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Travail, engagement et communication : le travail comme expérience émotionnelle positiveBoucher, Anne January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Phénoménologie et oeuvre d'art chez HeideggerGruber, Emmanuelle January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Signification de l'expérience de vivre avec un conjoint atteint du cancer de la prostate, dans le contexte espagnol /Meneses Jiménez, Maria Teresa January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La nouvelle physique dans le système des mésons BHamel, Philippe January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Être-sur-Facebook : la technique et l'habitation chez Martin Heidegger et Peter SloterdijkMarcotte, Bruno 23 January 2013 (has links)
À mesure que s’accroissent le temps passé en ligne et la richesse phénoménale des environnements web, ces « médias » doivent de moins en moins être pensés comme des canaux de communication et de plus en plus comme des espaces, voire des lieux d’habitation. Au même moment, les dispositifs de communications numériques, au premier chef www.facebook.com, sont constamment accusés d’être des espaces « irréels », de rendre les relations « superficielles », etc. Cette thèse cherche à qualifier l’être-au-monde lorsqu’il prend la forme de l’être-sur-facebook en mettant en relation les questions de l’habitation, de la technique et du numérique. De façon surprenante, bien que ceux-ci n’aient jamais écrit sur le web, les pensées de Martin Heidegger et de Peter Sloterdijk fournissent d’excellentes bases théoriques à partir desquelles penser l’habitation numérique. D’une part, Heidegger ne fait pas dériver la réalité d’une ontologie matérialiste, mais existentielle, ce qui correspond bien à la praxis numérique. D’autre part, il a cherché à établir des relations entre l’habitation et la technique, ainsi qu’entre l’authenticité et la publicité, ce qui se révèle fort utile pour penser ce que peut vouloir dire le fait d’habiter un environnement technique semi-public. Quant à Sloterdijk, ses notions de sphère et d’immunité sont intéressantes pour penser le nouveau genre d’espace créé par Facebook où l’usager contrôle lui-même l’accès à son réseau. Pensé avec les catégories de Sloterdijk, Facebook.com apparait comme un milieu s’acquittant de la double exigence d’immunité et de mobilisation où l’usager fait de son propre reflet sa « maison web ». Le projet guidant la trilogie « Sphères » – penser l’existence humaine à partir de ces lieux de production et d’installation – est ainsi poussé, par-delà son attachement à la concrétude, vers le web.
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Le problème du monde naturel et la phénoménologie de Jan PatockaVaudreuil, Marc-André January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite du problème du monde naturel chez le philosophe et phénoménologue tchèque Jan Patocka. Il présente sa contribution au mouvement phénoménologique sur les thèmes de la structure a priori du champ phénoménal et des mouvements fondamentaux de l'existence humaine. Dans l'introduction, nous faisons la généalogie du concept de monde naturel et montrons qu'il apparaît pour la première fois dans la philosophie positiviste de la fin du XIXe siècle, notamment chez les philosophes Ernst Mach et Richard Avenarius. Ce concept est ensuite repris par Edmund Husserl, qui élabore une analyse descriptive du monde naturel sur une base phénoménologique. Dans le premier chapitre, nous fondant sur une étude des textes de la jeunesse de Patocka, en particulier de sa thèse de doctorat Le monde naturel comme problème philosophique (1936), nous montrons que ce dernier formule d'abord ce problème dans une perspective essentiellement husserlienne, mais qu'il est ensuite conduit, dans la deuxième période de son oeuvre, à remettre en cause le « subjectivisme » de la philosophie transcendantale de Husserl et à reprendre la réflexion phénoménologique sur un fondement nouveau. Dans le deuxième chapitre, nous décrivons la position philosophique adoptée par Patocka dans sa maturité, qu'il qualifie
d'« asubjectiviste », en insistant sur ses principaux concepts, à savoir la structure a priori du champ phénoménal et les mouvements fondamentaux de l'existence humaine. Nous concluons en présentant la formulation nouvelle du problème du monde naturel qui résulte de cette refonte de la phénoménologie et qui rend problématique la saisie conceptuelle de la structure universelle invariante du monde de l'expérience quotidienne vécue.
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Étude exploratoire du phénomène de l'immigration comme rite de passage : le cas de trois immigrants sénégalaisDiouf, Agnes 06 1900 (has links) (PDF)
Basé sur une recherche de type qualitatif, ce mémoire vise à démontrer que l'immigration est vécue comme un rite de passage même si ce n'est pas conscient. Le présent travail est parti de l'objectif qui cherche à comprendre le point de vue de trois immigrants sénégalais par rapport à leur expérience. Pour cette raison, nous nous sommes posé la question : pourquoi le choix d'immigrer, malgré les difficultés auxquelles beaucoup sont confrontés? Ensuite, nous avons formulé deux intuitions : (1) l'immigration est considérée comme un moyen de réussite sociale. La personne qui choisit de partir a donc la chance de bénéficier de meilleures conditions de vie et de se voir accorder un nouveau statut; (2) Les immigrants rencontrent pratiquement les mêmes difficultés pendant leur parcours migratoire. Le sens et les significations qu'ils donnent au vécu dépendent donc de leurs motivations de départ et de leurs expériences individuelles. Notre recherche utilise la démarche phénoménologique qui nous permet de saisir le phénomène de l'immigration comme rite de passage. Dans le cadre théorique, nous avons expliqué, dans un premier temps, le choix de l'approche, son intérêt, ses caractéristiques et sa dimension communicationnelle. Dans un second temps, nous avons défini le rite, sa place et son importance dans la vie sociale et individuelle. Suite à cela, nous avons démontré que les rites de passage sont des étapes qui accompagnent le cycle de la vie humaine. À partir de cette étude, ressortent la valeur et le sens qui entourent ce concept condensé dans des symboles reconnus et acceptés par la communauté. Dans la partie méthodologique, à partir de questions ouvertes, les trois répondants interviewés ont partagé leurs expériences. L'analyse des résultats est basée sur la méthode phénoménologique de Giorgi reprise par Chantal Deschamps qui suit principalement les quatre phases suivantes : tirer le sens général de l'ensemble de la description du phénomène; identifier les « unités de signification » qui émergent de la description; développer le contenu « des unités de signification » en unités de signification approfondie; réaliser une synthèse de l'ensemble des développements des synthèses des « unités de signification ». De cette analyse s'est dégagé le sens donné à l'immigration. Aussi, l'interprétation des résultats montre les similarités et les divergences de points de vue ainsi que la particularité de la trajectoire de chacun des répondants. Au vu de tout cela, nous avons conclu que les motivations de départ demeurent pour l'immigrant une référence et une force pour confronter les difficultés quotidiennes et pour atteindre ses objectifs.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : immigration, vécu, conscience, rite de passage, phénoménologie.
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Être-sur-Facebook : la technique et l'habitation chez Martin Heidegger et Peter SloterdijkMarcotte, Bruno 23 January 2013 (has links)
À mesure que s’accroissent le temps passé en ligne et la richesse phénoménale des environnements web, ces « médias » doivent de moins en moins être pensés comme des canaux de communication et de plus en plus comme des espaces, voire des lieux d’habitation. Au même moment, les dispositifs de communications numériques, au premier chef www.facebook.com, sont constamment accusés d’être des espaces « irréels », de rendre les relations « superficielles », etc. Cette thèse cherche à qualifier l’être-au-monde lorsqu’il prend la forme de l’être-sur-facebook en mettant en relation les questions de l’habitation, de la technique et du numérique. De façon surprenante, bien que ceux-ci n’aient jamais écrit sur le web, les pensées de Martin Heidegger et de Peter Sloterdijk fournissent d’excellentes bases théoriques à partir desquelles penser l’habitation numérique. D’une part, Heidegger ne fait pas dériver la réalité d’une ontologie matérialiste, mais existentielle, ce qui correspond bien à la praxis numérique. D’autre part, il a cherché à établir des relations entre l’habitation et la technique, ainsi qu’entre l’authenticité et la publicité, ce qui se révèle fort utile pour penser ce que peut vouloir dire le fait d’habiter un environnement technique semi-public. Quant à Sloterdijk, ses notions de sphère et d’immunité sont intéressantes pour penser le nouveau genre d’espace créé par Facebook où l’usager contrôle lui-même l’accès à son réseau. Pensé avec les catégories de Sloterdijk, Facebook.com apparait comme un milieu s’acquittant de la double exigence d’immunité et de mobilisation où l’usager fait de son propre reflet sa « maison web ». Le projet guidant la trilogie « Sphères » – penser l’existence humaine à partir de ces lieux de production et d’installation – est ainsi poussé, par-delà son attachement à la concrétude, vers le web.
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Étude de voix chez Louis-René des ForêtsRocheville, Sarah Dominique January 2004 (has links)
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Être-sur-Facebook : la technique et l'habitation chez Martin Heidegger et Peter SloterdijkMarcotte, Bruno January 2013 (has links)
À mesure que s’accroissent le temps passé en ligne et la richesse phénoménale des environnements web, ces « médias » doivent de moins en moins être pensés comme des canaux de communication et de plus en plus comme des espaces, voire des lieux d’habitation. Au même moment, les dispositifs de communications numériques, au premier chef www.facebook.com, sont constamment accusés d’être des espaces « irréels », de rendre les relations « superficielles », etc. Cette thèse cherche à qualifier l’être-au-monde lorsqu’il prend la forme de l’être-sur-facebook en mettant en relation les questions de l’habitation, de la technique et du numérique. De façon surprenante, bien que ceux-ci n’aient jamais écrit sur le web, les pensées de Martin Heidegger et de Peter Sloterdijk fournissent d’excellentes bases théoriques à partir desquelles penser l’habitation numérique. D’une part, Heidegger ne fait pas dériver la réalité d’une ontologie matérialiste, mais existentielle, ce qui correspond bien à la praxis numérique. D’autre part, il a cherché à établir des relations entre l’habitation et la technique, ainsi qu’entre l’authenticité et la publicité, ce qui se révèle fort utile pour penser ce que peut vouloir dire le fait d’habiter un environnement technique semi-public. Quant à Sloterdijk, ses notions de sphère et d’immunité sont intéressantes pour penser le nouveau genre d’espace créé par Facebook où l’usager contrôle lui-même l’accès à son réseau. Pensé avec les catégories de Sloterdijk, Facebook.com apparait comme un milieu s’acquittant de la double exigence d’immunité et de mobilisation où l’usager fait de son propre reflet sa « maison web ». Le projet guidant la trilogie « Sphères » – penser l’existence humaine à partir de ces lieux de production et d’installation – est ainsi poussé, par-delà son attachement à la concrétude, vers le web.
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