Spelling suggestions: "subject:"play""
251 |
The gender pay gap among university professors: the role of individual and organizational determinantsDoucet, Christine 06 1900 (has links)
Cette étude de cas, composée de trois articles, examine les diverses sources d’explication de l’écart salarial selon le genre chez les professeurs d’une grande université de recherche canadienne.
Le premier article analyse les écarts selon le genre sur les primes “de marché” à partir de données d’un sondage réalisé auprès des professeurs en 2002. Une analyse des correspondances donne une solution à deux facteurs dans laquelle le second facteur oppose clairement les professeurs qui ont reçu une prime à ceux qui n’en n’ont pas reçue. Le genre est fortement associé à ce facteur, la catégorie “femme” se retrouvant du côté de l’axe associé à l’absence de primes de marché. Les résultats de la régression logistique confirment que le secteur d’activité, la fréquence des contrats de recherche, la valorisation du salaire ainsi que le rang combiné à l’ancienneté sont reliés à la présence de primes de marché, tel que proposé par les hypothèses. Toutefois, même après avoir contrôlé pour ces relations, les femmes sont toujours près de trois fois moins susceptibles de s’être vu attribuer des primes de marché que leurs homologues masculins. Dans l’ensemble, les résultats suggèrent que dans un contexte où les salaires sont déterminés par convention collective, la réindividualisation du processus de détermination des salaires — en particulier le versement de primes de marché aux professeurs d’université — peut favoriser la réapparition d’écarts de salaire selon le genre.
Le second article est réalisé à partir de données administratives portant sur les années 1997 à 2006. Les contributions respectives de quatre composantes de la rémunération à l’écart salarial selon le genre y sont analysées, soit le salaire de base, l’accès au rang de professeur titulaire, l’accès aux primes de marché et chaires de recherche du Canada, de même que les montants reçus. Les composantes varient quant à leur degré de formalisation. Ceci permet de tester l’hypothèse selon laquelle l’ampleur de l’écart salarial selon le genre varie en fonction du degré de formalisation des composantes salariales. Nous déterminons également dans quelle mesure l’écart selon le genre sur les diverses composantes de la rémunération varie en fonction de la représentation relative des femmes professeurs au sein des unités. Les résultats démontrent l’existence de variations dans l’ampleur des différences selon le genre en fonction du degré de formalisation des pratiques de rémunération. Qui plus est, après contrôles, la rémunération est plus faible dans les unités où les femmes sont fortement représentées.
Le dernier article examine les mécanismes pouvant mener à un écart selon le genre en ce qui a trait à l’accès aux primes de marché chez les professeurs de l’institution. Les processus d’attribution de ces suppléments salariaux sont examinés à partir d’entretiens réalisés avec 17 administrateurs à tous les niveaux hiérarchiques de l’institution et dans une diversité d’unités académiques. Les résultats suggèrent que les différences selon le genre pourraient être liées à des caractéristiques spécifiques du processus d’attribution et à une distribution inégale des primes aux unités à forte représentation féminine.
De façon générale, les résultats démontrent que l’écart de rémunération selon le genre chez les professeurs de cette université n’est pas totalement expliqué par des différences dans les caractéristiques individuelles des hommes et femmes. L’analyse révèle que l’écart réside dans des différences selon le genre en ce qui a trait à l’accès aux primes de marché et aux chaires de recherches du Canada et, dans une moindre mesure, au rang de professeur titulaire. Aucune différence n’est observée sur le salaire de base et le montant des primes salariales reçues, que celles-ci soient dites de “marché” ou associées à une chaire de recherche du Canada. Qui plus est, on constate que la rémunération est plus faible dans les unités où les femmes sont le mieux représentées. L’accès différencié selon le genre aux primes de marché qui est observé pourrait être lié à certains processus organisationnels qui limitent les probabilités d’octrois à des femmes. Les femmes pourraient être particulièrement désavantagées dans ce système d’octroi, pour plusieurs raisons. L’existence de différences selon le genre en ce qui a trait aux dispositions ou habiletés des individus à négocier leur salaire est évoquée et supposée par certains administrateurs. Un accès limité aux informations concernant la politique de primes pourrait réduire la probabilité que des femmes tentent d’obtenir ces suppléments salariaux. Les directeurs d’unités, qui sont en majorité des hommes, pourraient être biaisées en faveur des professeurs masculins dans leurs évaluations s’ils tendent à favoriser ceux qui leurs ressemblent. Il est également possible que les directeurs d’unités où les femmes sont les mieux représentées n’aient pas reçu d’information sur les primes de marché ou que des traditions disciplinaires les aient rendu réticents à demander des primes. / This case study examines the various sources of explanation of the gender pay gap among professors at a large Canadian research university. It comprises three articles.
The first article analyzes gender differences in “market supplements” using data from a survey of professors conducted in 2000. The correspondence analysis produces a two-factor solution in which the second axis clearly opposes faculty who receive market supplement to those who do not. Gender is strongly related to this factor, with the female category on the side of the axis associated with the absence of market supplement. The results of the logistic regression confirm that field of specialization, frequency of external research contracts, faculty members’ values and attitudes towards remuneration and seniority within rank are all related to the award of market supplements, as hypothesized. However, women were still almost three times less likely than men to have been awarded market supplements after controlling for these relationships. Overall, the results suggest that within a collective bargaining context, reindividualization of the pay determination process — notably, the payment of market supplements to faculty — may reopen pay differences by gender.
The second article uses administrative data for years 1997 to 2006. We estimate the respective contributions to the gender pay gap of four pay components: base pay, promotion to full professor, access to market supplements and Canada research chairs as well as the amounts received. These are characterized by various levels of formalization. This allows testing the hypothesis that the magnitude of gender differences in pay varies with the extent of formalization of pay components. We also determine how gender differences on each pay component vary according to the relative representation of female faculty members within units. We find some evidence that the magnitude of gender differences varies with the degree of formalization in remuneration practices. We also find that, other things being equal, pay is lower in units with a high proportion of females.
The last article examines the mechanisms that may lead to gender differences in access to ‘market supplements’ among professors. The process of awarding pay in excess for the amounts provided for in a collective agreement are examined based on interviews with 17 administrators at all hierarchical levels and in various academic units. Results suggest that gender differences in the likelihood of receiving an award may be related to specific features of the award process and to an unequal distribution of awards to units with strong female representation.
Overall, the results show that the gender pay gap among professors at this university is not entirely accounted for by differences in the individual characteristics of male and female professors. The analysis reveals that the pay gap resides in gender differences in access to market supplements and Canada research chairs (CRCs) and, to a lesser extent, to the full professor rank. No difference is found on base pay or on the amounts of pay supplements received, whether they are “market” premiums or supplements associated to a CRC. Furthermore, pay tends to be lower in units where female representation is highest. The observed gender differences in access to market supplements could be due to organizational processes that reduce the likelihood of awards to women. There are several reasons why female faculty members are particularly disadvantaged in this award system. Gender differences in the propensity or ability to negotiate are alleged (and assumed) by some of those negotiating. More limited access to information about supplements reduces the likelihood that women will pursue them. Chairpersons, who are mostly males, may allow gender bias to influence their evaluations of faculty members, perhaps because they tend to favor others like themselves. It may also be that chairpersons from the units where women are better represented do not have access to information about market supplements or that disciplinary traditions make them reluctant to request them.
|
252 |
The implementation of Ontario pay equity legislationStrom, Arlene J. 11 1900 (has links)
This thesis is a case study of the implementation of Ontario's
1987 pay equity legislation. Ontario's pay equity legislation was
very progressive and was aimed at eliminating the portion of the
wage gap between men and women caused by discrimination. The
legislation mandated both public and private sector employers with
more than 10 employees to create pay equity plans to eliminate the
discriminatory portion of the wage gap. The legislation has met
with some success. However, measuring the progress of eliminating
wage discrimination is difficult because the Ontario government was
unwilling to impose a coercive implementation regime.
Consequently, the government has little information to measure
either employer compliance or the results of employer pay equity
plans. Employers have few incentives to comply with the
legislation and the implementing agency has insufficient financial
resources to monitor compliance. Clearly this implementation
regime was a delicate political balancing of the interests of
business and labour and women.
|
253 |
The gender pay gap among university professors: the role of individual and organizational determinantsDoucet, Christine 06 1900 (has links)
Cette étude de cas, composée de trois articles, examine les diverses sources d’explication de l’écart salarial selon le genre chez les professeurs d’une grande université de recherche canadienne.
Le premier article analyse les écarts selon le genre sur les primes “de marché” à partir de données d’un sondage réalisé auprès des professeurs en 2002. Une analyse des correspondances donne une solution à deux facteurs dans laquelle le second facteur oppose clairement les professeurs qui ont reçu une prime à ceux qui n’en n’ont pas reçue. Le genre est fortement associé à ce facteur, la catégorie “femme” se retrouvant du côté de l’axe associé à l’absence de primes de marché. Les résultats de la régression logistique confirment que le secteur d’activité, la fréquence des contrats de recherche, la valorisation du salaire ainsi que le rang combiné à l’ancienneté sont reliés à la présence de primes de marché, tel que proposé par les hypothèses. Toutefois, même après avoir contrôlé pour ces relations, les femmes sont toujours près de trois fois moins susceptibles de s’être vu attribuer des primes de marché que leurs homologues masculins. Dans l’ensemble, les résultats suggèrent que dans un contexte où les salaires sont déterminés par convention collective, la réindividualisation du processus de détermination des salaires — en particulier le versement de primes de marché aux professeurs d’université — peut favoriser la réapparition d’écarts de salaire selon le genre.
Le second article est réalisé à partir de données administratives portant sur les années 1997 à 2006. Les contributions respectives de quatre composantes de la rémunération à l’écart salarial selon le genre y sont analysées, soit le salaire de base, l’accès au rang de professeur titulaire, l’accès aux primes de marché et chaires de recherche du Canada, de même que les montants reçus. Les composantes varient quant à leur degré de formalisation. Ceci permet de tester l’hypothèse selon laquelle l’ampleur de l’écart salarial selon le genre varie en fonction du degré de formalisation des composantes salariales. Nous déterminons également dans quelle mesure l’écart selon le genre sur les diverses composantes de la rémunération varie en fonction de la représentation relative des femmes professeurs au sein des unités. Les résultats démontrent l’existence de variations dans l’ampleur des différences selon le genre en fonction du degré de formalisation des pratiques de rémunération. Qui plus est, après contrôles, la rémunération est plus faible dans les unités où les femmes sont fortement représentées.
Le dernier article examine les mécanismes pouvant mener à un écart selon le genre en ce qui a trait à l’accès aux primes de marché chez les professeurs de l’institution. Les processus d’attribution de ces suppléments salariaux sont examinés à partir d’entretiens réalisés avec 17 administrateurs à tous les niveaux hiérarchiques de l’institution et dans une diversité d’unités académiques. Les résultats suggèrent que les différences selon le genre pourraient être liées à des caractéristiques spécifiques du processus d’attribution et à une distribution inégale des primes aux unités à forte représentation féminine.
De façon générale, les résultats démontrent que l’écart de rémunération selon le genre chez les professeurs de cette université n’est pas totalement expliqué par des différences dans les caractéristiques individuelles des hommes et femmes. L’analyse révèle que l’écart réside dans des différences selon le genre en ce qui a trait à l’accès aux primes de marché et aux chaires de recherches du Canada et, dans une moindre mesure, au rang de professeur titulaire. Aucune différence n’est observée sur le salaire de base et le montant des primes salariales reçues, que celles-ci soient dites de “marché” ou associées à une chaire de recherche du Canada. Qui plus est, on constate que la rémunération est plus faible dans les unités où les femmes sont le mieux représentées. L’accès différencié selon le genre aux primes de marché qui est observé pourrait être lié à certains processus organisationnels qui limitent les probabilités d’octrois à des femmes. Les femmes pourraient être particulièrement désavantagées dans ce système d’octroi, pour plusieurs raisons. L’existence de différences selon le genre en ce qui a trait aux dispositions ou habiletés des individus à négocier leur salaire est évoquée et supposée par certains administrateurs. Un accès limité aux informations concernant la politique de primes pourrait réduire la probabilité que des femmes tentent d’obtenir ces suppléments salariaux. Les directeurs d’unités, qui sont en majorité des hommes, pourraient être biaisées en faveur des professeurs masculins dans leurs évaluations s’ils tendent à favoriser ceux qui leurs ressemblent. Il est également possible que les directeurs d’unités où les femmes sont les mieux représentées n’aient pas reçu d’information sur les primes de marché ou que des traditions disciplinaires les aient rendu réticents à demander des primes. / This case study examines the various sources of explanation of the gender pay gap among professors at a large Canadian research university. It comprises three articles.
The first article analyzes gender differences in “market supplements” using data from a survey of professors conducted in 2000. The correspondence analysis produces a two-factor solution in which the second axis clearly opposes faculty who receive market supplement to those who do not. Gender is strongly related to this factor, with the female category on the side of the axis associated with the absence of market supplement. The results of the logistic regression confirm that field of specialization, frequency of external research contracts, faculty members’ values and attitudes towards remuneration and seniority within rank are all related to the award of market supplements, as hypothesized. However, women were still almost three times less likely than men to have been awarded market supplements after controlling for these relationships. Overall, the results suggest that within a collective bargaining context, reindividualization of the pay determination process — notably, the payment of market supplements to faculty — may reopen pay differences by gender.
The second article uses administrative data for years 1997 to 2006. We estimate the respective contributions to the gender pay gap of four pay components: base pay, promotion to full professor, access to market supplements and Canada research chairs as well as the amounts received. These are characterized by various levels of formalization. This allows testing the hypothesis that the magnitude of gender differences in pay varies with the extent of formalization of pay components. We also determine how gender differences on each pay component vary according to the relative representation of female faculty members within units. We find some evidence that the magnitude of gender differences varies with the degree of formalization in remuneration practices. We also find that, other things being equal, pay is lower in units with a high proportion of females.
The last article examines the mechanisms that may lead to gender differences in access to ‘market supplements’ among professors. The process of awarding pay in excess for the amounts provided for in a collective agreement are examined based on interviews with 17 administrators at all hierarchical levels and in various academic units. Results suggest that gender differences in the likelihood of receiving an award may be related to specific features of the award process and to an unequal distribution of awards to units with strong female representation.
Overall, the results show that the gender pay gap among professors at this university is not entirely accounted for by differences in the individual characteristics of male and female professors. The analysis reveals that the pay gap resides in gender differences in access to market supplements and Canada research chairs (CRCs) and, to a lesser extent, to the full professor rank. No difference is found on base pay or on the amounts of pay supplements received, whether they are “market” premiums or supplements associated to a CRC. Furthermore, pay tends to be lower in units where female representation is highest. The observed gender differences in access to market supplements could be due to organizational processes that reduce the likelihood of awards to women. There are several reasons why female faculty members are particularly disadvantaged in this award system. Gender differences in the propensity or ability to negotiate are alleged (and assumed) by some of those negotiating. More limited access to information about supplements reduces the likelihood that women will pursue them. Chairpersons, who are mostly males, may allow gender bias to influence their evaluations of faculty members, perhaps because they tend to favor others like themselves. It may also be that chairpersons from the units where women are better represented do not have access to information about market supplements or that disciplinary traditions make them reluctant to request them.
|
254 |
行動支付之策略行銷分析:以微信支付、LINE Pay為例 / Strategic Marketing Analysis in Mobile Payment: The Cases of WeChat Pay and LINE Pay續嘉揚, Hsu, Chia Yang Unknown Date (has links)
隨著科技不斷地進步與網際網路的日益普及,消費者手中的智慧型手機似乎早已不限用於傳統的通話功能。作者在十幾年前就曾幻想過,如果將來出門在外身上可以只攜帶一支手機,那該有多好。沒想到當初天真爛漫的想像,轉眼幾年後便已幾乎實現。隨著相機、手電筒、地圖、筆記本、隨身聽……等等逐一被我們放進智慧型手機裡,手機已經不再只是手機。而近年來大眾開始把「錢」放進手機,許多企業也紛紛推出「結合手機與錢」這種概念的各式產品與服務。當供給端與需求端都已出現時,行動支付產業就此產生。
行動支付有許多應用與模式,本研究主要針對兩個以即時通訊應用程式為初始業務的案例―微信以及LINE進行探討。兩家案例公司都是在原有業務成長至一定規模後,開始發展新興行動支付業務,分別為:微信發展微信支付,LINE發展LINE Pay。本研究不僅透過資料瞭解這兩個案例之發展歷程、營運模式以及現況;同時藉由策略行銷4C理論架構,逐步分析這兩個案例是如何各自處理交換關係中的四個成本。
研究結果發現,歷經了差不多的光陰,兩個案例所呈現出的現況卻是天壤之別。儘管兩者因為政治環境、市場規模,以及所面對之消費者習慣上的差異,導致經營成效有所落差。不過排除這些先天因素,微信支付相較於LINE Pay,確實於各階段將4C策略執行地更加完善,並因此推動4C良性循環。LINE Pay本身對於4C架構仍有許多進步空間,本研究最終建議LINE Pay可以參考微信支付部分作法,並針對台灣市場適度調整,期許LINE Pay能順利啟動4C良性循環,為自己創造長期競爭優勢。 / With the advances of technology and the popularization of the internet, nowadays smartphones can perform several functions besides communication (e.g., camera, flashlight, map, notebook, Walkman). Moreover, people begin “putting” the money on their smartphones in recent years. Many corporations have also launched new products or services featuring the combination of mobile phone and money. As the growth of both supply and demand in the market, the mobile payment industry has gradually formed.
There are many kinds of application and models in the mobile payment industry. This thesis concentrates the attention on two instant messaging companies―WeChat and LINE. Both companies began expanding mobile payment business―WeChat Pay and LINE Pay―after their original business grew mature. This thesis not only reviews the development history and business models of two companies, but also uses the 4C analysis framework to analyze how they dealt with the four transaction costs.
The study shows that the operating results of WeChat Pay and LINE Pay are very different. There is still room for LINE Pay to grow. Although WeChat Pay and LINE Pay face quite distinct political environment, market size, and consumers, the thesis suggests that LINE pay can refer to the strategies and methods of WeChat Pay, and make some adjustments so as to successfully create the positive 4C cycle and long-term competitive advantage.
|
255 |
The implementation of Ontario pay equity legislationStrom, Arlene J. 11 1900 (has links)
This thesis is a case study of the implementation of Ontario's
1987 pay equity legislation. Ontario's pay equity legislation was
very progressive and was aimed at eliminating the portion of the
wage gap between men and women caused by discrimination. The
legislation mandated both public and private sector employers with
more than 10 employees to create pay equity plans to eliminate the
discriminatory portion of the wage gap. The legislation has met
with some success. However, measuring the progress of eliminating
wage discrimination is difficult because the Ontario government was
unwilling to impose a coercive implementation regime.
Consequently, the government has little information to measure
either employer compliance or the results of employer pay equity
plans. Employers have few incentives to comply with the
legislation and the implementing agency has insufficient financial
resources to monitor compliance. Clearly this implementation
regime was a delicate political balancing of the interests of
business and labour and women. / Arts, Faculty of / Political Science, Department of / Graduate
|
256 |
Predictive analysis of organisational costs to achieve gender pay equity / Prediktiv analys av kostnaden för organisationer att uppnå jämställda löner mellan könenRohde, Oscar January 2022 (has links)
The gender pay gap has been a hot topic during the last decade and legislation regarding pay equity is increasing in Europe. Continuous work with gender pay equity is essential to avoid costly consequences. There are methods today to find unsubstantiated pay differences, but how could one predict the cost of fixing the pay gap? How can the one predict the cost of making an unequal pay structure equal? How may pay equity methods be explained to people not well-versed in mathematical reasoning? To investigate these questions, the study uses literature, simulations in Python, and a workshop to gather empirical data. Simulation is used to analyse different methods of closing the gender pay gap. The workshop was held at the pay equity SaaS company Pihr. Results suggest several methods to close the gender pay gap that vary in cost and perceived fairness. One can never be absolutely certain of the presence or absenceof gender discrimination, but one can make well-informed estimates using different methods of analysis. The results also suggest that pay equity methods should be explained using informal, non-mathematical words, with examples connected to real-world scenarios in a familiar context for the learner. / Lönegapet mellan män och kvinnor har senaste årtiondet varit ett omdiskuterat ämne och juridiska krav om jämställda löner har blivit alltmer förekommandei Europa. Att kontinuerligt arbeta för mer jämställda löner mellan könen är avgörande för att undvika kostsamma konsekvenser. Det finns idag metoder för att hitta osakliga löneskillnader, men hur kan kostnaden att lösa löneskillnaderna estimeras? Hur kan kostnaden att göra en ojämställd lönestruktur jämställd uppskattas? Hur kan metoder för att stänga lönegapet förklaras för människor utan erfarenhet av matematiska resonemang? För att undersöka dessa frågor samlar studien empirisk data från litteratur, simulationer i Python ochen workshop. Simulation används för att analysera olika metoder för att stänga lönegapet mellan könen. En workshop kom att göras på SaaS-bolaget Pihr somär verksamma inom området. Resultaten föreslår ett flertal metoder att använda för att stänga lönegapet, med varierande kostnad och upplevd rättvisa. Det går aldrig att vara fullständigt säker om könsdiskriminering förekommer eller ej. Däremot är det möjligt att göra välgrundade estimeringar med hjälp av olika analysmetoder. Studiens resultat antyder också att metoder för att stänga lönegapet bör förklaras med ett informellt och icke-matematiskt språk, samt inkludera verklighetsbaserade exempel i en bekant kontext för mottagaren.
|
257 |
Pay-What-You-Want : Konsumentens attraktion till prisstrateginFagerlund, Axel, Huda, Annica January 2016 (has links)
Syfte: Pay-What-You-Want (PWYW) är en kundstyrd prissättningsstrategi, där kunden bestämmer priset. Tidigare forskning visar att antalet kunder ökar vid tillämpning av prisstrategin. Studiens syfte är således att analysera samband och förklara ifall variablerna priskänslighet, rättvisa, riskkänslighet och nyfikenhet påverkar konsumentens attraktion till PWYW. Metod: Studien har ett deduktivt tillvägagångssätt för att analysera litteratur och vetenskapliga artiklar. Teorin har deducerat studiens hypoteser för att undersöka samband och kvantitativ metod har används där empirisk data har samlats in med en webbenkät. Resultatet analyseras i SPSS med en faktoranalys och korrelationsanalys. Detta redovisas genom tabeller och figurer samt diskussion. Resultat & slutsats: Studien visar positiva samband mellan attraktion till PWYW och priskänslighet, rättvisa samt nyfikenhet. Sambandet mellan attraktion till PWYW och riskkänslighet visar dock svag korrelation. Däremot indikerar resultatet att det finns fler variabler att ta hänsyn till. Förslag till fortsatt forskning: Resultatet indikerar att det saknas faktorer som påverkar konsumentens attraktion till PWYW. Det är av intresse att undersöka hur faktorerna kan nyttjas av företag samt om konsumentens attraktion påverkas ifall prisstrategin inte längre anses ovanlig. Uppsatsens bidrag: Studien är först med att studera konsumentens motivationer till PWYW innan köpmomentet. Studien bidrar med variabler som förklarar varför konsumenter attraheras av en kundstyrd prisstrategi. Studien bidrar likaså med kunskap för forskningen kring PWYW.
|
258 |
Racial Discrimination and the Equalization of Negro and White Teachers' Salaries in the Dallas Public SchoolsTompkins, George W. 12 1900 (has links)
On 13 November 1942, Thelma E. Page, a black high school teacher in Dallas, Texas, brought suit against the Dallas Board of Education in order to bring about the equalization of black and white teachers' salaries. This suit was part of a national movement of blacks, under the direction of the NAACP, and was an indirect attack upon segregation. Most of these suits were filed against large city school systems, in the South, in order to effect the greatest possible number of black teachers. This suit was won by the plaintiff and brought about equalization.
|
259 |
The Effect of Pay Banding on Generational Cohort Perceptions of Job SatisfactionPolk, Charles Terence 01 January 2015 (has links)
For over 3 decades, the federal government has attempted to introduce pay-for-performance into the federal workforce. It is important for federal agencies to understand the impact of pay-for-performance, specifically pay banding, on job satisfaction and retention of frontline managers as agencies face the exodus of the retiring Baby Boomer generation. The purpose of this study was to explore the effect of pay banding on job satisfaction and intention of frontline managers to leave the Internal Revenue Service (IRS). The theoretical foundation for this study was Adams's equity theory as viewed through the lens of Mannheim's generational theory. The overarching research question was concerned with whether pay banding effects generational perceptions of job satisfaction and predicts turnover intention. This quantitative study used ANOVA, hierarchical multiple regression, mediation analysis, moderation analysis, and logistic regression to analyze the impact of pay banding on generational perceptions of job satisfaction and turnover intention among IRS frontline managers. The sample was limited to frontline managers of the Department of the Treasury (n = 2,525). Key findings indicated that pay banding was negatively associated with job satisfaction and that pay banded managers were 1.36 times more likely to leave the agency than managers who were not pay banded. Pay banding mediated the relationship between gender and job satisfaction. Positive social changes that may result from governmental policymakers applying the findings of this study are improved retention of highly skilled frontline managers, improved the efficiency and effectiveness of government services, and reduced cost of retraining managers due to attrition. These changes may improve the work environment for employees and improve governmental services provided to the citizenry.
|
260 |
<em>ROI -</em> <em>Effekten av kompetensutveckling inom IT-området </em> : <em> </em>Kraft, Jakob January 2010 (has links)
<p><strong>Syfte:</strong> Det är idag få större investeringar som företag gör utan att göra någon form av investeringskalkylering. Därför är det ett problem att det idag inte finns något enkelt sätt att kalkylera på en investering i kompetensutveckling inom IT-området. Studien undersöker därför:</p><ul><li>Om det på ett trovärdigt sätt är möjligt att mäta ROI (Return on Investment) på en sådan investering?</li><li>Hur en sådan mätning genomförs?</li><li>Är det i så fall möjligt standardisera sättet att mäta?</li></ul><p>Förutom ROI beräknas återbetalningstiden (Pay-Back) för respektive grupp: IT-användare, IT-tekniker samt systemutvecklare.</p><p><strong>Metod:</strong> Studien har genomförts som en kvantitativ studie (webbenkätundersökning). ROI har beräknats och övriga svar verbalt diskuterats. Data har även presenterats i diagramform.</p><p><strong>Resultat & slutsats:</strong> ROI är möjligt att beräkna för denna typ av investeringar och för tidsperioden ett år beräknats ROI baserat på medelvärdet till 87 % för IT-användare, 67 % för systemutvecklare och 41 % för IT-tekniker. Detta motsvarar en genomsnittlig återbetalningstid på 0,53 år för IT-användare, 0,60 år för systemutvecklare och 0,71 år för IT-tekniker. Spridningen i ROI och återbetalningstid för olika grupperna beror på skillnader i enkätsvar samt skillnad i investeringsstorlek. Om ROI beräknas på medianen istället för medelvärdet blir ROI lägre. Det finns osäkerhetsfaktorer som inte går att ta hänsyn till i denna typ av generella beräkningar.</p><p><strong>Förslag till fortsatt forskning:</strong> Upprepning av studien samt en jämförande studie där datainsamling sker på annat sätt skulle vara intressant. Denna studie har endast samlat in data på ett sätt.</p><p><strong>Uppsatsens bidrag:</strong> Uppsatsen bör vara intressant för organisationer som arbetar med kompetensutveckling samt enskilda individer.</p> / <p><strong>Aim:</strong> There are currently few investments that firms do without making any investment calculation. Det därför är ett problem att det idag inte finns något enkelt sätt att kalkylera på en investering i <em>kompetensutveckling inom IT-området</em> . It’s therefore a problem that there is no simple way to calculate on an investment in <em>skills development in the IT field.</em> Studien undersöker därför: The study is examining if:</p><ul><li>There is a credible way to measure ROI (Return on Investment) on such an investment?</li><li>How is it done? </li><li>Is it possible to standardize the way to measure?</li></ul><p>In addition to ROI estimated Pay-Back are calculated for each group: IT-users, IT-professionals and system developers.</p><p><strong>Method:</strong> The study was conducted as a quantitative study (web survey). ROI was calculated, and other verbal responses discussed. Data are also presented in graph form.</p><p><strong>Result & Conclusions: </strong>ROI is possible to calculate for this type of investment and for the time period of one year ROI is calculated to 87% of IT users, 67% for system designers and 41% of IT professionals. The Pay-Back time is calculated to 0,53 years for IT users, 0,60 years for system designers and 0,71 years for IT professionals. The difference of ROI and Pay-Back for different groups is due to differences in survey responses and the difference in investment size. If ROI is calculated on the median instead of average ROI is lower. There are uncertainties that can not be taken into account in this type of general computing.</p><p><strong>Suggestions for future research: </strong>Repetition of the study together with a comparative study with data collection by other means. Denna studie har endast samlat in data på ett sätt.</p><p><strong>Contribution of the thesis: </strong>The essay should be interesting for organizations working on skills development.</p>
|
Page generated in 0.271 seconds