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Défis conceptuels dans l’implantation de régulations pour contrôler les activités de contractuels privés se retrouvant en zone de guerreChevalier, Valérie 01 October 2012 (has links)
La présente thèse s’intéresse aux problèmes conceptuels entourant l’utilisation accrue de compagnies militaires/de sécurité privées par les gouvernements. Plus précisément nous nous sommes interrogés quant à la présence des diverses permutations du libéralisme au sein de quatre textes législatifs émis entre 1870 et aujourd’hui, par les gouvernements américain et britannique, l’Organisation des Nations Unies ainsi que l’Organisation de l’Unité Africaine. En plus d’avoir recours aux principes que sont la gouvernance, la souveraineté ainsi que le libéralisme, nous avons utilisé l’analyse par questionnement analytique afin de répondre à nos questions d’analyse. Cette analyse nous a, entre autres, permis de constater que les principes identifiés précédemment sont perçus différemment selon que nous avons affaire à un texte législatif ou à une convention. Bref, nous avons été en mesure de confirmer notre hypothèse de départ, à savoir que les textes étudiés refléteraient les diverses formes de libéralisme, mais également les tensions au sein de ce dernier.
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Défis conceptuels dans l’implantation de régulations pour contrôler les activités de contractuels privés se retrouvant en zone de guerreChevalier, Valérie 01 October 2012 (has links)
La présente thèse s’intéresse aux problèmes conceptuels entourant l’utilisation accrue de compagnies militaires/de sécurité privées par les gouvernements. Plus précisément nous nous sommes interrogés quant à la présence des diverses permutations du libéralisme au sein de quatre textes législatifs émis entre 1870 et aujourd’hui, par les gouvernements américain et britannique, l’Organisation des Nations Unies ainsi que l’Organisation de l’Unité Africaine. En plus d’avoir recours aux principes que sont la gouvernance, la souveraineté ainsi que le libéralisme, nous avons utilisé l’analyse par questionnement analytique afin de répondre à nos questions d’analyse. Cette analyse nous a, entre autres, permis de constater que les principes identifiés précédemment sont perçus différemment selon que nous avons affaire à un texte législatif ou à une convention. Bref, nous avons été en mesure de confirmer notre hypothèse de départ, à savoir que les textes étudiés refléteraient les diverses formes de libéralisme, mais également les tensions au sein de ce dernier.
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Sécutrité privée et libertés / Private security and libertiesAït Youssef, Driss 08 December 2015 (has links)
La sécurité privée a connu un développement économique relativement important dans les années 70. Cette montée en puissance incontrôlée a généré des faits graves impliquant des agents de sécurité privée. C'est à la suite de ces évènements que le législateur a été contraint de réguler une première fois cette activité par la loi du 12 juillet 1983. Cette loi reste 30 ans plus tard, la réglementation de référence pour le secteur. Aujourd’hui, les menaces pesant sur la société ont évolué pour devenir plus violentes. Par ailleurs, la puissance publique opère, faute de moyens financiers, un recentrage vers des missions dites plus prioritaires. Cela se traduit par le transfert de nouvelles responsabilités au secteur privé de la sécurité. Dès lors, la question de la préservation des libertés apparaît comme un sujet essentiel. En effet, certains agents disposent de pouvoirs potentiellement liberticides (des palpations de sécurité ou l’inspection et la fouille de bagages) à l’image des agents de sûreté aéroportuaire. Pour encadrer le développement de ce secteur, le législateur a créé une instance chargée du contrôler ces activités. Toutefois, l’encadrement de cette profession demeure insuffisant au regard des nouveaux transferts envisagés par la puissance publique. La professionnalisation par la formation des acteurs constitue, par conséquent, une garantie importante des libertés. C’est d’ailleurs pour cette raison que le législateur a décidé récemment d’inclure cette activité dans le livre VI du code de la sécurité intérieure. La sécurité privée participe, aujourd’hui, à des missions de sécurité intérieure aux côtés des forces de sécurité publique et ce dans le respect des libertés. / The economic growth of the private security sector has been relatively important during the 70s. This rapid but uncontrolled development has however generated important problems implicating private security personnel. In order to respond to these problems, the legislator was forced to regulate the sector through the law of July 12th 1983. Thirty years later, the 1983 law remains the sector’s rules of reference. Today, threats on modern societies have evolved and become more violent. Furthermore, due to a lack of economic resources, public authorities have reduced the range of security mission they’ll undertake to focus solely on high priority issues. As a consequence, new responsibilities have been transferred to private security actors. In this context, the safeguard of individual liberties appears has an important topic. For example, private security agents operating at airports have been granted rights (body check and luggage searches) that interfere with people’s freedom. To regulate the sector’s development, the legislator has created a structure to control these activities. Despite this effort, regulations remains insufficient especially has more missions are transferred by the State to private security actors. As a result, reinforcing training programs for these private actors constitute an important step towards maintaining people’s rights. It is the reason behind the Legislator decision to include training programs in book VI of domestic security laws. Today, private security actors participate actively in domestic security missions alongside public security forces while respecting individual liberties.
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Défis conceptuels dans l’implantation de régulations pour contrôler les activités de contractuels privés se retrouvant en zone de guerreChevalier, Valérie January 2012 (has links)
La présente thèse s’intéresse aux problèmes conceptuels entourant l’utilisation accrue de compagnies militaires/de sécurité privées par les gouvernements. Plus précisément nous nous sommes interrogés quant à la présence des diverses permutations du libéralisme au sein de quatre textes législatifs émis entre 1870 et aujourd’hui, par les gouvernements américain et britannique, l’Organisation des Nations Unies ainsi que l’Organisation de l’Unité Africaine. En plus d’avoir recours aux principes que sont la gouvernance, la souveraineté ainsi que le libéralisme, nous avons utilisé l’analyse par questionnement analytique afin de répondre à nos questions d’analyse. Cette analyse nous a, entre autres, permis de constater que les principes identifiés précédemment sont perçus différemment selon que nous avons affaire à un texte législatif ou à une convention. Bref, nous avons été en mesure de confirmer notre hypothèse de départ, à savoir que les textes étudiés refléteraient les diverses formes de libéralisme, mais également les tensions au sein de ce dernier.
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Un projet de loi caché dans un autre ? C-26, l’expansion des pouvoirs des agents de sécurité privés au nom du droit du citoyen à l’autodéfenseWalter, Stéphane January 2017 (has links)
La présente thèse de maîtrise vise à analyser les débats parlementaires sur la Loi sur l’arrestation par des citoyens et la légitime défense (loi C-26), aussi surnommée le Lucky Moose Bill. L’objectif était de voir comment s’est posée la question du respect des droits et libertés des citoyens au regard de l’élargissement de la capacité d’arrestation et de défense des biens et de la personne des citoyens, particulièrement du fait que cela touche aux pouvoirs des agents privés de sécurité, lesquels ont les mêmes pouvoirs que les citoyens sans être soumis à la Charte canadienne des droits et libertés. Une analyse de contenu qualitative des débats parlementaires nous a permis de constater que malgré quelques inquiétudes, le focusing event déclencheur du projet de loi, soit l’affaire Lucky Moose, a permis de balayer les craintes soulevées quant à l’impact de ce projet de loi sur les pouvoirs de la sécurité privée.
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L'audit de sécurité et la protection des organisationsMignault, Sylvain January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Perceptions et pratiques des agents de sécurité aéroportuaireBéliveau-Verville, Julie January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Le conflit, du face-à-face au corps à corps : une immersion comme agent de sécurité en établissements de nuit / The conflict, from face to face to hand to hand : an immersion as a nightclub security officerBresson, Jonathan 22 May 2018 (has links)
Les violences corporelles émaillent le quotidien des agents de sécurité en établissements de nuit. Leurs rôles de "videur" et de "portier" visent à prévenir, traquer et gérer les conflits ; ils se structurent autour de la perspective de la brutalité physique et du risque de survenues de blessures graves. Les violences en établissements de nuit constituent une problématique mondiale invariablement criminologique, quasi absente de la recherche française. Le terrain de cette recherche originale est l’observation et l’analyse du conflit, du face-à-face au corps à corps, hors du lynchage et des violences intimes. L’immersion, par ethnographie énactive, est adaptée à l’étude de situations légalement risquées et propices à la mythification. De manière complémentaire, la sociologie d’E. Goffman fournit un point de départ intéressant pour analyser le maintien, la rupture, et le rétablissement des cadres, oscillant entre la situation et les éléments situés. L’étude démontre que le conflit face-à-face suit un processus échelonné, du heurt à la rixe, en passant par la bagarre, répondant du rituel d’interaction. Cet élément de désordre, dans la confusion parfois apparente, profondément enraciné dans la culture de la violence, qu’il structure en retour, reste ordonné en lui-même. Il est un élément organisateur de l’ordre social. L’appréhender restitue la notion de brutalité physique et questionne le seuil de définition de la violence. Cela nécessite d’interroger le sentiment d’agression et le passage à l’action, dans une dynamique situationniste et processuelle, où les déplacements, gestes et mouvements en eux-mêmes, sont des éléments clefs / Nightclub security officer’s daily job is punctuated by physical violence. Their roles as bouncer and doorman aim to prevent, track down and manage conflicts. Their professional activity is structured around the perspective of physical brutality and the risk of the occurrence of tragic events. The field work of this original research consists of the observation and analyze of conflicts: the face to face and hand to hand, excluding intimate violence and lynching. Violence in night spots constitue a worldwide criminological problem. However, it remains absent from French researches. Bodily immersion and observations by enactment ethnography are appropriate ways to study legally risky and mythologizing situations. E. Goffman’s sociology is an interesting starting point to analyze the conservation and the rupture of frames, swinging between the situation and the situated social performances. The study shows that the face to face conflict follows a graduated process: from clash to brawl, threw fight, being an interaction ritual. This disorder element, that sometimes seems confused, has its origins anchored in the violence culture which it structures in return. Conflict stays organized and is an organization element of the social order. Having an understanding of it brings back to the notion of physical brutality and questions the threshold of thedefinition of “violence”, the feeling of aggression and the “acting out” in a situationist and processual research dynamic in which moves, gestures and movement themselves become key elements.
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La production organisée de l'ordre. Contrôler des gares et des centres commerciaux à Lyon et à MilanFrancois, Bonnet 20 January 2006 (has links) (PDF)
Ce travail s'intéresse aux questions de sécurité et de contrôle social et pose le problème de la production de l'ordre dans des espaces urbains. Quels acteurs mènent quelles politiques de sécurité envers quels groupes sociaux et pourquoi ? La réponse s'appuie sur un examen de la littérature théorique et sur une enquête de terrain menée sur quatre sites : deux gares et deux centres commerciaux à Lyon et à Milan. Les méthodes utilisées sont l'observation directe, plus de 90 entretiens et l'analyse de documents. Le postulat initial est que le processus de production de l'ordre dépend à la fois des interactions locales (niveau micro), des variables organisationnelles (niveau méso), et enfin des contextes normatifs et des schémas cognitifs qui imprègnent les représentations et les pratiques des acteurs du contrôle organisé de la déviance (niveau macro). Le travail est donc organisé autour de trois problématiques. La première partie analyse l'effet des variables institutionnelles et organisationnelles sur les interactions locales (niveau méso). Elle identifie les diverses catégories d'acteurs impliqués dans la production de l'ordre et montre que les modalités pratiques de leurs interventions et leur conception même de la sécurité au sein de ces espaces mi-privés mi-publics sont structurées par des enjeux et des intérêts différenciés (préservation de l'ordre public pour les policiers, enjeux commerciaux pour les employeurs ou les commanditaires non-étatiques des agents de sécurité privés). En outre, la comparaison entre les quatre terrains met en évidence des formes très variables de coopérations et de tensions entre les différents types d'acteurs institutionnels, des conflits de légitimité, des compétitions au quotidien pour le contrôle des espaces, en fonction de spécificités qui tiennent aussi aux contextes nationaux dans lesquels se sont constitués les divers groupes professionnels, leurs recrutements, leurs compétences respectives, leurs perceptions mutuelles, et parfois la redéfinition récente de leurs missions (ainsi dans le cas de la Direction de la Surveillance Générale à la SNCF). La deuxième partie se centre sur le niveau micro des relations de pouvoir qui s'établissent au fil des interactions quotidiennes entre les acteurs du contrôle social organisé et les populations qui forment la cible privilégiée de leurs interventions : les adolescents issus de l'immigration en France, les Tziganes et les immigrés d'Afrique du Nord et d'Europe de l'Est en Italie, et les sans-abri dans les deux pays. L'enquête de terrain fait apparaître de nouveaux types d'acteurs : associations caritatives, mission Solidarité, médiateurs. La première partie les avait laissés en arrière-plan, car leur contribution à la production de l'ordre, sans être pour autant négligeable, est considérée par ces acteurs eux-mêmes comme un objectif secondaire, voire parfois tout à fait étranger à leurs motivations. Les analyses montrent comment des associations peuvent instrumentaliser les préoccupations sécuritaires des acteurs institutionnels ou de leurs commanditaires pour poursuivre les missions caritatives qui leurs sont propres. Et elles montrent, surtout, comment la plupart des populations ciblées par la police, les agents de sécurité et les associations parviennent à développer des tactiques de résistance, voire à " instaurer un rapport de force " certes dissymétrique, mais qui contraint néanmoins les acteurs de la production de l'ordre à ne pas mettre en œuvre une politique de sécurité uniquement répressive. La troisième et dernière partie se propose d'articuler la dimension macrosociale (le contexte normatif) de la production de l'ordre avec les pratiques concrètes des acteurs pour rendre compte de la focalisation de ces derniers sur les populations immigrées (en Italie) ou issues de l'immigration (en France). La sur-incrimination des immigrés ou de leur descendants ne peut être expliquée de façon satisfaisante ni par leur sur-criminalité objective (qui n'est pas empiriquement établie), ni par une politique de régulation du marché du travail (en particulier dans le cas italien où le taux de chômage des étrangers est faible), ni par le racisme des acteurs (notion difficile à manier, et qui n'est pas validée de façon systématique par les observations de terrain). La thèse défendue combine deux modèles explicatifs qui marquent chacun à sa façon les limites des perspectives 'analytiques' en termes de choix rationnel qui inspiraient les deux parties précédentes de l'ouvrage. En premier lieu, la focalisation sur les populations étrangères ou d'origine étrangère est référée à des catégories de perception et de classement dont la mise en œuvre au fil des interactions a pour effet d'actualiser l'altérité (lecture cognitiviste). En second lieu, cette stigmatisation routinière de l'altérité et de la délinquance potentielle de l'Autre permet, à l'insu même des acteurs, de rassurer le groupe majoritaire quant à son identité propre et de raffermir sa solidarité (explication fonctionnaliste).
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L'audit de sécurité et la protection des organisationsMignault, Sylvain January 2009 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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