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Poétique de la question chez Raymond Queneau : le cas des jeunes fillesRioux, Dominique January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Histoire de l'oeil de Georges Bataille : une écriture sans sublimation ?Lane, Véronique January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Jacques Derrida et Hélène Cixous : entrechocs et entrechats entre philosophie et littératureClément, Andrée-Madeleine January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Pour une autobiographie de la disjointure : autour de quelques textes récents de Jacques DerridaBoucher, Geneviève January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La représentation de l'Orient chez Amélie Nothomb : un nouvel exotisme ?Dubé, Geneviève January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le passeur d'images : transferts poétiques et picturaux dans l'oeuvre d'Yves BonnefoyThibault, Louis-Jean January 2001 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le journal intime de Mireille Havet : entre écriture de soi et grand œuvreCompain, Marthe 13 September 2013 (has links) (PDF)
Mireille Havet, née en 1898, rencontre très tôt le succès grâce à ses poèmes. Proche d'Apollinaire et de Cocteau, elle se fait une place dans le milieu littéraire de l'époque. Parallèlement à ses poèmes, et à son roman publié en 1923, elle écrit un journal intime, qu'elle commence alors qu'elle est encore adolescente. Forte de ses succès de jeunesse, la jeune femme se laisse alors peu à peu rattraper par la vie : les femmes et les drogues, ses deux grandes passions, l'entraînent dans un tourbillon dont elle peine à s'extraire pour produire la grande œuvre dont elle rêve. Résignée, au fil des années, elle se concentrera sur la rédaction de son journal, devenu le seul support s'accordant avec son mode de vie, sa mélancolie et son addiction de plus en plus extrême aux drogues. Elle tente alors de transcrire son âme dans ses carnets intimes, de " dire et révéler [son] monde " intérieur. Ce projet, s'il n'est pas celui, idéal, de l'œuvre fantasmée, contient cependant toute la poésie de Mireille Havet et s'avère, après relecture, former un " tout complet ", presque à l'insu de son auteur. Ce journal peut-il alors remplacer la grande œuvre avortée dont la diariste a toujours rêvé ?
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La plume et le glaive : Caligula et la création littéraire chez CamusNadeau, Jean-Philippe 08 1900 (has links)
Pour Albert Camus, la littérature était à la fois une activité essentielle à son bonheur et un objet de réflexion. Afin de saisir quelle conception de la littérature et quelle vision du rôle de l’écrivain se dégagent de son oeuvre, ce mémoire aborde dans un même mouvement ses deux principaux essais, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, et une pièce de théâtre, Caligula. Notre premier chapitre consiste dans la recherche de ce qui, pour Camus, fait de la création artistique une activité privilégiée dans l’horizon de la pensée de l’absurde et de la révolte. Dans le deuxième chapitre, les différents commentaires émis par la critique à propos de Caligula seront examinés. La pièce, malgré l’opinion dominante, ne raconte pas l’histoire d’un empereur absurde qui se révolte contre son destin. L’importance du thème de la création littéraire dans cette pièce a également été grandement sous-estimée. Enfin, le troisième chapitre de ce mémoire présente notre propre analyse de la pièce. La confrontation de la fiction avec la théorie révèle une grande concordance entre les deux aspects de l’oeuvre de Camus. L’accord n’est cependant pas parfait, et l’étude des points de friction découverts permet d’apporter des éclaircissements sur un des points les plus obscurs des essais de Camus : l’éthique du créateur placé dans une situation où il doit choisir entre tuer et mourir. / For Albert Camus, literature was both an activity crucial to his happiness and a study object. In order to understand what conception of literature can be found in Camus’ writings and the responsibilities of the writer that this definition implies, this memoir studies his two main essays, The Myth of Sisyphus and The Rebel, and one play, Caligula. Our first chapter consist in a research of what makes artistic creation an exceptional activity in the light of Camus’ thoughts on absurd on revolt. In our second chapter, the critics’ various commentaries about Caligula are examined. In spite of what is still the opinion of a majority of critics, the play is not the tale of an absurd emperor who would revolt against his destiny. Also, the theme of literary creation has not been sufficiently studied in that play, in which it plays a determinant role. Finally, the third chapter of this memoir presents our own analysis of the play. The confrontation of fiction and theory reveals a great similarity between the two aspects of Camus’ writings. However, the match is never perfect, and the study of the friction points allows us to shed light on one of the most obscure part of Camus’ essays: the ethic of the creator placed in a situation where he must kill or be killed.
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Le motif du voile dans Sordidissimes de Pascal Quignardde Bellefeuille, Josée 04 1900 (has links)
Les trois paradigmes majeurs à partir desquels s’oriente l’analyse du voile dans Sordidissimes de Pascal Quignard sont les vêtements et la nudité, les « sordes » et le linceul, la toile et le regard. C’est à l’aide de l’analyse thématique et de la psychanalyse que la relation du voile au corps, à la mort et à l’art, est interprétée. Ce que l’on souhaite mettre en évidence est que le voile tient lieu de l’ambivalence. Il se trouve perpétuellement tendu par la volonté du sujet qui l’utilise tour à tour pour recouvrir ou révéler l’objet de ses désirs ou de ses peurs. Le voile incarne ainsi la frontière d’où s’origine la fascination, qu’elle soit morbide ou sexuelle. / The bases of our analysis of the veil in Pascal Quignard’s Sordidissimes are the three following paradigms : clothing and nudity, sordes and shroud, and canvas and gaze. Thematic analysis as elaborated by Jean-Pierre Richard and psychoanalysis will guide our interpretation of the relation of the veil to the body, death and arts. The purpose of this study is to demonstrate the constant movement of the veil. It is not static; the breeze that is the willpower of the self always moves the veil without ever tearing it off. What the veil is hiding or partially revealing is the origin of the fascination – bet it morbid or sexual.
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La plume et le glaive : Caligula et la création littéraire chez CamusNadeau, Jean-Philippe 08 1900 (has links)
Pour Albert Camus, la littérature était à la fois une activité essentielle à son bonheur et un objet de réflexion. Afin de saisir quelle conception de la littérature et quelle vision du rôle de l’écrivain se dégagent de son oeuvre, ce mémoire aborde dans un même mouvement ses deux principaux essais, Le Mythe de Sisyphe et L’Homme révolté, et une pièce de théâtre, Caligula. Notre premier chapitre consiste dans la recherche de ce qui, pour Camus, fait de la création artistique une activité privilégiée dans l’horizon de la pensée de l’absurde et de la révolte. Dans le deuxième chapitre, les différents commentaires émis par la critique à propos de Caligula seront examinés. La pièce, malgré l’opinion dominante, ne raconte pas l’histoire d’un empereur absurde qui se révolte contre son destin. L’importance du thème de la création littéraire dans cette pièce a également été grandement sous-estimée. Enfin, le troisième chapitre de ce mémoire présente notre propre analyse de la pièce. La confrontation de la fiction avec la théorie révèle une grande concordance entre les deux aspects de l’oeuvre de Camus. L’accord n’est cependant pas parfait, et l’étude des points de friction découverts permet d’apporter des éclaircissements sur un des points les plus obscurs des essais de Camus : l’éthique du créateur placé dans une situation où il doit choisir entre tuer et mourir. / For Albert Camus, literature was both an activity crucial to his happiness and a study object. In order to understand what conception of literature can be found in Camus’ writings and the responsibilities of the writer that this definition implies, this memoir studies his two main essays, The Myth of Sisyphus and The Rebel, and one play, Caligula. Our first chapter consist in a research of what makes artistic creation an exceptional activity in the light of Camus’ thoughts on absurd on revolt. In our second chapter, the critics’ various commentaries about Caligula are examined. In spite of what is still the opinion of a majority of critics, the play is not the tale of an absurd emperor who would revolt against his destiny. Also, the theme of literary creation has not been sufficiently studied in that play, in which it plays a determinant role. Finally, the third chapter of this memoir presents our own analysis of the play. The confrontation of fiction and theory reveals a great similarity between the two aspects of Camus’ writings. However, the match is never perfect, and the study of the friction points allows us to shed light on one of the most obscure part of Camus’ essays: the ethic of the creator placed in a situation where he must kill or be killed.
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