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Les coûts de justice incombant au justiciable : des facteurs dissuasifs aux mécanismes favorables à ester en justice / The costs of justice borne by litigants : disincentives and incentives to litigate

Albert, Jean-Christophe 05 November 2015 (has links)
La présente étude a pour objectif de démontrer que les incitations créées par la présence ou par le manque de transparence dans les coûts de justice sur la décision d'intenter un procès, sont liées de différentes manières à des degrés de certitude. / The present study has for objective to demonstrate that the incentives created by the relative existence of transparency in the costs of justice on the decision to litigate are linked in various ways to degrees of certainty.
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Trois essais sur l'analyse économique du droit de la consommation / Three essays on the economic analysis of consumer law

Bienenstock, Sophie 16 June 2016 (has links)
Les consommateurs disposent d’une rationalité limitée et sont sujets à divers biais cognitifs. La thèse étudie les conséquences des biais de rationalité sur le comportement des consommateurs ainsi que les implications sur la politique de consommation. Chacun des trois chapitres de la thèse est consacré à un biais particulier (surestimation de la qualité, erreurs d’anticipation de l’utilité, biais de projection) dans un contexte concurrentiel déterminé. Les deux premiers chapitres sont bâtis sur des modèles de duopole standards auxquels sont intégrés des biais de rationalité : le premier est un duopole avec différenciation horizontale inspiré de Dixit (1979), tandis que le second envisage un modèle de différenciation verticale adapté de Gabszewicz & Thisse (1979). Le troisième chapitre étend à trois périodes la modélisation du biais de projection proposée par Loewenstein et al. (2003). J’aboutis à la conclusions que, si les biais cognitifs conduisent dans certains cas à des choix sous-optimaux (chapitres 1 et 2), les consommateurs naïfs peuvent également être avantagés par rapport aux agents sophistiqués (chapitre 3). Ce constat plaide en faveur d’une intervention circonstanciée et mesurée sur le marché. Enfin, des recommandations de politiques économiques sont formulées: je prône une approche renouvelée du droit de la consommation, qui ne serait plus fondé principalement sur l’information du consommateur mais davantage sur des mesures de redressement cognitif. Des exemples de mesures concrètes sont discutés tout au long de la thèse. / Consumers have bounded rationality and exhibit cognitive biases. The thesis studies the consequences of such biases on consumer choice and implications on consumer policy. Each chapter of the thesis investigates one specific bias (quality bias, utility misperception and projection bias) in a given market structure. The first two chapters focus on stan- dard duopoly models, in whichcognitive biases are incorporated: I build a horizontally differentiated duopoly based on Dixit (1979)in chapter 1, and a vertically differentiated duopoly inspired by Gabszewicz & Thisse (1979) in chapter 2. As for the third chapter, it extends to three periods, in a monopolistic framework, the projection bias model proposed by Loewenstein et al. (2003). I come to the conclusion that, while cognitive biases sometimes lead to suboptimal consumption decisions (chapters 1 and 2), naive consumers can be better off than their sophisticated counterparts(chapter 3). This observation pleads in favor of a non-systematic and context dependant legal intervention to counter cognitive errors. I argue in favor of a new approach of consumer policy, that would focus less on information disclosures in favor of debiasing schemes. Examples of such debiasing policies are discussed throughout the thesis.
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Comment penser le politique ? Les tâches contemporaines de la philosophie politique selon Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent

Brown, Étienne 13 September 2011 (has links)
Cette thèse concerne la pensée de trois auteurs qui s’interrogent quant à la manière dont les philosophes politiques devraient procéder pour en arriver à comprendre et à juger les phénomènes politiques de manière adéquate : Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent. Plus spécifiquement, elle se propose d’étudier les critiques que ces derniers dirigent à l’endroit de l’approche dominante en philosophie politique contemporaine et qui est à leur avis le mieux exemplifiée par l’œuvre de John Rawls. Aux yeux de ces derniers, cette approche, qui consiste essentiellement à s’engager dans une réflexion abstraite sur la nature de la justice définie comme l’ensemble des droits politiques dont les citoyens devraient légitimement pouvoir jouir, souffre d’un important manque de réalisme, c’est-à-dire qu’elle reflète très peu la délibération dans laquelle les citoyens et les hommes politiques doivent concrètement s’engager pour faire face aux problèmes politiques réels. Dans un premier temps, l’auteur expose les objections que Geuss, Mouffe et Manent formulent contre la philosophie rawlsienne et il présente les fondements de la pensée de ces trois auteurs. Il s’efforce ensuite de vérifier si leur critique du normativisme abstrait en philosophie politique nous permet toujours de penser un certain fondement aux jugements politiques.
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Comment penser le politique ? Les tâches contemporaines de la philosophie politique selon Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent

Brown, Étienne 13 September 2011 (has links)
Cette thèse concerne la pensée de trois auteurs qui s’interrogent quant à la manière dont les philosophes politiques devraient procéder pour en arriver à comprendre et à juger les phénomènes politiques de manière adéquate : Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent. Plus spécifiquement, elle se propose d’étudier les critiques que ces derniers dirigent à l’endroit de l’approche dominante en philosophie politique contemporaine et qui est à leur avis le mieux exemplifiée par l’œuvre de John Rawls. Aux yeux de ces derniers, cette approche, qui consiste essentiellement à s’engager dans une réflexion abstraite sur la nature de la justice définie comme l’ensemble des droits politiques dont les citoyens devraient légitimement pouvoir jouir, souffre d’un important manque de réalisme, c’est-à-dire qu’elle reflète très peu la délibération dans laquelle les citoyens et les hommes politiques doivent concrètement s’engager pour faire face aux problèmes politiques réels. Dans un premier temps, l’auteur expose les objections que Geuss, Mouffe et Manent formulent contre la philosophie rawlsienne et il présente les fondements de la pensée de ces trois auteurs. Il s’efforce ensuite de vérifier si leur critique du normativisme abstrait en philosophie politique nous permet toujours de penser un certain fondement aux jugements politiques.
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Théories du choix rationnel : perspectives et implications en design institutionnel

Doire St-Louis, Alexandre 12 1900 (has links)
En raison de sa force explicative et opérationnelle, la théorie du choix rationnel est utilisée au sein de plusieurs disciplines des sciences sociales. Alors que la majorité des économistes conçoivent la théorie du choix rationnel comme un processus de maximisation de l’utilité, la portée de ce modèle est le sujet de nombreuses critiques. Pour plusieurs, certaines préférences ne peuvent être modulées à l’intérieur de ce cadre. Dans ce mémoire, trois conceptions alternatives de la théorie du choix rationnel sont présentées : la rationalité comme présence virtuelle, la rationalité comme mécanisme intentionnel et la rationalité en tant que science du choix. Une analyse critique de celles-ci est effectuée. En design institutionnel, ces trois conceptions de la rationalité offrent des perspectives distinctes. La première met l’emphase sur les motivations non-égocentriques. La seconde mise sur l’aspect adaptatif du processus. La rationalité jouant un rôle privilégié, mais non exclusif, les mécanismes causaux doivent également être considérés. La troisième implique de formuler des règles institutionnels différentes dépendamment du modèle de l’agent rationnel qui est mis de l’avant. L’établissement de règles institutionnelles varie en fonction de la conception adoptée parmi ces théories du choix rationnel. / Because of its explanatory and operational strengths, rational choice theory is used in a variety of social sciences disciplines. Most economists understand rational choice theory as a utility maximization process. For this reason, the reach of the rational model has been subject of a great deal of criticism. For many commentators, there are preferences that cannot be represented by this model of explanation. In the following, three alternative rational choice theory accounts will be presented: the rationality as a virtual presence, rationality as an intentional mechanism and rationality as a science of choice. Each rationality account offers a different view of institutional design. The first focus on agents non-egoistic motivations. The second, on the adaptive aspect with an emphasis on causal mechanism. The third, on the multiplicity of rational actor models. Depending of which rational choice theory account is adopted, implications in institutional design will be different.
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Emmanuel Levinas et Walter Benjamin, critiques "inspirés" de la modernité

Lamarre, Lyne 07 1900 (has links) (PDF)
Du déclin de la religiosité cléricale, associé à la période historique de la Renaissance et de la modernité, on voit naître un Occident industriel, raisonnable, émancipé. Arrive subséquemment le 20e siècle avec deux guerres menées par la technique, raisonnables. La raison éclairée semble avoir échoué à sa promesse d'émancipation. Des philosophes s'interrogent sur le problème et tentent de voir de quelles façons le logos a pu mener et même justifier ces moments inédits de l'histoire. Ils ouvrent les voies d'une possible reconstruction d'« humanité ». Ce mémoire montre que leurs discours, plus particulièrement ceux d'Emmanuel Levinas et de Walter Benjamin (tous deux juifs et contemporains des deux Guerres mondiales), sont teintés d'une certaine religiosité et d'un rapport avec une « transcendance ». Celle-ci est ancrée dans l'expérience, notamment dans l'éthique et le langage. Les voies de la recomposition philosophique face à « l'échec des Lumières » passent-elles nécessairement par une réintroduction du religieux? Le dialogue culturel est-il religieux en lui-même? Nous offrons des pistes de réponse à ces questions en réfléchissant sur la place du judaïsme dans notre culture, prenant appui pour ce faire sur les écrits de Shmuel Trigano. Les œuvres de Levinas et de Benjamin indiquent ainsi qu'au cœur d'une philosophie rationnelle, la transcendance ne devient plus condition extérieure, irrationnelle, mais bien cœur et nécessité - hors-catégorie peut-on dire - d'un penser logique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Walter Benjamin, Emmanuel Levinas, judaïsme, transcendance, rationalité, éthique, épistémologie, crise culturelle, philosophie, langage.
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Hölderlin : critique de la raison et habitation poétique de l'homme

She, Shiqin 09 May 2012 (has links) (PDF)
Comment la critique hölderlinienne de la raison ouvre-t-elle la possibilité d'une habitation poétique de l'homme sur terre ? Quel est le rôle de la parole poétique et quelle est sa signification pour la modernité ? Ce sont pour nous deux faces de la même question chez Höderlin. Nous disons que la critique hölderlinienne de la rationalité est la plus radicale qui soit, tout simplement parce qu'il a quitté le chemin de la raison. Dans un premier temps de ce travail, nous examinerons la spécificité de la critique hölderlinienne de la raison en marge de l'idéalisme allemand, surtout sa différence d'avec Schelling et Fichte, à partir du texte "Urteil und Sein" ; dans un deuxième temps nous verrons la question de la poésie, à l'exemple de la spécificité de la poésie hölderlinienne, et le concept d'intuition intellectuelle dont il parle vaguement ; ensuite nous traiterons le rapport entre le temps et le langage poétique, plus généralement l'art, à l'aide du concept hölderlinien du souvenir, et poser la question de la possibilité d'une habitation poétique de l'homme à l'ère de la technologie.
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Comment penser le politique ? Les tâches contemporaines de la philosophie politique selon Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent

Brown, Étienne 13 September 2011 (has links)
Cette thèse concerne la pensée de trois auteurs qui s’interrogent quant à la manière dont les philosophes politiques devraient procéder pour en arriver à comprendre et à juger les phénomènes politiques de manière adéquate : Raymond Geuss, Chantal Mouffe et Pierre Manent. Plus spécifiquement, elle se propose d’étudier les critiques que ces derniers dirigent à l’endroit de l’approche dominante en philosophie politique contemporaine et qui est à leur avis le mieux exemplifiée par l’œuvre de John Rawls. Aux yeux de ces derniers, cette approche, qui consiste essentiellement à s’engager dans une réflexion abstraite sur la nature de la justice définie comme l’ensemble des droits politiques dont les citoyens devraient légitimement pouvoir jouir, souffre d’un important manque de réalisme, c’est-à-dire qu’elle reflète très peu la délibération dans laquelle les citoyens et les hommes politiques doivent concrètement s’engager pour faire face aux problèmes politiques réels. Dans un premier temps, l’auteur expose les objections que Geuss, Mouffe et Manent formulent contre la philosophie rawlsienne et il présente les fondements de la pensée de ces trois auteurs. Il s’efforce ensuite de vérifier si leur critique du normativisme abstrait en philosophie politique nous permet toujours de penser un certain fondement aux jugements politiques.
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Conservation de la rationalité coalitionnelle en jeux coopératifs à utilité transférable / No English title available

Gonzalez, Stéphane 30 June 2014 (has links)
Le premier chapitre, en français, présente les principaux outils mathématiques utilisés dans le manuscrit, les résultats classiques sur la rationalité coalitionnelle pour les jeux coopératifs à utilité transférable et notamment sur le cœur et ses extensions, quelques résultats nouveaux sur le cœur k-additif et l’implémentation en équilibre de Nash fort de solutions de jeux coopératifs. Il y est synthétisé, sans démonstrations, les résultats des trois articles ainsi que quelques résultats nouveaux ou complémentaires. Les trois chapitres suivants, en anglais, correspondent aux trois articles. L’annexe A donnera en anglais les démonstrations des résultats nouveaux et non contenus dans les articles. / The first chapter, in french, presents the main mathematics tools used for this thesis, some classical results about coalitional rationality for cooperative TU-games, and among other things, about the core and its extensions. This chapter presents also some new or less known results about the k-additive core and strong Nash implementation of some cooperative games’ solutions. In addition, we summurize, without proofs, the main results which are contained in the three articles and some extra results that can be read in english in the appendix A. The three next chapters, in english, are the three articles. The Appendix A gives, in english, the proof of some extra results.
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La finance comportementale à l'épreuve de la crise / Behavioral finance under the test of the crisis

Hajji, Ali 11 December 2015 (has links)
La crise qui a démarré en 2007 a remis en cause les fondations de la théorie et du système financier. Cette théorie s’articule autour des postulats de la finance classique dont la « main invisible » et l’hypothèse de rationalité des investisseurs dont découle celle d’efficience des marchés.Cette crise a mis en lumière l’aspect psychologique des marchés financiers, aspect abordé par J.M Keynes lorsqu’il développait la notion d’ « esprits animaux » pour rendre compte de l’incertitude de l’économie. Jusqu’au début des années 1980, la compréhension de la psychologie a été le fruit d’une approche informelle.Depuis lors, la psychologie des marchés financiers est formalisée par la finance comportementale. Tout au long de son développement, ses tenants ont remis en cause l’hypothèse de rationalité des investisseurs sur des bases empiriques. Néanmoins, aucun évènement de l’ampleur de cette crise n’a autant invalidé les postulats du mainstream dominant.La théorie financière est à la croisée des chemins. L’hypothèse de rationalité des investisseurs est-elle valide ? Si oui, quelles sont les conditions de sa validité ? Si non, doit-on sortir du cadre de la finance classique et adopter celui de la finance comportementale? Ce sont autant de questions qui appellent à une refondation de la théorie financière.Le jury du Prix d’économie en la mémoire d’Alfred Nobel ne s’est d’ailleurs pas trompé en décernant le prix 2013 aux deux écoles. Cependant, les académiciens ne semblent pas trancher entre elles, reconnaissant ainsi leurs apports respectifs pour la théorie et la pratique financière. Cette récompense suggère néanmoins la question centrale suivante : les deux écoles sont-elles parallèles, complémentaires ou antinomiques?Le premier chapitre traite de la remise en cause des hypothèses centrales de la finance, à la base des modèles de gestion les plus courus. Le cadre de la finance classique n’a pas permis de donner une explication à la formation de la bulle immobilière pas plus qu’il n’a permis de fournir une solution unifiée à la crise. L’inadéquation des hypothèses du cadre classique avec la réalité apparaît notamment dans un contexte de forte volatilité et d’incertitude exacerbée. Cette remise en cause ouvre la voie à l’introduction de paramètres psychologiques dans la compréhension des phénomènes du marché.La finance comportementale développe la psychologie des marchés financiers. Le second chapitre aborde les concepts centraux de ce courant. L’analyse de ces concepts et du développement historique, épistémologique et paradigmatique du courant montre qu’il s’inscrit à l’opposé et, parfois, en complément du classique. Il n’en demeure pas moins que le cadre théorique de ce courant n’est pas encore achevé pas plus que la formation d’un paradigme dominant.Parmi les principaux résultats de la finance comportementale, les outils psychologiques apportent des clefs de lecture pertinentes des marchés financiers. Le troisième chapitre aborde les biais et heuristiques à la lumière de la crise. L’analyse de la crise montre que les heuristiques et les biais émotionnels ont pu conduire les investisseurs à des erreurs de jugements. L’attention et l’analyse se sont focalisées sur des croyances dans un contexte d’opacité de l’information et de l’environnement.La finance comportementale cherche à établir un cadre conceptuel plus élaboré. La théorie des « esprits animaux » a repris de la vigueur notamment chez les comportementalistes à orientation néo-keynésienne. Le retour à cette notion s’explique par l’importance prise de concepts liés comme la confiance, la corruption ou le rôle des histoires. D’ailleurs, les collusions corruptives et le fonctionnement du système ont failli saper durablement la confiance dans l’économie financière. Ce quatrième chapitre montre que la confiance et la corruption procèdent de la psychologie humaine et montrent le poids de celle-ci en situation d’incertitude et le rapport des hommes aux gains. / The crisis that started in 2007 have challenged the foundations of the financial system and the financial theory. This theory is based on assumptions of conventional finance including the "invisible hand" and the rationality assumption of investors which builds that of market efficiency.This crisis has highlighted the psychology of financial markets, aspects already addressed by J.M Keynes when he developed the concept of "animal spirits" to reflect the uncertainty of the economy. Until the early 1980s, the understanding of psychology has always been the result of an informal approach.Since, the psychology of financial markets has been formalized by behavioral finance. Throughout its development, its theoricians have questioned the rationality assumption of investors on empirical bases. However, no paramount event such this crisis has struck much the postulates of the dominant mainstream.Consequently, the financial theory is at the crossroads. Is the assumption of rationality of investors valid? If so, what are the conditions of its validity? If not, are we departing from the scope of conventional finance and adopt that of behavioral finance? These are all issues that are calling for an overhaul of the financial theory.The Jury of the prize in economics in memory of Alfred Nobel did not err in fact by awarding the 2013 prize to these two schools. However, academics do not seem to decide between them, recognizing their contributions to financial theory and practice. This award suggests the following central question: are the two schools parallel, complementary or contradictory?The first chapter deals with the questioning of the central assumptions of finance, at the base of the most popular business models. The framework of conventional finance has failed to give an explanation to the formation of the housing bubble nor has it helped to provide a unified solution to the crisis. The inadequacy of the assumptions of the classical framework with reality appears especially in a context of high volatility and heightened uncertainty. This challenge opens the way for the introduction of psychological parameters in understanding the phenomena of the market.Behavioral finance develops the psychology of financial markets. The second chapter covers the central concepts of this trend, in order to answer the central question of this thesis. The analysis of this trend and its historical epistemological and paradigmatic development shows it is opposite and sometimes in addition to the classic one. The fact remains that the theoretical framework of this trend is not yet completed nor the formation of a new dominant paradigm achieved.Among the key findings of behavioral finance, psychological tools provide relevant insights to developments in financial markets. The third chapter addresses the biases and heuristics in light of the crisis. The analysis of the crisis shows that heuristics and emotional biases may have led investors to judgment errors. The attention and analysis has focused on beliefs in an abstruse information and environmental context, allowing the development of heuristics. Consequently, the tools of behavioral finance can develop a mental map to this crisis.Behavioral finance seeks to establish a more sophisticated conceptual framework. The theory of "animal spirits" has regained momentum especially among behaviorists of neo-Keynesian orientation. The return to this concept is explained by the growing importance of certain concepts such as confidence, corruption and the role of stories in the context of this crisis. Moreover, collusion and corrupt system operation almost permanently undermine confidence in the financial economy. This fourth chapter shows that trust and corruption stem from human psychology and show the weight of the latter in situations of uncertainty and the relationship between men and earnings.

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