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L’interdisciplinarité au pays des protocoles : ethnographie du travail d’équipe dans une unité d’hémato-oncologie pédiatrique

Cliche-Galarza, Mariette 08 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise se penche sur la façon dont l’interdisciplinarité peut s’exprimer dans le quotidien d’une équipe de soin, en l’occurrence l’unité d’hémato-oncologie du Centre hospitalier universitaire Ste-Justine. Par une approche ethnographique soutenue par des observations au sein de l’unité et dans des réunions, par du shadowing auprès de divers professionnels et par des entrevues avec les professionnelles, j’ai tenté de sortir du champ gravitationnel de la dyade médecin-infirmière pour m’intéresser aux professions les plus en « marge » : les intervenantes psychosociales et les préposés aux bénéficiaires. J’ai cherché à mieux comprendre la façon dont l’unité se positionne dans la multiplicité de définitions de l’interdisciplinarité, puis cela a mis en lumière l’importance du quotidien et d’une approche de care. C’est quand les soignants tâtonnent, quand ils cherchent des solutions dans la perspective de la vie qui continue, plutôt que le « protocole », qu’ils semblent avoir le plus de facilité à travailler en équipe. Dans ce contexte, les infirmières se retrouvent à jouer un rôle clé, étant les principales interlocutrices à la fois des mondes médicaux et psychosociaux. Parallèlement, le contexte de travail des préposés montre la persistance d’une hiérarchie dans l’unité, malgré un discours faisant la promotion d’une collaboration plus égalitaire. / This Master's thesis examines how interdisciplinarity can be expressed in the daily practice of a healthcare team, in this case the Hematology-Oncology Unit at CHU Ste-Justine. I looked at the daily practice within the unit through an ethnographic lens sustained by observing, shadowing and interviewing various professionals. In an attempt to further understand which type of interdisciplinarity is found in the unit, I tried to escape the doctor-nurse dyad's gravitational field to look at the most "marginal" professions instead – psychosocial workers and healthcare assistants. I sought to better understand which type of interdisciplinarity is practiced in the unit. My work highlights the importance of everyday life and of a logic of care. It is when caregivers are trying and guessing, when they are looking for solutions from a perspective where "life goes on" rather than one that follows the "protocol", that they seem to be the most at ease working as a team. In this context, nurses find themselves playing a key role, being the main interlocutors of both the medical and psychosocial worlds. At the same time, healthcare assistants show us the persistence of hierarchy in the unit, despite a discourse promoting more egalitarian collaboration.
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Un modèle de soins et services en gérontopsychiatrie : quelles conditions pour une intégration en région

Bourricand-Valois, Marie-Françoise 08 1900 (has links)
Ce mémoire traite de l’intégration d’une offre de soins surspécialisés, la gérontopsychiatrie, au sein du système de soins aux personnes âgées souffrant de troubles mentaux du Québec. L’objectif général de cette étude consiste à faire une analyse en profondeur des facteurs favorisant l’émergence de la pratique surspécialisée de gérontopsychiatrie et son implantation, afin d’en déduire des recommandations pour son développement. Dans un premier temps, nous avons analysé les forces porteuses qui ont soutenu l’implantation de cette nouvelle pratique clinique il y a trente années, dans la région de l’Estrie. Ensuite, nous avons identifié la dynamique conjuguée des facteurs cliniques, organisationnels et symboliques ayant soutenu l’institutionnalisation de cette nouvelle pratique. De cette analyse, nous avons tiré des recommandations pour le développement d’une telle pratique dans le réseau local de santé de Drummondville, puis en région Mauricie-Centre-du-Québec. Ces recommandations prennent en compte les particularités de ce nouveau contexte d’implantation. Notre cueillette de données s’appuie sur des entretiens individuels et de groupe, des observations non participantes et l’analyse de documents. L’information est présentée sous la forme d’études de cas permettant de rendre vivants les apports d’auteurs ayant éclairé la dynamique d’intégration d’une nouvelle discipline (Abbott, 1995; Abbott, 2003; Mintzberg, 1985, 1998; Nonaka, 1994). Quatorze recommandations émergent de cette étude. Les quatre premières traitent de la définition de l’objet gérontopsychiatrie, ainsi que de sa diffusion dans les espaces professionnels et organisationnels. Les cinq suivantes portent sur la construction de la dynamique de soutien qui se résume ainsi : tisser des liens dans l’environnement clinique et organisationnel. Quatre recommandations cherchent à faciliter l’institutionnalisation de cette nouvelle pratique dans une dynamique organisationnelle. Il s’agit d’investir la fonction de « champion » (Mintzberg, 1998), à partir d’un noyau où le leadership est partagé, de solliciter des espaces de création et d’alignement des logiques cliniques et organisationnelles. Enfin, la dernière recommandation encourage le soutien du processus de reconnaissance de la gérontopsychiatrie dans la province de Québec. Cette étude permet de générer certains apprentissages. Le premier est de mettre en lumière que des modèles universels pour améliorer l’organisation des services n’existent pas. Seuls des repères contextualisés à travers une analyse en profondeur permettent d’identifier les forces porteuses de l’environnement. Ensuite, il est possible de les utiliser pour identifier les dynamiques cliniques, organisationnelles et symboliques en présence. La réponse sera ainsi toujours adaptée. Le second apprentissage est venu de la mise à l’épreuve de notre modèle conceptuel. Ceci nous a permis de comprendre que nous ne devions pas considérer les facteurs d’intégration symboliques, organisationnels et cliniques comme séparées, tel que présentés dans notre modèle théorique initial. C’est plutôt en utilisant une représentation d’imbrication en spirale, tel que proposé par Nonaka (1994) comme un système « hypertexte », que nous avons pu trouver les repères utiles à une conceptualisation globale de l’interférence des facteurs entre eux. Nous considérons donc que les recommandations formulées pour l’émergence et le développement de la gérontopsychiatrie à Drummondville pourront avoir une pertinence dans une autre région, à la condition expresse de reposer sur une analyse du contexte local et de son environnement. / This memoir discusses the integration of a subspecialized offer of care: geriatric psychiatry in the healthcare system for older people with mental disorders in Quebec. The general objective of this study is to do a in-depth analysis of factors favoring the emergence of subspecialized geriatric psychiatry practice and its implementation, to deduce recommendations for its development. First, we analyzed the supporting strengths enabling the establishment of this new clinical practice, thirty years ago, in the Eastern Townships. Next, we identified the combined dynamic of clinical, organizational and symbolic factors which supported the institutionalization of this new practice. Then, we have identified the combined dynamic of the clinic, organizational and symbolic factors having supported the institutionalization of this new practice. From this analysis, we have deducted recommendations for the development of this practice in the Drummondville local healthcare network, then in Mauricie-Centre-du-Québec. Our data gathering is based on individual and group meetings, non-participating observations, and the analysis of documents. The information is presented in the form of case studies, permitting to bring alive contributions from leading authors who enlightened the dynamic integration of this new discipline (Abbott, 1995, 1999; Mintzberg, 1985, 1998; Nonaka, 1994). Fourteen recommendations emerge from this study. The first four dealt with the definition of geriatric psychiatry entity as well as its dissemination in professional and organizational spaces. The next five dealt with the support of the dynamic construction which can be summarized by the following: building links within the clinical and organizational environment. Four recommendations aim to facilitate the institutionalization of this new practice in an organizational dynamic. It is a question of fully engaging oneself as a "champion" (Mintzberg, 1998), from a core where the leadership is shared, to request spaces for the creation and the alignment of the clinical and organizational logics. The final recommendation is to support the geriatric psychiatry recognition process in the province of Quebec. This study permits the generation of some learning. The first one is to highlight that universal models to improve organization do not exist. Only contextualized benchmarks, through an in-depth analysis, will allow us to identify and use promising environmental strengths. Afterwards, we will be able to use them for the identification of clinical, organizational and symbolic dynamics involved. The answer provided then will always be adapted. The second learning emerged from testing our conceptual model. This enabled us to realize that we could not use clinical, organizational and symbolic factors of integration in separate boxes, as presented in our initial theoretical model. It is rather in using a spiral nesting representation, such as the one proposed by Nonaka (1994), called an «hypertext» system, that we were able to find the needed benchmarks, within the global conceptualization of the interference of factors between them. We therefore consider that the results, expressed in the recommendations supporting the emergence and the development of geriatric psychiatry in Drummondville, may be of relevance in another region, with the express condition that the local and environmental contexts be analyzed.
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La transition du curatif aux soins de fin de vie en néonatologie : une ethnographie de la prise de décision chez les soignants

Dorval, Geneviève 03 1900 (has links)
Ce mémoire de maîtrise en anthropologie est le résultat d’une recherche de terrain menée au service de néonatologie du CHU Sainte-Justine et ayant pour objectif de documenter les pratiques décisionnelles entourant l’arrêt des traitements curatifs chez les patients. La fin de vie de ces patients est traversée par des enjeux de nature éthique, socioculturelle et professionnelle. Par le biais d’observations prolongées et d’entretiens menés auprès de soignants de ce service, ces fins de vie se sont révélées tissées d’incertitude et propices aux divergences d’opinions. Loin d’être distribuées de manière arbitraire, ces divergences se dessinent souvent en fonction des corps de métiers. Elles ont donc été étudiées en relation avec l’organisation du travail en néonatologie pour saisir l’influence qu’exerce cette dernière sur la formation des valeurs et des postures morales des soignants. Les rapports qu’entretiennent les professionnels avec l’incertitude, ainsi que le partage (ou non) de la prise de décision au sein de l’équipe soignante se rattachent à ces postures morales et dévoilent des dynamiques sociales et organisationnelles à l’oeuvre dans ce service hospitalier. En dernier lieu, le travail en néonatologie fut observé à la loupe des dimensions cure et care des soins de santé. Depuis cette optique, la fin de vie apparaît comme une occasion de prise en charge qui reconnaît la singularité et l’humanité des soignants comme des soignés. / This master's thesis in anthropology is the result of fieldwork conducted in the neonatal intensive care unit of the CHU Sainte-Justine. It aims to document the decision-making practices regarding the withdrawal of life-sustaining interventions. The patients’ end-of-life treatment decisions are underpinned by ethical, socio-cultural, and professional issues. Through extended observations and interviews with caregivers from this service, these situations have proven to be riddled with uncertainty and characterized by differences of opinion. Far from being randomly distributed, these differences are generally divided along the lines of the medical and nursing professions. This study therefore concentrates on the organization of work in neonatology to better understand its influence on the formation of values and moral stances. The healthcare professionals’ relationship with uncertainty, as well as the choice to share or not the decision-making process within the healthcare team, are connected to these moral positions and reveal social and organizational dynamics at work within this hospital department. Finally, work in neonatology is observed through the lens of the cure and care dimensions of healthcare. From this perspective, end-of-life situations appear as an opportunity to offer care while recognizing the singularity and humanity of both caregivers and care receivers.
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Typologie organisationnelle des équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires au Québec et leur relation avec les caractéristiques populationnelles

Rodríguez Duarte, María Alejandra 10 1900 (has links)
Background: Interprofessional primary health care teams are groups of health care professionals who bring together different expertise to provide high quality care to patients in a coordinated, integrated, seamless and accessible manner. Interprofessional primary health care teams operationalize the main model of care organization currently being implemented in Quebec. Although this model of care is conceptualized as homogeneous in terms of organizational structure, the underlying characteristics of this structure can vary considerably. Little is known about the nature and extent of this variability and its relationship to the characteristics of the populations that interprofessional teams serve. Objective: This cross-sectional study aims to develop a typology of interprofessional primary health care teams, first by describing the different organizational profiles of these teams, and then by examining the association between the characteristics of the populations served and the organizational profiles. Methods: A mixture model analysis was performed to describe the different organizational profiles among the 368 interprofessional primary health care teams in Quebec. Administrative data from the Ministère de la Santé et des Services sociaux were used and the following organizational characteristics were considered: numbers of full-time equivalent nurse practitioners, regular nurses, social workers, and other health professionals, number of physicians, type of institution (network, academic, regular), sector (private, public, mixed), presence of a pharmacist, number of patients enrolled, attendance rate, and partnership with another health institution. The optimal number of profiles was determined by the Akaike and Bayesian information criterion and by clinical significance. Multinomial logistic regression was conducted to examine the association between the characteristics of the populations served and the organizational profiles. Variables assessed in the model were rurality and proportions of vulnerable patients, pregnant women, patients identified as disadvantaged, those receiving home support, and those living in a long-term care facility and a measure of rurality. Results: The analysis revealed that interprofessional primary care teams were heterogeneous in terms of their organizational structure and could be classified into five distinct profiles that varied in size, composition, and focus of the team, area, and degree of partnership with other health care facilities. The five profiles were ‘Very small, private, regular, high partnered, balanced team’ (n=99; 26.9%); ‘Small, private, regular, moderately partnered, balanced team’ (n=101; 27.5%); ‘Medium, public, academically- oriented, moderately partnered, practitioner-oriented’ (n=58; 15.8%); ‘Large, private, regular, very low partnered, balanced team’ (n=50; 13.6%); and ‘Very large, private, mixed, very low partnered, balanced team’ team (n=60; 16.3%). In addition, pregnant women (Odds Ratio [OR] = 2.78, 95% confidence interval [CI] 1.98-3.91), disadvantaged patients ([OR] = 1.62, [CI] 1.15-2.28), those receiving home care ([OR] = 1.85, [CI] 1.28-2, 66) were more likely to be served by teams in the ‘Medium, public, academically- oriented, moderately partnered, practitioner-oriented’ profile than by a team in the ‘Very small, private, regular, high partnered, balanced team’ profile. A significant association was found between the level of rurality and the size of the interprofessional primary care team ([OR] = 0.69, [CI] 1.74-3.80). Rural patients were less likely to be served by teams from the "Medium, public, academically oriented, low partnership, practitioner-oriented team" profile ([OR] = 0.66, [CI] 0.50-0.86) and by one of the "Very large, private, mixed, very low partnership, balanced team" profile teams ([OR] = 0.69, [CI] 0.53-0.90) , than by teams from the "Very small, private, regular, high partnered, balanced team" profile. There was no statistically significant association between patients living in long-term care facilities and organizational profiles. Conclusion: This study uncovered a complex organizational typology of interprofessional primary care teams currently implemented in Quebec. These findings may inform the development of health practices and policies to optimize the structure of interprofessional primary care teams to better meet the specific needs of their populations. / Contexte : Les équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires sont des regroupements de professionnels de la santé qui rassemblent différentes expertises afin d’offrir des soins de manière coordonnée, intégrée, continue et accessible. Les équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires constituent le principal modèle de soins primaires mis en œuvre actuellement au Québec. Bien que ce modèle de soins soit conceptualisé comme homogène en termes de structure organisationnelle, les caractéristiques sous-jacentes à cette structure peuvent varier de façon considérable. Or, on sait peu de choses sur la nature et l’étendue de cette variabilité et sur sa relation avec les caractéristiques des populations que les équipes interprofessionnelles desservent. Objectif : Cette étude transversale vise à développer une typologie des équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires, d’abord en décrivant les différents profils organisationnels de ces équipes, et ensuite en examinant l’association entre les caractéristiques des populations desservies et les profils organisationnels. Méthodes : Une analyse de modèles de mélange a été réalisée afin de décrire les différents profilsorganisationnels parmi les 368 équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires au Québec. Les données administratives du Ministère de la Santé et des Services sociaux ont été utilisées et les caractéristiques organisationnelles suivantes ont été prises en compte: les nombres d'équivalents temps plein d'infirmières praticiennes, d'infirmières régulières, de travailleurs sociaux et d’autres professionnels de la santé, le nombre de médecins, le type d’établissement (réseau, académique, régulier), le secteur (privé, public, mixte), la présence d'un pharmacien, le nombre de patients inscrits, le taux d’assiduité et le partenariat avec un autre établissement de santé. Le nombre optimal de profils a été déterminé par les critères d’information d’Akaike et Bayésien et selon la signification clinique. Une régression logistique multinomiale a été estimée pour examiner l’association entre les caractéristiques des populations desservies et les profils organisationnels. Les caractéristiques populationnelles évaluées dans le modèle étaient les proportions de patients vulnérables, de femmes enceintes, de patients identifiés comme défavorisés, de personnes qui reçoivent un soutien à domicile et de personnes qui vivent dans un centre d’hébergement de soins de longue durée ainsi que le niveau de ruralité. Résultats : L'analyse a révélé que les équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires sont hétérogènes pour ce qui est de leur structure organisationnelle et peuvent être classées en cinq profils distincts qui varient en fonction de la taille, de la composition et de l'orientation de l'équipe, du secteur et du degré de partenariat avec d'autres établissements de santé. Les cinq profils se décrivent comme suit : « Très petite équipe, privée, régulière, à haut niveau de partenariat et équipeéquilibrée » (n=99; 26.9%); « Petite, privée, régulière, à partenariat modeste, équipe équilibrée » (n=101; 27.5%); « Moyenne, publique, d'orientation académique, à faible partenariat, équipe orientée vers les praticiens » (n=58; 15.8%) ; « Grande, privée, régulière, à très faible partenariat, équipe équilibrée » (n=50; 13.6%); et « Très grande, privée, mixte, à très faible partenariat, équipeéquilibrée » (n=60; 16.3%). En outre, les femmes enceintes (rapport de cotes [RC] = 2,78, intervalle de confiance [IC] de 95 % 1,98-3,91), les patients défavorisés ([RC] = 1,62, [IC] 1,15- 2,28) et les personnes bénéficiant de soins à domicile ([RC] = 1,85, [IC] 1,28- 2,66) avaient des probabilités plus élevées d’être desservies par des équipes provenant du profil « Moyenne, publique, d'orientation académique, à faible partenariat, équipe orientée vers les praticiens », que par des équipes du profil « Très petite, privée, régulière, à haut niveau de partenariat et équipe équilibrée ». Les patients vivant en milieu rural avaient des probabilités plus faibles d'être desservispar des équipes du profil « Moyenne, publique, d'orientation académique, à faible partenariat, équipe orientée vers les praticiens » ([RC] = 0,66, [CI] 0,50-0,86) ou par des équipes du profil « Très grande, privée, mixte, à très faible partenariat, équipe équilibrée » ([RC] = 0,69, [CI] 0,53- 0,90), que par des équipes provenant du profil « Très petite, privée, régulière, à haut niveau de partenariat et équipe équilibrée ». Il n'y avait pas d'association statistiquement significative entre les patients vivant dans des centres de soins de longue durée et les profils organisationnels. Conclusion : Ce projet a révélé une typologie complexe de l'hétérogénéité organisationnelle des équipes interprofessionnelles de soins de santé primaires mis en œuvre actuellement au Québec. Ces résultats pourront servir de fondement à l'élaboration de pratiques et de politiques de santé visant à optimiser la structure des équipes interprofessionnelles de soins de santé afin de mieux répondre aux besoins spécifiques de leurs populations.
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Construction d'une échelle décrivant les niveaux de compétence de collaboration, à partir d'indicateurs validés par des enseignants cliniciens en médecine

Saint-Martin, Monique 03 1900 (has links)
La collaboration est une compétence essentielle que les futurs médecins doivent développer. La détermination des niveaux de compétence est cruciale dans la planification de cet apprentissage. Les échelles descriptives suscitent un intérêt croissant, car elles décrivent en termes qualitatifs les performances attendues. Nous inspirant de la méthodologie mixte de Blais, Laurier, & Rousseau (2009), nous avons construit en cinq étapes une échelle de niveau de compétence de collaboration: 1) formulation d’une liste d’indicateurs situés à quatre niveaux de la formation médicale (préclinique, externat, résidence junior et sénior) par les chercheurs (n= 3) et un groupe d’éducateurs (n=7), leaders pédagogiques possédant une expertise pour la compétence de collaboration; 2) sondage en ligne comprenant quatre questionnaires portant sur les niveaux de 118 indicateurs, auprès d’enseignants cliniciens représentant les différentes spécialités (n=277); 3) analyse, avec le modèle partial credit de Rasch, des réponses aux questionnaires appariés par calibration concurrente; 4) détermination des niveaux des indicateurs par les éducateurs et les chercheurs; et 5) rédaction de l’échelle à partir des indicateurs de chaque niveau. L’analyse itérative des réponses montre une adéquation au modèle de Rasch et répartit les indicateurs sur l’échelle linéaire aux quatre niveaux. Les éducateurs déterminent le niveau des 111 indicateurs retenus en tenant compte des résultats du sondage et de la cohérence avec le curriculum. L’échelle comporte un paragraphe descriptif par niveau, selon trois capacités : 1) participer au fonctionnement d’une équipe; 2) prévenir et gérer les conflits; et 3) planifier, coordonner et dispenser les soins en équipe. Cette échelle rend explicites les comportements collaboratifs attendus à la fin de chaque niveau et est utile à la planification de l’apprentissage et de l’évaluation de cette compétence. La discordance entre les niveaux choisis par les éducateurs et ceux issus de l’analyse des réponses des enseignants cliniciens est principalement due au faible choix de réponse du niveau préclinique par les enseignants et aux problèmes d’adéquation pour les indicateurs décrivant la gestion des conflits. Cette recherche marque une avan- cée dans la compréhension de la compétence de collaboration et démontre l’efficacité de la méthodologie de Blais (2009) dans un contexte de compétence transversale, en sciences de la santé. Cette méthodologie pourrait aider à approfondir les trajectoires de développement d’autres compétences. / Being able to collaborate is a key competence that physicians need to learn. Determining competence levels is crucial to planning the learning process. By defining performance levels in qualitative terms, descriptive scales are a promising avenue. We developed a five-stage competence-level scale based on Blais, Laurier & Rousseau (2009) mixed methodology: 1) having researchers (n= 3) and a group of educators (n= 7), pedagogical leaders with expertise in the field of collaboration, list indicators that apply to the four training levels (preclinical, clerkship, junior and senior residencies); 2) conducting with clinician teachers, representative of various specialties (n= 277), an online survey that includes four questionnaires on the 118 indicator levels; 3) performing an analysis using the Rasch partial credit model on responses to questionnaires linked through concurrent calibration; 4) having educators and researchers determine the indicator levels; 5) creating a scale based on indicators at each level. The iterative analysis of the responses shows that it fits the Rasch model and distributes indicators on the linear scale on the four levels. The educators were responsible for determining the level of 111 selected indicators by taking into account the results of the survey and coherence with the curriculum. The scale includes a descriptive paragraph for each level as it applies to the 3 abilities : 1) taking part in running the team; 2) preventing and managing conflicts; 3) planning, coordinating and providing care as a team. The scale explains the collaborative behaviors expected at the end of each level and can be used to plan learning and evaluate competence. The source of disagreement between the levels set by the educators and those resulting from the analysis of clinician teacher responses are mostly explained by the low response by teachers at the preclinical level and misfit issues for the indicators describing conflict management. The research provided a broader understanding of collaboration competency and demonstrated the effectiveness of the Blais et al.1 methodology within the context of cross-curricular competency in health sciences. The methodology could be useful to go deaper into other competencies development path.
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Culture du bloc opératoire, rétention infirmière et intention de quitter : une ethnographie focalisée

Laflamme, Karine 05 1900 (has links)
No description available.
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Construction d'une échelle décrivant les niveaux de compétence de collaboration, à partir d'indicateurs validés par des enseignants cliniciens en médecine

Saint-Martin, Monique 03 1900 (has links)
La collaboration est une compétence essentielle que les futurs médecins doivent développer. La détermination des niveaux de compétence est cruciale dans la planification de cet apprentissage. Les échelles descriptives suscitent un intérêt croissant, car elles décrivent en termes qualitatifs les performances attendues. Nous inspirant de la méthodologie mixte de Blais, Laurier, & Rousseau (2009), nous avons construit en cinq étapes une échelle de niveau de compétence de collaboration: 1) formulation d’une liste d’indicateurs situés à quatre niveaux de la formation médicale (préclinique, externat, résidence junior et sénior) par les chercheurs (n= 3) et un groupe d’éducateurs (n=7), leaders pédagogiques possédant une expertise pour la compétence de collaboration; 2) sondage en ligne comprenant quatre questionnaires portant sur les niveaux de 118 indicateurs, auprès d’enseignants cliniciens représentant les différentes spécialités (n=277); 3) analyse, avec le modèle partial credit de Rasch, des réponses aux questionnaires appariés par calibration concurrente; 4) détermination des niveaux des indicateurs par les éducateurs et les chercheurs; et 5) rédaction de l’échelle à partir des indicateurs de chaque niveau. L’analyse itérative des réponses montre une adéquation au modèle de Rasch et répartit les indicateurs sur l’échelle linéaire aux quatre niveaux. Les éducateurs déterminent le niveau des 111 indicateurs retenus en tenant compte des résultats du sondage et de la cohérence avec le curriculum. L’échelle comporte un paragraphe descriptif par niveau, selon trois capacités : 1) participer au fonctionnement d’une équipe; 2) prévenir et gérer les conflits; et 3) planifier, coordonner et dispenser les soins en équipe. Cette échelle rend explicites les comportements collaboratifs attendus à la fin de chaque niveau et est utile à la planification de l’apprentissage et de l’évaluation de cette compétence. La discordance entre les niveaux choisis par les éducateurs et ceux issus de l’analyse des réponses des enseignants cliniciens est principalement due au faible choix de réponse du niveau préclinique par les enseignants et aux problèmes d’adéquation pour les indicateurs décrivant la gestion des conflits. Cette recherche marque une avan- cée dans la compréhension de la compétence de collaboration et démontre l’efficacité de la méthodologie de Blais (2009) dans un contexte de compétence transversale, en sciences de la santé. Cette méthodologie pourrait aider à approfondir les trajectoires de développement d’autres compétences. / Being able to collaborate is a key competence that physicians need to learn. Determining competence levels is crucial to planning the learning process. By defining performance levels in qualitative terms, descriptive scales are a promising avenue. We developed a five-stage competence-level scale based on Blais, Laurier & Rousseau (2009) mixed methodology: 1) having researchers (n= 3) and a group of educators (n= 7), pedagogical leaders with expertise in the field of collaboration, list indicators that apply to the four training levels (preclinical, clerkship, junior and senior residencies); 2) conducting with clinician teachers, representative of various specialties (n= 277), an online survey that includes four questionnaires on the 118 indicator levels; 3) performing an analysis using the Rasch partial credit model on responses to questionnaires linked through concurrent calibration; 4) having educators and researchers determine the indicator levels; 5) creating a scale based on indicators at each level. The iterative analysis of the responses shows that it fits the Rasch model and distributes indicators on the linear scale on the four levels. The educators were responsible for determining the level of 111 selected indicators by taking into account the results of the survey and coherence with the curriculum. The scale includes a descriptive paragraph for each level as it applies to the 3 abilities : 1) taking part in running the team; 2) preventing and managing conflicts; 3) planning, coordinating and providing care as a team. The scale explains the collaborative behaviors expected at the end of each level and can be used to plan learning and evaluate competence. The source of disagreement between the levels set by the educators and those resulting from the analysis of clinician teacher responses are mostly explained by the low response by teachers at the preclinical level and misfit issues for the indicators describing conflict management. The research provided a broader understanding of collaboration competency and demonstrated the effectiveness of the Blais et al.1 methodology within the context of cross-curricular competency in health sciences. The methodology could be useful to go deaper into other competencies development path.

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