• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 383
  • 378
  • 354
  • 173
  • 55
  • 55
  • 55
  • 55
  • 55
  • 55
  • 49
  • 46
  • 29
  • 28
  • 22
  • Tagged with
  • 1709
  • 454
  • 371
  • 368
  • 349
  • 173
  • 170
  • 170
  • 145
  • 131
  • 127
  • 126
  • 125
  • 125
  • 124
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1421

Preventing Predictions: The Political Possibilities of Play and Aesthetics in Contemporary Installation Art and Works by Carsten Höller and Gabriel Orozco

Mallett, Samantha Josephine Judina Unknown Date
No description available.
1422

As looks the sun, infinite riches, valorem : the economics of metaphor in Marlowe's Tamburlaine the Great, the Jew of Malta and the Doctor Faustus

Bailey, Colin R. January 1987 (has links)
No description available.
1423

La mise en exposition des œuvres d'art spoliées par les nazis : étude de cas de l'exposition de la collection de Jacques Goudstikker

Cousin, Aurélie 07 1900 (has links)
Ce mémoire, consacré à la mise en exposition des œuvres d’art spoliées par les nazis, est particulièrement dédié à la vague d’expositions actuelles opérant de 2005 à 2010. À travers cet événement muséal unique de l’ordre d’une exposition temporaire par an en moyenne, prédomine un regain d’intérêt envers les événements liés à Seconde Guerre mondiale. Partant de ce constat singulier, nous avons retracé les grands enjeux actuels de ces expositions. Ce mémoire présente une rétrospective de ces dernières de 1946 à 2010. L’exposition d’œuvres spoliées en France fit l’objet d’une recherche inédite de la part de l’influente historienne de l’art Reesa Greenberg en une périodisation muséographique d’où sont issus trois cycles s’étendant de 1933 à la publication de son article en 2004. L’association d’une seconde périodisation à celle de Reesa Greenberg, de l’ordre de l’événementiel, fut ajoutée à l’analyse, celle-ci concernant deux cycles de politique publique de restitution en France de l’historienne Claire Andrieu. La combinaison de ces deux sources témoigne de deux phases importantes de restitution et de mise en exposition, soit une première après 1945 et une seconde à la fin des années 1990, mettant en lumière de nombreuses associations entre la spoliation des œuvres et l’Holocauste, les diverses persécutions faites aux Juifs et l’évolution de notre regard sur ces événements. La poursuite de cette réflexion fut rendue possible grâce à l’étude de cas consacrée à la mise en exposition d’une partie des œuvres restituées en 2006 par le gouvernement de Hollande à la belle-fille du collectionneur juif Jacques Goudstikker, dont la galerie fut spoliée en 1940 à Amsterdam par Hermann Göring. De ce fait, une visite de l’exposition au Jewish Museum de New York en 2009 fut incluse à l’analyse globale des expositions européennes actuelles. Au sein de cette nouvelle phase de mise en exposition, alors que la restitution des œuvres est régulièrement contestée, la relation entre la mémoire des disparus devenus les fantômes de l’Holocauste et leurs biens est omniprésente. Ainsi les expositions, en ce début du XXIe siècle, nous permettent plus que jamais d’affirmer que les événements liés au pillage artistique font encore partie d’un récit toujours inachevé. / This thesis, dedicated to the display of looted art by Nazis after World War II, is particularly dedicated to the wave of current exhibitions operating from 2005 till 2010. Throughout this unique museum event, which consists of one temporary exhibition per year on average, a renewed interest for the events pertaining to World War II prevails. Considering this singular statement, we examined the major current stakes in these exhibitions. This thesis presents a retrospective of these exhibitions from 1946 till 2010. Looted art exhibitions in France have been the object of important research by the influential art historian Reesa Greenberg and were presented in a museographic periodisation from which arise three phases contained between 1933 and 2004, the year of her article’s publication. The addition of two cycles based on French public restitution policy by the historian Claire Andrieu, besides the one proposed by Reesa Greenberg, was included in our analysis. In embodying these two sources, we have testified to two important phases of restitution dealing with exhibition, beginning after 1945 for the first one and at the end of the 1990s for the second one, bringing to light numerous associations between the artistic plunder and the Holocaust, the manifold persecutions against Jews and the evolution of our perception on these events. The pursuit of this reflection was made possible thanks to the case study dedicated to the exhibition of the art collection that was partly returned in 2006 by the Netherlands’government to the daughter-in-law of the Jewish collector Jacques Goudstikker, whose gallery was looted in 1940 in Amsterdam by Hermann Göring. Therefore, a visit of the exhibition at the Jewish Museum in New York in 2009 was included in the global analysis in order to facilitate our understanding of the current exhibitions. Within this new phase of exhibition, where the reclaiming of the looted paintings is regularly disputed, the relation between memory, the dead and the missing persons who have become the ghosts of the Holocaust and their stolen properties is omnipresent. Thus the exhibitions, at this beginning of the XXI century, allow us more than ever to assert that the events bound to the artistic plunder are still a part of a yet unfinished chapter. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels et audiovisuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
1424

Trois utopies au temps de la Révocation de l'édit de Nantes : la vision de la France selon Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704), Pierre Jurieu (1637-1713) et Pierre Bayle (1647-1706).

Rousseau, Samuel 06 1900 (has links)
En 1685, sous le règne de Louis XIV, au moment où la monarchie française voulut extirper l'altérité protestante en révoquant l'édit de Nantes (1598), trois contemporains, Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704), Pierre Jurieu (1637-1713) et Pierre Bayle (1647-1706) élaborèrent des utopies dans lesquelles ils nous font connaître leur vision d'une France idéale. Ces trois utopies, nous voulons les restituer au cours de ce mémoire de maîtrise et souligner quelles sont leurs propositions respectives en matière de gouvernement et de relations interreligieuses. Nous aborderons leurs positions quant aux conséquences politico-religieuses de la Révocation. Et enfin nous dirons quel est le traitement que ces trois auteurs réservent dans leurs textes à la question de la tolérance étatique. / In 1685, during the reign of Louis XIV, the French monarchy tried to extirpate the Calvinist alterity from the kingdom by revoking the Edict of Nantes (1598). At that time three contemporaries, Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704), Pierre Jurieu (1637-1713) and Pierre Bayle (1647-1706), the first Catholic, the others Protestants, conceived utopias in which they introduce us to their vision of an ideal France. The general aim of this master's thesis is to analyze these three utopias and show their proposals in matters of government and interfaith relationship. More precisely, we will study the authors' positions about the politico-religious consequences of the Revocation. We will also see in their writings how they understand the tolerance issue.
1425

Limited ink : interpreting and misinterpreting GÜdel's incompleteness theorem in legal theory

Crawley, Karen. January 2006 (has links)
This thesis explores the significance of Godel's Theorem for an understanding of law as rules, and of legal adjudication as rule-following. It argues that Godel's Theorem, read through Wittgenstein's understanding of rules and language as a contextual activity, and through Derrida's account of 'undecidability,' offers an alternative account of the relationship of judging to justice. Instead of providing support for the 'indeterminacy' claim, Godel's Theorem illuminates the predicament of undecidability that structures any interpretation and every legal decision, and which constitutes the opening to justice. The first argument in this thesis examines Godel's proof, Wittgenstein's views on rules, and Derrida's undecidability, as manifestations of a common concern with the limits of what can be formalized. The meta-argument examines their misinterpretation and misappropriation within legal theory as a case study of just what they mean about meaning, context, and justice as necessarily co-implicated.
1426

Pierre Guyotat devant l'histoire : politique du sujet autobiographique dans Coma, Formation et Arrière-fond

Lefort-Favreau, Julien 12 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat vise à identifier la politique de la littérature dans la trilogie autobiographique de Pierre Guyotat formée par Coma (2006), Formation (2007) et Arrière-fond (2010). L'œuvre de Pierre Guyotat s'articule autour d'une scène originaire d'affrontement entre exploiteurs et exploités qui se présente à la fois comme une poétique et une pensée politique. Selon les moments de l'œuvre, elle prend la forme d'une opposition entre putains et proxénètes, entre généraux et soldats, entre violeurs et violés, entre maîtres et esclaves. Les amis et les ennemis y sont toujours divisés et le vivre-ensemble n'y est pas fondé sur des rapports idylliques entre les sujets, mais plutôt sur un partage, entendu ici au sens de division. Cette inégalité fonde une communauté littéraire peuplée d'un ensemble hétérogène de figures à la fois héroïques et réversibles. À partir de ce noyau, Guyotat met en place un univers où s'expriment les injustices du monde et les rapports de domination qui le traversent. La première partie de la thèse propose une présentation de l'œuvre de Guyotat. Entre la fin des années soixante, où Éden, Éden, Éden est considéré « libre de tout sujet, de tout objet, de tout symbole » par Michel Foucault et comme un texte sans héros qui se résumerait à « l'aventure même du signifiant » par Roland Barthes, et la trilogie autobiographique, il y a un immense fossé. C'est cet écart qui justifie l'analyse de la trilogie selon une méthode à rebours : partir des textes récents pour mettre en place un cadre qui permet de repenser les œuvres anciennes et, inversement, considérer l'ensemble de l'œuvre pour mieux saisir la spécificité de ses manifestations contemporaines. La première partie expose également les fondements théoriques qui gouvernent notre réflexion sur les rapports entre littérature et politique. Notre travail s'appuie principalement sur les théories de Jacques Rancière qui envisagent l'art dans sa portée émancipatrice hors des paramètres de l'engagement littéraire ou d'une téléologie avant-gardiste. La deuxième partie expose d'abord la constitution du sujet en établissant une typologie des différentes modalités énonciatives et représentatives qui en balisent l'action. Nous observons la construction d'un sujet autobiographique, notamment par le dévoilement d'un intertexte critique avec certains textes canoniques, mais aussi en envisageant la trilogie comme une scène d'aveu. Coma et Arrière-fond sont orientés vers une utopie du Verbe et, pourtant, ils sont écrits dans une « langue normative ». La trilogie témoigne de l'échec du projet absolu du Verbe, avouant l'impuissance de la littérature. Ce clivage entre le contenu de la représentation et la forme de l'énonciation met en lumière les limites et la puissance du Verbe. Nous exposerons finalement la manière dont le sujet est captif de son propre corps, tout comme il est sous le joug des mots. Si les mots sont aussi des outils d'émancipation, il en est de même pour le corps, qui devient un lieu potentiel de résistance. Lorsque Guyotat représente un corps individuel assujetti à des dispositifs collectifs, il place en effet le sujet sur une scène historique. La biopolitique, terme issu de la théorie de Foucault, désigne bien le geste de Guyotat qui fait de la massification des corps à la fois une pratique disciplinaire et une découpe de l'histoire. Chacun des nouages exposés met en jeu des formes spécifiques de subjectivation, tendues entre identification et désidentification. Trois modes de subjectivation sont mis au jour : le retour réflexif du sujet à soi, l'assujettissement du sujet au langage et le rapport problématique du sujet à son corps et au monde. La troisième partie concerne d'abord la mise en œuvre d'une temporalité spécifique à la trilogie. L'énonciation au présent qui caractérise ces trois récits impose un regard singulier sur l'histoire. L'idée de messianisme du présent, que Walter Benjamin élabore dans ses ultimes fragments, nous aide à penser les réminiscences du passé dans le présent qui structurent la trilogie. L'interprétation figurative analysée par Erich Auerbach dans Figura nous éclaire quant à elle sur le temps déployé dans la trilogie. Comme les Pères de l'Église qui voient dans la figura une trace de l'événement historique dont l'énonciation dans la Bible a un caractère à la fois préfiguratif et commémoratif, liant le passé à l'avenir, Guyotat décrit des « figures » de l'histoire, dont l'énonciation au présent revêt un caractère à la fois prophétique et mémoriel. Nous analysons par la suite les figures de Jeanne d'Arc, de Charles de Gaulle ainsi que des membres de la famille qui incarnent un certain patriotisme, mais également une politique de la résistance qui complexifie souvent le sentiment d'appartenance à la France. Ces figures sont gouvernées par les lois d'alternance et de réversibilité qui infléchissent leur récupération mémorielle. La transmission de l'histoire par ses personnages révèle également son caractère sensible. Le « paysage » et la « géographie » manifestent une spatialisation de l'histoire, qui inscrit le passé dans différents lieux. Guyotat circonscrit les traces que l'histoire laisse dans le présent, déployant un rapport aux lieux de mémoire qui n'est pas strictement patrimonial. Il assimile l'histoire par les détails qui la composent et rend ses matériaux appropriables, perceptibles, disponibles. Le partage entre l'histoire légitime et l'histoire illégitime est sans cesse remis en question, l'écriture de Guyotat oscillant entre l'histoire et la mémoire, entre son expérience subjective et la présence fantomatique de la « masse historique des corps exploités ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pierre Guyotat, politique de la littérature, littérature française contemporaine, société, langage, corps, histoire, mémoire, sujet, subjectivation, Jacques Rancière, Tel Quel, textualisme.
1427

Ordre et justice chez Jean-Jacques Rousseau

Ambririki, Hamidani-Attoumani 02 October 2009 (has links) (PDF)
Il s'agit d'examiner les rapports solidaires mais paradoxaux entre ordre et justice, chez Rousseau, en tenant compte de la variété des contextes dans lesquels les deux concepts entrent en rapport, notamment dans les domaines de la nature et de la société. D'une manière générale, l'ordre semble prééminent dans l'œuvre rousseauiste. Mais sans la justice, la valeur positive de l'ordre se retourne en valeur négative. L'ordre est alors injuste, ou encore, l'ordre apparent masque un désordre réel. Les rapports entre les deux concepts dépendent donc du point de vue adopté : ontologique et métaphysique, ou bien critique et évaluatif. L'interdépendance de ces concepts est encore compliquée par leur polysémie. L'ordre se présente sous forme naturelle, sociale et individuelle, et la justice obéit à un double paradigme : un paradigme naturel et un paradigme rationnel. Cependant, ces deux modèles ont leurs limites. Pour résoudre le problème posé par l'existence d'un ordre injuste, Rousseau combine égalité et inégalité, et propose une théorie de l'éducation de l'individu à la justice.
1428

La Rochefoucauld, Mme de Sablé et Jacques Esprit : les Maximes, de l'inspiration commune à la création personnelle

Liebich, Christine Renée. January 1982 (has links)
Although the Maximes as we know them are the original work of the duc of La Rochefoucauld, Jacques Esprit and Mme de Sable contributed to the first versions of the text. At one time, the three friends even talked of regrouping their contributions in one volume. However, little by little, the "common collection" seems to contain only the reflexions of La Rochefoucauld, and Mme de Sable and Jacques Esprit decide to become writers in their own right. So, while the marquise chooses also to write "maximes", Esprit prefers a moral treatise on the falseness of human vertus, La Faussete des vertus humaines. Having become writers, Esprit and Mme de Sable nonetheless produce second-rate works, while only La Rochefoucauld produces the masterpiece known as the Maximes. Our study traces the phenomenon of the artistic literary work which emerges from what began as a collective effort. Through a historical, thematic and stylistic approach, we establish different elements which contribute to the fundamental originality of La Rochefoucauld's Maximes.
1429

Preventing Predictions: The Political Possibilities of Play and Aesthetics in Contemporary Installation Art and Works by Carsten Hller and Gabriel Orozco

Mallett, Samantha Josephine Judina 11 1900 (has links)
This thesis analyzes contemporary participatory installation art, play theory, especially Johan Huizingas seminal Homo Ludens, and the aesthetic theories of Nicolas Bourriauds Relational Aesthetics and Jacques Rancires Politics of Aesthetics. Ping Pond Table 1998 by Gabriel Orozco and Test Site 2006 by Cartsen Hller are studied to illustrate how play and the aesthetic can become political by repositioning the contemporary viewer as an active and playing participant in the artwork, prompting an awareness of the matrix of power between audience, artwork and institution, and by creating the possibility for dynamic social roles. This thesis, like the artworks it examines, invokes a conception of play as a vital construct of culture rather than simply the domain of childhood imagination. Overturning the dominant concept of play and reinstating play in adult life becomes a political act because it engages adults in liberated, creative thinking that challenges traditional, consumer-driven, practical and thus constructive behaviours.
1430

The phenomenology of utopia : reimagining the political

Bahnisch, Mark Stefan January 2009 (has links)
This thesis argues that the end of Soviet Marxism and a bipolar global political imaginary at the dissolution of the short Twentieth Century poses an obstacle for anti-systemic political action. Such a blockage of alternate political imaginaries can be discerned by reading the work of Francis Fukuyama and "Endism" as performative invocations of the closure of political alternatives, and thus as an ideological proclamation which enables and constrains forms of social action. It is contended that the search through dialectical thought for a competing universal to posit against "liberal democracy" is a fruitless one, because it reinscribes the terms of teleological theories of history which work to effect closure. Rather, constructing a phenomenological analytic of the political conjuncture, the thesis suggests that the figure of messianism without a Messiah is central to a deconstructive reframing of the possibilities of political action - a reframing attentive to the rhetorical tone of texts. The project of recovering the political is viewed through a phenomenological lens. An agonistic political distinction must be made so as to memorialise the remainders and ghosts of progress, and thus to gesture towards an indeconstructible justice which would serve as a horizon for the articulation of an empty universal. This project is furthered by a return to a certain phenomenology inspired by Cornelius Castoriadis, Claude Lefort, Maurice Merleau-Ponty and Ernesto Laclau. The thesis provides a reading of Jacques Derrida and Walter Benjamin as thinkers of a minor universalism, a non-prescriptive utopia, and places their work in the context of new understandings of religion and the political as quasi-transcendentals which can be utilised to think through the aporias of political time in order to grasp shards of meaning. Derrida and Chantal Mouffe's deconstructive critique and supplement to Carl Schmitt's concept of the political is read as suggestive of a reframing of political thought which would leave the political question open and thus enable the articulation of social imaginary significations able to inscribe meaning in the field of political action. Thus, the thesis gestures towards a form of thought which enables rather than constrains action under the sign of justice.

Page generated in 0.0315 seconds