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Pouvoir et résistance : Foucault, Deleuze, Derrida, Althusser /Sato, Yoshiyuki, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie--Paris 10, 2004. Titre de soutenance : Le structuralisme et le problème de la résistance. / Bibliogr. p. 231-244.
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Langage et corps dans l'oeuvre de Kathy Acker : le motif de l'interdit dans le texte et dans la représentationMonnier, Natacha January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / [À l'origine dans / Was originally part of : Thèses et mémoires - FAS - Département de littérature comparée]
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Poststructuralism and ontological hermeneutics : two non-theoretical approaches to literature and their roots in jewish thoughPerets, Yael January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Differenzen : poststrukturalistische Aspekte in der Musik der 1980er Jahre an Beispiel von Helmut Lachenmann, Brian Ferneyhough und Gérard Grisey /Cavallotti, Pietro. January 2006 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät III--Berlin--Humboldt-Universität, 2002. / Bibliogr. p. 275-287.
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Mythologies of masculinities and the search of the (male) Self / Mytthologies des masculinités et la recherche du soi (mâle) dans le livre d'ÉzéchielBar Maymon, Meïr 19 May 2015 (has links)
La thèse porte sur la construction de soi, le sujet masculin dans le livre d’Ezéchiel. Il s’agit de comprendre et d’analyser les différentes stratégies de pouvoir qui manipulent le sujet et canalisent son sentiment d'identité. Le livre d'Ezéchiel est analysé à travers l’articulation pouvoir/savoir, princeps fondateur de la pensée occidentale. L'hypothèse principale est que l'homme et ses représentations constituent le bloc fondamental des sociétés (y compris les sociétés bibliques). Un homme est un «Soi» qui est pris dans un processus d'identification par des mécanismes de construction et de déconstruction, dans un discours incessant qui façonne et refaçonne des mythes dans le but politique de déterminer ce qui va être «bon» ou «mauvais». L’homme existe comme une notion neutre, même s’il s’inscrit constamment dans un processus d'identification, auquel il importe d’intégrer le rôle de la femme dans la construction du sujet mâle, et l'utilisation du féminin comme une practice dans l'économie des hommes. Une autre hypothèse est que l'identité n’est jamais fixe, que toutes les identités sont fluides et à même de se transformer afin de répondre à des événements politiques ou pour viser un but politique. Ce qu’on désigne comme identité est en réalité un sujet pris au piège dans un processus d'identification constante. La question principale de cette recherche est ainsi : « quelle est la généalogie du processus théologique de subjectivation politique dans le livre d'Ézéchiel? » Une autre question traverse ce travail : « quelles sont les stratégies de pouvoir à l’oeuvre et comment manipulent-elles le lecteur afin de générer un sujet qui souscrit au texte? » / The dissertation focuses on the construction of the self, in this case the male self. It wishes to understand and analyze different technologies of power that manipulate the subject and render his a self to an ‘I’ with a strong sense of identity. The case study is the book of Ezekiel as a manifesto of power/knowledge process, and as a brick in the adobe of western thinking. The main assumption is that the fundamental building block of (also the biblical) societies is Man and his images. A Man is a ‘Self’ that is caught in an identification process through construction and deconstruction, in an ever-changing discourse that shapes and reshapes myths and produces the ‘correct’ and ‘wrong’ knowledge in order to fulfill a political end. The notion Man exists as something neutral even though it is constantly in the process of identification. Another assumption is that no identity is fixed, and all identities are fluid and are changing as response to political events or to fulfill a political end. In fact, there is no such thing as an identity but a subject trapped in a constant identification process. The main research question is: What is the genealogical theological process of the political subjectivization in the book of Ezekiel? Asked differently: What is the total sum of the technologies of power that are manipulated on the reader and generates the subject who subscribes to the text?
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Subjectivité, différence, interconnexion et affiliation : les théorisations de Gloria E. Anzaldúa contre l'exclusionDepelteau, Julie 03 1900 (has links) (PDF)
Gloria Evangelina Anzaldua (1942-2004) est une théoricienne féministe chicana, l'éditrice d'un ouvrage, This Bridge Called My Back, qui a marqué la littérature féministe dès sa parution, en 1981. Elle y dénonce avec force la marginalisation des femmes et des féministes « de couleur » au sein des théorisations féministes et confronte les féministes « blanches » à leur propre racisme. Elle y appelle aussi à construire un mouvement sur la base de la solidarité, plutôt que sur celle de l'unité. Anzaldua élabore cette idée dans ses théorisations, en proposant une conception originale de la subjectivité et des différences. La figure métaphorique qui illustre sa conception de la subjectivité - la mestiza - a largement été recensée dans la littérature féministe poststructuraliste, en étant toutefois amputée d'une dimension qui lui est centrale : celle de la spiritualité. Cette dimension, majeure dans l'œuvre d'Anzaldua, sous-tend l'idée d'interconnexion des sujets; elle souligne l'existence de relations entre elles qui inspirent leur affiliation et commandent leur regroupement en coalitions hétérogènes. La théoricienne chicana insiste, dans ses théorisations des différences, sur l'idée que les coalitions ne s'érigent pas malgré ces différences, mais plutôt, au travers de celles-ci. L'intérêt d'Anzaldua pour la subjectivité s'inscrit dans le cadre des débats sur la représentativité des théorisations des féministes « blanches » des expériences des féministes « de couleur ». La théoricienne chicana conçoit une subjectivité multiple, par opposition à la conception fragmentée de celle-ci que développent plusieurs féministes poststructuralistes. Cette subjectivité multiple permet de reconnaître différentes formes de violence épistémologique qui affectent les sujets et génèrent de l'exclusion. Elle rend également possible la création d'une force de lutte politique engagée contre l'exclusion des sujets.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Féminisme « de couleur », féminisme poststructuraliste, subjectivité, mestiza, nepantla, interconnexion, El Mundo Zurdo, violence épistémologique.
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Du "nous femmes" au "nous féministes" : l'apport des critiques anti-essentialistes à la non-mixité organisationnelleMayer, Stéphanie 10 1900 (has links) (PDF)
Les espaces politiques non-mixtes entre « femmes » représentent, en raison de l'autonomie qu'ils permettent d'acquérir, un mode d'organisation qui s'est avéré efficace pour mener des luttes en faveur de la liberté. Ce type de rassemblement se constitue sur la base du « Nous femmes » qui fait l'objet depuis près de trois décennies de nombreuses résistances de la part des féministes post modernes et poststructuralistes. Ces critiques de l'essentialisme remettent en cause les fondements du « Nous femmes » et ébranlent, par le fait même, le mode d'organisation en non-mixité construit sur l'identité « femmes ». Ce mémoire vise trois objectifs principaux : 1) retracer l'importance politique du mode d'organisation en non-mixité « femmes »; 2) explorer à partir d'une perspective féministe postmoderne et poststructuraliste les tensions relatives au « Nous femmes » et à l'expérience qui lui est propre; et 3) montrer la pertinence du déplacement vers le « Nous féministes » qui permet de penser une non-mixité entre féministes. Cette analyse épistémologique met en dialogue les cadres théoriques des féministes radicales, principalement matérialistes, avec ceux des féministes postmodernes et poststructuralistes au sujet du « Nous femmes » et de son expérience spécifique. Cette discussion aboutit sur une proposition actualisée en termes de concepts féministes mobilisés dans le cadre d'une organisation en non-mixité, qui conjugue anti-essentialisme et radicalisme politique. La proposition centrale de ce mémoire entend inciter les féministes (militantes et théoriciennes) à emprunter le passage du « Nous femmes » vers le « Nous féministes ». Ce déplacement permet la conceptualisation d'une non-mixité entre féministes invitée à se saisir, dans une perspective féministe, de l'ensemble des enjeux sociaux. Cette démarche repose sur le postulat que les féminismes représentent une réflexion politique qui concerne l'ensemble de la société; ils constituent un projet démocratique. Les conclusions de ce mémoire rappellent l'importance de ce déplacement épistémologique et politique du « Nous femmes » vers le « Nous féministes » afin de contourner les paradoxes théoriques que revêtent ces ancrages essentialistes associés à la catégorie « femmes » et la non-mixité sur cette base.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : non-mixité organisationnelle, mixité sociale, mouvements des femmes, mouvements féministes, féminisme radical, féminisme postmoderne, féminisme poststructuraliste, «Nous femmes», «Nous féministes», démocratie.
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Le postmodernisme à Vincennes : 1968-1980Saint-Cyr, Arnaud 04 1900 (has links)
Dans la foulée des évènements de Mai-Juin 1968, de la grève générale et de la révolte étudiante, le gouvernement gaulliste accepte de céder aux revendications des étudiants contestataires en créant une université sur le modèle qu’ils réclament. Interdisciplinaire, ouverte aux travailleurs et complètement autogérée cette université sera le Centre Universitaire Expérimental de Vincennes (C.U.E.V.) qui sera le foyer de l’intelligentsia française, accueillant notamment Deleuze, Guattari, Lyotard et plusieurs autres philosophes de renom au sein de son département de philosophie qui fut fondée et dirigée par nul autre que Michel Foucault de 1968 à 1970. Ce sont ces conditions qui sont à l’origine de la philosophie postmoderne, conditions desquelles émergeront une nouvelle théorie et une nouvelle pratique de la philosophie : La philosophie de Vincennes. L’objectif de ce mémoire est de savoir quelle est l’essence de la philosophie de Vincennes. Et en quoi se trouve-t-elle à l’origine du postmodernisme ? Le présent projet de mémoire se divise en trois parties selon trois approches : historique, pédagogique et philosophique.
I) La partie historique retrace l’Histoire de Vincennes en cherchant le développement chronologique de cette nouvelle philosophie ainsi que les évènements historiques qui ont contribué à la forger. On retracera l’histoire de l’université de sa création en 1968 jusqu’à sa destruction par le maire de Paris Jacques Chirac en 1980.
II) Une partie pédagogique qui discute des innovations pédagogiques de Vincennes et des impacts qu’elles ont eu sur les philosophes qui y ont enseignés. Ces innovations sont : 1) la création des Unités de Valeur (UV) ; 2) la pluridisciplinarité ; 3) le regroupement d’une faculté d’enseignement et d’un centre de recherche ; 4) l’autogestion et 5) l’ouverture aux travailleurs.
III) La partie philosophique, la plus longue, traitera trois aspects communs à ces auteurs (Foucault, Deleuze, Lyotard). À savoir, la critique de la conception moderne de l’homme comme 1) libre et 2) rationnel, et la critique de la notion moderne de progrès. 1) La liberté n’est plus constitutive de l’homme qui est désormais vu comme déterminé par ses pulsions (héritage Freudien et Lacanien) et des superstructures (héritage Marxiste et Althussérien). 2) La rationalité n’est plus l’essence de l’homme, on critique ceux qui s’en servent comme norme pour punir ceux qui s’en éloignent, notamment dans l’Anti-Œdipe de Deleuze, ou l’Histoire de la Folie de Foucault. 3) La notion de progrès, typique de la philosophie moderne, est critiquée, notamment à travers la critique des grands récits métahistoriques, comme chez Lyotard.
Ces trois approches ont pour but de nous permettre de mettre à jour l’essence de la philosophie de Vincennes et du postmodernisme, c'est à dire de la philosophie contemporaine. / In the midst of the events of May-June 1968, of the general strike and the student revolts, the Gaullist government accedes to the students’ demand by creating a new university on the very model they demand. Interdisciplinary, open to the workers and completely self-governed, this university will be called the Centre Universitaire Expérimental de Vincennes (C.U.E.V.) which will become the home of the French intelligentsia, welcoming, among others, Deleuze, Guattari, Lyotard, and many more within the philosophy department which was founded and directed by none other than Michel Foucault from 1968 to 1970. It is those very conditions which were at the origin of postmodern philosophy, conditions from which a new theory and a new practice of philosophy will emerge: Vincennes philosophy. The goal of this thesis is to describe and determine this philosophy. How it is that it stands the origin of postmodernism? In order to respond to this question, this thesis is divided into three parts following three distinct of approaches: historical, pedagogic and philosophical.
I) The historical part will follow the history of Vincennes while looking for the chronological development of the new philosophy as well as the historical events which contributed to its birth. We will follow the story of the University from its creation in 1968 to its destruction by the Mayor of Paris, Jacques Chirac, in 1980.
II) The pedagogic part will focus on the teaching innovations of Vincennes and on the impact they had on the various philosophers who taught there. Those innovations include: 1) the creation of the Value Units (VU) ; 2) interdisciplinarity ; 3) the combination of research and teaching ; 4) self-government and 5) workers’ admission.
III) the philosophical part, the longest, will discuss aspects common to the aforementioned three philosophers (Foucault, Deleuze, Lyotard). That is to say, the critique of the modern conception of man as 1) free and 2) rational, and the critique of the modern notion of progress. 1) Freedom will no longer be considered a dimension of man who is henceforth seen as determined by his bodily drives and impulses (a heritage of Freud and Lacan) and by superstructures (the heritage of Marx and Althusser). 2) Rationality no longer typifies the essence of man either; the philosophers examined critique those who use rationality as a norm to punish those who deviate from it, especially in Deleuze’s Anti-Œdipus, or in Foucault’s Madness and civilization. 3) The notion of progress, a common idea in modern philosophy, will also be criticized, especially through the critical analysis of metahistorical narratives, as found in Lyotard, for example.
The goal of these three approaches is to uncover the essence of Vincennes philosophy and with it, postmodernism, which is to say, that of contemporary philosophy.
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Pluricausalité, agentivité et pratiques : l’étude comparative de la traduction de Memoria del fuego et de sa révisionGagné, Anne-Marie 07 1900 (has links)
Bien qu’elle ne constitue en rien une pratique marginale, la révision, en tant que relecture et modification d’une traduction existante dans le but d’une nouvelle édition, a suscité jusqu’à maintenant très peu d’intérêt en traductologie. La retraduction, activité avec laquelle elle entretient de nombreux liens, a quant à elle souvent été abordée comme le résultat de simples schémas monocausaux, fondés sur la défaillance ou sur l’évolution des normes. Le présent mémoire, à partir de l’analyse comparative de la trilogie Mémoire du feu (publiée pour la première fois chez Plon en 1985 et 1988) — traduction française de Memoria del fuego, d’Eduardo Galeano (1982, 1984 et 1986) — et de sa révision (publiée chez Lux en 2013), démontre plutôt la multiplicité des facteurs sous-tendant le processus de révision et la nécessité d’étudier leurs interactions. Notre étude de cas, alliant une analyse textuelle, une étude contextuelle et un travail de terrain, révèle l’influence significative des pratiques, des positions idéologiques et des conceptions des agents tant sur l’entreprise d’une révision que sur son déroulement. / Revision, conceived here as the rereading and modification of an existing translation prior to a new edition, although it does not constitute in any way a marginal practice, have received very little interest from translation studies scholars. Retranslation, with which it shares many characteristics, has generally been conceived as the mere result of monocausal models, either based on ‘ʻdéfaillanceʼʼ or the evolution of norms. This master’s thesis, based on a comparative analysis of the trilogy Mémoire du feu (first published by Plon in 1985 and 1988) — French translation of Memoria del fuego, written by Eduardo Galeano (1982, 1984 and 1986) — and its revised edition (published by Lux in 2013), reveals the multiplicity of factors shaping the revision’s process and the relevance of studying their interactions. Our case study, combining textual and contextual analysis as well as field work, demonstrates the significant influence of agent’s practices, ideological stances and conceptions on the undertaking and realisation of a revised edition.
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La notion de "crise du sujet" chez les poststructuralistes et sa mise en scène dans une série photographique ayant pour prémices le panneau de la Résurrection du retable d'Issenheim de Matthias GrünewaldBrouillard, Matthieu 09 1900 (has links) (PDF)
Le présent projet doctoral se compose d'un volet théorique et d'un volet pratique. Au niveau théorique, nous abordons la notion de crise du sujet moderne - qui va de pair avec la représentation et la mise en espace du corps humain -, telle que théorisée par des auteurs français « poststructuralistes » comme Michel Foucault, Jacques Lacan et Jean-François Lyotard. Nous tentons de dresser un panorama propre à rendre compte, d'un point de vue historique, de la genèse du sujet moderne, de son déploiement à partir de la Renaissance et de son déclin dans le monde occidental « postmoderne », qui se caractérise notamment par le relâchement des liens symboliques. Nous inscrivons en outre cette histoire condensée du sujet dans le cadre d'une histoire de la peinture et nous la mettons en relation avec la naissance et l'émergence du médium photographique. Ainsi ce texte, à travers la présentation et l'analyse du concept moderne de subjectivité, tente-t-il de mettre en lumière ce que l'on pourrait appeler un « lien ontologique » qui unit des notions aussi diversifiées que le sujet moderne ou cartésien ; le rapport conflictuel que celui-ci entretient avec le corps et avec le phénomène de vision ; la mise en perspective d'un tel sujet dans l'art de la post-Renaissance ; le parachèvement du régime pictural moderne à travers la photographie ; et, enfin, la crise du sujet moderne, que nous situons dans le prolongement des réflexions développées sur la photographie, médium par excellence du morcèlement des corps et de la dissémination du sens. Au terme de ce parcours, nous essayons de voir comment ce bilan historique des idées et des concepts philosophiques s'articule dans notre travail artistique et en éclaire le fonctionnement. Sur le plan pratique, nous avons réalisé une série de neuf photographies mises en scène, intitulée La Résurrection, qui fut présentée dans le cadre d'une exposition au Centre OBORO de Montréal en septembre 2011. Avec ces images, nous avons cherché à combiner une certaine tension dramatique propre au médium photographique avec une figure extraite du panneau de la Résurrection du retable d'Issenheim (1512-16) de Matthias Grünewald afin de produire un dispositif de haute intensité propre à rendre compte de cette crise du sujet. Cette série se présente donc, d'entrée de jeu, comme une réflexion sur le statut ontologique de l'image photographique et sur les liens que la photographie entretient avec la peinture de la Renaissance. Cette réflexion se double d'une méditation sur notre incarnation dans le monde et notre rapport à la représentation en cette ère que d'aucuns voient comme celle de « la fin des grands récits ». Par l'entremise d'un dialogue inusité avec le tableau de Grünewald, cette série aborde les thèmes de l'érosion du sens et de l'aliénation par et dans l'image. La série explore par ailleurs les contraintes de la chair ainsi que la perte des repères et distinctions claires entre corps et décor, dedans et dehors, le corps et la prothèse, le soi et l'autre, le vivant et le spectral, l'autonomie et l'hétéronomie subjectives, toutes notions qui participent de cette crise du sujet moderne que nous abordons théoriquement.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Crise (sujet), Subjectivité (crise), Aliénation, Subjectivité moderne, Poststructuralisme, Postmodernité, Photographie, Jacques Lacan, Matthias Grünewald, Perspective (peinture)
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