• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 2
  • 1
  • Tagged with
  • 8
  • 8
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L'homme qui racontait des histoires ; suivi de, "Le bâton brisé"

Boisvert, Julien-Pier 06 1900 (has links) (PDF)
L'homme qui racontait des histoires est une expérience littéraire sur le phénomène de la voix et sur l'impact de la matérialité du texte sur celle-ci. Trois voix différentes racontent des épisodes d'une même histoire. Pourtant, les trois voix proviennent de la même plume. C'est en jouant sur la relation entre les voix narratives et le langage qu'elles utilisent comme rapport au monde que se construit le roman. Chacune de ces voix porte en son sein une vision du langage qui l'anime, et cette vision langagière est intrinsèquement liée à une façon de voir le monde. Trois voix, trois postures langagières, trois perceptions du monde. Le bâton brisé témoigne de prises de position sur deux enjeux de l'écriture romanesque. Le premier : la fiction comme moteur de l'esprit du roman, ainsi que l'appelle Kundera, qui invoque l'ambiguïté et le questionnement comme raisons d'être principales de l'écriture romanesque. Le second enjeu : un engagement pour une stylistique personnelle par opposition à l'académisme, le style journaleux, comme l'appelle Céline, celui des prosateurs imperméables à l'émotivité du langage, dont les mots étouffent toute possibilité de ressentir; un engagement, donc, pour une langue vivante, libérée de ses mécanismes lourds, une langue qui se joue d'elle-même, qui s'amuse avec ses propres règles, une langue travaillée avec minutie afin qu'elle puisse résonner dans la tête du lecteur grâce à sa prosodie, à son rythme, à son écart par rapport à la langue normative, celle de tous les jours, celle qui ne saurait animer un roman, sauf à être sublimée par le style. ______________________________________________________________________________
2

L'influence de Baudelaire sur la poésie chinoise souterraine au temps de la Révolution culturelle

Yang, Yuping 20 October 2011 (has links) (PDF)
Cette étude se situe dans le contexte des échanges culturels franco-chinois au temps de la Révolution culturelle (1966-1976). Nous nous proposons d'étudier le lien entre les œuvres de Baudelaire et la poésie souterraine chinoise écrite à cette époque, dont la valeur est reconnue aujourd'hui'hui par le monde littéraire. Alors que Baudelaire est exclu de la liste de diffusion de la littérature officielle chinoise par la censure, Les Fleurs du Mal sont traduites, lues, admirées et imitées par des jeunes auteurs souterrains. Dans la mesure où l'art devient le meilleur moyen de révolte contre la dictature idéologique, la poésie de Baudelaire participe à l'édification d'un nouveau langage poétique qui revalorise l'existence individuelle en rupture avec la langue de bois, dépositaire de l'expérience collective. C'est dans ce cadre que nous discutons, sur la base d'une analyse textuelle, de l'influence de Baudelaire sur une génération de poètes chinois.
3

Hölderlin : critique de la raison et habitation poétique de l'homme / Hölderlin : ritique of reason eand poetical dwelling of man

She, Shiqin 09 May 2012 (has links)
Comment la critique hölderlinienne de la raison ouvre-t-elle la possibilité d'une habitation poétique de l'homme sur terre ? Quel est le rôle de la parole poétique et quelle est sa signification pour la modernité ? Ce sont pour nous deux faces de la même question chez Höderlin. Nous disons que la critique hölderlinienne de la rationalité est la plus radicale qui soit, tout simplement parce qu'il a quitté le chemin de la raison. Dans un premier temps de ce travail, nous examinerons la spécificité de la critique hölderlinienne de la raison en marge de l'idéalisme allemand, surtout sa différence d'avec Schelling et Fichte, à partir du texte "Urteil und Sein" ; dans un deuxième temps nous verrons la question de la poésie, à l'exemple de la spécificité de la poésie hölderlinienne, et le concept d'intuition intellectuelle dont il parle vaguement ; ensuite nous traiterons le rapport entre le temps et le langage poétique, plus généralement l'art, à l'aide du concept hölderlinien du souvenir, et poser la question de la possibilité d'une habitation poétique de l'homme à l'ère de la technologie. / How does Hölderlin's critique of reason open up possibility of a poetical dwelling of man on earth? What is the role of poetical language and what is its significance for the modernity? These are for us two sides of the same question by Hölderlin. We say that Hölderlin's critique of rationality is the most radical, simply because he left the path of reason. As a first step of this work, we shall examine the specificity of Hölderlin's criticism of reason in the relationship with German idealism, especially its difference from Schelling and Fichte from text "Urtheil und Seyn"; secondly we will consider the question of poetry, with the example of the specificity of Hölderlin's poetry, and the concept of intellectual intuition of which he spoke vaguely; and then we will discuss the relationship between time and the poetical language, or of art more generally, using help of Hölderlin's concept of "memory", and finally ask the question of the possibility of a poetical dwelling of man in the middle of the era of technology.
4

Hölderlin : critique de la raison et habitation poétique de l'homme

She, Shiqin 09 May 2012 (has links) (PDF)
Comment la critique hölderlinienne de la raison ouvre-t-elle la possibilité d'une habitation poétique de l'homme sur terre ? Quel est le rôle de la parole poétique et quelle est sa signification pour la modernité ? Ce sont pour nous deux faces de la même question chez Höderlin. Nous disons que la critique hölderlinienne de la rationalité est la plus radicale qui soit, tout simplement parce qu'il a quitté le chemin de la raison. Dans un premier temps de ce travail, nous examinerons la spécificité de la critique hölderlinienne de la raison en marge de l'idéalisme allemand, surtout sa différence d'avec Schelling et Fichte, à partir du texte "Urteil und Sein" ; dans un deuxième temps nous verrons la question de la poésie, à l'exemple de la spécificité de la poésie hölderlinienne, et le concept d'intuition intellectuelle dont il parle vaguement ; ensuite nous traiterons le rapport entre le temps et le langage poétique, plus généralement l'art, à l'aide du concept hölderlinien du souvenir, et poser la question de la possibilité d'une habitation poétique de l'homme à l'ère de la technologie.
5

L’influence de Baudelaire sur la poésie chinoise souterraine au temps de la Révolution culturelle / The influence of Baudelaire on Chinese underground poetry during the Cultural Revolution

Yang, Yuping 20 October 2011 (has links)
Cette étude se situe dans le contexte des échanges culturels franco-chinois au temps de la Révolution culturelle (1966-1976). Nous nous proposons d‘étudier le lien entre les œuvres de Baudelaire et la poésie souterraine chinoise écrite à cette époque, dont la valeur est reconnue aujourd’hui‘hui par le monde littéraire. Alors que Baudelaire est exclu de la liste de diffusion de la littérature officielle chinoise par la censure, Les Fleurs du Mal sont traduites, lues, admirées et imitées par des jeunes auteurs souterrains. Dans la mesure où l‘art devient le meilleur moyen de révolte contre la dictature idéologique, la poésie de Baudelaire participe à l‘édification d‘un nouveau langage poétique qui revalorise l‘existence individuelle en rupture avec la langue de bois, dépositaire de l‘expérience collective. C‘est dans ce cadre que nous discutons, sur la base d‘une analyse textuelle, de l‘influence de Baudelaire sur une génération de poètes chinois. / This research is engaged in the context of Franco-Chinese cultural exchange taking place at the time of the Cultural Revolution (1966-1976). We propose to study the link between the works of Baudelaire and underground Chinese poetry whose value is recognized today by the literary world. While Baudelaire is excluded from the list of introduction by the official literature, Flowers of Evil is translated, read, admired and imitated by young underground writers. Due to art becoming the best way to revolt against ideological dictatorship, the poetry of Baudelaire is involved in the construction of a new poetic language that upgrades individual existence rupturing with the jargon, the depository of the collective experience. In this context we are discussing, on the basis of a textual analysis, Baudelaire‘s influence on a generation of Chinese poets.
6

Mythe et sacré : le pouvoir des mots dans le Seigneur des anneaux

Dagenais-Pérusse, Michel January 2008 (has links) (PDF)
D'enfant intrigué par des inscriptions en gallois, Tolkien évolue vers un apprentissage précoce du latin, du grec et de nombreuses langues anciennes. Sa passion pour les langues ne se dément pas: bientôt il travaille à l'élaboration de langues inventées basées sur le finnois, puis il fonde un club de lecture de sagas en norrois. Dans son étude des langues, il s'intéresse aux anciens textes qui recèlent leur évolution: très vite, pour lui, le langage et le mythe sont indissociables. Le langage génère du mythe et ce dernier survit à travers les langages. Du propre aveu de l'auteur, c'est pour donner vie à ses langues inventés qu'il créa leur monde: « [...] il lui fallait une « histoire » pour lui servir de base. [...] Il mettait ce langage au point, maintenant il lui fallait trouver les gens dont ce serait la langue. » (Carpenter, 2002). En marge de ses recherches universitaires, il construit donc sa mythologie personnelle, un travail étalé sur toute une vie dont quelques vingt ans sur le seul Seigneur des Anneaux pour lequel il s'attarde minutieusement sur chaque mot: « It was begun in 1936, and every part has been written many times. Hardly a word in its 600 000 or more has been unconsidered. » (Carpenter, 1981). En parcourant la biographie de ce linguiste-écrivain, qui peut se surprendre de voir le langage comme personnage principal de son oeuvre Le Seigneur des Anneaux? Son récit se veut une reconstruction moderne basée sur les légendes anciennes qu'il affectionne et il y inclut à cet effet nombre des éléments langagiers, relevant souvent de la pensée mythique, qui donnent à ces récits anciens leur saveur particulière. Parmi ces éléments, nous avons relevé le traitement accordé à la nomination et celui accordé aux manifestations de la parole poétique que sont ces chants et poèmes que l'on retrouve égrenés dans la narration en prose. En premier lieu, nous exposerons l'intérêt de l'auteur pour le langage et les littératures médiévales (principalement germaniques et finnoise), notamment pour leurs techniques langagières particulières. Nous nous appuierons en cela sur ses essais consacrés aux sources et à la genèse du texte (Tolkien, 1981, 1997). Puis, nous mettrons en relief ce qui, de la pensée mythique, éclaire la perspective et l'utilisation par Tolkien du nom et de la parole poétique avec l'appui de l'essai de Mircea Eliade: Aspects du mythe. Ensuite, il nous faudra étudier la littérature médiévale germanique avec l'aide des ouvrages de Régis Boyer y ayant trait. Nous pourrons ensuite nous pencher sur la question du traitement de la nomination dans l'oeuvre de Tolkien: quel est sa nature, son sens et ses fonctions pour le récit et qu'est-ce qui la rattache à la pensée mythique? Enfin, nous nous intéresserons aux nombreux chants et poèmes propres à l'oeuvre. Nous verrons comment ils définissent des cultures, relatent un passé et des mythes; bref, comment ils ajoutent à la cohérence et à la profondeur de l'univers fictif dépeint. Ainsi, et plus que de simples artifices stylistiques, ces manifestations langagières singulières qui imprègnent Le Seigneur des Anneaux participent de la structure même du récit et sont étroitement liées à la pensée mythique: le langage, le mot, a un véritable pouvoir chez Tolkien. Voilà ce que ce travail tendra à démontrer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mythe, Nomination, Parole poétique, Fantasy.
7

Olga Elena Mattei frente al canon de la poesía colombiana de su tiempo (1962-2005)

Vélez Pelaez, Sergio Esteban 12 1900 (has links)
Ce mémoire vise à placer le travail de la poète colombienne Olga Elena Mattei au sein de la poésie colombienne de son temps (1962-2005). Dans le premier chapitre, certains concepts théoriques sont définis et le terme «canon», axé sur la poésie, est synthétisé. Dans le deuxième chapitre, le paysage de la poésie colombienne de la seconde moitié du XXe siècle est défini. La stylistique des poètes les plus importants et jugés comme étant canoniques, est présentée. Dans le dernier chapitre, les particularités de la poésie de Mattei sont analysées. Il est conclu qu'Olga Elena Mattei fait partie du canon de la poésie colombienne, mais que son travail a contesté le canon dominant de celle-ci, au fil des décennies, et qu'il a été en avance sur les tendances qui émergeraient plus tard. À titre d'exemple, il est montré comment, dans les années soixante du XXe siècle, quand, en Colombie, la rime et le mètre étaient toujours hégémoniques dans la poésie, Olga Elena Mattei a osé écrire et publier en vers libres. Puis, dans les années soixante-dix, lorsque le vers libre a été accepté et il régnait à la poésie colombienne, Mattei fut la première femme à écrire anti-poésie en espagnol. Dans les années quatre-vingt, alors que l'anti-poésie était la principale tendance en Colombie, Mattei s'est consacrée à écrire de la poésie au sujet de la science, jamais réalisée auparavant en Colombie. Et, dans les années quatre-vingt-dix, lorsque le vers libre est dominant en Colombie, Mattei retourne à la rime. / This thesis aims to place the work of the Colombian poet Olga Elena Mattei within the Colombian poetry of her time (1962-2005). In the first chapter, some theoretical concepts are defined and the term "canon", focused on poetry, is explained. In the second chapter, the landscape of the Colombian poetry of the second half of the twentieth century is set. The style of the most important poets, who are considered as canonical, is presented. In the last chapter, the peculiarities of Mattei's poetry are analyzed. It is concluded that Olga Elena Mattei is part of the canon of the Colombian poetry, but her work has challenged the dominant trends over the decades. For example, it is shown how, in the sixties of the twentieth century, when, in Colombia, rhyme and metrics were still preponderant in poetry, Olga Elena Mattei dared to write and publish in free verse. In the seventies, when free verse was accepted and it reigned in the Colombian poetry, Mattei was the first woman to write anti-poetry in Spanish. In the eighties, while anti-poetry was the main trend in Colombian poetry, Mattei devoted herself to write poetry about science, never wrote in Colombia before. And in the nineties, when free verse is dominant in Colombia, Mattei returns to rhyme. / Esta tesina pretende ubicar la obra de la poeta colombiana Olga Elena Mattei en el marco de la poesía dominante de su tiempo (1962-2005), en Colombia. En un primer capítulo, se definen algunos conceptos teóricos y se sintetiza el término “canon”, enfocado en la poesía. En el segundo capítulo, se define el campo poético colombiano de la segunda mitad del siglo XX. Se discute sobre la estilística de los poetas más relevantes, aquellos que han sido determinados como canónicos. En el capítulo final, se analiza la poesía de esta autora, sus particularidades, confrontándola con el canon antes explicado. Se concluye que Olga Elena Mattei hace parte del canon de la poesía colombiana, pero que su obra, a lo largo de los decenios, ha rebatido el canon preponderante en Colombia y se ha adelantado a las tendencias que habrían de surgir posteriormente. Como ejemplo, se muestra cómo, en los años sesenta del siglo XX, cuando, en Colombia, todavía la rima y la métrica eran hegemónicas en la poesía, Olga Elena Mattei se atrevió a escribir y publicar en verso libre. Luego, en los setenta, cuando ya el verso libre era aceptado e imperaba en la poesía colombiana, Mattei fue la primera mujer en escribir antipoesía en español. En los ochenta, cuando la antipoesía ya era tendencia distinguida en Colombia, Mattei se encaminó hacia la poesía de temática científica, nunca antes realizada en Colombia, y en los noventa, cuando, predomina el verso libre, Mattei regresa a la poesía con rima y ritmo.
8

Mémoire et figures de la violence dans le langage poétique chilien (1950-1980) / Memory and figurations of violence in chiliean poetic language (1950-1980) / Memoria y figuraciones de la violencia en el lenguaje poético chileno (1950-1980)

Folch Maass, Nicolas 03 December 2016 (has links)
La dictature de la Junte militaire du Chili (11 septembre 1973 – 1990), dont la violence est d’autant plus marquante qu’elle opère dans une période très récente de l’histoire du pays, interroge l’autonomie du système symbolique des textes littéraires produits dans ce contexte. En effet, c’est la première fois dans l’histoire de la littérature chilienne qu’une grande quantité de textes sont écrits et publiés depuis l’exil ou depuis des centres de détention.Considérant ce phénomène spécifique dans son temps, cette étude s’attache à identifier les figures de la mémoire dans le langage poétique à partir de la figuration de la violence, telle qu’elle s’exprime dans la production de six poètes, qui s’étend sur une période de quarante ans (1950-1980). L’analyse de ces œuvres met en évidence la capacité du langage poétique à transcender la codification d’un contexte aussi important qui n’est pourtant pas l’unique évènement marquant de violence d’Etat dans l’histoire du Chili. L’analyse d’un corpus de textes écrits par Nicanor Parra, Enrique Lihn et Jorge Teiller, références majeures de la poésie de Gonzalo Millán, Tomás Harris et Rodrigo Lira, est présentée selon une double perspective, linguistique et socio-littéraire. La première partie de cette thèse mobilise le concept de « sujet en procès », emprunté à la théorie du langage de Julia Kristeva, Cette perspective a pour ambition d’analyser dans quelle mesure et comment la figuration de la violence constitue une parole de la mémoire et un questionnement sur l’identité nationale dans la poésie chilienne. La deuxième partie s’appuie sur la perspective de la « théorie des champs » et du « pouvoir symbolique » tel que l’envisage Pierre Bourdieu pour analyser l’impact du discours historique de l’identité nationale et sa représentation de l’exercice de la violence dans les champs de la production politique et littéraire.Envisagées dans une perspective moins restreinte à leur contexte socio-historique immédiat de production, les relations qu’entretiennent le langage, la violence et le pouvoir figurent ainsi au cœur de cette recherche. / The dictatorship of the military junta in Chile (09.11.1973-1990), the violence of which is all the more striking as it covers a very recent period in the history of this country, questions the autonomy of the symbolical system of the literary texts produced in this context. Indeed,it is the first time in the history of Chilean literature such an amount of texts have been written and published from exile or detention centres.Taking into account that this phenomenon is specific to its period, this study aims at studying the representations of memory in poetic language. It starts from the figuration of violence as it is expressed over a period of forty years (1950-1980) in six poets' production.The analysis of these works highlights the ability of poetic language to transcend the codification of so important a context, which is not, however, the only striking event of State violence in the history of Chile.The analysis of a collection of texts written by Nicanor Parra, Enrique Lihn and Jorge Teiller, major references of Gonzalo Millán, Tomás Harris and Rodrigo Lira 's poetry, is presented according a double perspective, linguistic as well as socio-litterary. The first part of this thesis focuses on the concept of the « subject in process », taken from Julia Kristeva's theory of language.This perspective aspires to analyze to what extent and how the representation of violence constitutes an expression of memory and a questioning about national identity in the Chilean poetry.The second part is based on the perspective of the theory of fields and the symbolic power as seen by Pierre Bourdieu in order to analyze the historical speech about national identity, and its representation of the exercise of violence in the fields of political and litterary production.Considered in a perspective which is less limited to their immediate socio-historical context of production, the relations maintained by language, violence and power, appear at the heart of this research. / Una época tan violenta e históricamente cercana como la de la dictadura de La Junta Militar (11 de septiembre de 1973 / 1990), problematiza, entre otras, la autonomía del sistema simbólico de los textos literarios producidos dentro de ese contexto. A partir de lo anterior, nuestro estudio se interesa en la identificación de la memoria en el lenguaje poético desde la figuración de la violencia, principalmente aquel de seis poetas que abarca un periodo de cuarenta años (1950-1980). El interés del análisis versa sobre la capacidad del lenguaje poético para trascender la especificidad de un contexto tan importante y significativo, que sin embargo no es el único hito de violencia de Estado en la historia de Chile. La relación entre lenguaje poético y violencia se vuelve así central para la presente investigación.El estudio de textos de Nicanor Parra, Enrique Lihn y Jorge Teillier, como antecedentes poéticos mayores para la poesía de Gonzalo Millán, Tomás Harris y Rodrigo Lira, se presenta bajo una doble perspectiva : lingüística y socio-literaria. La primera parte del análisis implica un concepto de lenguaje poético acorde a la teoría del « sujeto en proceso » de Julia Kristeva. Esta perspectiva ambiciona verificar si las figuras de la violencia constituyen un discurso de memoria y de identidad en la poesía chilena. La segunda parte, se basa en la « teoría de campos » y del « poder simbólico » de Pierre Bourdieu, para analizar el impacto del discurso histórico de identidad nacional y la representación del ejercicio de la violencia en los campos de producción política y literaria.

Page generated in 0.0691 seconds