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Explosions en rase campagne. Narration, description et leurs implications esthético-politiques dans deux textes d’Arno Schmidt et de Peter Weiss / Explosions in Lonely Furrows. Narration, Description and Their Aesthetic-political Implications in Two Narratives by Arno Schmidt and Peter Weiss / Explosionen auf weiter Flur Narration. Deskription und ihre ästhetisch-politischen Implikationen in zwei Texten von Arno Schmidt und Peter Weiss

Felten, Georges 29 October 2010 (has links)
Considérées, aujourd’hui, comme des œuvres majeures de la littérature allemande du XXe siècle, Scènes de la vie d’un faune et L’Ombre du corps du cocher sont, à l’origine, deux textes pour le moins à part dans le paysage littéraire allemand du début des années 1950 – au point que celui de Weiss n’a même pas trouvé d’éditeur avant 1960. La présente étude analyse les deux récits autodiégétiques à partir des traits saillants suivants : leur dispositif d’énonciation à double voix (narrateur vs. instance auctoriale non anthropomorphe), leurs réseaux de métaphores à valeur poétologique, et surtout les multiples interactions entre le foisonnement des microséquences descriptives et les macroséquences narratives quelque peu occultées par les premières, mais toujours indéniablement présentes. Dès lors, l’analyse dégage les implications esthético-politiques de chacun des deux textes ; en résonance avec des intertextes soit romantiques et d’ordre mythique (pour Scènes de la vie d’un faune), soit surréalistes et freudiens (pour L’Ombre du corps du cocher), chacun soulève une question ‘explosive’ en ce qu’elle est négligée ou évitée par la production littéraire allemande dominante de ces années-là. L’idylle convulsive d’Arno Schmidt : Quel est le prix à payer pour un récit fictionnel traitant de l’époque national-socialiste qui ne veut pas renoncer au plaisir de la métaphore ? Le psychodrame chosifié de Peter Weiss : Quelles zones la littérature allemande de l’après-guerre laisse-t-elle dans l’ombre en se tournant entièrement vers le recensement du monde extérieur et en optant pour un langage prétendument univoque, apposant des contours stables au réel ? / Today, Scenes from the Life of a Faun and The Shadow of the Coachman’s Body are considered as major works of the 20th century German literature ; originally however, at the beginning of the 1950s, they were rather isolated in the German-language literary landscape – to such an extent that Peter Weiss’ text was not even published until 1960. The present work analyses the two auto-diegetic narratives by choosing the following axes of comparison : the tension between the narrator’s voice and the voice of the authorial, non anthropomorphic instance ; the networks of metaphors with poetological implications and, above all, the interaction between the abounding descriptive micro-sequences and the narrative macro-sequences, somewhat hidden behind the descriptions but nonetheless and undeniably present. By following these tracks, the analysis shows the aesthetic-political implications of the two texts ; echoing with either romantic and myth-like (as far as Scenes from the Life of a Faun is concerned) or surrealist and Freudian (The Shadow of the Coachman’s Body) intertexts, each of the texts raises a specific ‘explosive’ question, neglected or avoided by the dominant literary production. Thus, Arno Schmidt’s convulsive idyll asks : What is the price to pay for a fictional narrative about the Nazi-years if it is not willing to give up the pleasures of the metaphor ? And Peter Weiss’ matter-of-fact psycho-drama : What is it that post-war German literature keeps out by focusing entirely on the outlines of the exterior world and by relying on a supposedly non-metaphorical language with stable meanings ?
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Von Angsthasen, Wackelohren und anderen Gestalten. Ostalgie im Bücherregal? : Kinderliteratur der DDR aus aktueller Perspektive

Lembke, Jasmin 04 1900 (has links)
Le mémoire de maîtrise présentée a comme but de faire ressortir la relation entre des rééditions des livres d’images de la République démocratique allemande (Bode 2002, Richter 2016) et l’ostalgie (Ahbe 2001/ 2013/2017/2018, Boyer 2006, Haage 2013), un phénomène de nostalgie de la RDA. À partir de la série Kindergeschichten der DDR (Beltz/KinderbuchVerlag; depuis 2009), une analyse paratextuelle (Genette 2001) a été effectuée. Les observations faites nous ont permis de distinguer les groupes commémoratifs affectés, de déterminer de quelle façon les réimpressions font référence à la mémoire collective de l’Allemagne de l’Est et de montrer de quelle manière cette mémoire influence les réimpressions. Avec cette contribution, l’auteure espère enrichir le domaine de recherche de la littérature enfantine germanophone. / This Master thesis explores the relationship between the reeditions of picture books from the German Democratic Republic (Bode 2002, Richter 2016) and “Ostalgie” (Ahbe 2001/ 2013/2017/2018; Boyer 2006; Haage 2013), a unique and continually evolving brand of collective memory specific to the GDR. Analyzing the paratexts (Genette 2001) of the series Kindergeschichten der DDR (Beltz/KinderbuchVerlag; since 2009), we could distinguish the affected commemorative groups, determine in which way the reeditions refer to the collective memory of East Germany, and show in which way this memory influences the reeditions. With this contribution, the author hopes to enhance the field of research on German children’s literature. / Das Ziel der vorliegenden Masterarbeit war es, den Zusammenhang zwischen Neuauflagen ehemaliger DDR-Bilderbücher (Bode 2002, Richter 2016) und Ostalgie (Ahbe 2001/2013/2017/2018, Boyer 2006, Haage 2013), als Phänomen einer spezifischen ostdeutschen Erinnerungskultur, herauszuarbeiten. Von besonderem Interesse war, wie Neuauflagen von DDR-Kinderbüchern an der (Re)Konstruktion von DDRErinnerung beteiligt sind und an welchen Stellen dies explizit als auch implizit deutlich wird. Anhand einer paratextuellen Analyse (Genette 2001) der Reihe Kindergeschichten der DDR (Beltz/KinderbuchVerlag: seit 2009) wurde nachgezeichnet, auf welche Weise und bei welchen Gruppen die Bilderbücher Erinnerungen auslösen (können) und wie diese Erinnerungen wiederum auf die aktuellen Wiederauflagen zurückwirken bzw. diese steuern. Die Autorin erhofft sich mit diesem Beitrag das Forschungsfeld der deutschsprachigen Kinderliteratur zu bereichern.
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W.G. Sebald, Die Ausgewanderten : radiographie d'une écriture de l'exil / A radiography of exile writing in W. G. Sebald's "The Emigrants"

Savaton, Christine 15 September 2012 (has links)
Cette thèse consacrée à Die Ausgewanderten de W.G. Sebald (1992) procède à une étude microscopique et détaillée de l’écriture dans sa singularité, une radiographie du texte et de sa matérialité hétérogène. L’étude montre la structure binaire sous-jacente de l’ouvrage, la complexité des stratégies stylistiques et narratives, la manière dont le signifiant se soumet à l’impératif catégorique du signifié mais aussi la prééminence de signes tangentiels et obliques ; elle s’intéresse également à la singularité de l’enchaînement des discours rapportés et met en lumière le geste mélancolique du narrateur sébaldien. Il apparaît que l’intertextualité revêt une spécificité particulière puisque la polyphonie sébaldienne est orientée différemment de celle envisagée par M. Bakhtine. La deuxième partie s’attache à étudier la critique de la civilisation (Kulturkritik) dans une œuvre fortement marquée par la constellation idéologique de l’École de Francfort et plus précisément par « La Dialectique de la Raison » de Horkheimer et d’Adorno. La prose allemande muséale de l’auteur, qui rappelle celle d’Adalbert Stifter mais aussi, par ses emboîtements narratifs, emprunte la virtuosité bernhardienne, est incrustée de « moments » de bonheur ou de beauté qui mettent en évidence et soulignent l’inouï du monde concentrationnaire. Les thématiques de l’exil et du pays natal sont au centre des intérêts de la troisième partie. L’étude s’attache à montrer que l’ouvrage réécrit en quelque sorte une littérature de l’exil que l’auteur, professeur de littérature de langue allemande, a eu l’occasion de fréquenter mais aussi d’analyser. C’est un « chœur d’exilés » qui se fait entendre dans Die Ausgewanderten et qui manifeste la tragédie de l’homme moderne. / This thesis on The Emigrants by W.G. Sebald (1992) focuses on a microscopic and detailed study of Sebald’s writing in its specificity, a radiography of the text and of its heterogeneous materiality. The study pays attention to the binary structure of the work, the complexity ot the stylistic and narrative strategies, the way the signifier obeys the categorical imperative of the signified and the primacy of tangential and oblique signs ; it also deals with the singular linking of reported speech and underlines the melancholic gesture of the narrator. It appears that intertextuality owns a particuliar specificity because the polyphony it creates differs from the Bakhtinian model. The second part deals with cultural criticism (Kulturkritik) which owes a lot to the ideological model of the Frankfurt School and to Horkheimer and Adorno’s Dialectic of Enlightenment in particular. The museum-like German prose of the author, which recalls that of Adalbert Stifter, but also, thanks to narrative nesting, emulates the virtuosity of Thomas Bernhard, is embellished with happy or beautiful “moments” which underline and emphasize the unprecedentedness of the extermination camps. The third part will set out the themes of exile and the native country. The study underlines that The Emigrants reconstructs a literature of exile that the author, a professor of German literature, has perused, studied and analysed. The chorus of emigrants that can be heard imparts what the tragedy of modern man amounts to. / Diese Dissertation über Die Ausgewanderten von W.G. Sebald (1992) führt eine mikroskopische Untersuchung der Schreibweise, ein “Röntgenbild” des Textes und dessen heterogener Materialität durch. Die Studie legt die binäre Struktur des Werks an den Tag, beschreibt die Vielschichtigkeit der stilistischen und narrativen Strategien, die Unterordnung des Signifikanten unter den kategorischen Imperativ des Signifikaten, aber auch den Vorrang des tangentialen und indirekten Zeichens. Sie kommentiert ebenfalls die sonderbare Einschachtelung der direkten Rede und den melancholischen Gestus des Erzählers, und arbeitet die eigenartige Dimension der Intertextualität im Rahmen der vom Bachtinschen Modell stark abweichenden sebaldischen Polyphonie heraus. Der zweite Teil geht auf die kulturkritische Dimension ein, die durch die ideologische Konstellation der Frankfurter Schule, beziehungsweise durch die Dialektik der Aufklärung von Horkheimer und Adorno tief geprägt ist. Die museale deutsche Prosa des Schriftstellers, die an diejenige Adalbert Stifters, infolge der narrativen Einschachtelungen aber auch an die Virtuosität Thomas Bernhards erinnert, ist mit Glücks- oder Schönheitsmomenten verziert, die das Unerhörte der Shoah umso mehr unterstreichen. Im dritten Teil steht die Thematik von Exil und Heimat im Mittelpunkt des Interesses. Es wird deutlich, dass W.G. Sebald eine Literatur des Exils umschreibt, mit der er Umgang und geistigen Austausch gepflegt hat, die er erforscht und kommentiert hat. Hier ist ein “Chor von Ausgewanderten” zu hören, der die Tragödie des modernen Menschen zum Ausdruck bringt
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Weiterüberleben, Jean Améry und Imre Kertész

Poetini, Christian 19 February 2013 (has links)
Synopsis :<p><p>La thèse démontre la force du discours de la survivance à travers tant l’essai que le roman, respectivement chez deux auteurs représentatifs et exemplaires. Jean Améry est l’initiateur d’un discours où l’accent est mis sur l’expérience de la privation totale de liberté et sur le suicide comme paroxysme de l’acte libre voulu par le survivant des camps de concentration. Imre Kertész fonde, lui, une écriture synonyme de stratégie de survie. Le suicide y constitue le moyen fictionnel, pour l’être survivant, de regagner sa liberté et son propre « destin ».<p><p><p><p>Résumé :<p><p>La thèse se propose d´analyser l´articulation littéraire du thème de la survivance, thème étudié à travers un corpus déterminé. « Articulation littéraire » est à entendre ici au sens de vecteur d’écriture dans l’acception la plus riche, à savoir depuis la représentation, les procédés littéraires jusqu’au processus lui-même. Le titre original du texte s’articule autour du vocable « Weiterüberleben », lequel opère une synthèse entre les deux facettes « survivre » et « continuer à vivre ».<p><p>A cet égard, le choix du terme « survivance » en français semblait très approprié. Celui-ci s’oppose dans un premier temps au mot usuel de « survie » par l’accent qu’il met sur l’action, la durée, la continuité ainsi que l’irréversibilité de cette expérience. <p>Dans un deuxième temps, dire « survivance » signifie introduire d’emblée un impact philosophique intentionnel qui place le phénomène étudié dans le sillage conceptuel de Derrida – différance, restance, absence, démeurance. A ce titre, la survivance peut être considérée comme trace et hantise au même moment.<p><p>Dès lors, le mouvement exprimé dans le titre sert de matrice ;dans le « discours sur la survivance », la survie n’est plus la condition d’écriture mais le véritable objet et, si l’on veut, l’objectif de cette écriture. Ce discours articule a) une reconquête de la dignité et liberté qui contient la possibilité du suicide, b) le vœu de continuer à faire vivre la mémoire à la Shoah et aux survivants et c) l’écriture comme stratégie de survie et résistance contre l’oubli.<p>Le centre de gravité de ce travail est l’étude du rapport entre l´expérience des survivants des camps de concentration et l’écriture de celle-ci. Il s´agit dès lors de se pencher sur les formes d´écriture qui traitent de cette problématique. Le témoignage, d´abord :quel est son rôle en tant que mise en parole d’une expérience ?A côté du témoignage, on observe l´émergence du traitement fictionnel de la thématique.<p><p>Une interrogation sur les modes d´émergence littéraire de ce sujet nécessite le passage par une historiographie parcourant les principales tentatives antérieures de représentation. Le témoignage a d´ores et déjà offert des possibilités intéressantes en tant que vecteur de représentation mais a également révélé ses limites. La fiction a montré quelle portée elle peut avoir ;si elle permet entre autres une ouverture du discours, elle se heurte aussi à des obstacles tels que les problèmes de la factualité, de la vérité, de l´authenticité. <p><p>Tout en puisant chez bon nombre d´autres écrivains, la thèse se base sur un corpus de deux auteurs emblématiques pour ce qu´ils ont apporté dans le domaine concerné :Jean Améry et Imre Kertész.<p><p>Le choix de Jean Améry se justifie notamment par le fait qu’il est l’initiateur d´un discours de la survivance où l´accent est mis sur l´expérience de la privation totale de liberté et sur le suicide comme paroxysme de l´acte libre voulu par le survivant. Kertesz, prix Nobel 2002, apparaît comme l’héritier d´Améry mais, dans une sorte de retournement, transforme le discours négatif de celui-ci en un discours positif par une analyse en termes de dialogicité et d´intertextualité. <p><p>Notre point de départ dans l’œuvre d’Améry est son essai sur la torture (« Par-delà le crime et le châtiment », 1966). C’est là qu’il insiste sur l’irréversibilité du moment subjectif qu’est la torture (« Celui qui a été torturé reste torturé ») ;Améry construit à cet endroit le fondement de la « perspective de la victime » et pose, dans le voisinage immédiat, la question de savoir comment surmonter l’insurmontable. <p><p>Avec le concept de « contre-violence », Améry explore le paradoxe de la libération – ou la « réversibilité de l’irréversible » – à travers les crises existentielles de son protagoniste (et alter ego) Lefeu (artiste-survivant); son roman-essai « Lefeu ou la démolition » donne lieu à l’analyse de ce phénomène paradoxal, cher à l’auteur.<p><p>L´exposé des quatre concepts fondamentaux d´Améry, également fondateurs de tout discours sur l´Holocauste – la perte de la confiance existentielle, le ressentiment, l´exil et la judéité – prépare la voie à une analyse détaillée du discours sur le suicide déployé dans « Porter la main sur soi ». En franchissant les frontières de la psychologie et les limites de la langue, Améry procède à une phénoménologie du suicide qui souligne la liberté individuelle mais qui écarte en même temps l´individu de la société.<p><p>Imre Kertész, dont l´œuvre marque le passage vers la fiction par sa trilogie « Etre sans destin », « Le refus », « Kaddish pour l´enfant qui ne naîtra pas », place l´individu dans toute sa fragilité face à l´Histoire nazie et communiste en faisant de celui-ci un survivant « sans destin », c´est-à-dire sans existence personnelle. Regagner son propre destin devient la modalité de la survivance. <p>Une analyse détaillée de son essai « L’Holocauste comme culture » inscrit d’emblée Imre Kertész dans la filiation de Jean Améry. Cet essai peut être lu comme un manifeste éthico-esthétique ;il insiste sur la nécessité de transposer l’expérience vécue dans l’espace littéraire. A cette condition seulement, le survivant réussit à survivre grâce et à travers les œuvres qu’il crée. Il y réussit en effet à figurer la « catharsis » ou à transfigurer la matière brute du vécu pour pouvoir continuer à survivre. <p><p>Tout en refusant catégoriquement le suicide pour des raisons éthiques, Kertész met paradoxalement en scène au cœur de Liquidation le suicide d´un écrivain né à Auschwitz. Il pose ainsi la question de « ce qui reste » de l’expérience de la survie après la disparition des survivants et, donc, au-delà de la possibilité d’en témoigner.<p><p>L’analyse monographique de ces deux auteurs permet, d’une part, de démontrer la relation référentielle qui lie Kertész à Améry, d’autre part, d’étudier la problématique à travers deux générations, deux appartenances historiques et deux univers culturels différents. Elle débouche ainsi sur une histoire interculturelle et transgénérationelle de la survivance à l’époque des totalitarismes.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Jean Amérys Ethik der Erinnerung: die Materialisierung des Geistes im Körper

Weiler, Sylvia 19 December 2008 (has links)
In dieser Dissertation wird Jean Amérys Ethik der Erinnerung auf ihre philosophischen, politischen und literarischen Implikationen hin untersucht. Dabei wird sie als ein moegliches philosophisches Fundament fuer den westdeutschen Auschwitz-Diskurs und die westdeutsche Nachkriegsliteratur vorgestellt. Ihre Besonderheiten gewinnen auf der Grundlage eines Vergleichs von Amérys erinnerungspolitischen Positionen mit jenen Theodor W. Adornos Kontur, der allgemein als der philosophische Begruender der deutschen Literatur nach 1945 gilt. Beide Intellektuelle denken ausgehend von ihrer Verfolgungserfahrung als Juden deutscher (Adorno) bzw. oesterreichischer (Améry) Herkunft. Doch anders als Adorno, dem 1938 die Emigration nach Amerika gelang, wurde Améry als politischer Widerstandskaempfer gefoltert und nach Auschwitz deportiert. Vor diesem Hintergrund geht es um die Frage nach der erkenntnistheoretischen Bedeutung der koerperlichen Erfahrung der Vernichtung beim Versuch, ein der Zaesur Auschwitz angemessenes Denken zu begruenden. Hierzu werden erstmals Amérys Anleihen bei dem Phaenomenologen Maurice Merleau-Ponty systematisch analysiert. Wie er geht auch Améry davon aus, dass die koerperliche Wahrnehmung eines Menschen in entscheidender Form ueber sein Engagement in Kultur und Gesellschaft mitbestimmt.<p>Im Rahmen der Forschungsarbeit werden saemtliche Werke Amérys beruecksichtigt, inklusive seiner zum Teil noch unveroeffentlichten Nachlass-Arbeiten. Sie ist in drei Teile aufgegliedert, in denen jeweils eine der Werkepochen, die Améry auf seinem Werdegang als politischer Schriftsteller durchlaeuft, zentral steht: sein politisches Erwachen 1934/35 in Wien, seine ersten Schreibversuche nach der Befreiung aus dem Konzentrationslager Bergen-Belsen zwischen 1945 und 1949, und zuletzt die Ethik der Erinnerung des kanonischen Améry, die er in zwei Werkepochen erarbeitet hat, in denen er sich jeweils unterschiedlichen Fragestellungen widmet.(1966-1974 und 1974-1978). <p>Aus der Literaturzeitschrift "Die Bruecke", die der 22jaehrige 1934 gemeinsam mit einem Freund herausgab, und Amérys Jugendroman "Die Schiffbruechigen" werden in den ersten beiden Kapiteln die fruehen philosophischen und aestetischen Urspruenge von Amérys Ethik eroertert. Im folgenden Kapitel rueckt die Vernichtungserfahrung des Autors in den Brennpunkt. Die Parameter ihrer ersten literarischen Verarbeitung in seinen Schriften aus der unmittelbaren Nachkriegszeit werden herausgestellt, die Améry in seinem Spaetwerk weitergedacht hat. Auf den vorangehenden Forschungsergebnissen aufbauend wird im letzten Kapitel Amérys Ethik der Erinnerung im Vergleich zu jener Theodor W. Adornos erarbeitet. Ihr phaenomenologisches Fundament wird dem geschichtsphilosophischen Fundament des Adornoschen Denkens gegenuebergestellt. Dabei wird gezeigt, dass nicht nur Amérys Denken, sondern auch seine Aesthetik phaenomenologisch ausgerichtet ist. Durch die Analysen in diesem Hauptteil der Dissertation, in dem erstmals alle Essay-Baende auf ihren erinnerungspolitischen Gehalt im Zusammenspiel untersucht wurden, wird Amérys Beitrag zur Begruendung einer postmodernen Ethik und der Gattung der Shoah-Literatur einsehbar.<p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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