Spelling suggestions: "subject:"philological romanen""
1 |
"...non sono che un semplice ricercatore della verità..." : der "Archivio glottologico italiano" und die "Zeitschrift für Romanische Philologie : ein historisch-systematischer Vergleich /Fettweis-Gatzweiler, Elke A., January 1994 (has links)
Diss.--Bonn--Rheinische Friedrich Wilhelms Universität, 1993. / Bibliogr. p. 231-298. Index.
|
2 |
Étude et édition critique du Tournoiement Antecrist de Huon de Mery: "Dit" allégorique du XIIIe siècleBergk Pinto, Nicole 25 April 2019 (has links) (PDF)
Nous avons consacré notre thèse de doctorat au Tournoiement Antecrist, "dit" allégorique, composé probablement autour de 1236 par un clerc prénommé Huon de Mery. Nos recherches ont mené à la réalisation d’une nouvelle édition critique complète, destinée à remplacer les éditions antérieures défectueuses. Nous avons également produit une étude littéraire et philologique approfondie de cette œuvre d’une importance capitale dans la naissance de la littérature allégorique française.La thèse s’ouvre sur une introduction philologique et littéraire. Ce premier chapitre est destiné à situer l’œuvre à l’intérieur du corpus médiéval. Nous présentons d’abord les informations concernant la date de composition, l’auteur, son origine et sa condition. Suivent un ensemble d’études littéraires, divisées en deux grandes parties. La première, intitulée « Situer la composition du Tournoiement Antecrist », est consacrée à l’étude de la complexité générique de l’œuvre, en lien avec ses sources. Notre étude est la première à justifier la cohésion du texte à travers une étude détaillée des influences littéraires et du processus d’intégration des sources à l’ensemble allégorique. L’œuvre se trouve véritablement au carrefour de plusieurs genres, tout en présentant une cohérence répondant à un projet littéraire et idéologique précis. La deuxième partie est dédiée à l’étude de la réception médiévale et moderne de l’œuvre, et envisage cinq axes d’analyse. D’abord, l’étude des contextes manuscrits du poème à l’intérieur des recueils qui le contiennent montre l’ambivalence du texte, qui peut s’intégrer à des ensembles plutôt savants (œuvres théologiques, latines, etc.) ou à des codex dédiés à la culture profane et courtoise. L’étude des remaniements propose une interprétation des versions O et S, qui présentent l’une et l’autre près de 1000 vers supplémentaires. Une troisième étude est consacrée à deux œuvres, Renart le Nouvel et le Roman de Fauvel, qui empruntent tous deux des vers et des épisodes à notre texte. Nous consacrons une brève section à la réception du Tournoiement chez les juristes lettrés de la Renaissance (notamment Claude Fauchet). Enfin, nous offrons un rapide commentaire sur les illustrations qui accompagnent l’œuvre dans certains manuscrits. Cette introduction littéraire permet de cerner l’œuvre et son histoire, tant d’un point de vue esthétique et littéraire qu’intellectuel et idéologique.Tous les autres chapitres sont consacrés aux aspects proprement philologiques et à l’édition. Le deuxième chapitre contient une évaluation des éditions antérieures. Le troisième chapitre est dédié à une analyse détaillée de la tradition manuscrite :par un examen de l’ensemble de la documentation ancienne, nous avons pu déterminer précisément les liens de parenté entre les différents témoins de l’œuvre. Sur base de ces analyses, nous avons entrepris de reconstruire le texte de l’archétype, en procédant à une critique systématique de l’ensemble des variantes pour chaque vers. C’est le sujet du quatrième chapitre, qui présente nos principes d’édition, à travers une introduction méthodologique et une typologie de nos critères d’intervention. Le cinquième chapitre contient une étude des aspects linguistiques et stylistiques ayant une implication sur l’établissement du texte, en particulier les aspects lexicaux et la versification. Enfin, nous exposons les principes de la toilette du texte.Le texte établi est accompagné d’un apparat complet, enregistrant l’ensemble des leçons rejetées d’une part, et les variantes propres à chaque manuscrit, d’autre part. Les justifications aux quelques 400 interventions ont été consignées soigneusement dans un ensemble de notes critiques, contenant également nombre de commentaires linguistiques, littéraires, philologiques, etc. Après les notes apparaissent le glossaire, indispensable à la compréhension de cette œuvre difficile, et l’index nominum.Nos recherches ont consisté en une étude philologique globale de l’œuvre, au sens large du terme, envisageant tant les aspects proprement philologiques, que littéraires et historiques. / Doctorat en Langues, lettres et traductologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
3 |
Édition critique du manuscrit français 9198 : "La Vie et Miracles de Nostre Dame" de Jehan MiélotAbd-Elrazak, Loula 01 October 2012 (has links)
L’objectif de la thèse était de réaliser la première édition critique du manuscrit français 9198 de la BnF attribué à Jehan Miélot et commandité, au XVe siècle, par Philipe le Bon, duc de Bourgogne. Ce manuscrit contient la compilation intitulée : La Vie et miracles de Nostre Dame qui constitue la mise en prose de miracles en vers du XIIIe siècle. D’un point de vue philologique, le but était d’étudier le rapport entre les formes des textes versifiés en ancien français et les formes en moyen français de la compilation. Le travail philologique comprend la transcription du manuscrit, un apparat critique, un glossaire, un index lemmatisé, l’index des noms propres et une analyse grammaticale des traits dialectaux de l’œuvre qui reflètent la phonétique du dialecte picard. La problématique sur laquelle repose cette recherche est double. D’un point de vue philologique, il est question d’éclairer le rapport entre les formes anciennes, qu’offrent les textes versifiés en ancien français du XIIIe siècle, et les formes modernes en moyen français du recueil de Jehan Miélot. En puisant des exemples à la fois dans les récits de miracles versifiés du XIIIe siècle et dans la compilation du XVe siècle, cette étude permet de situer le recueil dans le contexte de la tradition médiévale des récits miraculaires de la Vierge Marie
|
4 |
Édition critique du manuscrit français 9198 : "La Vie et Miracles de Nostre Dame" de Jehan MiélotAbd-Elrazak, Loula 01 October 2012 (has links)
L’objectif de la thèse était de réaliser la première édition critique du manuscrit français 9198 de la BnF attribué à Jehan Miélot et commandité, au XVe siècle, par Philipe le Bon, duc de Bourgogne. Ce manuscrit contient la compilation intitulée : La Vie et miracles de Nostre Dame qui constitue la mise en prose de miracles en vers du XIIIe siècle. D’un point de vue philologique, le but était d’étudier le rapport entre les formes des textes versifiés en ancien français et les formes en moyen français de la compilation. Le travail philologique comprend la transcription du manuscrit, un apparat critique, un glossaire, un index lemmatisé, l’index des noms propres et une analyse grammaticale des traits dialectaux de l’œuvre qui reflètent la phonétique du dialecte picard. La problématique sur laquelle repose cette recherche est double. D’un point de vue philologique, il est question d’éclairer le rapport entre les formes anciennes, qu’offrent les textes versifiés en ancien français du XIIIe siècle, et les formes modernes en moyen français du recueil de Jehan Miélot. En puisant des exemples à la fois dans les récits de miracles versifiés du XIIIe siècle et dans la compilation du XVe siècle, cette étude permet de situer le recueil dans le contexte de la tradition médiévale des récits miraculaires de la Vierge Marie
|
5 |
Édition critique du manuscrit français 9198 : "La Vie et Miracles de Nostre Dame" de Jehan MiélotAbd-Elrazak, Loula January 2012 (has links)
L’objectif de la thèse était de réaliser la première édition critique du manuscrit français 9198 de la BnF attribué à Jehan Miélot et commandité, au XVe siècle, par Philipe le Bon, duc de Bourgogne. Ce manuscrit contient la compilation intitulée : La Vie et miracles de Nostre Dame qui constitue la mise en prose de miracles en vers du XIIIe siècle. D’un point de vue philologique, le but était d’étudier le rapport entre les formes des textes versifiés en ancien français et les formes en moyen français de la compilation. Le travail philologique comprend la transcription du manuscrit, un apparat critique, un glossaire, un index lemmatisé, l’index des noms propres et une analyse grammaticale des traits dialectaux de l’œuvre qui reflètent la phonétique du dialecte picard. La problématique sur laquelle repose cette recherche est double. D’un point de vue philologique, il est question d’éclairer le rapport entre les formes anciennes, qu’offrent les textes versifiés en ancien français du XIIIe siècle, et les formes modernes en moyen français du recueil de Jehan Miélot. En puisant des exemples à la fois dans les récits de miracles versifiés du XIIIe siècle et dans la compilation du XVe siècle, cette étude permet de situer le recueil dans le contexte de la tradition médiévale des récits miraculaires de la Vierge Marie
|
6 |
Jean le Long et la traduction du "Liber peregrinationis" de Riccold de Monte di Croce / Jean le Long and the translation of Riccold de Monte di Croce’s Liber peregrinationis / Jean le Long e la traduzione del "Liber Peregrinationis" di Riccoldo da Monte di CroceRobecchi, Marco 12 May 2018 (has links)
En 1351 le moine bénédictin Jean le Long d’Ypres, abbé de Saint-Bertin en Saint-Omer, a traduit du latin en français six œuvres concernant les voyages et la connaissance de l’Orient (Hayton, Odorico da Pordenone, Wilhelm von Boldensele, Lettres de Togon Temür, De statu). Nous avons choisi d’étudier et d’éditer la traduction du Liber peregrinationis de Riccold de Monte di Croce, frère dominicain de Florence qui a visité la Terre Sainte, la Turquie, l’Arménie et a vécu à Bagdad entre 1288 et 1300. Dans la première partie nous avons étudié le texte latin, sa diffusion manuscrite et sa réception, ainsi que les deux traductions italiennes du 14e s. Ensuite, le texte français a retenu notre attention. La traduction a été transmise par six manuscrits et un imprimé, qui conservent également les autres cinq traductions de Jean le Long. L’étude des questions textuelles et de la diffusion manuscrite montrent deux voies de diffusion : l’une qui semble avoir circulé parmi la bourgeoisie picarde, l’autre qui a intéressé la haute aristocratie française (Jean sans Peur, Jean de Berry, Charles d’Orléans ; l’un de ces manuscrits contient en outre le Roman de Mélusine de Jean d’Arras). L’analyse linguistique, les questions traductiologiques et l’étude du lexique (régionalismes, orientalismes et mots rares) de l’auteur montrent bien son travail de « mise en roman » de ces textes, opération qui semble annoncer le Livre des merveilles de Jean de Mandeville de 1356. Nous avons donc proposé l’édition critique du texte français avec la source latine en face, suivi par un apparat des variantes et un glossaire. / In 1351 Jean le Long d’Ypres, abbot of Saint-Bertin in Saint-Omer, translated six works concerning the East and the knowledge of the Asiatic continent, namely of the Mongol Empire (Hayton, Odorico da Pordenone, Wilhelm von Boldensele, Lettres de Togon Temür, De statu). I studied and published the translation of Riccold de Monte di Croce’s Liber peregrinationis. The Florentine Dominican friar travelled from the Holy Land to Turkey, Armenia and Bagdad (he lived there for ten years) between 1288 and 1300. In the first part, I have studied the Latin text, its manuscript tradition and his reception; I added a study on the two Italian translation made in the 14th century. In the second part, I have studied the French translation. Six manuscript and a 16th century print transmit the six Jean le Long’s translation. The philological study and the manuscript tradition show two ways of circulation: one way concerning the Picard bourgeois, the other one concerning the French aristocrats (Jean the Fearless, Jean duke of Berry, Charles duke of Orleans; one of these manuscripts also contains Jean d’Arras’ Roman de Mélusine). The linguistic analysis, the traductological and the lexicological study (regionalisms, orientalism and rare words) allow me to affirm that Jean le Long has “mis en roman” the six Latin texts, few years before the redaction of Jean de Mandeville’s Livre des merveilles (1356). Finally, I prepared the critical edition of the Latin source and of its French translation, followed by a critical apparatus and a glossary.
|
7 |
La Chanson d’Otinel. Édition complète du corpus manuscrit et prolégomènes à l’édition critique / The Chanson d'Otinel. Complete Edition of the Manuscript Corpus and Prolegomena to a Critical EditionCamps, Jean-Baptiste 03 December 2016 (has links)
Se rattachant à la geste du roi, la Chanson d'Otinel n'avait pas été rééditée depuis le travail pionnier de F. Guessard et H. Michelant en 1858. Partant des objets tangibles que sont les manuscrits pour aller vers l'étude de la tradition et de l'œuvre, ce travail se propose de réexaminer l'ensemble des données disponibles, en vue de permettre la restauration d'une œuvre qui a connu une diffusion importante dans l'Europe médiévale, mais que nous ne conservons qu'en l'état de vestiges épars. La thèse prend un parti résolument méthodologique, en cherchant à faire bénéficier l'édition des progrès épistémologiques engendrés tant par les contributions les plus récentes aux débats propres à l'ecdotique et à la critique textuelle que par ce qu'il est convenu d'appeler les « humanités numériques ». L'édition tente ainsi de dépasser l'opposition entre philologie « nouvelle » et traditionnelle, de la méthode des fautes communes ou d'inspiration bédiériste, pour se placer dans la perspective d'une « quatrième voie » et d'une édition « tournée vers la tradition ». Les techniques de l'édition électronique et de la philologie numérique sont sollicitées afin de fournir une édition complète du corpus manuscrit, qui, par des transcriptions « à couches », donne accès à différentes représentations et au système graphique des différents témoins. L'édition vise également à la description et l'analyse des liens que ces témoins entretiennent entre eux, en mettant en place une méthode de représentation de la variance textuelle et en cherchant à appuyer l'analyse généalogique sur une prise en compte globale de la tradition, incluant les traductions médiévales (galloises, norroises, anglaises) et les versions dérivées. Le travail de modélisation et de description des manuscrits et de leurs textes, formalisé par un modèle XML/TEI conçu pour les besoins de cette édition mais se voulant de portée plus générale, est très nettement tourné vers l'exploitation des données, dans une perspective d'analyse quantitative doublée d'une approche plus traditionnelle (paléographie, scriptométrie, stemmatologie). Des méthodes relevant de la modélisation mathématique, de la statistique, de l'algorithmique et de l'intelligence artificielle sont mises en œuvre, ainsi que des traitements visant à permettre l'interopérabilité, la montée en masse et la systématisation du travail éditorial (reconnaissance optique de caractères, annotation linguistique, collation), au sein d'une chaîne éditoriale faisant la part belle à l'analyse. Les développements effectués sont principalement en XML (TEI, XSLT), R et Python. / Part of the geste du roi, the Chanson d'Otinel had not been the subject of an edition since the pioneer work of F. Guessard and H. Michelant in 1858. Starting with the tangible objects that manuscripts are, and proceeding to the study of the tradition and work itself, this study aims to provide a new examination of all the available data, in order to enable a restoration of a song that has know an important diffusion in Medieval Europe, but whose scattered remains only are available to us. This study is given a firmly methodological orientation, and searches to apply to the edition the epistemological progresses brought by recent contributions in the field of textual criticism and ecdotics, as well as by what is now called “Digital Humanities”. It aims at overcoming the debate between “New” and Traditional Philology, based on the common errors method or of Bedierist inspiration, to place itself in the perspective of a “Fourth Way” and of an edition “oriented towards the tradition”. Digital scholarly editing and Digital Philology techniques are used in order to provide a full edition of the manuscript corpus, with “layered” transcriptions that give access to different representations and to the graphic system of all witnesses. The edition aims also at the study and description of the links between these witnesses, by suggesting a method of representation of textual variance and by rooting genealogical analysis in a global consideration of the tradition, including medieval translations (in Welsh, Norse, English) and derived versions. The modelling and description of manuscripts and their texts – formalised by an XML/TEI model conceived for this edition but seeking to be of more general interest – is clearly oriented towards data mining, and computational as well as traditional analysis (Palaeography, Scriptometry, Stemmatology). Methods from the fields of mathematical modelling, statistics, algorithmic, and artificial intelligence are put to use, as well as processes seeking to allow interoperability, scalability, and systematisation of editorial work (optical character recognition, linguistic tagging, collation), in a workflow centred on analysis. Main used languages are XML (TEI, XSLT), R and Python.
|
Page generated in 0.0993 seconds