentent pas sous la forme d’un objet déterminé, mais plutôt sous la forme d’un ensemble de documents. Cet ensemble constitue ce que nous appelons la « face documentaire » de la proposition. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la « face documentaire » a pour fonction principale de présenter ou de rendre présentes ces propositions, de réconcilier leurs différents modes d’existence et d’assurer leur muséalisation. C’est à la lumière des sciences de l’information et de la communication qu’est définie la notion de « document », opératoire dans le concept de « face documentaire ». Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à musées et des FRAC, en France ou au Canada. L’entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l’analyse de sources, comme les fiches descriptives, les dossiers d’œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d’enquête. L’analyse procède par l’identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la « face documentaire » des pièces choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L’étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d’un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d’un projet de réitération. L’étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des « performances muséalisées », soit l’exposition d’un objet en situation de rencontre, l’exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de la performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l’objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu’une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques » / Is performance art present in museum collections? If so, how is it documented, preserved and presented/exhibited? How do museum professionals and artists accomplish documenting and archiving performance art? The notion of “document” has emerged as a key concept for understanding the issues surrounding contemporary practices of performance art. A hypothesis is proposed: the performance is not to be considered as an “object,” but rather as a series of “documents.” Transposing the concept of paratext (Genette) to this analysis, I argue that these sets of documents function to present or to “make present” performances and to enable their musealisation. Case studies involving seven performance pieces and their associated documents (objects, accessories, archives, etc.) in collections in museums and Fonds régionaux d’art contemporain (FRAC) in France and Canada were selected for study. Interviews with museum professionals, artists and their collaborators, as well as the analysis of documentary sources such as database catalogs, artists’ dossiers and journals, constituted the primary research materials. The case studies revealed two main strategies of musealisation: 1) musealisation articulated/occurring around a material extension which tends to become a work of art and 2) musealisation articulated around a reenactment project. The case studies also demonstrate three types of presentation: 1) the exhibition, 2) the documentary exhibition, and 3) the live presentation or reenactment. Finally, the research indicates that the musealisation of performance art redefines the traditional museum activities of selection, documentation and presentation by questioning the status of the museum object as a central element of these activities
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'artMainguy, Jacinthe 30 November 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'artMainguy, Jacinthe 30 November 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performanceGiguère, Amélie 05 1900 (has links) (PDF)
Quarante années après la parution de l'article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, publié dans Art International, la notion de « dématérialisation » apparaît toujours dans les discours sur l'art contemporain. Elle désigne une tendance à l'œuvre dans la création artistique qui dévalorise la matérialité de l'objet, ses qualités plastiques associées à un savoir-faire technique, de même que son caractère unique et permanent. En outre, la dématérialisation de l'art peut être interprétée comme une critique de l'institution muséale et, les propositions artistiques qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui « résistent » à la muséalisation. Affirmant que la muséalisation est l'ensemble des activités de sélection, de documentation et de présentation publique qui octroient, à une proposition artistique, un statut muséal ou qui transforment cette proposition en un objet qui témoigne d'une réalité donnée, comment dès lors des propositions qui n'ont pas de matérialité persistante intègrent-elles les collections muséales? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ces pièces assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de ces pièces contemporaines et, en particulier, des pièces éphémères de type performance? En interrogeant d'un côté la production d'un art contemporain qui remet en question l'objet traditionnel comme finalité du projet artistique et, en questionnant de l'autre les activités muséales traditionnelles et contemporaines, le « document » s'impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cet art contemporain. Une hypothèse de travail est formulée : certaines propositions contemporaines ne se présentent pas sous la forme d'un objet déterminé qui en constitue le terme, mais plutôt sous la forme d'un ensemble de documents. Cet ensemble de documents constitue ce que nous appelons la « face documentaire » de la proposition artistique. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la « face documentaire » a pour fonction principale de présenter, ou de rendre présentes, les propositions artistiques, de réconcilier leurs différents modes d'existence et d'assurer leur muséalisation le plus conformément possible aux intentions des créateurs. C'est à la lumière des sciences de l'information et de la communication, en particulier des travaux de Jean Meyriat et de ceux des chercheurs réunis sous le pseudonyme Roger T. Pédauque, qu'est définie la notion de « document », opératoire dans le concept de « face documentaire ». Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à des collections muséales ou à des Fonds régionaux d'art contemporain, en France ou au Canada. L'entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l'analyse de sources primaires et secondaires, comme les fiches descriptives, les dossiers d'œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d'enquête. L'analyse procède par l'identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la « face documentaire » des propositions choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L'étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d'un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d'un projet de réitération. Dans les premiers cas, la muséalisation s'accomplit par la sélection et la désignation d'une pièce ou d'un ensemble de pièces et de documents de différents statuts, prédéterminés et identifiés ou non par l'artiste comme celui ou ceux qui tient ou tiennent lieu de la performance. Dans les seconds cas, la muséalisation s'opère par l'obtention d'un droit de réitération, par la sélection et la désignation d'un ensemble de pièces ou de documents de différents statuts, ainsi que par la production ou la reconnaissance d'un « script » de la performance qui vise essentiellement à guider la reprise correcte de la proposition éphémère. L'étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des « performances muséalisées », soit l'exposition d'un objet ou de plusieurs objets en situation de rencontre, l'exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de pièces éphémères de type performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l'objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu'une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques, c'est-à-dire à la « face documentaire » de ces derniers ou à la documentation comprise dans une acception élargie.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : art contemporain, document, documentation, exposition, muséalisation, performance, réitération, Guy de Cointet, Esther Ferrer, Claudie Gagnon, Yves Klein, Gina Pane, Tino Sehgal, Françoise Sullivan.
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Art contemporain et documentation : la muséalisation d'un corpus de pièces éphémères de type performanceGiguère, Amélie 24 May 2012 (has links) (PDF)
Quarante années après la parution de l'article de Lucy R. Lippard et de John Chandler, la notion de " dématérialisation " apparait toujours dans les discours sur l'art contemporain. Elle désigne une tendance de la création qui dévalorise la matérialité de l'objet, ses qualités plastiques, de même que son caractère permanent. En outre, la dématérialisation de l'art peut être interprétée comme une critique du musée et les œuvres qui répondent à ses préceptes, comme des pièces qui " résistent " à la muséalisation. Qu'en est-il de la performance? Est-elle présente aujourd'hui dans les collections muséales? Et si oui, sous quelle forme? Comment les informations colligées, organisées et enregistrées autour de ses propositions assurent-elles une connaissance juste de celles-ci? En somme, par quelles stratégies, artistes ou professionnels, opèrent-ils la muséalisation de la performance? Le " document " s'impose comme notion clé pour éclairer la question de la muséalisation de cette pratique contemporaine. Une hypothèse de travail est formulée : les performances ne se présentent pas sous la forme d'un objet déterminé, mais plutôt sous la forme d'un ensemble de documents. Cet ensemble constitue ce que nous appelons la " face documentaire " de la proposition. En transposant la notion de paratexte de Gérard Genette aux objets de cette analyse, il est dit que la " face documentaire " a pour fonction principale de présenter ou de rendre présentes ces propositions, de réconcilier leurs différents modes d'existence et d'assurer leur muséalisation. C'est à la lumière des sciences de l'information et de la communication qu'est définie la notion de " document ", opératoire dans le concept de " face documentaire ". Une étude de cas est menée. Le corpus est composé de sept pièces éphémères de type performance et de leurs objets associés qui appartiennent à musées et des FRAC, en France ou au Canada. L'entretien auprès des professionnels des musées, des artistes et de leurs représentants, de même que la consultation et l'analyse de sources, comme les fiches descriptives, les dossiers d'œuvres et les revues spécialisées et les catalogues, constituent les principales méthodes d'enquête. L'analyse procède par l'identification et la mise en évidence, par le récit, des différents destinateurs, formes, fonctions et statuts des documents qui composent la " face documentaire " des pièces choisies. Sont ainsi interrogées, pour chacune des pièces, la création ou la sélection de documents et leur entrée dans une collection muséale. Sont ensuite questionnées la documentation muséale de ces pièces et enfin, leur présentation publique. L'étude des cas permet de dégager deux stratégies principales de muséalisation : la muséalisation articulée autour d'un prolongement matériel qui tend à faire œuvre et la muséalisation articulée autour d'un projet de réitération. L'étude de cas permet en outre de mettre en évidence trois stratégies de présentation publique des " performances muséalisées ", soit l'exposition d'un objet en situation de rencontre, l'exposition documentaire et enfin, la réitération de la performance. Enfin, la recherche montre que la muséalisation de la performance redéfinit les activités muséales de la sélection, de la documentation et de la présentation. Elle interroge l'objet de musée comme élément pivot de ces activités. Elle montre aussi qu'une attention plus grande est portée aux productions paratextuelles de ces travaux artistiques "
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'artMainguy, Jacinthe 30 November 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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Impact et résonances du théâtre In-yer-face au Québec : Shopping and Fucking de Mark Ravenhill (adaptation de Christian Lapointe), Faire des enfants d’Éric Noël et En dessous de vos corps je trouverai ce qui est immense et qui ne s’arrête pas de Steve GagnonGoulet, Gabrielle 08 1900 (has links)
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Représenter l'artiste au Québec : entre la petite société, la mémoire, la nation et la réception de l'artMainguy, Jacinthe January 2011 (has links)
Cette thèse s’intéresse à l’institutionnalisation de l’art, au statut de l’artiste à l’ère démocratique de même qu’à leur portée universelle (grande société). La recherche se rapporte aux interdépendances entre la mémoire, la nation, la réception de l’art et la représentation de l’artiste dans une petite société comme le Québec. Le parcours de légitimation de Jean-Paul Riopelle sert d’outil analytique pour comprendre la dynamique institutionnelle de la représentation de l’artiste québécois, et ce, en appliquant la méthodologie de l’idéal-type. La réception de l’art est interprétée en suivant l’individualisme méthodologique. Il s’agit d’observer l’exercice d’admiration à travers les discours spécialisés de l’art (Schneider et Marc-Gagnon). L’un provient d’une grande société et le second d’une petite. L’histoire nationale marque la représentation de Riopelle, l’un des signataires du Refus global. La représentation de l’artiste issu d’une petite société est spécifique : la réception de l’oeuvre engage des registres d’admiration différents.
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