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Un peu d'apocalypse dans la voix ; suivi de, À la recherche d'une présence

Lafleur, Jonathan 04 1900 (has links) (PDF)
La première partie de ce mémoire consiste en quatre suites de poèmes en prose, de longueurs variées. Ce recueil, dans lequel prédomine une thématique guerrière, met en scène la progression d'un sujet (« je »), de sa déroute à son affranchissement. La première suite le montre en lutte contre un monde qui s'écroule autour de lui après une rupture amoureuse. Dans la deuxième, écrite durant le conflit étudiant du printemps 2012, le sujet est assiégé, en proie à l'« inespoir ». La troisième, qui constitue le cœur du recueil, fait état d'un rapport problématique entretenu depuis toujours avec la date de sa naissance (jour de l'Armistice), qui amène le sujet à se confronter à ses ancêtres. La dernière suite marque un ressaisissement, le sujet entrant dans une relation consentie et assumée avec le territoire américain et son identité. La seconde partie de ce mémoire est un essai qui pose la question du rapport entre poème et poésie à partir de l'expérience poétique. Le poème, qui transforme le réel, en fait une représentation que l'acte de lecture actualise comme expérience. Appelé par l'horizon de la poésie, le poète aménage un espace entre les mots afin de pouvoir évoquer ce que ceux-ci peinent à exprimer. En s'appuyant sur ce que Michel Collot, après Maurice Merleau-Ponty, définit comme la structure d'horizon, le rapport du poème à la poésie y est abordé à travers les notions de réel, d'indicible, d'inspiration, de langage, et de circonstance. Cet essai expose comment, grâce à une physique de la parole qui permet de recharger de sensorialité le langage, le poème arrive à ouvrir un espace où l'on ressent la poésie non comme un effet de langage, mais comme une véritable présence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : poème/poésie, expérience, horizon, réel, indicible, entre
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Étreinte de bleu ; suivi de Le mouvement du mot

Ouellet, Anie January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise en création littéraire est composé de deux parties: un recueil de poésie en prose ponctué de poèmes en vers, Étreinte de bleu, et un dossier d'accompagnement, Le mouvement du mot. Le recueil poétique forme un récit « troué », celui d'un séjour à l'étranger d'une jeune femme, qui laisse derrière elle son amoureux. Confrontée à l'absence de l'homme qu'elle aime et à la solitude, l'énonciatrice tente de cerner son propre désir en regard des attentes de sa lignée maternelle, figurée par une femme imaginée, fantomatique, qui lui impose de partir. Le texte comporte trois parties, correspondant à trois moments du voyage: le départ, le séjour à l'étranger et le retour. Bien qu'écrit en prose, parfois déchiré par de brefs poèmes en vers, Étreinte de bleu s'accorde à la vision qu'on a de la poésie lyrique contemporaine au Québec. Il laisse entendre une voix qui tente de faire corps avec le monde tout en restant près de sa propre subjectivité. Présenté sous forme de fragments, le dossier d'accompagnement entreprend une réflexion sur ma pratique poétique, traversée par une posture mélancolique. Plusieurs théoriciens et créateurs, dont Julia Kristeva, Anne Juranville et Monique Deland, se sont penchés sur le soleil noir de la mélancolie. Ils ont fait état d'une tension dans la pratique du poète, qui est à la fois incité à écrire et freiné dans son élan. Cette tension se retrouve non seulement dans le processus d'écriture, mais aussi dans le texte. Mais la posture mélancolique incite aussi à interroger la poésie actuelle, poésie qu'on qualifie d'intime et qui met en scène un sujet lyrique. Pousse-t-elle au repli sur soi ou est-elle ouverture à l'autre? Se pose alors la question de l'engagement du poète, corollaire du lyrisme, ce chant porteur de désir et d'espoir, selon Martine Broda. Enfin, cet essai interroge mon approche de la création, dont plusieurs aspects rappellent la posture du poète romantique, tout en posant la question suivante: ma posture est-elle tributaire d'une structure psychique personnelle ou d'influences littéraires? Est-il possible de changer de posture? ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Création, Mélancolie, Poésie, Poésie en prose, Corps, Lyrisme.
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Under the oak tree : the mythical intentionality in Le Corbusier's Le poeme de l'angle droit / Poème de l'angle droit

Splawn, James M. (James Michael) January 1990 (has links)
This paper is an investigation of Le Corbusier's Le Poeme De L'Angle Droit (The Poem to the Right Angle). The validity of this work as it applies to architecture, is that through the creation of a mythical order which was grounded in Le Corbusier's perceptions of the modern condition, an understanding of mans' place in the modern world may be found. Through this making of order, Le Corbusier was able to create a geometric 'language' in both the physical and meta-physical sense, i.e. the making of form was based on his 'found' measure of the world. This language of a present day order was developed in his writing and painting and, ultimately, provided the fundamental principles for the creation his work built.
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Under the oak tree : the mythical intentionality in Le Corbusier's Le poeme de l'angle droit

Splawn, James M. (James Michael) January 1990 (has links)
No description available.
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L’indétermination générique dans la prose poétique du symbolisme et du modernisme (domaines francophone et hispanophone, 1885-1914) / Generic indetermination of poetic prose in symbolist and modernist literature (French and Hispanic fields, 1885-1914)

Yaouanq Tamby, Emilie 20 January 2011 (has links)
Cette thèse étudie les ressorts de l’indétermination générique dans les proses poétiques du symbolisme et du modernisme hispanophone, de 1885 à 1914. L’indéfinition et l’hybridité génériques se manifestent d’abord dans les représentations des formes et des genres, transparaissant dans les discours des écrivains et des critiques. La redéfinition du poétique entraîne la perception d’un continuum entre les formes et entre les genres. La chanson poétique et narrative symboliste et les recueils hétéroclites, associant différentes formes et différents genres illustrent ces phénomènes. Dans ce contexte, le genre du poème en prose tend à se confondre avec un genre limitrophe comme le conte. Cette indéfinition générique s’observe dans les textes, à travers différentes voies de poétisation du récit : la discontinuité, le statisme et la répétition, qui permettent d’explorer d’autres modes de représentation du temps, et de jouer sur l’ambiguïté référentielle. / This thesis seeks to examine the mechanisms of generic indetermination in the poetic prose of francophone symbolists and hispanic modernists from 1885 to 1914. Generic indetermination and hybridity tend to appear at first in representations of forms and genres, and in the discourse of writers and critics. The new definition of the poetic category leads to the perception of a continuum between different forms and genres. The narrative poetic symbolist song and the heterogeneous collections mixing different types are an example of this tendency. In this case, the genre of prose poem tends to merge with contiguous genres such as the tale. The absence of generic definition may be observed in discontinuity, immobility and repetition which allow the exploration of other modes of time representation and the play on referential ambiguity.
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Un album de temps ; suivi de Se souvenir des visages

Verret, Aimée January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire témoigne de la constitution d'un sujet -une narratrice -qui se frotte à l'écriture, qui s'impose la solitude afin de faire taire les voix qui l'entourent pour mieux arriver à entendre et à maîtriser la sienne. Il est composé d'un recueil de poèmes et d'un essai réflexif. Le recueil Un album de temps présente soixante poèmes en prose, disposés sur chaque page en petits blocs compacts sans alinéa. Il retrace en quatre séquences -le terme est pris ici au sens cinématographique -le parcours de la narratrice vers une libération à l'endroit de son passé et de ses craintes. Le recueil s'élabore ainsi selon une progression focale, une mise au foyer qui tend à rendre l'écriture de plus en plus limpide et à construire des réseaux de plus en plus forts entre les différentes séquences. L'ensemble développe de cette façon, par reprises et par superpositions, un portrait plus précis de la narratrice, jusqu'à ce qu'elle parvienne à reconnaître son identité et à faire corps avec elle. Dans l'essai réflexif, intitulé Se souvenir des visages, une narratrice prend également la parole, mais s'affirme cette fois comme auteure du texte et du recueil qui le précède. Également divisé en quatre sections, l'essai traite des différents éléments qui ont soutenu et orienté la démarche créatrice et critique de ce mémoire: la solitude, la photographie, l'écriture et la danse. À travers ces thèmes, qui paraissent de prime abord éloignés et décousus, la réflexion tisse des liens formels entre quatre questions fondamentales: qui suis-je une fois que tous sont mis à l'écart? Quel rapport y a-t-il entre moi maintenant et moi telle que représentée sur un cliché photographique? Comment tirer profit du temps qui passe et en représenter le cours par la poésie? Enfin, qu'est-ce qui m'autorise à prendre la parole, comment mes mots pourraient-ils avoir quelque résonance auprès d'autrui? Dans le contexte de cette réflexion, le cours du temps est envisagé non pas comme une linéarité passé-présent-futur, mais comme une coprésence de couches temporelles qui se chevauchent et habitent le sujet, le définissent. Le travail de la prose, tant du point de vue essayistique que poétique, met en lumière un rythme particulier, qui semble ininterrompu à cause de l'enchaînement continu des phrases; mais en réalité, cette apparente continuité donne lieu à de multiples modulations qui permettent de distendre ou de resserrer l'espace entre chacun des énoncés. Le temps de la lecture devient donc malléable, façonné à l'image de cette chronologie brisée que chacun porte en soi. Pour contrer le temps, la mort et l'oubli, pour éviter l'enfermement dans une solitude nécessaire mais périlleuse, s'offrent les recours de l'empathie et de la confiance, profondément liées à la discipline du poème. L'empathie est ce qui permet de s'ouvrir aux points de vue et aux émotions d'autrui sans toutefois se perdre de vue, en ressentant ces émotions par soi-même, en les laissant entrer sous sa propre peau, dans son propre corps. Enfin, la confiance se révèle au terme de cette réflexion une nécessité: la condition même de la rigueur et de l'authenticité de l'écriture. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Poème en prose, Visage, Identité, Photographie, Temps, Solitude, Confiance.
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Pavillon des froissements ; suivi de, Marcher sur des cendres

Lalumière, Christine 08 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire-création est constitué de deux parties. La première est une suite poétique intitulée Pavillon des froissements et composée de courts poèmes en prose. Ces poèmes narratifs retracent le parcours d'une jeune femme qui traverse trois deuils. Il s'agit tout d'abord de la mort du père, puis d'une rupture amoureuse et finalement de la folie. Au fil de ces épreuves, le personnage est peu à peu amené à se recomposer. Adoptant une tonalité intimiste, les poèmes sont le reflet de l'intériorité du personnage, qui se voit confronté à des évènements lui rappelant sa fragilité, mais qui lui permettront finalement de s'émanciper totalement. Le dossier d'accompagnement du mémoire, Marcher sur des cendres, est un essai présenté sous la forme d'un journal, et qui propose une réflexion sur différents aspects de l'écriture en lien avec le recueil de poèmes, dont la place de l'Autre dans le processus créateur, le choix du matériau et l'écriture de la mémoire. La première partie, Visage manquant. Corps sensibles, s'intéresse aux concepts d' « Autre » et de « visage » chez Levinas. La deuxième partie, Travailler à partir de cendres encore chaudes, s'élabore à partir d'un questionnement sur la mémoire en tant que matière créatrice. En fin, la troisième partie, Du ventre à la main, propose une réflexion sur l'écriture en tant que médium. Ce sont donc autant les sources d'inspiration ou les déclencheurs de l'écriture que les formes qu'elle peut prendre qui sont convoqués ici. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Deuil, séparation, altérité, mémoire, poésie, journal.
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Il était encore possible de ne pas parler ; suivi de, Respirations

Galand, Sandrine 12 1900 (has links) (PDF)
Dans ce mémoire, je me suis tournée vers la création d'un recueil de poèmes à partir de la question suivante : comment le poème, et plus particulièrement le poème en prose, peut-il procéder à l'élaboration d'un langage dont le rythme, la voix, la présence et même le déploiement sur la page rappellent le travail de mémoire et d'archivage convoqué par les albums de photographies de famille? Il s'agissait de construire des poèmes qui permettaient à la fois une conservation et une lecture nouvelle de ma mémoire familiale. Sur la frontière entre remémoration et création, entre reconnaissance et ressemblance - les moments contemplés n'ayant pas été vécus - j'ai interprété l'écriture du poème comme une forme de rapport à l'espace, comme une image. À l'instar des albums de famille qui, hormis certains clichés figurant dans une ligne temporelle qui n'est pas la leur, se construisent en suivant une chronologie cohérente, le recueil Il était encore possible de ne pas parler offre une progression chronologique régulière, néanmoins rompue par certains poèmes qui, comme des photos décalées ou déplacées, en brisent l'unité. Ces textes singuliers font office de ruptures et de nœuds. Avec eux s'ouvre une analogie de temps, d'espace et de sens entre le poème-image et la photo égarée, sans datation, fichée entre deux pages de l'album. Ils rappellent que, malgré leur désir profond de présenter une histoire homogène, les albums de famille nous dévoilent les fragilités d'un récit dont le sens, prétendument fixé, commence à se modifier. Dès lors, la prémisse selon laquelle la famille se trouve au cœur de l'atelier du poète a soutenu l'élaboration du recueil et de l'essai. Cette famille ne s'est toutefois pas réduite à son sens biologique, voire sociologique. Elle a plutôt été envisagée comme une famille-langage, c'est-à-dire une communauté dont tous les individus partagent une même pensée poétique, un même rapport au souffle. Une telle famille définit notre rapport poétique et politique au monde. Elle habite notre regard, notre voix, notre pensée. Une telle famille ne se sert pas du langage, elle se fait langage. Entre sujet (le poète) et objet (les photographies familiales), entre objet et sujet, il n'y a donc pas une relation simple, unilatérale, mais un principe d'échange à partir duquel s'érige une mémoire à la fois personnelle et historique, collective. Ainsi, tout au long du projet, la photographie a été comprise comme une archive, c'est-à-dire un objet incomplet s'ouvrant vers l'avenir et oscillant entre le mémoriel et l'interprétatif. Dès lors, ma posture d'écriture ne saura être confondue avec celle de l'historien. D'un état à l'autre du processus de construction des poèmes et de figuration du lien familial, j'ai dû constamment me rappeler que l'archive n'est que ce que nous voulons bien comprendre d'un hier que d'autres auraient compris tout autrement. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Album, Archive, Famille, Généalogie, Image, Mémoire, Photographie, Poème en prose, Poésie.
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Georgy L'vovich Catoire: His Life and Music for Piano, with Special Emphasis on Poem: Second Sonata for Violin and Piano, Op. 20

Bolshakova, Natalia 05 1900 (has links)
A Russian composer of French descent, Georgy L'vovich Catoire (also often spelled "Katuar") (1861-1926) is one of the most neglected composers of the turn of the nineteenth and twentieth centuries. Catoire composed a number of piano pieces, most of which are chamber and solo works. These pieces are rarely studied or performed in the West. This study makes an attempt to fill this void. It thoroughly investigates Catoire's life, as well as looks into his genealogy, since his family was influential in commercial, political and cultural life of Russia for more than a hundred years. It also discusses his works for piano, with particular emphasis on Poem, Second Sonata for Violin and Piano, Op. 20. This sonata exemplifies the composer's mature style, characterized by the refinement of the harmonic and rhythmical ideas, while demonstrating melodious ingenuity and clear structural form. To date, there is no known study on this subject of such scope both in Russian and in English languages.
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A instalação Poème Électronique: espaço, timbre e imagem

Centola, Nicolau André Campanér 28 February 2011 (has links)
Made available in DSpace on 2016-03-15T19:42:02Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Nicolau Andre Campaner Centola.pdf: 3056649 bytes, checksum: 2b2e10d2ea7c0b940358d3f34b42364a (MD5) Previous issue date: 2011-02-28 / Fundo Mackenzie de Pesquisa / The purpose of this study is to analyze the installation Poème Électronique, designed by Edgard Varese, Iannis Xenakis and Le Corbusier for the Philips World's Fair in Brussels in 1958, from three dimensions: architecture, sound and image. The project was seen by more than two million people and has enabled new ways of multimediatic use of the concepts of composition, performance and reception, working dimensions of sound, image, light and architecture in a project that brought together art and technology / A proposta deste trabalho é analisar a instalação Poème Électronique, concebida por Edgard Varèse, Iannis Xenakis e Le Corbusier para a Philips na Feira Mundial de Bruxelas em 1958, a partir de três dimensões: arquitetura, som e imagem. O projeto foi visto por mais de dois milhões de pessoas e permitiu novas maneiras de utilizar de forma multimidiática os conceitos de composição, performance e recepção, trabalhando as dimensões de som, imagem, luz e arquitetura em um projeto que uniu arte e tecnologia

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