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L'émergence d'une église locale au Diocèse d'Idiofa au Congo-Zaïre

Mpimpa Fiamba, Nestor 27 February 2021 (has links)
Après avoir retracé succinctement les origines lointaines du diocèse d’Idiofa au Congo-Zaïre, nous avons identifié aisément les nombreux défis à relever au seuil de ce nouveau millénaire. Pour ce faire, il nous a fallu nous replonger dans l’histoire de la colonisation belge pour mieux situer les enjeux fondamentaux. Car le diocèse d’Idiofa est né dans le prolongement direct de l’évangélisation du Congo-Belge par les missionnaires belges. Il est donc le fruit du savoir-faire et des limites des missionnaires Oblats de Marie Immaculée. Aussi avons-nous eu recours & l’histoire profane et ecclésiastique, à l’anthropologie, à la sociologie, à la pastorale, au droit canon, à la catéchèse et la missiologie pour faire ressortir la continuité et la discontinuité dans l’évangélisation missionnaire. Cette évangélisation s’est faite dans la violence psychologique, morale et parfois physique. Avec la nomination des premiers évêques autochtones, s’ouvrait une nouvelle page de la mission au Congo. Un tel mouvement recevra une nouvelle impulsion avec la tenue du Concile Vatican II entre 1962 et 1965. Malgré tout, et bien que Vatican Q constitue un tournant dans l’Église catholique, le diocèse d’Idiofa fonctionne suivant le modèle du Concile Vatican I. C ’est pour cela que nous posons le problème de sa revalorisation à travers l’hypothèse de la triple autonomie : décisionnelle, apostolique et financière. Bien que la conjoncture internationale crée des disparités entre le Nord et le Sud, dorénavant, chaque Église locale est appelée à se prendre en main plutôt que de compter toujours sur l’aide financière de l'Occident. En clair, d’un côté, il y a surdéveloppement, de l’autre, on assiste au développement du sous-développement. Bien plus, la nouvelle ecclésiologie issue du Concile Vatican II appelle désormais un nouveau rôle chez les missionnaires afin que le clergé local puisse lui-même gouverner et gérer l’Église dont il est responsable. C’est à ce prix seulement que la nouvelle évangélisation pourra se réaliser bien aussi dans sa méthode que dans ses enjeux.
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Impact de l'éducation sur les comportements techniques des agriculteurs : le cas du Bas-Zaïre (Zaïre)

Mbemba, Ilenda 25 April 2018 (has links)
La plupart des pays en voie de développement, dont le Zaïre, se trouvent dans une situation de déficit alimentaire. Cette situation est amplifiée par l'accroissement non proportionnel de la production agricole par rapport aux bouches à nourrir, la recherche continuelle de devises et 1'inextensibilité des terres arables exigeant dès lors une transformation des techniques agricoles utilisées jusque-là. Il est donc pertinent que la participation indispensable des agriculteurs à de nouveaux objectifs de production agricole nécessite conséquemment une diffusion des connaissances sur les nouvelles techniques agricoles. Cependant, diffuser les connaissances agricoles nouvelles constitue un aspect du problème; faire appliquer ce savoir par les agriculteurs représente un autre volet non moins important. C'est dans ces circonstances que le manque d'éducation a été présenté, dans ce contexte-ci, comme un handicap au développement. Car le rôle de l'éducation dans le développement économique, mis en évidence par des organismes internationaux comme 1'UNESCO et par les économistes tels que Schultz, Vaizey, Denison, Wharton, Griliches et bien d'autres encore, va au-delà du simple enseignement des connaissances et des techniques modernes. Par les valeurs qu'elle inculque aux élèves et par ses structures de fonctionnement, l'école constitue une porte ouverte aux influences dites modernes (Inkeles et Smith) et une source de productivité accrue du capital humain. Dans ce sens, l'éducation est censée former des individus qui, du fait de cette socialisation, sont en mesure de mieux comprendre les objectifs nouveaux d'une société en développement et de s'y intégrer par une participation accrue, celle-ci pouvant prendre la forme, dans le cas des agriculteurs, de l'emploi des techniques agricoles améliorées. La problématique générale de notre étude nous a permis d'appréhender les principaux traits de l'évolution de l'agriculture et de l'enseignement au Zaïre. Nous nous sommes intéressé spécialement aux cultivateurs de manioc de la région du Bas-Zaïre. Le choix de cette culture est justifié par son importance vitale à l'échelon nationale = ses feuilles et ses racines servent à des fins alimentaires. Par ailleurs, la culture du manioc a connu plusieurs tentatives de modernisation et la recherche agricole se consacre encore aujourd'hui à l'étude des conditions d'amélioration de sa production au Zaïre. Nous nous posons donc la question de savoir si l'éducation formelle, parmi d'autres variables, constitue une composante essentielle dans la détermination de ce que les agriculteurs font en matière de culture du manioc. L'échantillon de notre étude comprend 258 agriculteurs, hommes et femmes. Ces agriculteurs se répartissent entre la zone de Luozi et celle de Songololo. Au niveau de chacune de ces deux zones, les sujets ont été choisis aléatoirement aussi bien dans des villages encadrés par un centre agricole moderne que dans des villages qui ne l'étaient pas. Les données recueillies à l’aide d'un questionnaire ont été statistiquement analysées selon les techniques de la régression multiple. Dans une première étape de notre analyse, nous avons spécialement examiné tour à tour les relations entre les 9 variables indépendantes (éducation formelle, éducation non formelle, vulgarisation agricole, radio, commerçants, parents, lecture, agronome, expérience professionnelle) et chacune des trois variables dépendantes reliées aux connaissances agricoles et chacune des trois autres variables dépendantes relatives aux pratiques agricoles correspondant aux connaissances agricoles étudiées. Dans un deuxième temps, nous avons également introduit quatre variables de contrôle (zone, encadrement agricole, sexe, âge) dans notre analyse afin de mieux préciser l'importance de nos variables indépendantes. Enfin, un modèle d'analyse composé de toutes nos variables indépendantes et de contrôle prises ensemble nous a permis d ’observer la nature des relations ainsi mises en évidence par l'apport de ces variables indépendantes additionnelles par rapport à chaque variable dépendante. Les résultats observés indiquent que l’éducation formelle constitue une variable importante relativement au niveau des connaissances techniques des agriculteurs. Son impact varie selon la zone de résidence, l'encadrement agricole fourni aux agriculteurs, le sexe et l'âge des agriculteurs. D'autres variables, telles que la radio, la lecture, les commerçants, les parents, exercent aussi une influence positive sur le niveau des connaissances agricoles, dépendant des caractéristiques prises en compte. Cependant, aux trois niveaux de l'analyse, nous remarquons l'absence d'impact significatif de l'éducation formelle sur le niveau des pratiques agricoles. D'autres facteurs, tels que le niveau des connaissances agricoles, l'agronome, les commerçants, la radio, la lecture, expliquent mieux le niveau des pratiques agricoles des sujets inclus dans le présent travail. Ces résultats suggèrent que la relation entre l'éducation formelle et les pratiques agricoles n ’est pas directe et que l'influence de l’éducation formelle sur les comportements techniques des agriculteurs pourrait s'exercer de manière indirecte par le canal d'autres variables comme la lecture ou le niveau des connaissances techniques par exemple. Les agriculteurs encadrés démontrent un niveau de pratiques agricoles moins élevé que celui des sujets des villages non encadrés. Ce fait, qui va dans le sens contraire de notre hypothèse, confirme ce que le Département de l'Agriculture du Zaïre et certaines études ont signalé, à savoir que l'on ne constate pas de modification positive importante dans les comportements techniques des agriculteurs inclus dans des programmes de coopération agricole, une fois la mission des coopérants étrangers échue. Il importe aussi de tenir compte du passé relativement long des deux zones dans le développement des activités agricoles; ce qui expliquerait que même sans bénéficier de l'encadrement technique offert aux villages encadrés, les villageois non encadrés ont l’information sur les méthodes agricoles améliorées et qu’ils la mettent en pratique. Il faut également signaler le fait que les projets agricoles inclus dans notre étude reconnaissent l’existence de certains facteurs socio-économiques reliés au milieu, qui jouent comme contraintes et qui diluent leurs efforts de vulgarisation. Contrairement aux considérations théoriques émises dans notre étude, les agriculteurs de la zone de Luozi recourent à plus de pratiques agricoles recommandées que les sujets de la zone de Songololo. Oitre l'implication agricole importante de la collectivité où nous avons mené notre enquête, à Luozi, nous pensons que, à travers l'enclavement de leur zone, les agriculteurs perçoivent 1'agriculture comme la seule activité rémunératrice, en l'absence d'activités économiques formelles. Aussi, les méthodes agricoles améliorées peuvent être considérées comme des facteurs susceptibles de leur procurer plus de gains monétaires par l'amélioration de la qualité ou l'accroissement de la quantité de leur production agricole et être plus utilisées à cette fin. En ce qui concerne les agriculteurs de Songololo, la forte occupation humaine surtout le long de l’axe ferroviaire et la pression qui s'ensuit au niveau des terres cultivables, la commercialisation de plus en plus accrue des produits agricoles de cette région en raison de divers besoins d'argent, expliquent aussi le fait que certaines pratiques agricoles relatives à la protection et à l'amélioration des sols et des cultures (à l'instar de la jachère ou d'autres méthodes de fertilisation des champs) soient, paradoxalement, relativement négligées. Dans la présente étude, nous avons mis en lumière les variables qui, dans le contexte des agriculteurs du Bas-Zaïre, s'avèrent plus importantes que d'autres dans l'acquisition d'informations agricoles pertinentes et dans l'utilisation des pratiques agricoles recommandées en matière de culture du manioc. Dans un contexte de rareté des ressources matérielles et financières, il importe que les décideurs en matière de développement en général et de gestion des ressources humaines en particulier sachent identifier les facteurs qui sont, dans un cadre donné, plus déterminants que d'autres pour l’atteinte d'objectifs précis et dans la recherche des solutions rationnelles. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
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Capitalisme, rapport salarial et régulation de la main-d'oeuvre : la classe ouvrière noire dans les camps de l'Union minière du Haut-Katanga, 1925-1967

Bakajika, Banjikila Thomas 11 April 2018 (has links)
La présente étude porte sur l'évolution du rapport salarial entre ses travailleurs et l'Union minière du Haut-Katanga (UMHK) de 1925 à 1927. Nous voulons saisir les mécanismes mis en place par cette entreprise en vue de constituer une main-d'oeuvre stable et qualifiée. Dans ce but, nous analysons la politique sociale de l'entreprise, son impact sur le processus de formation de la classe ouvrière et les réactions des travailleurs. Dans la mesure où les sources nous le permettent, nous examinons les stratégies et les moyens de leur application mis en place par l'UMHK pour mettre en place dans ses camps une société ouvrière qui lui serait dévouée. La thèse analyse également la part des ouvriers dans ce processus de formation de classe ouvrière qui a été parfois accéléré, parfois bloqué par les décisions prises par l'UMHK et par d'autres institutions coloniales. Elaborée sur la base des documents d'archives et des sources orales (interviews et récits de vie d'anciens travailleurs et de leurs enfants ), l'étude montre que la pénétration du capitalisme industriel dans le Haut-Katanga a créé les conditions de formation d'une classe ouvrière. L'UMHK a géré sa main-d'oeuvre d'une manière originale. Le rapport salarial paternaliste a permis d'inculquer aux ouvriers une conscience sociale différentielle, en partie le résultat d'une vie en vase clos. En effet, c'est la rémunération qui réglait le niveau de vie du travailleur de l'UMHK. La nourriture, les vêtements de travail, le logement, l'enseignement et les soins médicaux tous offerts en nature au travailleur et à sa famille ont permis à l'entreprise de contrôler la reproduction de la force du travail. De ce fait, le trait le plus saillant de l'évolution de la conscience de la classe ouvrière à l'UMHK a été la reconnaissance de former un monde des privilégiés distincts des autres couches de la société u: aine qui ne bénéficiait pas de mêmes conditions matérielles de vie et de travail. L'étude montre qu'au début la réaction des Africains a été caractérisée par la résistance aux recrutements et par la désertion au travail. Ensuite, la politique de stabilisation, instaurée par l'Union minière en 1928, a permis aux Africains de constituer un élément actif et dynamique du processus de formation de la classe ouvrière. Les travailleurs ont progressivement pris conscience de leur condition ouvrière et nous pouvons même parler de la naissance d'une culture ouvrière dans les camps de l'UMHK. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les métamorphoses du concept de souveraineté (XVI ème-XVIII ème siècles)

Valeyre-Demelemestre, Gaëlle 30 June 2009 (has links) (PDF)
Aujourd'hui encore, notre vie politique est organisée autour de la relation de commandement à obéissance à laquelle nous oblige la souveraineté politique. Mais ce rapport d'obligation est une forme particulière du pouvoir politique, qui émerge au XVIe siècle à travers la pensée de Bodin, dans une conjoncture historique précise. Comment ce concept, renvoyant à l'obéissance absolue et inconditionnée des " francs sujets " à leur Souverain, a-t-il pu être conservé par les sociétés démocratiques modernes? L'indivisibilité et la transcendance de ce pouvoir peuvent-elles exprimer la souveraineté du peuple? C'est une première métamorphose de ce concept qui est requise pour traduire la forme républicaine instituée suite aux deux révolutions américaine et française du XVIIIe siècle. Se pose alors la question de savoir comment conjuguer la nécessaire obéissance aux pouvoirs publics avec la liberté humaine. L'obligation d'obéir à laquelle nous sommes tenus par l'autorité souveraine n'est-elle pas en effet assimilable à une limitation de cette liberté? Et tout pouvoir ne tend-il pas, par nature, à s'hypertrophier? Comment assurer les citoyens de la préservation de leurs droits subjectifs, tout en veillant à leur coexistence en communauté? L'étude la république fédérale américaine permet d'appréhender l'interaction particulière qui existe entre une certaine représentation des fonctions du pouvoir politique, et une dynamique sociale puissante et entreprenante. En divisant la souveraineté, les Américains en contredisent un des traits posés comme essentiels, provoquant ainsi sa deuxième métamorphose. Jusqu'où peut-on alors aller dans la remise en cause des attributs souverains, sans perdre la relation de pouvoir spécifique qu'elle inaugure
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Le discours scientifique sur l'éducation au Zaïre: essai d'analyse de sa genèse et de sa fonction

Kisangani, Endanda-Siyisiwa January 1987 (has links)
Doctorat en sciences psychologiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Limites des stratégies de conservation forestière en République Démocratique du Congo, cas de la réserve de Luki

Kilensele Muwele, Thérèse 27 May 2015 (has links)
Cette étude offre une vision de la conservation par zonage des écosystèmes forestiers en République Démocratique du Congo, plus précisément dans la réserve de Luki, en province de Bas Congo. L'équilibre entre les besoins des populations locales et les objectifs de conservation est reconnu aujourd'hui comme l'un des principaux défis du domaine de la conservation. Les acteurs de conservation tentent actuellement de concilier les objectifs de conservation et de développement à travers de « projets de conservation intégrés ».<p>L'objectif de notre étude est de mener une réflexion sur les problèmes rencontrés par les gestionnaires d’une aire protégée dans la mise en œuvre de la stratégie de conservation par zonage.<p>Nous avons d'abord travaillé sur l’identification des modes d'appropriation et de gestion des terres, avant et après l'implantation de l'aire protégée. Nous avons procédé à l’analyse des modalités de prise en compte des structures endogènes dans la mise en œuvre des stratégies de conservation appliquées. Pour ce faire, nous avons mené des entretiens avec des personnes ressources, des acteurs au sein des populations locales, des personnes choisies en fonction de la représentativité qu’elles incarnent. Les résultats de ces entretiens ont été couplés aux relevés de terrain réalisés dans le but de cartographier les parcours de déplacement des populations en identifiant les éléments humains d'occupation de l'espace.<p>Nous avons ainsi identifié et cartographié l'état de la réserve de Luki en termes de surfaces exploitées avant et après l'implantation de l'aire protégée. Ce travail nous a conduit à découvrir les inconforts fonciers subis par les populations lors de l'implantation de l'aire protégée. Des situations d’inconfort le plus souvent ignorées par les acteurs de conservation.<p>Après l’étude sur les modes d'appropriation et de gestion des terres, l’analyse des modalités de prise en compte des structures endogènes et la cartographie des espaces exploités, nous avons poursuivi la recherche par l’examen des effets du zonage sur le développement et sur la conservation. L'évaluation des effets du zonage sur le développement a été faite sur base des données socio-économiques relatives aux activités introduites par les projets. L'évaluation des effets du zonage sur la conservation a été faite grâce au logiciel Envi 4.6, par l'analyse de trois images satellites. Ces observations ont été mises en parallèle avec les résultats des entretiens et des enquêtes par questionnaires effectués auprès des populations de la réserve. Les entretiens ont porté sur la carbonisation du bois et sur la chasse du gibier, deux activités que nous avons jugées destructrices de la réserve.<p>Les résultats de nos enquêtes montrent que les structures endogènes de gestion de la terre n’ont pas été impliquées, ni dans la création de la réserve, ni dans la mise en œuvre du zonage. Il existe pourtant un comité de concertation avec un représentant de la population, mais celui-ci n’est pas représentatif de l’ensemble des lignages. Les éléments qui caractérisent l’occupation de l’espace par les populations avant la création de la réserve n’ont pas non plus été pris en compte. Dans un tel contexte, les objectifs de conservation sont difficiles atteints à cause du manque d’appropriation du zonage par les acteurs locaux. Le zonage est motivé par la conservation et la conformité au modèle de réserve de la biosphère, le souci de développement socioéconomique restant secondaire. Le premier zonage réalisé en 1937 a initié des pratiques de gestion favorables à la conservation forestière, mais les effets socioéconomiques qui en ont découlé, ont contribué à accélérer la dégradation de la forêt. Le nouveau zonage effectué en 2004 n’a pas davantage permis de maîtriser la dégradation qui s’accélère encore.<p>L’étude débouche sur de suggestions permettant aux aménagistes de prendre en compte les besoins des populations locales avant tout intervention d'aménagement. / Doctorat en Sciences / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'enseignement de l'histoire à l'école secondaire en République démocratique du Congo: intentions d'une Réforme et pratiques de terrain

Ekanga Lokoka, Lambert 28 October 2011 (has links)
Cette étude a pour but d’analyser les pratiques d’enseignement de l’histoire dans les écoles secondaires de la République Démocratique du Congo (RDC) en rapport avec le nouveau programme d’application à partir de septembre 2005. En effet, le cours d’histoire qui constitue une matière stratégique et représente un enjeu important à l’école secondaire, a échoué, pendant plusieurs décennies (de 1962 à 2005), à l’essentiel de la mission qu’il est censé remplir à ce niveau de la scolarité en RDC. Ce constat d’échec, plus net et plus évident que pour toutes les autres matières, était surtout imputable au contenu des matières jugé européocentrique et inadapté, ainsi qu’aux manuels totalement dépassés sur tous les plans (conception, objectifs …). Les critiques à l’endroit de cette discipline touchaient également à la méthodologie car l’enseignement de l’histoire est, probablement, plus que toute autre discipline, susceptible de s’adapter constamment. Cette adaptation est requise pour le contenu de l’histoire scolaire ainsi que pour la façon de l’enseigner.<p>Mais, si le nouveau programme (de 2005) a «décolonisé» le contenu des matières, les pratiques de terrain semblent encore immuables !Qu’est ce qui peut expliquer cet immobilisme ?Pour tenter de répondre à cette question, cette thèse procède par une double démarche, théorique et empirique. La démarche théorique qui fait l’objet de la première partie, brosse la littérature sur notre problématique, donne un aperçu de l’histoire de l’enseignement et de l’enseignement de l’histoire en RDC, aborde le savoir conceptuel de l’enseignant d’histoire et les pratiques d’enseignement et enfin, traite de la motivation des élèves ainsi que du matériel didactique. Quant à la deuxième partie consacrée à la démarche empirique, elle est centrée sur l’approche méthodologique de la recherche, l’analyse et l’interprétation des résultats quantitatifs et qualitatifs.<p>L’analyse des réponses aux questions administrées auprès de notre échantillon, composé d’une part de 64 enseignants et, d’autre part, de 600 élèves ainsi que l’analyse des observations de 10 classes d’histoire et des interviews avec les enseignants des classes visitées ont permis d’appréhender l’application du nouveau programme et les autres réalités de terrain.<p>En somme, les résultats de cette étude montrent que les enseignants dispensant le cours d’histoire en 5e et 6e secondaires, utilisent, presque tous, les modes transmissifs et ignorent la pédagogie active ou les modes actifs proposés par le nouveau programme d’histoire ;ce qui ne motive pas, sans doute, les élèves à ce cours. Autrement dit, malgré leur haute qualification, leur longue expérience dans l’enseignement et le changement de contenu, ces enseignants d’histoire ne pratiquent pas la pédagogie active ou les modes actifs. On semble être donc loin de la « décolonisation », tant souhaitée, des pratiques en classe d’histoire en RDC. <p>Au regard de ce qui précède, nous pensons que pour mieux enseigner l’histoire, les enseignants congolais devraient avoir d’autres ambitions qu’une simple transmission des connaissances (savoirs) destinées à être simplement enregistrées et restituées par les élèves lors des interrogations et examens. Le rôle fondamental du cours d’histoire étant d’informer et de former, le souci constant qui devrait animer les enseignants est de susciter et de renouveler l’intérêt des élèves, de les aider à construire leurs savoirs, pour qu’ils deviennent des vrais acteurs de la société de demain. Car, nous estimons que la reconstruction d’un pays, comme la RDC, passe aussi par la reconstitution et la sauvegarde de la mémoire collective et du patrimoine culturel, tâches qui relèvent du domaine de l’enseignement de l’histoire. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Résistances à l'Europe: la représentation sociale de l'Union européenne et les compétences politiques étudiées dans le milieu des entreprises tchèques

Novotny, Ondrej 05 September 2011 (has links)
« Résistances à l’Europe. La représentation sociale de l’Union européenne et les compétences politiques étudiées dans le milieu des entreprises tchèques » analyses political attitudes, social representations of Europe and European Union as well as a level of political competency among persons working in Czech entreprises (from workers to the top management). The first volume emphasizes a theoretical discussion about a concept of « Resistances to European Union » as it has been discussed since the late nineties of the twentieth century up to the 2010. We set a link between individual perceptions of political and social change as well as the importance of cultural differences to apparition of phenomena of resistance. A political competency plays a major role in an individual capacity to deal with cultural difference in changing political environment.<p>The second volume describes principal results of analysis of interviews issued from qualitative research between 90 individuals. We focus on explication of cultural and individual context that contributes to the formulation of Czech political attitudes toward Europe. A very detailed individual analysis helps to understand the reason of Czech reticences toward a process of the European integration at the beginning of the twenty-first century. We show four groups of tensions (antinomies) in social representations that actually constitute dynamic elements for political attitudes. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le réseau "Crocodile" : anticommunisme et anxiété chez les Belges du Katanga (Congo belge) au début de la guerre froide (1948-1952)

Legendre, Bruno 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Industrialisation et santé : la transformation de la morbidité et de la mortalité à l'Union minière du Haut-Katanga, 1910-1970

Dibwe, Dia Mwembu 11 April 2018 (has links)
La présente étude porte sur l'Union Minière du Haut-Katanga (actuellement la Générale des Mines et Carrières du Zaïre). Nous y analysons l'état de santé de la population ouvrière africaine de cette entreprise de 1910 à 1970. Cette étude se situe au coeur des débats actuels axés sur l'impact du capitalisme en Afrique. Cette étude porte essentiellement sur le rapport entre l'industrialisation et l'état de santé des populations ouvrières. Nous montrons dans cette étude que l'amélioration de l'état de santé de la population ouvrière de l'Union Minière a été la conséquence de la politique sociale adoptée par cette entreprise en vue de stabiliser sa main-d'oeuvre africaine et répondre ainsi aux exigences de sa mécanisation de plus en plus poussée. L'état de santé que la population ouvrière présentait en 1970 n'est pas le résultat d'un plan préétabli, mais le produit des concertations et même des contradictions périodiques internes entre les dirigeants de l'entreprise, de l'intervention des nombreux groupes d'intérêts et du comportement des travailleurs africains eux-mêmes en tant qu'acteurs de leur propre état de santé. Cependant, tout au long de cette étude, nous avons préféré présenter les aspects unilatéraux se rapportant essentiellement aux mécanismes mis sur pied par l'employeur pour améliorer l'état de santé de sa main-d'oeuvre africaine et en tirer un meilleur rendement. Pour parvenir à nos objectifs, nous avons utilisé la méthode historique et les méthodes quantitatives. La première nous a permis de saisir l'évolution de l'état de santé à travers la transformation de la létalité, la morbidité et la mortalité. Les secondes nous ont permis de ventiler les données et de les intégrer dans une analyse globale. La compréhension de l'évolution de la létalité, de la morbidité et de la mortalité dans les camps industriels nous a amené à passer rapidement en revue, dans la première partie de cette étude, les mécanismes attractifs mis sur pied par l'Union Minière en vue de stabiliser sa population ouvrière. Nous avons abordé successivement la reconstitution des ménages, le logement, la ration alimentaire, l'infrastructure médico-sociale et l'enseignement. L'analyse de l'état sanitaire des populations ouvrières a montré que la mortalité a connu une baisse considérable. Cependant, l'Union Minière n'est pas encore parvenue à maîtriser la morbidité des travailleurs en augmentation. Somme toute, les camps de travailleurs, jadis foyers d'épidémies meurtrières, sont devenus des centres de reproduction humaine. L'étude montre, à partir de quelques exemples, l'apport des travailleurs à l'amélioration de leur propre état de santé. L'étude propose que l'Union Minière adopte une nouvelle stratégie en matière de politique sociale compatible avec les réalités actuelles. L'étude trouve que la rééducation de la population en matière sanitaire et nutritionnelle est une voie susceptible d'influer sur la mortalité infantile due aux causes exogènes et, partant, sur la baisse de la mortalité générale. Enfin, quelques pistes de recherches clôturent cette étude. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013

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