• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Vers une histoire sociale des Noirs en natation au Canada (1900-1970)

Nzindukiyimana, Ornella 17 December 2013 (has links)
Cette étude explore l’étendue de la pratique de natation parmi les Noirs au Canada à l’aide de sources d’archives primaires et secondaires. Ceci vise à vérifier si la « théorie » de l’incapacité des Noirs à nager que l’on retrouve aux États-Unis fut aussi véhiculée au Canada. La période d’étude de notre recherche s’étend des années 1900 à l’année 1970, période durant laquelle la natation s’est développée. Ce travail avait également comme but d’explorer les relations raciales en natation au Canada en analysant l’expérience parmi les Noirs dans ce sport. Pour ce faire, la pratique de la natation est examinée dans le cadre de la critical race theory. Durant cette analyse, deux thèmes en lien avec la théorie et la littérature sont ressortis de l’information recueillie des archives. Ils concernent le privilège blanc en natation et le lien entre la natation et la Condition Blanche (Whiteness) de tradition britannique impériale.
2

Vers une histoire sociale des Noirs en natation au Canada (1900-1970)

Nzindukiyimana, Ornella January 2014 (has links)
Cette étude explore l’étendue de la pratique de natation parmi les Noirs au Canada à l’aide de sources d’archives primaires et secondaires. Ceci vise à vérifier si la « théorie » de l’incapacité des Noirs à nager que l’on retrouve aux États-Unis fut aussi véhiculée au Canada. La période d’étude de notre recherche s’étend des années 1900 à l’année 1970, période durant laquelle la natation s’est développée. Ce travail avait également comme but d’explorer les relations raciales en natation au Canada en analysant l’expérience parmi les Noirs dans ce sport. Pour ce faire, la pratique de la natation est examinée dans le cadre de la critical race theory. Durant cette analyse, deux thèmes en lien avec la théorie et la littérature sont ressortis de l’information recueillie des archives. Ils concernent le privilège blanc en natation et le lien entre la natation et la Condition Blanche (Whiteness) de tradition britannique impériale.
3

Intersectionality, white privilege, and citizenship regimes : explaining LGBTQ people of colour collective engagement trajectories in Toronto and Montreal

Labelle, Alexie 08 1900 (has links)
Les perturbations des marches de la Fierté à Montréal et à Toronto par des membres de Black Lives Matter ont mis en lumière l’exclusion des personnes racisées au sein des mouvements LGBTQ au Canada, de même qu’en Europe et aux États-Unis. Ces évènements témoignent de la façon dont les personnes racisées s’organisent au sein des mouvements LGBTQ, c’est-à-dire par la création d’organisations formées autour d’identités racisées spécifiques. Ceux-ci s’inscrivent dans une riche tradition d’activisme portée par des personnes racisées LGBTQ au Canada qui demeure, néanmoins, peu étudiée au pays. Cette thèse poursuit ainsi deux objectifs principaux. Dans un premier temps, elle vise à rendre visible la façon dont les personnes racisées participent collectivement au sein des mouvements LGBTQ à Montréal et à Toronto, ou ce que nous appelons les trajectoires d’engagement collectif des personnes racisées LGBTQ, rompant ainsi avec les récits dominants, centrés sur l’expérience des militants LGBTQ blancs. Dans un second temps, elle tente d’expliquer pourquoi les personnes racisées participent collectivement au sein des mouvements LGBTQ de cette façon. Puisant dans la théorie des mouvements sociaux, cette thèse soulève l’importance de tenir compte du contexte relationnel dans lequel s’inscrit la participation, à savoir la configuration des rapports de pouvoir déterminant les positionnements sociaux des individus et des groupes, les uns par rapport aux autres. Pour ce faire, nous proposons l’élaboration d’un cadre théorique intersectionnel articulé autour de trois principes, soit la relationnalité, le pouvoir et le contexte social, combiné à une analyse multiniveau. Nous démontrons ainsi que les trajectoires d’engagement collectif des personnes racisées LGBTQ sont le produit des parcours individuels militants (niveau micro), de dynamiques organisationnelles (niveau meso) et de contextes sociopolitiques et institutionnels (niveau macro). Cette thèse est le fruit de séjours de recherche effectués à Montréal et à Toronto, durant lesquels nous avons réalisé 42 entretiens semi-dirigés avec des militantes racisées LGBTQ, de même qu’avec des militantes blanches LGBTQ. La documentation produite par des organisations LGBTQ ainsi que différentes instances gouvernementales a également été mobilisée de manière complémentaire. À un niveau micro, les résultats de la thèse révèlent comment les parcours individuels militants des personnes racisées LGBTQ diffèrent de ceux des personnes blanches. À un niveau meso, les résultats mettent en évidence la dimension structurante du privilège blanc (masculin/cisgenre/sans handicap) au sein des mouvements LGBTQ, ayant pour effet de reléguer les personnes racisées à la marge de ces mouvements. Enfin, à un niveau macro, une analyse comparative des régimes de citoyenneté québécois et canadiens démontre la façon dont les contextes institutionnels et sociopolitiques informent la participation au sein des mouvements LGBTQ. En rendant visible la participation des personnes racisées au sein des mouvements LGBTQ canadiens, cette thèse contribue empiriquement à l’avancement des connaissances sur le militantisme LGBTQ au Canada. À un niveau théorique, elle enrichit la théorie des mouvements sociaux en introduisant un cadre théorique intersectionnel pouvant faciliter l’analyse de la participation au sein des mouvements sociaux. En plus d’illustrer le potentiel théorique de l’intersectionnalité pour approfondir notre compréhension des mouvements sociaux, cette thèse se distingue de travaux récents davantage centrés sur la praxis et les coalitions intersectionnels au sein des mouvements sociaux. / Recent Pride march disruptions by Black Lives Matter protestors in Montréal and Toronto have pointed to the continuous exclusion of people of colour within LGBTQ movements across Canada, as well as in Europe and the United States. While these events constitute recent manifestations of a particular form of organizing within LGBTQ movements, namely organizations formed around specific racialized identities, they are in fact inscribed within a broader tradition of LGBTQ people of colour (LGBTQ-POC) organizing in Canada, overlooked by academics and mainstream activists. It is in that respect that the aim of this dissertation is twofold. First, it aims to render visible the ways in which people of colour have collectively participated in Montréal’s and Toronto’s LGBTQ movements, or what I refer to as LGBTQ-POC collective engagement trajectories, thereby disrupting dominant, White-centered, LGBTQ narratives. Second, it seeks to explain why people of colour have collectively participated in LGBTQ movements the way that they have in Montréal and Toronto. Building on social movement theory’s previous work, it argues for the need to unpack the relational context within which participation is set, meaning the power configurations that socially locate individuals and groups in relation to each other. With its emphasis on relationality, power, and social context, intersectionality thus comes across as a pertinent avenue to bridge this theoretical gap. Combined with a multilevel analysis, it reveals how LGBTQ-POC collective engagement trajectories are the result of individual activist paths (micro-level), social movement organizational dynamics (meso-level), and institutional and sociopolitical contexts (macro-level). This dissertation draws on fieldwork undergone in Montréal and Toronto, during which 42 in-depth interviews were conducted with LGBTQ-POC and White-LGBTQ activists. Secondary sources, such as documents produced by LGBTQ organizations and other government-related documentation were also used for the analysis. At a micro-level, results show how LGBTQ-POC and White-LGBTQ activists follow different activist paths. At a meso-level, results reveal the structuring character of white (male/cisgender/able-bodied) privilege within LGBTQ movements, in both Montréal and Toronto. At a macro-level, a comparative analysis of Québécois and Canadian citizenship regimes however demonstrates the extent to which institutional and sociopolitical contexts also shape social movement participation. By rendering visible people of colour’s collective participation within Canadian LGBTQ movements, this dissertation fills a significant empirical gap. Theoretically, it enriches social movement theory by introducing an intersectional theoretical framework suitable for analyzing social movement participation. Rather than discard social movement theory as a whole, it instead engages a dialogue with previous work on social movement participation. Alternatively, it lives true to the promise of intersectionality as a theoretical framework for advancing our understanding of social movements, distinguishing itself from recent work focusing primarily on intersectional praxis and intersectional coalitions in the context of social movements.
4

Contrat racial aux États-Unis : sujet, pouvoir et résistance

Tranquille, Marie-Mirella 12 1900 (has links)
Racial Contract fait partie de ces livres pionniers qui ont permis aux théories critiques de la race de faire leur entrée en philosophie politique. Dans cette analyse libérale des inégalités raciales, Charles W. Mills propose de prendre la suprématie blanche comme outil conceptuel pour décrire et expliquer les problèmes liés à la race aux États-Unis. Le potentiel émancipatoire de cette approche subversive chez les personnes racisées noires n’a pas été étudié. Dans ce mémoire, après avoir comparé diverses conceptions de la notion de « race », nous examinons la façon dont Mills articule les concepts de « suprématie blanche » et d’« épistémologie de l’ignorance » afin d’expliquer les injustices raciales. Finalement, nous explorons la théorie de la résistance de Shannon Sullivan afin d’évaluer sa compatibilité avec la théorie descriptive de Mills. En fin d’analyse, nous estimons qu’une philosophie de la résistance aurait avantage à se tourner vers des théories critiques de la race autres que celle de Mills, telles que celle de W.E.B. Du Bois afin d’avoir un concept de l’individu racisé noir qui rend compte de son agentivité et donc de sa capacité à résister. Nous soutenons aussi que le concept de « suprématie blanche », tel que développé par Mills, est un outil théorique cohérent, valide et potentiellement utile à l’élaboration d’une philosophie de la résistance noire. Enfin, même si sa portée est plutôt restreinte, nous considérons que l’apport des « traîtres de la race » tel que Shannon Sullivan dans une philosophie de la résistance peut potentiellement être positif. / Racial Contract is one of the pioneering books that brought critical race theories into political philosophy. In this liberal analysis of racial inequalities, Charles W. Mills proposes to use white supremacy as a conceptual tool to describe and explain race-related problems in the United States. However, the emancipatory potential of this subversive approach among "black" people has not been studied. In this master thesis, after comparing various conceptions of "race", we examine how Mills articulates the concepts of "white supremacy" and "epistemology of ignorance" to explain racial injustices. Finally, we explore Shannon Sullivan's theory of resistance to assess its compatibility with Mills' descriptive theory. In the end, we believe that a philosophy of resistance would benefit from turning to critical theories of race other than that of Mills, such as W.E.B. Du Bois, in order to have a concept of the "black" individual that accounts for his or her agentivity and thus his or her capacity to resist. We also argue that the concept of "white supremacy", as developed by Mills, is a coherent, valid and potentially useful theoretical tool for the development of a philosophy of black resistance. Finally, even if its scope is rather limited, we consider that the contribution of "race traitors" such as Shannon Sullivan to a philosophy of resistance can potentially be positive.

Page generated in 0.0361 seconds