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Den svenska grupprättegångslagstiftningen — Ett tidigt och outvecklat exemplar? : Analys av den svenska lagstiftningen i ljuset av den europeiska utvecklingen / The Swedish Class Action Regime — An Early and Undeveloped Example? : Analysis of the Swedish Legislation in the Light of the European DevelopmentWitt-Strömer, Henrik January 2020 (has links)
The Swedish procedural legislation on class actions before general courts, GrL, was when coming into force in January 2003 the first generally applicable class action regime of continental Europe. However, it seems, it was never used in any notable extent. In this thesis I have analysed GrL, it’s potential flaws, how it could be affected by the ongoing EU legislative procedure of establishing a directive regarding representative actions for the protection of the collective interests of consumers, and what the Swedish legislator could potentially learn from the Dutch model being primarily based on a regime of mass settlements. The ongoing EU legislative procedure will by all accounts result in a directive requiring Swedish class action regime to be adjusted with a few minor modifications, primarily the introduction of a certification procedure of entities to allow these to initiate representative actions in disputes concerning the protection of consumers’ collective interests. Apart from adjustments of Swedish class action legislation in order to harmonise it with the directive, I have argued for several additional adjustments of proceedings under GrL in order to make it in an increased degree correspond with the reasons by which the legislation was motivated, and in order to in general function in a more effective manner. For that purpose, I have argued that the opt in mechanism should be replaced with an opt out mechanism, or that opt out should at least be introduced as a supplementing option to an opt in main rule. Independently of the issue of whether an opt in or an opt out mechanism should be used to constitute the represented group, I have furthermore argued that the mechanism used should allow group members to leave the group during the proceedings. Finally, I have argued that the courts should be encouraged to use a for the Swedish legal system untypically active direction of proceedings in class actions specifically.
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Analyse des récentes décisions relatives à l'action collective à la lumière des objectifs des recours de la Loi sur les valeurs mobilières : analyse et critiqueRioux, William Gabriel 08 1900 (has links)
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L'action de groupe : étude franco-américaine des actions collectives en défense des intérêts individuels d'autrui / Class actions in French and American lawAllard, Baptiste 25 November 2016 (has links)
Le débat maintenant ancien que mènent les juristes français autour de l'action de groupe est marqué par une contradiction importante : alors que les class actions américaines, systématiquement évoquées, semblent exercer une influence déterminante sur leurs réflexions, elles restent largement méconnues. Suscitant l'espoir autant que la crainte, l'exemple des class actions peut expliquer à la fois l'arrivée de l'action de groupe dans l'ordre juridique français, les hésitations législatives et doctrinales qui l'ont précédée et les défauts qui affectent tant les textes entrés en vigueur que ceux encore en projet. D'un côté, l'intérêt porté en France aux class actions est l'expression d"une insatisfaction à l'égard du droit français, particulièrement du droit de la responsabilité civile. Les class actions sont alors envisagées comme une solution possible à un problème donné, à savoir l'absence en droit français d'un outil efficace pour appréhender les situations dans lesquelles un grand nombre de personnes subit des dommages individuels rattachables à un fait unique (ou une série de faits identiques). De l'autre, le mécanisme sur lequel les class actions s'appuient suscite fréquemment la perplexité, voire l'hostilité. Reposant sur une présomption de consentement de la part des membres du groupe représentés (« opt-out »), elles seraient contraires aux règles traditionnelles de la procédure civile française, réputée éminemment individualiste. Le rôle central confié aux avocats américains encouragerait en outre les actions illégitimes sans bénéfice réel pour les personnes représentées. Dans cette perspective, un examen approfondi des conditions historiques dans lesquelles les class actions sont apparues aux États-Unis et des règles qui les encadrent, confronté à l'étude de l'ensemble des actions pour autrui existant en droit français, est le moyen de vérifier la légitimité des espoirs et des craintes qui structurent le débat français. Ses enseignements, nombreux, permettent de proposer une vue d'ensemble des principes cardinaux d'organisation des actions de groupe dans l'optique de la construction d'un régime efficace, quelle que soit la tradition juridique concernée. La pertinence de cette approche reste entière au regard des limites sérieuses qui caractérisent l'action de groupe introduite en France en 2014. En premier lieu, la comparaison des droits français et américain révèle la très grande diversité des schémas procéduraux envisageables, en fonction des demandes formulées dans le cadre de ces actions et des buts assignés à la procédure envisagée, qui dérivent eux-mêmes souvent des fonctions réparatrices, compensatoires ou punitives attribuées au droit de la responsabilité civile. En second lieu, il relativise le caractère exceptionnel de la présomption de consentement tout en confirmant que l'efficacité des actions de groupe dépend pour une large part des conditions dans lesquelles est défini le groupe de personnes qui subit les effets de la décision de fond rendue à l'issue de la procédure. En troisième lieu, il fait apparaître l'importance de la dimension économique de ces actions. Dans la mesure où elles permettent la défense des intérêts individuels d'autrui, elles exigent une prise en compte de la réalité des incitations et des moyens propres à chaque acteur de la procédure, notamment celui qui l'initie. / The French debate on collective actions is characterised by a central contradiction: while US class actions almost systematically serve as the starting point of discussions among French lawyers, they remain widely unknown to them. Being a reason for hope, admiration as well as fear, the American model of class actions can explain why the introduction of collective actions in French law was decided, why it was delayed for so long, and the many flaws of the resulting legislation.
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