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Issues of Narrativity in the Romantic Piano Opera ParaphraseWalton, Mathew January 2012 (has links)
Although the opera paraphrase was once a cornerstone of the virtuoso pianist's repertoire, as a genre it has traditionally been neglected by a scholarship which prioritizes authenticity and original compositional thought. By approaching this repertoire from a critical standpoint concerned with the production of narrative, this thesis demonstrates the true value of the paraphrase. A review of the current literature on narrative, gesture, and the paraphrase reveals major gaps in the state of research, and this thesis addresses these issues by presenting analyses of several works, in both printed and performed forms. The chapter “Settling the Score” interrogates the score, and argues that through their choice, ordering, and setting of operatic themes in a paraphrase, composers can alter or recreate the narrative of the source opera. By analyzing and comparing by reading the narrative schemes of seven different paraphrases based on Mozart's Don Giovanni, the chapter highlights the agency of the arranger in the production of narrative. The next chapter, entitled “Playing the Part,” suggests that the creation of narrative also extends beyond the work of the composer to encompass the role of the performer. By comparing the use of physical gestures in two video-recorded performances of Liszt's paraphrase Réminiscences de Don Juan, the thesis postulates that a pianist's gestures can influence the audience's perception of narrative. In an attempt to centralize the voice of the performer, the chapter also includes reflective analysis of the author's own performances of Liszt's paraphrase. By employing analytical methods which focus on the production of musical narrative, this thesis demonstrates that the paraphrase is worthy of greater attention, both in scholarship and performance.
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Ignacy Jan Paderewski's Sonata in E-Flat Minor, Op. 21: Insights into his compositional technique and performance style.Nelson, Anne Marie 05 1900 (has links)
The recordings of the legendary pianist Ignacy Jan Paderewski are a valuable documentation of his piano performance style. Knowledge of late-Romantic performance practices gleaned from Paderewski's recordings suggest ways of approaching the performance of his Sonata in E-Flat Minor, Op. 21. This Sonata, composed in 1903 near the end of his compositional career, is a work of the highest caliber, deserving a permanent place in the concert pianist's repertoire. The purpose of this paper is to provide performance suggestions based on Paderewski's performance style which will produce a performance closer to the spirit of the times in which it was written. This study provides an overview of the project in Chapter 1, and a background of Paderewski's life as pianist, composer, and statesman in Chapter 2. A time-line chart of his complete works is included for reference. Chapter 3 analyzes Sonata, Op. 21 in regards to form, sound, melody, harmony, and rhythm. Following the analysis, the Sonata is compared compositionally to sonatas that appear alongside Sonata, Op. 21 on Paderewski's programs, including those by Chopin, Beethoven, and Liszt. Graphs summarize the form and dynamic density of the Sonata, and examples illustrate Paderewski's craft at thematic transformation. Chapter 4 examines Paderewski's performance style documented in recordings of his own compositions and of works by Chopin, Schumann, Liszt, and Beethoven. Consideration is given to various aspects of interpretation, including counterpoint, asynchrony, tempo rubato, rhythmic variance, and pedaling. Each of these aspects of Paderewski's performance style is illustrated with transcriptions of excerpts from Paderewski's recordings. The author proposes examples of application of these aspects to Paderewski's Sonata, Op. 21. Chapter 5 provides a summary of the project. Appendix A contains an analysis of the rhythmic grouping that performers may find useful, and Appendix B contains the recital programs required for the degree program.
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"Ce ne sont pas la chair et le sang..." : les conditions bibliques de l'élaboration de l'élection dans la pratique des Exercices spirituels d'Ignace de LoyolaGrondin, Christian 20 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Depuis 1976, le Centre de spiritualité Manrèse de Québec (CSM) s'est affirmé comme une école originale au service du renouveau des Exercices spirituels d'Ignace de Loyola. Sur la toile de fond de son appréhension des Exercices comme un paradigme biblique de l'expérience spirituelle, deux éléments de sa pratique d'accompagnement se détachent : une option préférentielle pour les Exercices dans la vie courante (EVC) faits en groupe, et une interprétation de l'élection axée sur la révélation d'un « nom nouveau » porteur de « l'identité spirituelle personnelle » du sujet exercitant. La présente thèse se met à l'écoute des conditions bibliques de l'élaboration de l'élection dans le cadre de la pratique du CSM. L'originalité de cette recherche se manifeste dans un travail de lecture sémiotique des trois « textes » constitutifs de cette pratique : le texte des Exercices spirituels - normatif, le texte de la tradition herméneutico-pédagogique du Centre Manrèse, et le texte des récits de sujets ayant vécu les EVC au CSM. L'analyse du texte ignatien met d'abord en lumière la présence d'un quatrième texte, celui des évangiles, notamment Le 2,41-52, posé comme un métalangage donnant forme à l'élection et à l'ensemble de l'oeuvre des Exercices. Il apparaît alors que la figure ignatienne de l'élection, structuralement biblique, assume l'ordre théologal de la filiation, institué dans le Verbe trinitaire et inextricablement lié à la figure de l'humilité du Christ de la passion. Des consonances et des dissonances significatives, du point de vue de la mise en discours de l'élection, se font dès lors entendre entre le texte ignatien et les deux autres textes, témoins de la pratique spécifique du CSM. Il s'ensuit un essai de réinterprétation de l'élection, dont la clé biblique est un acte de nomination dans le Verbe filial et pascal, et une proposition de réforme de la pratique EVC, centrée sur la lecture biblique en groupe. Plus largement, ces considérations théologiques relatives à l'élection et à l'accompagnement spirituel ignatien interrogent les pratiques de la parole dans l'Église. Elles ouvrent le chemin d'une spiritualité de sujets de la Parole, une spiritualité élaborée par et pour le peuple de Dieu.
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Collégialité catholique et synodalité orthodoxe : recherches sur l’ecclésiologie du Concile Vatican II, ses sources, sa réception et son rôle dans le dialogue entre les Églises / Catholic collegiality and orthodox synodality : research on the ecclesiology of the Vatican II Council, its sources, its reception and its role in the dialogue between the ChurchesMiltos, Thomas 20 May 2017 (has links)
La synodalité paraît être aujourd’hui un thème très actuel, tant pour le dialogue théologique bilatéral entre les Églises catholique et orthodoxe, qu’à l’intérieur de chaque Église. Le pontificat du pape François a mis l’accent sur la synodalité et l’Église orthodoxe vient de réaliser son Grand et Saint Concile (Crète, juin 2016). Le Concile Vatican II en 1964 a promulgué la doctrine de la collégialité épiscopale (les évêques constituent un collège qui succède au collège des Douze Apôtres), doctrine qui devait rapprocher les ecclésiologies catholique et orthodoxe. Cependant, les théologiens orthodoxes ne se sont pas retrouvés dans cette doctrine. Cinquante ans après sa promulgation, on remarque par ailleurs que la mise en œuvre de la collégialité épiscopale dans l’Église catholique est plutôt limitée. Cette étude a tenté de confronter les notions de collégialité épiscopale et de synodalité épiscopale, en vue d’une compréhension commune, entre catholiques et orthodoxes, de la place des évêques au sein de l’Église entière. Partant du constat que la synodalité épiscopale, comme l’entendent les orthodoxes, ne coïncide pas avec la doctrine de la collégialité épiscopale comme elle a été formulée au concile Vatican II, le présent travail s’est penché sur les fondements de cette dernière, afin de rechercher comment la tradition commune originelle des deux Églises conçoit la synodalité épiscopale. Le retour aux sources communes, à savoir bibliques, patristiques et dogmatiques, est proposé comme la base d’une entente sur les questions du ministère épiscopal et de la synodalité des évêques. Une telle entente s’avère indispensable afin d’aborder d’autres questions controversées, notamment celle de la primauté romaine. / Synodality seems to be a very current topic, both for the bilateral theological dialogue between the Catholic and Orthodox Churches, and for each individual Church. The pontificate of Pope Francis has emphasized synodality and the Orthodox Church has just convened its Great and Holy Council (Crete, June 2016). The Second Vatican Council in 1964 promulgated the doctrine of episcopal collegiality (the bishops are organized in a college which succeeds the Quorum of the Twelve Apostles), a doctrine which was to bring closer Catholic and Orthodox ecclesiologies. However, the Orthodox theologians did not appreciate the value of this doctrine. Fifty years after its promulgation, it is also noted that the implementation of episcopal collegiality in the Catholic Church is rather restricted. This research attempts to compare the notions of episcopal collegiality and episcopal synodality, exploring a common understanding between Catholics and Orthodox of the place of the bishops within the whole Church. For Orthodox theologians, episcopal synodality does not coincide with the doctrine of episcopal collegiality, as it was formulated during the Second Vatican Council. This research focused on the common tradition of the two Churches regarding episcopal synodality. The study of common sources, namely biblical, patristic and dogmatic, is proposed as the basis for an agreement on the issue of episcopal ministry and the synodality of bishops. Such an agreement is essential to address other issues, especially that of the Roman primacy.
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La participation sacerdotale au témoignage de Dieu : des affirmations bibliques aux écrits du milieu antiochien des premiers siècles : Paul, Ignace d’Antioche et Jean Chrysostome / The priestly participation at the testimony of God : biblical affirmation in the writings of the Antiochian authors in the first centuries : Paul, Ignatius of Antioch and John ChrysostomDziadowicz, Aleksander 10 April 2015 (has links)
L’objet principal de cette étude théologique est le témoignage dans le ministère sacerdotal, analysé à partir du verset Ac 1, 8 . Le milieu antiochien a été privilégié. Il donne l’unité aux textes bibliques et patristiques qui constituent les sources de la thèse. Le témoignage autorisé confié aux apôtres par Jésus Ressuscité s’exprime davantage dans l’enseignement et la liturgie que dans le gouvernement car il ne cesse pas avec la dépossession. De Paul à Ignace et Jean Chrysostome, toujours en référence aux textes prophétiques et à la parole du Christ,on voit s’élaborer une théologie du sacerdoce comme témoignage. / The main purpose of this theological research is to show the testimony in the priestly ministry. Our approach based on the words from Acts 1:8. Biblical and Patristic texts constitutes the sources of the thesis, it is the Antiochian environment that is emphasized and that grants unity to the corpus. The authorized testimony entrusted to the Apostles by Jesus is expressed more in the teaching and the liturgy than in the government because it does not cease with the dispossession. From Paul to Ignatius and John Chrysostom, referring to the prophetic texts and the Word of Christ, we see the development of a theology of the priesthood as testimony.
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L’idée d’un «premier niveau de réflexion» chez Karl Rahner : concept-clé d’une proposition de réforme des études théologiques à l’école de Saint IgnaceChartrand, Martin 09 1900 (has links)
Au début de son Traité fondamental de la foi, Karl Rahner avise le lecteur que l’introduction au concept de christianisme qu’il propose se déploie à ce qu’il nomme un « premier niveau de réflexion » (erste Reflexionsstufe). S’il le distingue explicitement du niveau de réflexion des sciences entendues au sens usuel, il n’en donne pas de définition formelle, s’employant plutôt à le mettre en œuvre. Curieusement, eu égard à l’importance que lui accorde Rahner, la question de ce « plan » alternatif de compréhension et de justification de la foi chrétienne est demeurée pratiquement sans écho (un constat formulé par Max Seckler en 1984 et renouvelé par Karl H. Neufeld en 2006). C'est à cette question du « premier niveau de réflexion » chez Rahner que s'attache la présente étude. Après avoir dressé un état de la question, nous y présentons les jalons du déve-loppement du concept chez Rahner, depuis ses articles sur la formation des prêtres en contexte de pluralisme jusqu’au Traité fondamental de la foi. Nous y montrons ensuite en quoi la référence de Rahner à l'illative sense newmanien, contestée lorsqu’elle n’est pas négligée par les commentateurs, peut être une clé d’interprétation de la notion qui nous occupe, le « sens illatif » (et la Grammar of Assent) éclairant le « premier niveau de réflexion » (et le Traité fondamental), et vice versa. Nous y voyons enfin comment cette référence à Newman met sur la voie des Exercices spirituels d’Ignace de Loyola, lequel aura été pour Rahner non seulement un maître spirituel, mais également un maître de théologie. Ce qui paraissait n’être au début qu’une indication d’ordre didactique se révèle dès lors comme une caractérisation fondamentale de la théologie telle que la com-prend Rahner. / At the start of his Foundations of Christian Faith, Karl Rahner informs the reader that his proposed introduction to the idea of Christianity unfolds on a “first level of reflection” (erste Reflexionsstufe), as he labels it. Although he very clearly differentiates this level from that of the sciences in their usual sense, he does not provide a formal definition of the former, opting rather to implement it in his own work. Considering the importance this alternative “plan” for the understanding and the justification of the Christian faith had for Rahner, it is strangely interesting to note that practically no echo of this matter is found in subsequent literature (as stated by Max Seckler in 1984, and again, Karl H. Neufeld in 2006). The present study is devoted, precisely, to this question of the “first level of reflection”. Following our literature review, we will present the key moments in the development of Rahner’s concept, from his articles on the formation of priests in a pluralistic context to his Foundations of Christian Faith. Next, we will demonstrate how Rahner's reference to Newman's illative sense, though challenged (when not neglected) by commentators, could be a means of interpreting the notion this thesis is concerned with, insofar as the illative sense (and the Grammar of Assent) may shed light on the “first level of reflection” (and Foundations), and visa-versa. Ultimately, we will see how this reference to Newman paves the way to the Spiritual Exercises of St. Ignatius of Loyola, who was to be, for Rahner, not only a spiritual master, but also a theo-logical master. Therefore, what appeared to be a simple didactical opening statement reveals itself to be, from then on, a fundamental characterization of theology as understood by Rahner.
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L’idée d’un «premier niveau de réflexion» chez Karl Rahner : concept-clé d’une proposition de réforme des études théologiques à l’école de Saint IgnaceChartrand, Martin 09 1900 (has links)
Au début de son Traité fondamental de la foi, Karl Rahner avise le lecteur que l’introduction au concept de christianisme qu’il propose se déploie à ce qu’il nomme un « premier niveau de réflexion » (erste Reflexionsstufe). S’il le distingue explicitement du niveau de réflexion des sciences entendues au sens usuel, il n’en donne pas de définition formelle, s’employant plutôt à le mettre en œuvre. Curieusement, eu égard à l’importance que lui accorde Rahner, la question de ce « plan » alternatif de compréhension et de justification de la foi chrétienne est demeurée pratiquement sans écho (un constat formulé par Max Seckler en 1984 et renouvelé par Karl H. Neufeld en 2006). C'est à cette question du « premier niveau de réflexion » chez Rahner que s'attache la présente étude. Après avoir dressé un état de la question, nous y présentons les jalons du déve-loppement du concept chez Rahner, depuis ses articles sur la formation des prêtres en contexte de pluralisme jusqu’au Traité fondamental de la foi. Nous y montrons ensuite en quoi la référence de Rahner à l'illative sense newmanien, contestée lorsqu’elle n’est pas négligée par les commentateurs, peut être une clé d’interprétation de la notion qui nous occupe, le « sens illatif » (et la Grammar of Assent) éclairant le « premier niveau de réflexion » (et le Traité fondamental), et vice versa. Nous y voyons enfin comment cette référence à Newman met sur la voie des Exercices spirituels d’Ignace de Loyola, lequel aura été pour Rahner non seulement un maître spirituel, mais également un maître de théologie. Ce qui paraissait n’être au début qu’une indication d’ordre didactique se révèle dès lors comme une caractérisation fondamentale de la théologie telle que la com-prend Rahner. / At the start of his Foundations of Christian Faith, Karl Rahner informs the reader that his proposed introduction to the idea of Christianity unfolds on a “first level of reflection” (erste Reflexionsstufe), as he labels it. Although he very clearly differentiates this level from that of the sciences in their usual sense, he does not provide a formal definition of the former, opting rather to implement it in his own work. Considering the importance this alternative “plan” for the understanding and the justification of the Christian faith had for Rahner, it is strangely interesting to note that practically no echo of this matter is found in subsequent literature (as stated by Max Seckler in 1984, and again, Karl H. Neufeld in 2006). The present study is devoted, precisely, to this question of the “first level of reflection”. Following our literature review, we will present the key moments in the development of Rahner’s concept, from his articles on the formation of priests in a pluralistic context to his Foundations of Christian Faith. Next, we will demonstrate how Rahner's reference to Newman's illative sense, though challenged (when not neglected) by commentators, could be a means of interpreting the notion this thesis is concerned with, insofar as the illative sense (and the Grammar of Assent) may shed light on the “first level of reflection” (and Foundations), and visa-versa. Ultimately, we will see how this reference to Newman paves the way to the Spiritual Exercises of St. Ignatius of Loyola, who was to be, for Rahner, not only a spiritual master, but also a theo-logical master. Therefore, what appeared to be a simple didactical opening statement reveals itself to be, from then on, a fundamental characterization of theology as understood by Rahner.
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