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La grêle en Tunisie : diagnostic et gestion d'un risque agricole émergent / Non communiqué

Latrach, Mohamed Mohsen 18 October 2013 (has links)
En Tunisie, le caractère aléatoire du phénomène de la grêle, qui a comme corollaire son extrême variabilité, en fréquence d’apparition, en localisation et en intensité, a empêché un suivi permanent de ce type de précipitations. Le manque de périodes d’observation assez longues et les lacunes au niveau des données disponibles ont laissé cet aléa peu étudié donc peu connu. La trace de la grêle provoque de lourds dégâts agricoles chaque année et soulève des questions quant aux stratégies de gestion d’autant plus que les systèmes antigrêle sont quasiment absents. La présence des précipitations de grêle ou d’averse de grêle en Tunisie est commandée souvent par un rythme méditerranéen à l’instar des autres formes de précipitations telles que les pluies. Ce phénomène très localisé en Tunisie, concerne particulièrement le nord-ouest et le centre-ouest du pays, abritant les reliefs les plus élevés, demeurant ainsi le siège des trajectoires ouest/est, nord-ouest/sud-est et sud-ouest/nord-est des nuages de grêle. Les dégâts résultant de ce phénomène, qui touchent différents biens de valeur, menacent souvent le domaine d’agriculture qui est le secteur d’activités humaines le plus vital pratiquement en plein printemps et tout l’été ; certaines années, l’agriculteur voit ses récoltes totalement détruites par ce fléau. La région de Kasserine au Centre-ouest de la Tunisie est la région la plus vulnérable et ses vergers de pomme sont les plus touchés. Les pertes se classent le plus souvent très graves mais elles se trouvent d’autant plus prégnantes que les moyens antigrêle et les systèmes d’assurance agricole contre ce fléau ne sont souvent pas utilisés par les agriculteurs. [etc.] / In Tunisia, the random character of hail phenomenon, which has as corollary its extreme variability, in frequency, location and intensity, prevented a continued study of this kind of falls. The lack of long periods of observation and the gaps in the available data level explain the little interest that hail suggested among scientists. Hail falls cause heavy agricultural damage every year which raise different elements at risk especially crops while no efficient mean of protection is widely used. The hail falls in Tunisia follow a Mediterranean rhythm as the other forms of precipitation such as rain. This phenomenon which seems very localized in Tunisia, concerns particularly the northwest and the west central regions of the country, with the highest reliefs of the country. The tracks of hail showers follow west/east, northwest/southeast and southwest/northeast directions. In addition, and despite the damages that result from the phenomena which may touch many valuable sectors, agriculture is the economic sector that more suffers from hail especially when hail falls in spring and in summer. Some years, farmers find their harvests totally destroyed by this plague. The region of Kasserine in the central western of Tunisia is the most vulnerable region and its apple orchards are the most touched. The losses are mostly classified more and more dangerous when anti-hail tools and agricultural insurance systems against this plague are not often used by farmers. [etc.]
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Analyse comparée des politiques publiques de gestion du risque volcanique dans les caraïbes insulaires : le cas de la Guadeloupe en 1976 et de Monserrat en 1997 / Comparative Analysis of Public Policies for Volcanic Risk Management in the Caribbean Caribbean Islands : the case of Guadeloupe in 1976 and Monserrat in 1997

Baillard, Marie-Denise 28 February 2018 (has links)
Les îles du bassin caribéen figurent parmi les territoires dans le monde ayant la particularité d’être exposés à tous les types de risque naturel à l’exception du risque d’avalanche. Pourtant, le bilan global quant à leur prise en compte effective reste peu satisfaisant : En effet on constate des lacunes tant au niveau de l’information des populations qu’au niveau des moyens « administratifs et techniques » de réponse au risque. Le risque volcanique en particulier, bien que concernant onze territoires dans les petites Antilles, est relativement « éclipsé » par les autres risques dans les agendas gouvernementaux. Or, les « poudrières » de la Caraïbe sont pour la plupart actives. De plus, du fait de leur exiguïté et de la concentration de populations et d’infrastructures aux abords des volcans ; les territoires insulaires ont une vulnérabilité accrue. Des manifestations violentes peuvent entraîner, comme l’ont montré les cas de la Montagne Pelée en Martinique (1902) et plus récemment celui de la Soufrière Hills à Montserrat (1995 à nos jours), un bilan humain particulièrement lourd. Surtout, même en tempérant le risque de perte de vies humaines grâce à la prévision, une crise volcanique majeure reste synonyme de désastre économique. Le caractère exceptionnel des manifestations volcaniques suffit-il à expliquer ce bilan ? Cette interrogation première nous amène à questionner les mécanismes caractérisant la gestion du risque volcanique dans les Caraïbes insulaires. Notre étude porte ainsi sur les deux crises qui ont été les plus débattues en matière de retour d’expérience : celle de la Soufrière de Guadeloupe en 1976 et celle de la Soufrière Hills de Montserrat, qui a connu son pic en 1997. La comparaison des politiques publiques de gestion des crises étudiées nous permet d’identifier les facteurs orientant la stratégie des autorités compétentes en amont et en aval des crises. / The islands of the Caribbean basin are among the territories in the world having the distinction of being exposed to all types of natural hazard except avalanche risk. However, the overall assessment of their effective consideration remains unsatisfactory: Indeed, there are gaps in both the information of the population and the level of "administrative and technical" means of response to risk. Volcanic risk in particular, although affecting eleven territories in the Lesser Antilles, is relatively "overshadowed" by other risks in government agendas. However, the "powder keg" of the Caribbean are mostly active. Moreover, because of their small size and the concentration of populations and infrastructures around volcanoes; island territories have increased vulnerability. Violent demonstrations can lead, as has been shown in the cases of Mount Pelee in Martinique (1902) and more recently that of the Soufrière Hills in Montserrat (1995 to the present day), a particularly heavy human toll. Above all, even with the risk of loss of life due to the forecast, a major volcanic crisis is synonymous with economic disaster.Is the exceptional character of volcanic events enough to explain this assessment? This first interrogation leads us to question the mechanisms characterizing the volcanic risk management in the insular Caribbean.Our study thus focuses on the two crises that have been the most debated in terms of feedback: that of Soufrière Guadeloupe in 1976 and that of Soufrière Hills Montserrat, which peaked in 1997. The comparison of public crisis management policies studied allows us to identify the factors guiding the strategy of the competent authorities upstream and downstream of crises.
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EVALUATION DES MESURES DE GESTION DU RISQUE INONDATION. APPLICATION AU CAS DES BASSES PLAINES DE L'AUDE

Defossez, Stéphanie 10 December 2009 (has links) (PDF)
La gestion du risque inondation s'est longtemps tournée exclusivement vers la maîtrise de l'aléa. Que ce soit des ouvrages de génie civil (digue, barrage) ou des mesures plus douces comme les champs d'expansion des crues, la protection a primé sur la prévention. Cependant les limites des mesures structurelles et le coût croissant des dommages ont amené des réflexions de gestion plus globalisée et concertée. Depuis une quinzaine d'années, les politiques publiques tentent d'introduire des mesures de prévention qui passent par la régulation des enjeux et la réduction des vulnérabilités. Les basses plaines de l'Aude représentent un territoire d'étude privilégié. Il est en effet exposé aux inondations, fréquentes ou catastrophiques. Les dernières graves inondations de novembre 1999, qui ont dévasté le territoire, furent révélatrices des failles de la gestion dont la nature des aménagements et le contexte territorial complexe. Dans les basses plaines de l'Aude, les gestionnaires peinent à atteindre une gestion performante. Depuis quarante ans, les projets se succèdent sans jamais totalement aboutir. Dans un tel contexte, cette recherche se propose d'évaluer les modes de gestion du risque. L'évaluation représente un point de départ à de nouvelles orientations des politiques de prévention. L'objectif visait à estimer l'efficacité, la pertinence et finalement la performance des modes de gestion du risque par différentes approches : diagnostic du risque, approche évaluative coûts/bénéfices, analyse des perceptions...et face à des évènements majeurs et de moindre ampleur. La prégnance des mesures structurelles et les objectifs de gestion centrés sur l'aléa majeur perdurent. Cette gestion restrictive nuit à la cohérence territoriale et laisse peu de place aux mesures préventives pourtant complémentaires à la protection. La gestion du risque dans les basses plaines souffre en outre d'un contexte politique difficile et conflictuel. Les perspectives de la gestion sont à chercher du côté d'une gestion concertée (acteurs) et globalisée (mesures) avec des objectifs clairement définis (aléa).
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Perceptions et réponses du public aux incertitudes associées aux risques de santé publique: Une investigation par méthodes mixtes

Lalande-Markon, Marie-Pierre 28 September 2011 (has links)
Le but principal de la thèse est de mettre en lumière une conceptualisation heuristique de l’incertitude qui permette d’expliquer la manière dont elle est interprétée par les citoyens dans le contexte des risques de santé publique et quelles stratégies de gestion (coping) sont déployées afin d’y faire face. L’emploi de méthodes mixtes est privilégié. La première étude, testant un schème psychométrique sur les données d’une enquête nationale documentant le risque et l’acceptabilité perçue d’un enjeu de santé publique (N= 1517), révèle que l’incertitude perçue se distingue d’autres évaluations cognitives de la menace, telle que la probabilité. Elle est associée à une augmentation de l’inquiétude ressentie seulement lorsque l’impact perçu du risque sur la santé est élevé. La deuxième étude, testant un devis de recherche expérimental auprès de Canadiens du grand public (N= 434), démontre que l’effet sur l’adhérence au message, de différents types d’avertissements à propos d’un risque varie selon les sources d’incertitude communiquées. En particulier, la communication d’ambiguïté (divergence entre experts ou données contradictoires) diminue l’adhérence au message, alors que la communication d’incertitude épistémique (manque de données scientifiques) ne diminue pas l’adhérence au message ni la confiance envers la source. Les dernières études explorent la construction du sens donné à l’incertitude par les citoyens à travers une approche qualitative, avec trois entrevues individuelles et neuf groupes de discussion réalisés auprès d’adultes provenant de villes canadiennes (N= 47). La troisième étude analyse la portion des entrevues mettant l’accent sur les attentes des citoyens à propos de qui devraient être impliqués dans la communication gouvernementale du risque, pourquoi les incertitudes devraient être communiquées, lesquelles sont désirables, et comment et quand les discuter. La quatrième étude emprunte la méthode de la théorie ancrée afin d’élaborer un schéma conceptuel explicatif des réactions à l’incertitude. Celui-ci identifie et met en lien les principaux facteurs d’importance, soit: la source d’incertitude, les caractéristiques situationnelles et individuelles, le contrôle perçu et la confiance envers la source d’information et les gestionnaires du risque. Ces résultats permettent de mieux comprendre et d’anticiper les réactions du public dans la communication et la gestion du risque.
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Perceptions et réponses du public aux incertitudes associées aux risques de santé publique: Une investigation par méthodes mixtes

Lalande-Markon, Marie-Pierre 28 September 2011 (has links)
Le but principal de la thèse est de mettre en lumière une conceptualisation heuristique de l’incertitude qui permette d’expliquer la manière dont elle est interprétée par les citoyens dans le contexte des risques de santé publique et quelles stratégies de gestion (coping) sont déployées afin d’y faire face. L’emploi de méthodes mixtes est privilégié. La première étude, testant un schème psychométrique sur les données d’une enquête nationale documentant le risque et l’acceptabilité perçue d’un enjeu de santé publique (N= 1517), révèle que l’incertitude perçue se distingue d’autres évaluations cognitives de la menace, telle que la probabilité. Elle est associée à une augmentation de l’inquiétude ressentie seulement lorsque l’impact perçu du risque sur la santé est élevé. La deuxième étude, testant un devis de recherche expérimental auprès de Canadiens du grand public (N= 434), démontre que l’effet sur l’adhérence au message, de différents types d’avertissements à propos d’un risque varie selon les sources d’incertitude communiquées. En particulier, la communication d’ambiguïté (divergence entre experts ou données contradictoires) diminue l’adhérence au message, alors que la communication d’incertitude épistémique (manque de données scientifiques) ne diminue pas l’adhérence au message ni la confiance envers la source. Les dernières études explorent la construction du sens donné à l’incertitude par les citoyens à travers une approche qualitative, avec trois entrevues individuelles et neuf groupes de discussion réalisés auprès d’adultes provenant de villes canadiennes (N= 47). La troisième étude analyse la portion des entrevues mettant l’accent sur les attentes des citoyens à propos de qui devraient être impliqués dans la communication gouvernementale du risque, pourquoi les incertitudes devraient être communiquées, lesquelles sont désirables, et comment et quand les discuter. La quatrième étude emprunte la méthode de la théorie ancrée afin d’élaborer un schéma conceptuel explicatif des réactions à l’incertitude. Celui-ci identifie et met en lien les principaux facteurs d’importance, soit: la source d’incertitude, les caractéristiques situationnelles et individuelles, le contrôle perçu et la confiance envers la source d’information et les gestionnaires du risque. Ces résultats permettent de mieux comprendre et d’anticiper les réactions du public dans la communication et la gestion du risque.
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The quality of eligible collateral : central bank losses and monetary stability : an empirical analysis /

Lehmbecker, Philipp, January 1900 (has links)
Dissertation--Bremen--Universität Bremen, 2007. / Bibliogr. p. 247-271.
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Sémiologie Graphique Expérimentale (SGE) pour une cartographie efficace du risque d'inondation /

Graziano, Maxime Genelot, Emilie Serrhini, Kamal January 2009 (has links) (PDF)
Mémoire diplôme d'ingénieur (PFE) : Aménagement : Tours, EPU-DA : 2009. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. p.107-109.
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De la représentation des risques professionnels aux pratiques de prévention

Ollmann, Michaël Higelé, Pierre January 2005 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Génie des systèmes industriels : Vandoeuvre-les-Nancy, INPL : 2005. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr.
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Gestion du risque sécuritaire et prédiction des incidents disciplinaires : la contribution des modèles d'importation, de privation et du LS/CMI

Charton, Thibault January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Gérer le risque? : e Canada et les firmes militaires privées

Lussier, Vincent January 2013 (has links)
Partant des incidents (Carré Nissor, 2007; Abu Grahib, 2004) ayant amené les services de sécurités privés à l'avant-scène médiatique durant le conflit irakien des années 2000, cette recherche se concentre sur le développement de ces derniers au sein des zones de conflits en Afghanistan et en Irak. En explorant la littérature existante, les nombreux questionnements subsistants donnèrent naissance aux fondements de cette recherche : Qu'en est-il du Canada? Quelles tâches sont sous-traiéees par le Canada à cette industrie? Et plus important encore : Comment le Canada encadre-t-il cette industrie? Faisant le choix de centrer la problématique sur cet encadrement, le chercheur adopte une approche politico-administrative afin d'adresser la situation selon l'angle de l'acteur ayant le plus d'influence, soit le gouvernement canadien. La recherche s'amorce par un détour conceptuel analysant les approches utilisées pour étudier cette industrie, la nature de cette dernière et les fonctions lui étant dévolues. De nombreuses approches sont utilisées pour aborder cette industrie, certaines axées sur les aspects légaux, d'autres sur les impacts sur le domaine militaire ou encore sur les répercussions de l'arrivée de ce "nouveau" joueur sur la scène internationale. Par la suite, l'auteur fait un détour important afin de situer les concepts et la nature de l'industrie et des compagnies qui la compose. On apprend ainsi que cette industrie se définit à la fois selon les types de services offerts et la nature commerciale des compagnies. De nombreuses différences sont notables entre les entreprises composant cette industrie, entre celles fournissant des services logistiques ou celles possédant d'imposantes capacités de projection de la force létale, ou encore entre celles étant des multinationales jouant sur divers échiquiers et celles fondées pour des contrats particuliers. Afin de procéder à une réflexion pertinente sur l'usage canadien de l'industrie des services militarisés, l'auteur s'impose l'étude de l'état de la réflexion sur l'emploi de cette industrie par les gouvernements britannique et américain. En ressortent, le difficile questionnement sur la méthode d'encadrement à adopter, des risques du laisser-aller, des besoins de surveillance de l'exécution des contrats en théâtre d'opérations, des risques de fraudes, des failles législatives relatives aux actions prisent par le personnel civil employé, etc. Le portrait dresse des conclusions tirées par ces États souligne nombre de risques devant être considérés dans le recours au personnel privé pour combler les besoins au sein des zones de combats. L'étude du cas canadien se doit de commencer par un état des lieux de la sous-traitance canadienne. Celui-ci est essentiellement obtenu grâce à une demande d'accès à l'information listant les contrats ayant été octroyés dans le cadre du conflit en Afghanistan par les ministères de la Défense nationale et des Affaires étrangères et du Commerce international. L'étude se concentre par la suite sur le processus contractuel ainsi que l'approche officielle du gouvernement canadien soit le respect des engagements contenus dans le Document de Montreux. Finalement, la recherche procède à l'analyse des risques reliés aux tâches et de la politique, en ébauche, du Ministère de la Défense nationale sur le recours aux sous-traitants en zone de conflit.

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