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Reanalysis in english : the consequences of the Korrel shift on the verb systemBélanger, Marc André January 1998 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La diathèse, des origines à l'aube de la grammaire française: contribution à l'histoire d'un objet linguistiqueEvrard, Ivan January 2002 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La diction des chants parénétiques : de Kallinos à Tyrtée [édition, traduction, interprétation] / The diction of the parenetic songs : from Kallinus to Tyrtaeus [edition, translation, interpretation]Année, Magali 15 November 2014 (has links)
La singularité et la fonction holoparénétique particulièrement efficace des fragments de Tyrtée et de Kallinos, trop longtemps négligées par une tradition philologique étroitement homérocentrée, imposaient d’elles-mêmes que l’on revienne sur le texte de ces deux poètes-savants du VIIe siècle a. C. et, pour ce faire, que l’on s’en tienne à la lettre des manuscrits sans d’entrée de jeu s’en offusquer, et que l’on étudie pour elle-même, en ses profondeurs linguistiques, la diction qui fut la leur et qui pour la première fois, concomitamment à Archiloque, usa du mètre élégiaque. Or, outre que le fonctionnement dialectal et rythmique de leurs fragments se révèle plus fluctuant qu’il n’y paraît, leur organisation intrinsèquement « stanzaïque » reposant sur des systèmes d’échos plus phoniques que lexicaux, ainsi que l’usage répétitif de la forme rythmiquement marquée des participes moyens-passifs en -me/noj/-(o/)menoj, sont deux traits qui nous fondent à penser que c’est un « rythme sonore », ou plus précisément « phonico-pragmatique », qui devait en être le moteur. Aussi est-ce pourquoi, puisqu’on reconnaît de plus en plus unanimement au Cratyle (dialogue éminemment poiétique de Platon) un savoir linguistique aussi fiable que véritable, j’ai cherché à travers lui une méthode qui permette d’appréhender un tel état de langue. Le parcours herméneutico-philologique qui en découle, mené à l’intérieur d’un système de correspondances phonico-syllabiques centré sur le radical du verbe me/nw « rester, tenir bon », permet de se frayer un chemin dans la dimension intra- et infra-linguistique de la diction parénétique de Tyrtée et de Kallinos afin de mieux comprendre les raisons et la nature d’une efficacité qui hérite à l’évidence de traditions non narratives. / The singularity and the most effective holoparenetic function of Tyrtaeus’ and Kallinos’ fragments, too long neglected by a philological tradition narrowly focussed on the homeric model, imposed themselves for a return to the text of these two wise-poets of the VIIth century B. C. and, to do this, required that we stick to the letter of the manuscripts without first take offense, and that we study for itself, in its depths language, the diction which was theirs and that for the first time, concomitantly with Archilochus, used the elegiac meter. Now, apart from their being dialectically and rhythmically more fluctuating than it looks, their organization inherently “stanzaic”, based on echoes which are more phonic than lexical, as well as the repeated use of the rhythmically marked form of the medio-passive participles in -me/noj/-(o/)menoj, are two features that underpin us to believe that it is a "sound " or more precisely "phonico-pragmatic" rhythm which was to be their driving force. For that reason and since it is more and more established that we must trust the linguistics of Plato’s Cratylus, I have been looking through it for a method that tackles such a state of language. The resulting hermeneutic and philological journey, through out a whole system of phonico-syllabic correspondences turning around the verbal stem of me/nw “to stand firm”, helps clear a path into the intra- and infra-linguistic dimension of Tyrtaeus’ and Kallinus’ parenetic diction in order to understand better the reasons and the nature of an efficiency that inherits obviously non-narrative traditions.
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Etude linguistique d'actes originaux rédigés en français dans la partie flamingante de l'ancien comté de Flandre au XIIIe siècle et au début du XIVe siècleMantou, Reine January 1970 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Julio Ribeiro na historia das ideias linguisticas no Brasil / Julio Ribeiro dans l'histoire des idées linguistiques au BrésilDe Aquino, José Edicarlos 30 November 2016 (has links)
Cette thèse analyse la place de Júlio Ribeiro dans l'histoire des idées linguistiques au Brésil. Dans le domaine de l'Histoire des idées linguistiques, nous essayons de comprendre comment se construit l'image de Júlio Ribeiro comme auteur fondateur dans l'histoire de l'étude du portugais au Brésil dans trois cas de figure: 1) dans les recherches menées sur l’axe du projet Histoire des idées linguistique au Brésil et dans les mémoires et les thèses qui, à partir de ces recherches, dans ces dernières années ont eu l'auteur comme objet d'étude; 2) dans son propre travail; 3) dans l’œuvre des auteurs postérieurs jusqu'à l'introduction de la Norme grammaticale brésilienne en 1959. Dans ce cadre, nous montrons comment Júlio Ribeiro lui-même se représente dans une histoire brésilienne de réflexion sur le langage et la façon dont il est incorporé ou effacé dans l'horizon de rétrospection de la grammatisation brésilienne. L’analyse d’ensemble de l’œuvre de Júlio Ribeiro nous a permis de cartographier ses premières positions sur l'étude des langues et du langage et de faire connaître et d'analyser en détail les œuvres d'un auteur unique en son genre en son temps et jusqu’alors complètement oublié : Traços Geraes de Linguistica, le premier livre de linguistique produit au Brésil ; et Holmes Brazileiro ou Grammatica da Puericia, l'un des rares exemples de grammaire destinée aux enfants dans le Brésil du XIXe siècle. En outre, nous avons pu observer comment Júlio Ribeiro compose ses textes par l'utilisation d'œuvres de tiers dans les procédures de traduction et d’adaptation, et la réutilisation de ses propres écrits, ainsi que la façon dont l'auteur a rejeté les accusations de plagiat suscitées par ces méthodes de composition de ses textes et en réaction à ses positions théoriques, mais aussi politiques. En approfondissant la connaissance des idées linguistiques en circulation au Brésil depuis la fin du XIXe siècle jusqu’au milieu du XXe siècle, notre étude vise à porter un nouveau regard sur le travail de Júlio Ribeiro comme grammairien adoptant la grammaire historique et comparative, montrant des interprétations peu orthodoxes de l’objet central du comparatisme - le changement linguistique, et à attirer l'attention sur l'existence de tout un mouvement grammatical important au Maranhão, à considérer au-delà de l'axe Rio de Janeiro-São Paulo, montrant par l'analyse de la controverse entre Júlio Ribeiro et le maranhense Augusto Freire da Silva que la grammaire générale a également été un modèle scientifique dans le grammatisation brésilienne du portugais. Par ailleurs, nous défendons que, plus qu’un grammairien, Júlio Ribeiro peut être aussi considéré comme un auteur de linguistique, qui reprend et réinvente les questions de la grammaire historique, et aussi comme un historien des sciences du langage, qui présente des interprétations particulières de l'histoire de la linguistique, en insérant la langue portugaise et les langues indigènes brésiliennes dans les questions générales de la connaissance scientifique sur le langage au XIXe siècle. En fin de compte, nous concluons qu'il existe une contradiction entre un double effacement de Júlio Ribeiro comme référence de l'analyse grammaticale et linguistique et aussi de la plupart de ses œuvres dans l'horizon de rétrospection de la grammatisation brésilienne et un discours historique, soutenu par un petit nombre d’auteurs de la fin du XIXe siècle et de la première moitié du XXe siècle, qui le mettent à chaque moment en première place dans l'histoire des études grammaticales et linguistiques au Brésil. / This paper analyzes the place of Júlio Ribeiro in the history of linguistic ideas in Brazil. Situated in the field of History of Linguistic Ideas, we try to understand how the image of Júlio Ribeiro is constructed as a founding author in the history of Portuguese studies in Brazil in three instances: 1) in the research carried out in the axis of the project History of Linguistic Ideas in Brazil and in the dissertations and theses that in recent years have taken the author as object of study; 2) in his own work; 3) in the work of subsequent authors until the establishment of the Brazilian Grammatical Norm in 1959. With this, we show how Júlio Ribeiro himself is represented in a Brazilian history of reflection on language and how he is incorporated or erased in the horizon of retrospection of Brazilian grammatization. The analysis of the whole Júlio Ribeiro's work allowed us not only to map his first positions on the study of languages and language; but also to publicize and analyze in detail works of the author unique in their genre in their time and until now completely forgotten – two of them are: Traços Geraes de Linguistica, the first book of linguistics produced in Brazil, and Holmes Brazileiro ou Grammatica da Puericia, one of the rare examples of grammar directed to childhood in nineteenth-century Brazil. Besides, we have been able to verify how Júlio Ribeiro composes his texts with the use of third-party works in translation and adaptation procedures, and with the reuse of his own writings; as well as how the author countered the accusations of plagiarism aroused by these methods of composition of their texts and in reaction to their theoretical but also political positions. Deepening the knowledge about the linguistic ideas circulating in Brazil at the turn of the 19th century to the 20th century, our work seeks not only to throw a new look at Júlio Ribeiro's work as a grammarian who adopts historical and comparative grammar, pointing to unorthodox interpretations; but also to draw attention to the existence of an important grammatical movement in Maranhão to be considered beyond the Rio de Janeiro-São Paulo axis, for the analysis of the controversy between Júlio Ribeiro and Augusto Freire da Silva (from Maranhão), showing that the general grammar was also a model of scientificity in the Brazilian grammatization process of Portuguese. Furthermore, we argue that, besides being a grammarian, Júlio Ribeiro can also be taken as an author of linguistics, who takes up and innovates the questions of historical grammar, and also as a historian of the language sciences, who presents particular interpretations of the history of Linguistics, inserting the Portuguese language and the Brazilian indigenous languages in the general questions of the scientific knowledge on language in the 19th century. In the end, we could conclude that there is a contradiction between a double erasure of Júlio Ribeiro as a reference for performing grammatical and linguistic analyses and also most of his works in the horizon of retrospection of Brazilian grammatization and a historical discourse, supported by a reduced number of authors of the late 19th and first half of the 20th century, which puts Júlio Ribeiro at all times in the first place in the history of grammatical and linguistic studies in Brazil. / O presente trabalho analisa o lugar de Júlio Ribeiro na história das ideias linguísticas no Brasil. Situados no campo da História das Ideias Linguísticas, procuramos compreender como se constrói a imagem de Júlio Ribeiro como um autor fundador na história dos estudos sobre o português no Brasil em três instâncias: 1) nas pesquisas realizadas no eixo do projeto História das Ideias Linguísticas no Brasil e nas dissertações e teses que nos últimos anos, a partir dessas pesquisas, têm tomado o autor como objeto de estudo; 2) na sua própria obra; 3) na obra de autores posteriores a ele até a instauração da Norma Gramatical Brasileira em 1959. Com isso, mostramos como o próprio Júlio Ribeiro se representa numa história brasileira de reflexão sobre a linguagem e como ele é incorporado ou apagado no horizonte de retrospecção da gramatização brasileira. A análise do conjunto da obra de Júlio Ribeiro nos permitiu mapear as suas primeiras posições sobre o estudo das línguas e da linguagem e dar publicidade e analisar em detalhes obras do autor únicas no seu gênero em sua época e até agora completamente esquecidas, caso dos Traços Geraes de Linguistica, o primeiro livro de linguística produzido no Brasil, e a Holmes Brazileiro ou Grammatica da Puericia, um dos raros exemplares de gramática voltada para a infância no Brasil do século XIX. Além disso, pudemos verificar o modo como Júlio Ribeiro compõe os seus textos com a utilização de obras de terceiros em procedimentos de tradução e adaptação e com a reutilização dos seus próprios escritos, bem como o modo como o autor rebateu as acusações de plágio despertadas por esses métodos de composição de seus textos e em reação a seus posicionamentos teóricos mas também políticos. Aprofundando o conhecimento sobre as ideias linguísticas em circulação no Brasil na virada do século XIX para o século XX, nosso trabalho busca lançar um novo olhar sobre o próprio trabalho de Júlio Ribeiro como um gramático que adota a gramática histórica e comparada, apontando interpretações não ortodoxas quanto ao objeto central do comparatismo, a mudança linguística, e chamar a atenção para a existência de todo um movimento gramatical importante no Maranhão a ser considerado além do eixo Rio de Janeiro-São Paulo, pela análise da polêmica entre Júlio Ribeiro e o maranhense Augusto Freire da Silva, mostrando que a gramática geral também foi modelo de cientificidade na gramatização brasileira do português. Além disso, defendemos que, para além de gramático, Júlio Ribeiro pode ser tomado também como um autor de linguística, que retoma e inova as questões da gramática histórica, e também como um historiador das ciências da linguagem, que apresenta interpretações particulares da história da linguística, inserindo a língua portuguesa e as línguas indígenas brasileiras nas questões gerais do conhecimento científico sobre a linguagem no século XIX. No fim das contas, pudemos concluir haver uma contradição entre um duplo apagamento de Júlio Ribeiro como referência para a realização de análises gramaticais e linguísticas e também da maior parte de suas obras no horizonte de retrospecção da gramatização brasileira e um discurso histórico, sustentado por um número reduzido de autores de finais do século XIX e primeira metade do século XX, que o coloca a cada instante em primeiro lugar na história dos estudos gramaticais e linguísticos no Brasil.
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