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En quoi la crise environnementale contribue-telle à renouveler la question de la justice ? Le cas du changement climatique

Flipo, Fabrice 22 November 2002 (has links) (PDF)
Savoir qui peut émettre quelle quantité de gaz à effet de serre engage la question de la justice internationale et la justice vis-à-vis des générations futures. La justice est à la fois la cause et la solution du conflit. Pour apporter des éléments de réponse, cette thèse procède en trois parties. La première vise à établir comment le problème a été construit, et dans quel contexte il se pose. Elle montre que l'industrialisme, paradigme né au XIXe siècle en Occident et qui se généralise à la fin du XXe siècle, rencontre deux objections à son déploiement : la croissance des inégalités, et la dégradation de l'environnement. Ces objections sont lourdes de conséquences. La seconde examine d'une manière critique les trois théories de la justice actuellement disponibles : l'anarchie des Etats, l'éthique du droit naturel et le cosmopolitisme néolibéral. Elle constate que le volet relatif à la nature est faible voire inexistant, tandis que la dimension internationale est partielle. La troisième partie vise à jeter les bases d'une théorie capable de surmonter les principales difficultés rencontrées précédemment. Après avoir reconstruit le concept de nature, nous abordons l'éthique de la nature et la question du développement. Constatant qu'une théorie de la justice ne peut pas être achevée dans aucune théorie, nous achevons l'analyse en l'ouvrant sur le débat politique. Cette thèse veut montrer que la crise environnementale a sa source dans deux types de justice qui ont été négligés : la justice vis-à-vis du lointain, spatialement et temporellement (nations, générations futures), et la justice vis-à-vis des êtres vivants non humains. La crise environnementale contribue à renouveler la question de la justice en reposant la question de la définition de la liberté dans quatre dimensions : l'étendue et le contenu des libertés, la définition et la qualification des identités porteuses de ces libertés, l'identification et la construction des institutions techniques et culturelles susceptibles de réaliser ces libertés, et enfin l'identification des éléments et régulations naturels dont l'intégrité ne doit pas être menacée par l'exercice de ces libertés.
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" Histoire de la perversion sexuelle. Émergence et transformations du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie de 1797 à 1912 ".

Mazaleigue-Labaste, Julie 01 December 2010 (has links) (PDF)
Si l'histoire des sexualités marginales est bien abordée du point de vue de l'histoire culturelle depuis les années 1970, peu de travaux philosophiques s'attachent aujourd'hui à fournir une élucidation épistémologique critique du concept de perversion sexuelle. Ce dernier est pourtant un objet tout à fait étrange. C'est une catégorie médico-psychologique présente depuis plus d'un siècle et demi dans l'univers psychopathologique. Elle présente cependant des aspects indéniablement moraux, dont il semble que la simple présence aurait du la disqualifier depuis longtemps aux yeux des savoirs de l'esprit malade. Comment rendre compte de la stabilité historique et épistémologique d'un concept au sein duquel convergent deux dimensions en apparence contradictoires ? Cette thèse se propose d'explorer cette articulation du discours moral et du discours psychopathologique sur la sexualité, à travers la généalogie du concept de perversion sexuelle dans la psychiatrie française durant le long XIXème siècle (1797-1912). Deux questions traversent l'histoire de cette catégorie : quelle est la relation de la perversion sexuelle avec les écarts individuels aux normes morales, sociales, et juridiques, c'est à dire à la déviance ? Et quelles sont les images de la relation du sexe et du mal produites par le discours psychopathologique ? Ces deux problématiques engagent alors un questionnement plus large sur la fonction et les effets politiques du concept de perversion sexuelle, interrogation relative à la gestion sécuritaire des écarts sociaux, mais aussi à la place de la jouissance dans la civilisation occidentale contemporaine.
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Chimie, chimie quantique et concept d'émergence : étude d'une mise en relation

Llored, Jean-Pierre 22 November 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse prend pour point de départ l'exploration de quelques pratiques chimiques contemporaines en vue d'identifier certains réquisits que devrait satisfaire un concept d'émergence pour être mis en relation avec la chimie. Cette épistémologie distribuée prend appui sur l'histoire de la chimie. Dans cette perspective seront mis en évidence : la dépendance mutuelle des niveaux d'organisation ainsi que celle des relations et des relata, et le rôle constitutif des modes d'intervention dans la définition, toujours ouverte et provisoire, de ce à quoi les chimistes disent avoir affaire. Un détour par l'histoire de la philosophie est alors envisagé pour étudier comment les émergentistes britanniques ont mis en relation la chimie avec l'émergence. L'étude attentive de ces textes est l'occasion d'une mise au banc d'essai de mon étude préliminaire. Nous revenons ensuite aux définitions formelles de l'émergence, et en particulier aux analyses de Kim, en montrant que la clause ceteris paribus sur laquelle elles s'appuient prend un autre sens en métrologie chimique. Cette étude nous permet d'insister sur le rôle et l'importance de deux types de méréologie pour penser l'émergence d'un point de vue formel en tenant compte de la spécificité du travail des chimistes. La thèse envisage enfin de prolonger son enquête en explorant les travaux en chimie quantique et la façon très particulière avec laquelle ils entre-définissent un tout, ses parties et le milieu qui leur est associé. Une mise en relation est alors tentée et ouvre plusieurs pistes : une approche ontologique et pragmatique adaptant à la chimie le concept d'habitude de Peirce repris par Claudine Tiercelin ou celui d' " affordance " proposé par Rom Harré ; une approche pragmatique et transcendantale inspirée des travaux menés par Michel Bitbol en philosophie de la physique quantique ; et, enfin, une approche qui prend en charge les conséquences des transformations chimiques sur les humains et les non-humains, en réintégrant les conditions pragmatiques, socio-politiques, institutionnelles et technologiques de la chimie dans le débat à propos de l'émergence.
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Des mathématiques à leurs utilisations, contribution à l'étude de la productivité praxéologique des institutions et de leurs sujets / Le travail personnel au cœur du développement praxéologique des élèves en tant qu'utilisateurs de mathématiques

Castela, Corine 07 October 2011 (has links) (PDF)
Cette note de synthèse pour une Habilitation à Diriger des Recherches aborde, dans le cadre de la Théorie Anthropologique du Didactique, deux thématiques qui ont en commun d'être issues d'une réflexion sur la résolution de problèmes en mathématiques. La première s'intéresse aux développements praxéologiques que les élèves et étudiants doivent mener à bien pour utiliser avec une certaine réussite le savoir théorique mathématique, compte tenu du parcours de résolution de problèmes que leur font emprunter les systèmes scolaire et universitaire. Ces développements étant pour une large part non explicitement accompagnés par les systèmes didactiques, le travail personnel apparaît comme jouant un rôle déterminant, puisque les élèves doivent investir un espace d'étude autonome qui s'élargit de manière abrupte aux changements institutionnels collège/lycée//supérieur. Cette direction est présentée dans les deux premiers chapitres de la note de synthèse. La deuxième thématique situe la réflexion sur l'utilisation des savoirs dans les problèmes mathématiques au coeur d'une thématique beaucoup plus ample puisqu'il s'agit de s'intéresser, cette fois au niveau des institutions, aux dynamiques qui animent la vie des praxéologies : émergence, stabilisation et institutionnalisation dans une institution créatrice, diffusion, utilisation et transposition dans de nouvelles institutions. Prenant appui sur des exemples correspondant à des moments variés de la vie des praxéologies, le chapitre 3 propose une certaine réorganisation du modèle praxéologique, avec la double intention 1. d'expliciter la diversité des savoirs qui peuvent entrer dans le bloc technologico-théorique, 2. de figurer les liens de la praxéologie aux institutions qui la (co)déterminent. Ce modèle est succinctement mis en relation avec quelques travaux de didactique des mathématiques mais aussi d'ergonomie cognitive et de clinique de l'activité.
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Politiques du savoir. Une approche communicationnelle des rapports entre sciences, technologies et participation en France (1968 - 1983)

Quet, Mathieu 08 December 2009 (has links) (PDF)
Le champ scientifique n'a pas été épargné par les contestations sociales de l'après 1968. Au cours des années 1970, il fait l'objet de débats intenses et se trouve sous le feu de critiques en provenance de milieux divers. Militants, universitaires, ou encore journalistes et administrateurs de politique de recherche s'interrogent sur les voies d'un développement scientifique et technologique plus démocratique. Dans ce contexte, de nouvelles manières de dire la science et de régler ses rapports avec le politique apparaissent. Un régime de discours émerge, réclamant la participation du public aux choix scientifiques et technologiques. L'analyse de cette émergence est l'objet de ce travail. L'apparition d'une exigence de participation aux sciences et aux techniques est décrite, à travers l'étude de trois pôles de réflexion particulièrement attentifs à la question de la participation : le courant d'autocritique des sciences, la division des politiques scientifiques de l'OCDE et la nouvelle sociologie des sciences. L'approche privilégiée est généalogique et centrée sur les discours. Elle permet d'observer à la fois la diversité des conceptions de la participation en jeu à cette époque, et la façon dont elles s'articulent pour donner lieu à une définition commune. De plus, elle invite à reconsidérer les enjeux de la participation à l'aune de son inscription historique. L'exigence participative formulée au cours des années 1970 joue un rôle dans la généalogie de la participation contemporaine, mais ne s'y réduit pas. Elle couvre un champ de significations variées qu'il importe de mieux caractériser. Ceci conduit à prendre la mesure des autres interprétations, mais aussi des autres " modes de gouvernementalité " auxquels correspond la participation. Une attention spécifique est portée au modèle de la politique expérimentale. Le premier chapitre, sur les modes de désignation du pouvoir, fonde la démarche théorique et méthodologique adoptée, et indique la perspective d'une approche communicationnelle. Puis, après un état des lieux des discours sur " science et politique " au tournant des années 1970 (chapitre 2), l'analyse porte successivement sur trois définitions émergentes de la participation, données par la critique des sciences, l'OCDE et le domaine STS (chapitres 3, 4, 5). Le chapitre 6 analyse les opérations de circulation par lesquelles ces définitions se rencontrent et forment un régime de discours nouveau. Ce régime de discours, en reconfigurant les représentations de la science et de la politique, impose des modes de gouvernement. L'un d'eux fait l'objet d'une analyse plus développée et sera caractérisé par l'expression de " politique expérimentale ".
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La théorie des courbes et des équations dans la Géométrie cartésienne : 1637-1661. [version corrigée]

Maronne, Sebastien 19 September 2007 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous étudions trois thèmes qui nous sont apparus centraux dans la Géométrie cartésienne : le problème de Pappus, le problème des tangentes et des normales, et un problème de gnomonique connu sous le nom de Problema Astronomicum. Par " Géométrie cartésienne ", nous entendons le corpus formé non seulement par la Géométrie, publiée en 1637, mais également par la Correspondance cartésienne et les deux éditions latines placées sous la direction de Frans van Schooten, publiées respectivement en 1649 et 1659-1661. Nous étudions la genèse de la théorie des courbes géométriques définies par des équations algébriques en particulier à travers les controverses qui apparaissent dans la correspondance cartésienne : la controverse avec Roberval sur le problème de Pappus, la controverse avec Fermat sur les tangentes, et la controverse avec Stampioen sur le Problema astronomicum. Nous souhaitons ainsi montrer que la Géométrie de la Correspondance constitue un moyen terme entre la Géométrie de 1637 et les éditions latines de 1649 et 1659-1661, mettant en lumière les enjeux et les difficultés du processus de création de la courbe algébrique comme objet. D'autre part, nous examinons la méthode des tangentes de Fermat et la méthode des normales de Descartes, en les rapportant à une matrice commune formée par le traité des Coniques d'Apollonius, plus précisément, le Livre I et le Livre V consacré à une à théorie des droites minimales.
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La théorie des courbes et des équations dans la Géométrie cartésienne : 1637-1661. [version déposée]

Maronne, Sebastien 19 September 2007 (has links) (PDF)
Dans cette thèse, nous étudions trois thèmes qui nous sont apparus centraux dans la Géométrie cartésienne : le problème de Pappus, le problème des tangentes et des normales, et un problème de gnomonique connu sous le nom de Problema Astronomicum. Par " Géométrie cartésienne ", nous entendons le corpus formé non seulement par la Géométrie, publiée en 1637, mais également par la Correspondance cartésienne et les deux éditions latines placées sous la direction de Frans van Schooten, publiées respectivement en 1649 et 1659-1661. Nous étudions la genèse de la théorie des courbes géométriques définies par des équations algébriques en particulier à travers les controverses qui apparaissent dans la correspondance cartésienne : la controverse avec Roberval sur le problème de Pappus, la controverse avec Fermat sur les tangentes, et la controverse avec Stampioen sur le Problema astronomicum. Nous souhaitons ainsi montrer que la Géométrie de la Correspondance constitue un moyen terme entre la Géométrie de 1637 et les éditions latines de 1649 et 1659-1661, mettant en lumière les enjeux et les difficultés du processus de création de la courbe algébrique comme objet. D'autre part, nous examinons la méthode des tangentes de Fermat et la méthode des normales de Descartes, en les rapportant à une matrice commune formée par le traité des Coniques d'Apollonius, plus précisément, le Livre I et le Livre V consacré à une à théorie des droites minimales.
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Divine authority and covenant community in contemporary culture

Billingham, John January 2014 (has links)
The question I address is: how might a theology of authority be conceived in the light of questions raised by what is termed 'post-modernity'? Is it possible to articulate a theology of authority coming to the church community 'from God' that avoids an oppressive and alienating heteronomy? The thesis explores the question of authority as of vital importance in the sociological dimension of religion, calling for legitimisation (in light of claims made for itself) and as obligatory in the theological sphere. For this reason the project involves two methodologies (theological and sociological/ethnographic). While this investigation is relevant to all sections of the Christian church, particular attention is paid to Baptist churches in the UK, since they hold a concept in their tradition that I suggest is valuable in answering the question of the thesis, namely that of covenant. Within the Christian tradition there is an inner 'problematic' relating the personal authority of Christ to the forms of institution (church) and text (scripture). I explore this with a brief survey of theological authority as found in the fourfold foundation of scripture, tradition, reason and experience. From this is developed a brief theological and Christological reflection on divine authority and covenant theology as found in Karl Barth and his response to the 'inner problematic'. Within contemporary culture I view authority through the lens of so-called 'postmodernism', identifying four challenges to the notion of 'external authority' (all of which exemplify a move from the external to internal, and objective to subjective approaches to authority). This is further explored by means of qualitative research with one-to-one interviews conducted in a Baptist church in York. This data is reflected upon by means of ethnography and 'judicious narratives', especially in dialogue with material from Guest ('congregational study'), Heelas and Woodhead ('subjectivised-self') and Healy ('theodramatic horizon' and 'practical-prophetic ecclesiology'), providing an intersection between the language of theology and sociology. The concept of church as covenant community is explored in Baptist and (more briefly) Anglican traditions, leading to a constructive proposal that both the inner-church 'problematic' and the 'postmodern' challenge to authority might begin to be resolved with the notion of covenant. It is within this context of relationship, human and divine, that the authoritative and revelatory Word of God, the story that is Christ, is found in community and praxis. Here is a 'triangulating' relationship between authority, story and covenant revealing divine authority in a non-coercive way and relevant to contemporary culture.
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Politics, subjectivity and the public/private distinction : the problematisation of the public/private relationship in political thought after World War II

Panton, James January 2010 (has links)
A critical investigation of the public/private distinction as it has been conceived in Anglo-American political thinking in the second half of the 20th century. A broadly held consensus has developed amongst many theorists that public/private does not refer to any single determinate distinction or relationship but rather to an often ambiguous range of related but analytically distinct conceptual oppositions. The argument of this thesis is that if we approach public/private in the search for analytic or conceptual clarity then this consensus is correct. Against this I propose that a number of the most dominant invocations of the distinction can be understood to express public/private as an irreducibly political dialectic that mediates the relationship between the subjective and objective side of social and political life. By locating these conceptually diverse invocations within a broader and more determinate framework of the historical development and contestation of the boundaries which establish the conditions for subjectivity, as the assertion of political agency, on the one hand, and which demarcate, police and defend these particular boundaries, as part of the objectively given character of social life and institutional organisation, on the other hand, then a more determinate character to public/private can be recognized. I then seek to explore the capacity of this model to capture and explain the peculiar post-war problematisation of public/private amongst a number of new left thinkers in Britain and America.
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Races et dégénérescence. L'émergence des savoirs sur l'homme anormal

Doron, Claude-Olivier 26 November 2011 (has links) (PDF)
Cette thèse fait l'histoire conjointe des notions de " race " et de " dégénération/ dégénérescence " entre le XVIIe et le XIXe siècle. Elle envisage cette histoire tant du point de vue d'une épistémologie historique - " comment race et dégénérescence sont devenues les concepts de savoirs divers " (histoire naturelle, anthropologie, psychiatrie) - et d'une histoire des pratiques de gouvernement - " comment race et dégénérescence sont devenues des problèmes de gouvernement ". En prenant au sérieux la liaison entre ces deux notions, on vise à rendre compte de la formation, au XIXe siècle, d'un champ de savoirs qui se donnent pour objet ce que nous appelons " l'homme anormal ", c'est-à-dire cette figure bien particulière en laquelle la folie, la criminalité et les races " inférieures " viennent communiquer comme autant de déviations de la norme humaine, à la lisière du normal et du pathologique. Notre thèse décrit les catégories fondamentales qui organisent ce champ de savoirs. Plus profondément, il s'agit ainsi de montrer comment, loin d'être exclusif d'un discours universaliste et humaniste, loin d'être systématiquement corrélé à un dispositif d'exclusion, le discours de la race et de la dégénérescence est intimement lié à un humanisme théorique et pratique, ainsi qu'à des pratiques d'inclusion qui se focalisent non sur la race, la folie et le crime comme altérités radicales, mais comme des altérations qu'il convient de régénérer, de corriger et de perfectionner par des dispositifs de pouvoir particuliers. Ce sont les ambiguïtés et les apories qui logent au cœur de cette volonté d'inclusion et dans cette analyse de réalités hétérogènes en termes d'altérations d'une norme que nous étudions à travers ce parcours historique. Nous démontrons en particulier le lien profond qui existe entre l'entrée de la notion de " race " dans le champ naturaliste et une position monogéniste ; et d'autre part, qu'on ne saurait comprendre l'entrée de la même notion dans le champ politique et - plus généralement - le développement de tout un ensemble de savoirs sur l'homme anormal, sans les resituer dans la logique du libéralisme politique du début du XIXe siècle.

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