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Glace ; suivi de Une écriture hystérique?Lauzon, Geneviève January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La représentation de la névrose dans les Rougon-Macquart et Lourdes d’Emile Zola / Nevrosis representation in les Rougon-Macquart and Lourdes from Emile ZolaOulaï, Monné Caroline 13 October 2012 (has links)
La névrose compte parmi les pathologies les plus répandues sous le Second Empire. Elle met en évidence à la fois la France saine et la France détraquée. Le progrès technique, l’essor industriel et le développement du capitalisme, suscitent des appétits, qui mal satisfaits, sont sources de déséquilibre. Trois états caractérisent alors le processus physiologique français, les appétits, la jouissance et le détraquement. Ainsi, de la jouissance collective, l’on aboutit à la névrose collective dans cette société décadente. Emile Zola qui peint alors la société contemporaine, traduit dans de nombreux ouvrages tels que Les Rougon-Macquart et Lourdes, son intérêt pour la névrose. Cet intérêt de l’écrivain s’explique non seulement par le fait que son époque est névrosée mais aussi parce qu’il est lui-même névrosé. Afin de guérir du mal névrotique, Zola propose à la fois son projet d’hygiène individuelle et son projet social. La panacée qu’il conseille alors, est d’une part la loi du travail et la loi de l’amour naturel et d’autre part, la canalisation des passions et la réorganisation de la société. / Neurosis is one of the most widespread pathologies under the Second Empire. It highlights both a healthy France and a contorted France. Technical progress, industrial development and the growth of capitalism, encourage greed, which, when poorly fed, is source of imbalance. Three States then characterize the French physiological process: greed, enjoyment and dissatisfaction. Thus, from collective enjoyment, it ends up with a collective neurosis in this decadent society. Emile Zola who then painted contemporary society, depicts in many books such as the Rougon-Macquart and Lourdes, his interest for neurosis. This interest of the writer is not only linked to the fact that his time is neurotic but also because he himself is neurotic. In order to cure himself from the neurotic disease, Zola provides both his individual health project and his social project. The panacea he advises, is on the one hand the law of labour and the law of natural love, and on the other hand the channeling of the passions and the reorganization of society.
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Hystérie palindromes ; suivi de, Psycho-pathologie poétiqueTremblay, Jean-Philippe 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire, tant dans l'écriture poétique que dans la réflexion qui l'accompagne, tente d'user d'une forme d'inconfort en ce qui a trait à ma posture en tant que poète. Constituée de déchirements et de tensions irrésolues liées à l'aventure sociale et humaine que présente l'époque, à une expérience intime de l'institution littéraire et à une approche de la poésie qui se veut viscérale et orale, tentant d'héberger autant que de dénoncer cet inconfort, ce malaise. Il témoigne en ce sens d'une pathologie poétique, identifiable autant dans ses symptômes, les poèmes, que dans son diagnostic réflexif. Une somme d'incohérences qui résultent tout de même, j'ose l'espérer, en une représentation pertinente de l'auteur au cœur de son époque, d'un certain déséquilibre contemporain lié à la possibilité d'occuper à la fois la place du médecin et celle du patient, la place de l'analyste comme celle de la substance. Il contient avant tout bon nombre de charges contre la fiction gargantuesque et satisfaite qu'est devenu ce monde, et un peu d'espoir pour la poésie comme potentialité de subversion des idées préfabriquées que l'on paye pour adopter, desquelles on s'habille. Une idée de la poésie comme manière, justement, de déchirer peut-être quelque chose des costumes quotidiens, autant d'homme et de citoyen que de poète, et de mettre à nu un peu de chair au risque d'exposer ses faiblesses, ses insuffisances. Parce que même au cœur du pire des hivers, dévoiler même furtivement, même mal, les plaies et les marques de ce temps est le seul devoir moral qu'il m'apparaisse possible d'invoquer pour expliquer ma pathologie, mon engagement dans l'expression de quelque chose d'irrésolu entre moi et le monde dont seul le poème parvient à tracer le contour.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poésie, Malaise, Hystérie, Hivers, Urbanité, Institution littéraire
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La représentation de la femme hystérique dans le roman naturaliste (L'Hystérique de Camille Lemonnier et Lourdes d'Émile Zola)Savard, Chantale January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Figurations psychiques de la pénétration dans sa valence passive : les phénomènes d'influence psychotique et hypnotique comme manifestations du féminin / Psychic figurations of penetration in its passive form : psychotic and hypnotic influence phenomena as manifestations of femininePoupart, Florent 02 July 2013 (has links)
La question de l'essence de la sexualité féminine est l'une de celles qui firent d'emblée le plus débat au sein de la communauté psychanalytique, allant parfois jusqu'à être escamotée (le "continent noir" de Sigmund Freud). Toutefois, on sait que Freud a laissé échapper des bribes d'une théorisation alternative: on y rencontre une femme dotée d'un orifice vaginal, et dont le but sexuel passif est d'être pénétrée. D'où provient cette appétence à accueillir passivement l'autre en soi ? La pénétration génitale dans sa valence passive constitue le but pulsionnel ultime du développement psychosexuel féminin, celui qui permet la reproduction. Toutefois, il semble probable qu'une représentation psychique de celle-ci n'est pas le produit d'une génération spontanée à la puberté (comme l'a parfois suggéré Freud), mais qu'elle plonge ses racines dans les temps prégénitaux: elle ne peut manquer de s'appuyer sur la réalité du corps de la fille comme du garçon, porteur d'une dimension contenante-excitable. C'est pourquoi il nous semble possible d'isoler une composante pulsionnelle spécifique, qui vise le but passif d'être pénétré: une composante pulsionnelle vaginale. Les phénomènes d'influence apparaissent paradigmatiques de la figuration psychique de la pénétration. Nous avons choisi d'en considérer deux modalités: le délire d'influence constitue une résolution, dans le champ psychotique, de l'ambivalence à l'égard du désir vaginal; sous hypnose, la modification de l'état de conscience favorise l 'appétence à s'abandonner aux suggestions de 1'hypnotiseur, en neutralisant, par divers procédés, les résistances du sujet qui relèvent d'un refus du vaginal. / Female sexuality is one of the issues which made at once most debate within psychoanalytical community (the "Black continent", Sigmund Freud said). However, we know that Freud, in some texts, let out fragments of an alternative theory: it offers a woman endowed with a vaginal aperture, and whose passive sexual aim is to be penetrated. Where does this desire to receive passively the other into oneself come from? Genital penetration in its passive form is the ultimate instinctual aim of female psycho-sexual development, the one who enables reproduction. However, it seems likely that a psychic representation of it is not the product of a spontaneous generation during the puberty (as Freud sometimes suggested), but that roots in pre-genital period: it relies without fail on the reality of girl or boy's body, which carries a containing-excitable feature. Accordingly, it seems possible to isolate a specific instinctual component, which aims at the passive purpose to be penetrated: a vaginal instinctual component. Influence's phenomena seem paradigmatic of a psychic figuration of penetration. We chose to consider two modalities of it: delusion of control is a resolution, in the psychotic experience area, of the ambivalence towards vaginal desire; under hypnosis, modified state of consciousness favors surrendering to hypnotist's suggestions, in so far as it neutralizes, by diverse processes, subject's resistances, which recover from a refusal of the vaginal.
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La question du père et du fils dans l'autofiction (S. Doubrosky, A. Robbe-Grillet, H. Guibert) / The question of the father and the son in the fiction (S. Doubrovsky, A. Robbe-Grillet, H. Guibert)Samé, Emmanuel 20 January 2012 (has links)
A travers Fils de S. Doubrovsky, Le Miroir qui revient d’A. Robbe-Grillet et A l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie d’H. Guibert, notre étude abordera par une approche psychanalytique le fantasme à l’oeuvre dans l’autofiction. Reprenant la formule d’A. Robbe-Grillet sans toutefois nous imputer le propos, notre réflexion s’articulera autour de deux axes rendant compte du discours autofictionnel. Dans un premier temps, l’autobiographe est appréhendé dans cette pente à « faire sa propre statue ». Dans un second temps, l’autofictionnaliste y oppose cette volonté à « se projeter hors de soi ». Peu à peu se construit face au père-analyste ou au père-médecin l’imaginaire adolescent d’un fils en proie à ses apories : l’un devient une figure rivale et gémellaire de l’autre autour de cette parole-pulsion et de son économie. Dans ce rapport d’addiction à la Loi qui est autant de désintrication et d’ironie que de nostalgie et d’adhésion, le gynogenre autofictionnel ne semble exister qu’en miroir du phallogenre autobiographique. L’autofictionnaliste ne cesse d’évoquer par une ironie tenant lieu d’exorcisme cet autobiographe qui sommeille en lui. Par une rhétorique psychanalytique volontairement simple, il se présente sous l’image d’un fils soumis à une structure hystérique face à un père dont il déjoue la censure et les pudeurs. Cette figure d’ultra-autobiographe, plus intègre que le père lui-même, ferait de ses voeux autobiographiques une promesse donjuanesque à seule fin de susciter le désir de l’auteur. L’autofictionnaliste jouant à être cet autobiographe plus « ultra » que le père essaimerait quelques leurres se révélant être des figures gratuites, abandonnerait çà et là quelques aveux véridiques mais insignifiants, tendrait à séduire le lecteur et à le faire entrer dans une mécanique du désir dont la fin serait de dominer sa victime par l’indécidable. Il tiendrait le jeu de l’énigme autant qu’il écrirait. Il soutiendrait le désir du lecteur plus qu’il ne dévoilerait. Ainsi, se construirait un texte blanc qui serait ce secret d’un texte à venir sans cesse promis mais qui neviendrait pas, tout le jeu consistant à le faire oublier. / This thesis will study the construction of fantasy in autofictional writing from a psychoanalytical perspective, focusing on Serge Doubrovsky’s Fils, Alain Robbe-Grillet’s Le Miroir qui revient and Hervé Guibert’s A l’ami qui ne m’a pas sauvé la vie. Taking up a phrase by Alain Robbe-Grillet’s, this study will rely on two different axes to inform autofictional discourse: firstly, the autobiography writer is bent on “creating an own statue of himself” while, on the other hand, the autofiction writer sets out to “project an image out of himself”, as it were. Gradually, there emerges the teenage imaginary construction of a son caught up in his aporias when faced with the analyst-father of the doctor-father — one becomes the rival and twin figure of the other as constructed around this drive-discourse. Through its addiction to the Law, which is distanciation and irony as much as nostalgia and allegiance, the autofictional gynogenre seems to exist only as a mirror image of the autobiographical phallogenre. Through irony that is meant as liberation, the autofiction writer keeps referring to the autobiographer in him. Using a deliberately simple psychoanalytical rhetoric, he portrays himself as a son with a hysterical structure having to sidestep his father’s censorship and restraint. This figure of an ultra-autobiographer — which is more reliable than the father — gestures towards autobiography as a Don Juan-like promise with a view to arousing the author’s desire. The autofiction writer who plays at being a more ultra autobiographer than the father, creates luring but gratuitous figures and gives away true but insignificant confessions, as a way of trying to seduce the reader into participating in a mechanism of desire whose purpose is to dominate his victim through ontological undecidability. He is both the one who masters the enigma and the one who writes it. He does not so much reveal the reader’s desire as sustains it. Therefore, a blank text is being built which is that element of secrecy of a text that has yet to come, the whole game consisting in letting it slip from memory.
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Journaux intimes de la folie : étude différentielle de l'écriture du sujet dans l'hystérie et la schizophrénie à partir des écrits de Mary Barnes et de Vaslav NijinskiMoulinier, Ann-Gaël 19 June 2010 (has links) (PDF)
Cette thèse explore la topologie de l'inconscient, afin de déterminer comment se constitue l'écriture du sujet, à travers la perspective lacanienne du nouage des registres réel, symbolique et imaginaire. L'auteur présente une analyse différentielle, à partir de l'autobiographie de Mary Barnes et du journal intime de Nijinski. Si dans l'hystérie de M. Barnes le symptôme, vécu comme un voyage initiatique par le sujet, tient fermement les trois registres ensemble et que dans la schizophrénie de V. Nijinski, il existe un nouage de type sinthomatique tel que l'a exposé J. Lacan dans le Séminaire XXIII, qui se trouve saboté par l'arrêt de la danse, l'écriture, dans la névrose comme dans la psychose, peut être envisagée comme l'effet du mouvement rétrograde imposé par le désir lui-même. Ce travail, enfin, vise à continuer la conception lacanienne de la topologie des psychoses
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La question du père et du fils dans l'autofiction (S. Doubrosky, A. Robbe-Grillet, H. Guibert)Samé, Emmanuel 20 January 2012 (has links) (PDF)
A travers Fils de S. Doubrovsky, Le Miroir qui revient d'A. Robbe-Grillet et A l'ami qui ne m'a pas sauvé la vie d'H. Guibert, notre étude abordera par une approche psychanalytique le fantasme à l'oeuvre dans l'autofiction. Reprenant la formule d'A. Robbe-Grillet sans toutefois nous imputer le propos, notre réflexion s'articulera autour de deux axes rendant compte du discours autofictionnel. Dans un premier temps, l'autobiographe est appréhendé dans cette pente à " faire sa propre statue ". Dans un second temps, l'autofictionnaliste y oppose cette volonté à " se projeter hors de soi ". Peu à peu se construit face au père-analyste ou au père-médecin l'imaginaire adolescent d'un fils en proie à ses apories : l'un devient une figure rivale et gémellaire de l'autre autour de cette parole-pulsion et de son économie. Dans ce rapport d'addiction à la Loi qui est autant de désintrication et d'ironie que de nostalgie et d'adhésion, le gynogenre autofictionnel ne semble exister qu'en miroir du phallogenre autobiographique. L'autofictionnaliste ne cesse d'évoquer par une ironie tenant lieu d'exorcisme cet autobiographe qui sommeille en lui. Par une rhétorique psychanalytique volontairement simple, il se présente sous l'image d'un fils soumis à une structure hystérique face à un père dont il déjoue la censure et les pudeurs. Cette figure d'ultra-autobiographe, plus intègre que le père lui-même, ferait de ses voeux autobiographiques une promesse donjuanesque à seule fin de susciter le désir de l'auteur. L'autofictionnaliste jouant à être cet autobiographe plus " ultra " que le père essaimerait quelques leurres se révélant être des figures gratuites, abandonnerait çà et là quelques aveux véridiques mais insignifiants, tendrait à séduire le lecteur et à le faire entrer dans une mécanique du désir dont la fin serait de dominer sa victime par l'indécidable. Il tiendrait le jeu de l'énigme autant qu'il écrirait. Il soutiendrait le désir du lecteur plus qu'il ne dévoilerait. Ainsi, se construirait un texte blanc qui serait ce secret d'un texte à venir sans cesse promis mais qui neviendrait pas, tout le jeu consistant à le faire oublier.
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Figurations psychiques de la pénétration dans sa valence passive : les phénomènes d'influence psychotique et hypnotique comme manifestations du fémininPoupart, Florent 02 July 2013 (has links) (PDF)
La question de l'essence de la sexualité féminine est l'une de celles qui firent d'emblée le plus débat au sein de la communauté psychanalytique, allant parfois jusqu'à être escamotée (le "continent noir" de Sigmund Freud). Toutefois, on sait que Freud a laissé échapper des bribes d'une théorisation alternative: on y rencontre une femme dotée d'un orifice vaginal, et dont le but sexuel passif est d'être pénétrée. D'où provient cette appétence à accueillir passivement l'autre en soi ? La pénétration génitale dans sa valence passive constitue le but pulsionnel ultime du développement psychosexuel féminin, celui qui permet la reproduction. Toutefois, il semble probable qu'une représentation psychique de celle-ci n'est pas le produit d'une génération spontanée à la puberté (comme l'a parfois suggéré Freud), mais qu'elle plonge ses racines dans les temps prégénitaux: elle ne peut manquer de s'appuyer sur la réalité du corps de la fille comme du garçon, porteur d'une dimension contenante-excitable. C'est pourquoi il nous semble possible d'isoler une composante pulsionnelle spécifique, qui vise le but passif d'être pénétré: une composante pulsionnelle vaginale. Les phénomènes d'influence apparaissent paradigmatiques de la figuration psychique de la pénétration. Nous avons choisi d'en considérer deux modalités: le délire d'influence constitue une résolution, dans le champ psychotique, de l'ambivalence à l'égard du désir vaginal; sous hypnose, la modification de l'état de conscience favorise l 'appétence à s'abandonner aux suggestions de 1'hypnotiseur, en neutralisant, par divers procédés, les résistances du sujet qui relèvent d'un refus du vaginal.
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L’hystérie : existe-t-il des différences entre les femmes hystériques et les hommes hystériques ? : Etude à travers l’épreuve de Rorschach et le MMPI-2 / Hysteria : are there differences between hysterical women and hysterical men? : Research through the Rorschach and the MMPI-2Rodrigues, Claire 18 December 2017 (has links)
L’objet d’étude de cette thèse est l'hystérie. Cette structure de personnalité pour certains, ou pathologie pour d’autres, a été au cœur de nombreuses controverses et a fait l'objet de nombreux clichés, le principal étant que seulement les femmes seraient touchées par l'hystérie. Le but de cette recherche est alors de démontrer que les hommes, comme les femmes, peuvent être sujets à l'hystérie et que celle-ci se manifeste de façon relativement similaire chez les deux sexes.Après une présentation de l'hystérie, cinq hypothèses sont posées, portant respectivement sur la difficulté d’identification sexuelle, l’angoisse de castration, la non-résolution du conflit œdipien, la relation d’objet génitale et le recours à des défenses hystéro-phobiques. Pour mettre à l’épreuve ces hypothèses, un échantillon de dix femmes et dix hommes, présentant chacun une structure de personnalité hystérique, a été constitué. Il a été proposé à chacun des entretiens cliniques pour dresser leur anamnèse, le test projectif de Rorschach et le MMPI-2. L’analyse de l’ensemble des données obtenues a révélé que peu de différences entre les deux groupes. L’hypothèse générale selon laquelle beaucoup de points communs existent entre les femmes et les hommes hystériques a alors pu être vérifiée. La recherche ayant été faite sur un nombre restreint de participants, traversant tous une période de souffrance, plusieurs recherches peuvent être faites dans le futur afin de recueillir des données sur un plus grand échantillon, également auprès de personnes présentant une structure de personnalité davantage compensée, ce qui permettrait peut-être une meilleure compréhension de l’hystérie et aiderait à une meilleure prise en charge thérapeutique / This study is about hysteria. This personality structure for some, or pathology for others, has been at the heart of many controversies and has been subject to many clichés, the main one being that only women would be prone to hysteria. The aim of this research is to demonstrate that men, like women, can be prone to hysteria and that its manifestations are relatively similar for both sexes.After a presentation of hysteria, five hypotheses are posed, dealing respectively with gender identity issues, castration anxiety, non-resolution of the oedipal conflict, genital love and the use of hystero-phobic defense mechanisms. To test these hypotheses, a sample of ten women and ten men, each with a hysterical personality structure, was formed. To each participant was offered several clinical interviews according to their history, as well as the Rorschach test and the MMPI-2. Analysis of all the data collected only revealed little difference between the two groups. The general hypothesis that many common points exist between hysterical women and men seems to be verified.The research was carried out with a limited number of participants, all of which were going through a period of suffering. Several other studies could be carried out in the future to collect data on a larger sample and on people with a more compensated personality structure, allowing perhaps a better understanding of hysteria and a better psychotherapic follow up
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