Spelling suggestions: "subject:"québec politics"" "subject:"ouébec politics""
1 |
Metropolitan reform in MontrealBaril, Paul-André. January 1980 (has links)
No description available.
|
2 |
Metropolitan reform in MontrealBaril, Paul-André. January 1980 (has links)
No description available.
|
3 |
La mobilisation LGBTQ+ dans l'arène partisane canadienne (1960-2019)Lapointe, Valérie 17 May 2023 (has links)
Tout comme le mouvement féministe à la fin des années 1960, le mouvement LGBTQ+ est devenu un acteur politique important au Canada qui, depuis les années 1970, a interpellé directement les partis politiques, les élu/es et les gouvernements, les forçant ainsi à répondre et à prendre position sur une pléthore d'enjeux concernant la diversité sexuelle et la pluralité des genres. Cette thèse de doctorat s'intéresse aux mécanismes d'interactions qui régit la relation mouvement LGBTQ+ et partis politiques au Canada depuis 1960 jusqu'à 2019. Elle axe l'analyse de la relation mouvement-partis au Canada sur deux dimensions distinctes. La première dimension se consacre à la mobilisation du mouvement LGBTQ+ dans l'arène partisane (en portant une attention particulière à ses variations dans le temps). La seconde se consacre à la réponse des partis politiques face à cette mobilisation et les facteurs qui structurent ces réponses.
La thèse démontre, dans un premier temps, qu'au Canada le mouvement LGBTQ+ a adopté une stratégie multipartisane pour se mobiliser dans l'arène partisane et ce, tout au long de son histoire. La mobilisation du mouvement LGBTQ+ auprès des partis politiques a été influencé par l'ouverture de fenêtres d'opportunités politiques surtout influencé par la présence d'acteur/ices clés au sein des partis, l'instabilité électorale de certaines décennies ainsi que la position sur l'échiquier politique des partis qui se sont déplacés dans le temps et dans l'espace. La thèse avance en particulier que la présence de personnel politique out a été un facteur crucial pour mobiliser le mouvement auprès de la scène partisane ainsi que la présence de député/es out.
Dans un deuxième temps, la thèse démontre des variations importantes quant à la réponse des partis politiques face aux revendications portées par le mouvement LGBTQ+. La thèse soutient que les partis de masse et idéologiquement plus à gauche ont répondu plus tôt aux demandes du mouvement, alors que les partis de cadre ont eu tendance à générer des réponses influencées par l'opinion public ou la perception de l'électeur médian. Les partis qui ont mis sur pied des structures internes de représentation formelle et informelle LGBTQ+ ont également changer certaines positions structurantes par la suite, c'est le cas du Parti conservateur et de sa posture sur le mariage entre conjoint/es de même sexe ainsi que du Nouveau Parti Démocratique et de ses engagements électoraux par le biais des plateformes électorales.
|
4 |
Rhetorical use of the Great Law of Peace at Kahnawake : a measure of political legitimacy in a Mohawk communityHarrison, Regina January 1994 (has links)
The past is often used by political figures in the present in order to achieve political goals by manipulating a feeling of identity, based upon a shared history, among their followers. The extent to which a political leader may alter narratives of the past to meet his or her own needs is governed by certain constraints and laws of structure, as Appadurai and Sahlins have argued (Appadurai 1981; Sahlins 1985). However, the credibility of a leader is affected by such factors as how well that leader fills the cultural construct of a leader's role and adheres to the community's expectations. At Kahnawake, a Mohawk community near Montreal, I found that the amount of authority granted to individual factional leaders in their interpretation of the Iroquois Confederacy's Great Law of Peace reflected the degree to which each leader behaved as a Confederacy chief or orator should, and also reflected the degree to which the leader obeyed social norms, particularly that of not advocating violence against fellow Mohawks. My findings add to the growing body of anthropological literature on the uses of the past by demonstrating in a specific case study how interpersonal relationships between leaders and a community affect the leaders' credibility and authority over the past.
|
5 |
Rhetorical use of the Great Law of Peace at Kahnawake : a measure of political legitimacy in a Mohawk communityHarrison, Regina January 1994 (has links)
No description available.
|
6 |
The municipal and financial administration of Paris and Montreal : a comparative study.Pick, Alfred John. January 1937 (has links)
No description available.
|
7 |
Intersectionality, white privilege, and citizenship regimes : explaining LGBTQ people of colour collective engagement trajectories in Toronto and MontrealLabelle, Alexie 08 1900 (has links)
Les perturbations des marches de la Fierté à Montréal et à Toronto par des membres de Black Lives Matter ont mis en lumière l’exclusion des personnes racisées au sein des mouvements LGBTQ au Canada, de même qu’en Europe et aux États-Unis. Ces évènements témoignent de la façon dont les personnes racisées s’organisent au sein des mouvements LGBTQ, c’est-à-dire par la création d’organisations formées autour d’identités racisées spécifiques. Ceux-ci s’inscrivent dans une riche tradition d’activisme portée par des personnes racisées LGBTQ au Canada qui demeure, néanmoins, peu étudiée au pays. Cette thèse poursuit ainsi deux objectifs principaux. Dans un premier temps, elle vise à rendre visible la façon dont les personnes racisées participent collectivement au sein des mouvements LGBTQ à Montréal et à Toronto, ou ce que nous appelons les trajectoires d’engagement collectif des personnes racisées LGBTQ, rompant ainsi avec les récits dominants, centrés sur l’expérience des militants LGBTQ blancs. Dans un second temps, elle tente d’expliquer pourquoi les personnes racisées participent collectivement au sein des mouvements LGBTQ de cette façon. Puisant dans la théorie des mouvements sociaux, cette thèse soulève l’importance de tenir compte du contexte relationnel dans lequel s’inscrit la participation, à savoir la configuration des rapports de pouvoir déterminant les positionnements sociaux des individus et des groupes, les uns par rapport aux autres. Pour ce faire, nous proposons l’élaboration d’un cadre théorique intersectionnel articulé autour de trois principes, soit la relationnalité, le pouvoir et le contexte social, combiné à une analyse multiniveau. Nous démontrons ainsi que les trajectoires d’engagement collectif des personnes racisées LGBTQ sont le produit des parcours individuels militants (niveau micro), de dynamiques organisationnelles (niveau meso) et de contextes sociopolitiques et institutionnels (niveau macro).
Cette thèse est le fruit de séjours de recherche effectués à Montréal et à Toronto, durant lesquels nous avons réalisé 42 entretiens semi-dirigés avec des militantes racisées LGBTQ, de même qu’avec des militantes blanches LGBTQ. La documentation produite par des organisations LGBTQ ainsi que différentes instances gouvernementales a également été mobilisée de manière complémentaire. À un niveau micro, les résultats de la thèse révèlent comment les parcours individuels militants des personnes racisées LGBTQ diffèrent de ceux des personnes blanches. À un niveau meso, les résultats mettent en évidence la dimension structurante du privilège blanc (masculin/cisgenre/sans handicap) au sein des mouvements LGBTQ, ayant pour effet de reléguer les personnes racisées à la marge de ces mouvements. Enfin, à un niveau macro, une analyse comparative des régimes de citoyenneté québécois et canadiens démontre la façon dont les contextes institutionnels et sociopolitiques informent la participation au sein des mouvements LGBTQ.
En rendant visible la participation des personnes racisées au sein des mouvements LGBTQ canadiens, cette thèse contribue empiriquement à l’avancement des connaissances sur le militantisme LGBTQ au Canada. À un niveau théorique, elle enrichit la théorie des mouvements sociaux en introduisant un cadre théorique intersectionnel pouvant faciliter l’analyse de la participation au sein des mouvements sociaux. En plus d’illustrer le potentiel théorique de l’intersectionnalité pour approfondir notre compréhension des mouvements sociaux, cette thèse se distingue de travaux récents davantage centrés sur la praxis et les coalitions intersectionnels au sein des mouvements sociaux. / Recent Pride march disruptions by Black Lives Matter protestors in Montréal and Toronto have pointed to the continuous exclusion of people of colour within LGBTQ movements across Canada, as well as in Europe and the United States. While these events constitute recent manifestations of a particular form of organizing within LGBTQ movements, namely organizations formed around specific racialized identities, they are in fact inscribed within a broader tradition of LGBTQ people of colour (LGBTQ-POC) organizing in Canada, overlooked by academics and mainstream activists. It is in that respect that the aim of this dissertation is twofold. First, it aims to render visible the ways in which people of colour have collectively participated in Montréal’s and Toronto’s LGBTQ movements, or what I refer to as LGBTQ-POC collective engagement trajectories, thereby disrupting dominant, White-centered, LGBTQ narratives. Second, it seeks to explain why people of colour have collectively participated in LGBTQ movements the way that they have in Montréal and Toronto. Building on social movement theory’s previous work, it argues for the need to unpack the relational context within which participation is set, meaning the power configurations that socially locate individuals and groups in relation to each other. With its emphasis on relationality, power, and social context, intersectionality thus comes across as a pertinent avenue to bridge this theoretical gap. Combined with a multilevel analysis, it reveals how LGBTQ-POC collective engagement trajectories are the result of individual activist paths (micro-level), social movement organizational dynamics (meso-level), and institutional and sociopolitical contexts (macro-level).
This dissertation draws on fieldwork undergone in Montréal and Toronto, during which 42 in-depth interviews were conducted with LGBTQ-POC and White-LGBTQ activists. Secondary sources, such as documents produced by LGBTQ organizations and other government-related documentation were also used for the analysis. At a micro-level, results show how LGBTQ-POC and White-LGBTQ activists follow different activist paths. At a meso-level, results reveal the structuring character of white (male/cisgender/able-bodied) privilege within LGBTQ movements, in both Montréal and Toronto. At a macro-level, a comparative analysis of Québécois and Canadian citizenship regimes however demonstrates the extent to which institutional and sociopolitical contexts also shape social movement participation.
By rendering visible people of colour’s collective participation within Canadian LGBTQ movements, this dissertation fills a significant empirical gap. Theoretically, it enriches social movement theory by introducing an intersectional theoretical framework suitable for analyzing social movement participation. Rather than discard social movement theory as a whole, it instead engages a dialogue with previous work on social movement participation. Alternatively, it lives true to the promise of intersectionality as a theoretical framework for advancing our understanding of social movements, distinguishing itself from recent work focusing primarily on intersectional praxis and intersectional coalitions in the context of social movements.
|
8 |
Lutter contre la dualisation socio-spatiale dans les quartiers défavorisés de Bruxelles et de Montréal: changements et convergences à l'épreuve des logiques d'acteurs et des dynamiques institutionnelles / Struggling against social and urban polarization in popular neighbourhoods of Brussels and Montreal :bchanges and convergences framed by logics of actors and institutionnal dynamicsSacco, Muriel 10 December 2011 (has links)
Notre recherche doctorale porte sur les politiques de lutte contre la dualisation socio-spatiale menées à Bruxelles et Montréal. Ces politiques publiques ont été introduites à la fin des années 1980 dans un très grand nombre de villes occidentales (Equal Opportunity Policies et Urban Regeneration Policies dans le cadre du programme Action for Cities en Grande-Bretagne, Soziale Stadt en Allemagne, la politique de la ville en France, Urban et Objectif 2 au niveau européen, etc.) en raison de la montée de l’exclusion et de menace pesant sur la cohésion sociale urbaine. Ces politiques publiques se fondent sur la logique de ciblage territorial, de mobilisation locale et sur une approche intégrée mêlant des actions sur le bâti, les équipements collectifs et des actions sociales. C’est pourquoi elles introduisent plusieurs ruptures par rapport aux modes d’intervention publique à l’œuvre jusqu’alors. La diffusion de ces politiques publiques nous a incitée à interroger la standardisation et les transformations de l’action publique véhiculées par ce type de politiques publiques. Notre démarche se caractérise non seulement par la comparaison de deux villes, mais aussi de deux politiques publiques et de trois quartiers dans chacune des deux villes. <p>1.\ / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
|
Page generated in 0.0488 seconds