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Banned ! : censorship of popular music in Britain, 1967-92 /Cloonan, Martin. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Ph. D. / Bibliogr. p. 293-315. Index.
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Quand le journal télévisé fait son cinéma : le cas du JT de TF1 : une mise en scène cinématographique au service de la marchandisation de l'information?Zunino, Mario 01 1900 (has links) (PDF)
Le journal télévisé (JT) se servirait-il d'effets cinématographiques pour dramatiser certains faits? La course à l'audience souvent évoquée à partir du milieu des années 1980, en particulier depuis la privatisation de TF1, expliquerait-elle cette tendance? Sans pour autant prétendre que le JT relève de la fiction, nous émettons l'hypothèse qu'il existe une « information-cinéma » dans un but marchand. Par « information-cinéma », nous entendons une information que nous nous attendons à trouver dans une fiction mais pas dans une émission censée refléter la réalité. Notre recherche porte sur le JT de la 1ère chaîne française qui deviendra TF1 en 1975. Nous nous intéresserons plus spécialement à l'édition de 20 heures. Car, à ce jour, elle est à la fois la plus ancienne des éditions françaises et, à quelques rares périodes près, elle est la plus suivie tant en France qu'en Europe, toutes chaînes et toutes éditions confondues. Cette recherche a des facettes qui s'entrecroisent : télévision, JT, mise en scène cinématographique, marchandisation. Ceci ajouté à notre propre expérience, riche et diversifiée, notre approche se veut multidisciplinaire et exploratoire. Elle est aussi historique : une remontée dans le temps a été nécessaire pour vérifier si l'information-cinéma n'existait pas déjà au cours des années ou des décennies précédant l'arrivée des chaînes commerciales. Tout en étant restreint, l'échantillon que nous avons constitué s'est révélé suffisamment révélateur pour confirmer notre hypothèse d'une information-cinéma devenue marchande et conclure que, par la fréquence et la combinaison croissantes de l'information aux allures cinématographiques, la mission première du JT est toujours d'informer. Mais il doit aussi et de plus en plus divertir et vendre. Et ce qui est valable pour TF1 l'est sans doute pour d'autres JT en France et ailleurs.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : journal télévisé ou JT, information-cinéma, marchandisation, information, TF1
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Rundfunkfreiheit und Rundfunkkontrolle durch den Conseil supérieur de l'audiovisuel in Frankreich /Zander, Oliver. January 1900 (has links)
Dissertation--Universität Regensburg, 1996. / Bibliogr. p. 302-317.
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Broadcasting across borders a study on the role of propaganda in external broadcasts /Lindahl, Rutger, January 1978 (has links)
Thesis--Gothenburg. / Extra t.p. with thesis statement inserted. Includes bibliographical references (p. 291-300).
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Schweizer Radio 1939-1945 : die Organisation des Radiokommunikators durch Bundesrat und Armee /Halter-Schmid, Ruth. January 1979 (has links)
Diss. : Philosophische Fakultät : Zürich : 1976. - Parait également dans la coll. : Communicatis publica, n ° 8. - Bibliogr. p. 189-201. -
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The Supreme court : a judicial review of the federal communications commission /Ulloth, Dana Royal. January 1979 (has links)
Diss. Ph. D.--Faculty of the graduate school--Columbia--University of Missouri, 1971. / Bibliogr. p. 237-242.
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Radio-Canada à l'ère des compressions : Un mutisme qui parle fort.Boyer, Pascal Justin January 2015 (has links)
L’écosystème médiatique canadien est en pleine ébullition. La fragmentation des marchés rend graduellement obsolète le concept de télévision généraliste. Le numérique amène une netamorphose de la consommation et de l’usage que nous faisons des plateformes traditionnelles. S’ajoute un effritement des revenus publicitaires et des parts de marchés. Comme ses compétiteurs, la Société Radio-Canada (SRC) doit se réinventer. Un défi de taille s’ajoute à son fardeau : son budget se voit considérablement diminué depuis les cinq dernières années.
Alors que les attentes envers la SRC sont hautes à cause de son mandat défini par la Loi sur la radiodiffusion, mais aussi par les exigences du CRTC, certains observateurs commencent à craindre que la société de la Couronne n’arrive plus à réaliser son mandat. Dès lors, une bataille de l’opinion publique s’est mise en branle. Nous avons identifié quatre acteurs qui sont appelés à
réagir à cette situation. À l’aide de l’analyse de discours, nous nous sommes intéressés à la composition des différents discours, des trames narratives de chacun et de leur place dans la sphère publique. Nous cherchons à déterminer les liens et les dichotomies entre les différents discours afin de mieux comprendre comment et pourquoi les acteurs ont su transmettre les informations nécessaires à leur position dans l’enjeu.
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Analyse des facteurs et critères exigés par le CRTC lors de l'octroi des licences de canaux spécialisésTabet, Peggy January 2001 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le problème de l'américanisation [de] la radiodiffusion québécoise depuis ses origines jusqu'à la réglementation du contenu canadien (1922-1959)Filion, Michel 25 April 2018 (has links)
Consacrée au problème de l'américanisation de la radiodiffusion québécoise depuis ses origines jusqu'à ce que le gouvernement fédéral limite l'importation d'émissions étrangères à la suite de la loi sur la radiodiffusion de 1958, la présente thèse démontre le caractère distinct du Québec en ce domaine. Elle remet en question le discours officiel qui, en insistant sur r américanisation de la radio-télévision au Canada dans son ensemble, a négligé cette particularité qui consacrait la dualité canadienne. Afin d'étudier la radiodiffusion québécoise avant que la réglementation du contenu canadien ne vienne fausser dans une certaine mesure les règles du marché, nous avons considéré deux phases d'évolution du cadre juridique des médias. La première voit l'émergence de la radio dans un contexte de libéralisme économique: avant la loi sur la radiodiffusion de 1932, la programmation fut laissée à la discrétion des stations que la logique commerciale disposait en principe à importer des émissions étrangères, plus particulièrement américaines. La seconde période qui débute avec la loi de 1932 et se termine avec celle de 1958 est marquée par la nationalisation de la radio et par l'émergence de la télévision d'État, sans toutefois que les stations privées ne cessent de croître en nombre et en puissance. Ainsi, le discours dominant associe le problème de l'américanisation à la commercialisation, et donc à la poursuite du profit qui caractérise l'entreprise privée. Pertinente à certains égards, cette interprétation vise néanmoins à justifier la régie d'État dont les objectifs excèdent le cadre de la radiodiffusion: le concept d'unité nationale oblige à taire les diversités régionales et simplifie grandement le problème de l'américanisation. Notre recherche démontre que la radiodiffusion québécoise de langue française fut, depuis son origine, beaucoup moins perméable aux produits culturels radiophoniques et télévisuels américains. Le changement structurel qui survient avec la création de Radio-Canada renforce cette tendance alors que la situation, surtout après la seconde guerre mondiale, se prête pourtant à une accélération de l'américanisation dont souffre d'ailleurs la radio-télévision canadienne anglophone de propriété privée et publique. Nous en concluons que la radiodiffusion au Québec francophone fut, dans son rapport distinct avec les production étrangères, orientée par des caractéristiques culturelles spécifiques dont la langue constitue la plus claire expression. Dans la perspective du problème canadien, cette conclusion attribue à l'auditoire un rôle jusque-là négligé. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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La règlementation des plateformes de diffusion numériques par le droit canadien : vers une meilleure protection de la diversité des expressions culturellesDeschênes, Ariane 17 May 2019 (has links)
Cette étude avance que le droit canadien possède les outils lui permettant de réglementer les plateformes de vidéo à la demande canadiennes et étrangères. Les technologies de distribution et de diffusion numériques bouleversent profondément l’industrie cinématographique et le système canadien de radiodiffusion et impliquent de profonds changements dans la chaîne de production, de distribution et d'exploitation des films. Les plateformes occupent une position concurrentielle sur le marché, sans pour autant être soumises aux obligations de financement de la création et aux quotas de diffusion de contenu canadien, tandis que le rôle des acteurs traditionnels, tels les câblodistributeurs, se trouve menacé. De plus, la diversité des expressions culturelles et la promotion du contenu canadien ne sont pas garanties sur les plateformes de vidéo à la demande. Cette recherche démontre qu’il est toutefois possible d’encadrer, par le droit canadien, les activités de ces plateformes. Considérant que la politique canadienne de radiodiffusion est encore pertinente aujourd’hui pour sauvegarder la culture canadienne, cette recherche propose d’en revoir le système et les mécanismes afin de les adapter à l’environnement numérique. Enfin, cette étude suggère avant tout la création d'un nouveau système normatif, par la mise en place d’un règlement destiné spécifiquement aux plateformes de vidéos à la demande canadiennes et étrangères, afin de les soumettre aux obligations de financement de la création et à la promotion et la découvrabilité des contenus audiovisuels numériques canadiens. / This study suggests it would be possible for Canadian law to regulate a video-ondemand platform. In fact, distribution and broadcasting technologies have disrupted the cinematographic industry and the Canadian public broadcasting system with profound changes in the broadcast chain and the distribution channel. The video-on-demand platform has taken up a predominant position on the market, without being submitted to the financial contribution to a Canadian creation fund and to the obligation of broadcasting a percentage of Canadian content, while the role of traditional stakeholder, such as cable distributors, is being challenged. Furthermore, the diversity of cultural expression and promotion of Canadian content is not guaranteed on video-on-demand platforms. This study aims to demonstrate that it is possible to regulate the activities of such platforms by Canadian laws. Considering that the Canadian broadcasting policy is still relevant nowadays to maintain the presence of Canadian culture online, this research suggests reviewing the Canadian public broadcasting system in order to adapt it to the digital environment. Finally, this study suggests creating a new regulation system by introducing regulation for the specific intention of Canadian and foreign video-on-demand platforms. This would submit them to the obligation of financial contribution to a Canadian creation fund and to the promotion and discoverability of the Canadian audiovisual contents in the digital space.
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