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The Effectiveness of Payments for Environmental Services in Mexican Community Forests / L'efficacité des paiements pour services environnementaux dans les forêts mexicaines communautaires

Le Velly, Gwenolé 15 June 2015 (has links)
Durant ces dernières années. l'engouement suscité par les Paiements pour Services Environnementaux (PSE) n'a cessé de s'accroître et de nombreux programmes ont été mis en place à travers le monde. Néanmoins, malgré un nombre croissant d'études, l'efficacité de ces instruments pour la réduction de la déforestation reste contestée. Cette thèse contribue à cette littérature en se concentrant plus spécifiquement sur l'impact d'un programme fédéral mexicain de PSE : le PSA-H. Après une introduction générale retraçant l'émergence des PSE et les débats académiques autour de cet instrument, le second chapitre présente les spécificités du système foncier mexicain, les politiques environnementales et plus spécifiquement le PSA-H ainsi que les données utilisées dans l'analyse empirique. La thèse s'intéresse ensuite dans un troisième chapitre aux méthodes d'analyse d'impact et à leur application dans le contexte des instruments de conservation de la forêt. Ce chapitre montre que les PSE sont des traitements spécifiques et que de nombreux ajustements sont nécessaires pour pouvoir appliquer des méthodes d'analyse d'impact dans ce contexte. Par la suite, la thèse propose trois analyses empiriques s'appuyant sur des données d'enquêtes primaires et secondaires. Dans le quatrième chapitre, nous proposons une nouvelle méthode permettant d'estimer l'additionnalité et les effets de fuite du PSA-H dans notre zone d'étude. Les résultats montrent que les effets de fuite peuvent diminuer l'efficacité des PSE. Dans le cinquième chapitre, la thèse étudie comment l'usage de la terre peut influencer l'allocation des paiements au sein des communautés bénéficiaires. Les résultats de l'analyse empirique suggèrent que, en dépit de la volonté des autorités mexicaines de concevoir le PSA-H comme un instrument de compensation, la distribution suit une logique de récompense. Les agents qui déforestent reçoivent moins de paiements, ce qui montre que la logique pollueur-payé à la base des PSE Coasiens n'est pas respectée. Le sixième chapitre étudie les interactions entre le PSA-H et la foresterie communautaire. Les entreprises de foresterie communautaire se sont largement développées au Mexique depuis les années 1980. Dans une optique de coordination des politiques économiques, il est crucial de savoir comment elles interagissent avec le PSA-H. Les résultats de l'analyse empirique montrent que le PSA-H peut aider ces entreprises à se stabiliser et se développer. Enfin, dans une conclusion générale, la thèse discute les implications des analyses empiriques pour la conception des PSE et les perspectives de recherche qui en découlent. / During recent years, Payments for Environmental Services (PES) have become a popular forest conservation instrument and numerous new schemes have emerged around the world, particularly in developing countries. Nevertheless, despite a growing body of academic literature on the topic, little remains known of the effectiveness of PES schemes in reducing deforestation. This dissertation contributes to the literature with a specific focus on the impact of a federal Mexican PES scheme : the PSA-H. We begin with a general introduction retracing the emergence of PES and the current academic debates surrounding the mechanism. Chapter 2 introduces the particularity of the land tenure system in Mexico, the country's environmental policies and the PSA-H scheme and presents the data used in our empirical analysis. Chapter 3 looks at impact evaluation methodologies and how they have been used in the context of forest conservation instruments. We show that PES schemes are very complex treatment and that evaluating their impact using classic impact evaluation techniques requires many adjustments. After discussing these challenges, we propose three empirical essays based on primary and secondary data. Chapter 4 presents a new methodology allowing us to estimate the additionality and leakages of the PSA-H in our study area. Our results provide evidence that leakages can undermine PES effectiveness. Chapter 5 studies how land use can influence the allocation of PES payments within the beneficiary community. Using original survey data, our results show that, despite the attempts of the Mexican authorities to design the PES scheme as compensation for avoiding deforestation, payments have been redistributed as a reward for existing conservation. The deforesting agents receive less remuneration than other recipients, which shows that the polluter-paid principle at the origin of the Coasean notion of PES has not been appropriated. Chapter 6 studies the interactions between the PSA-H and Mexico's Community forest enterprises (CFEs) which are run by the communities and implement sustainable extraction activities in community forests. In a search for a relevant policy mix, it seems crucial to know how they interact with the PSA-H. The results of our empirical analysis show that the PSA-H can help these enterprises to develop and stabilize over time. Finally, in the conclusion, we discuss the implications of the empirical essays for the design of PES schemes and future research.
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Les instruments économiques pour la réduction de la déforestation tropicale : l’exemple du mécanisme REDD (Réduction des Emissions liées à la Déforestation et la Dégradation des Forêts) / International economic instruments for the reduction of tropical deforestation : the example of REDD+ (Reducing Emissions from Deforestation and forest Degradation)

Leplay, Solenn 25 March 2011 (has links)
Réduire la déforestation dans les pays tropicaux est un des principaux défis pour la communauté internationale dans le cadre du processus de négociations de la Convention Cadre des Nations Unies sur le Changement Climatique (CCNUCC). En effet, la déforestation est la seconde source d'émissions de gaz à effets de serre, juste derrière les émissions industrielles. Depuis 2005, un nouvel instrument international pour réduire les émissions de carbone liées à la déforestation tropicale est en négociation à la CCNUCC. Ce mécanisme, appelé REDD+ (Réduction des Emissions liées à la Déforestation et Dégradation des forêts) repose sur un système de compensation financière des pays en développement pour leurs efforts en termes de déforestation évitée. Cependant, la mise en œuvre du mécanisme REDD+ à l'échelle nationale et internationale soulève de nombreux problèmes méthodologiques et rencontre de nombreux obstacles. Le but de la thèse est double. Dans une première partie, une description et une analyse du mécanisme REDD+ est réalisée. Dans une deuxième partie, de nouvelles perspectives concernant le design du mécanisme REDD+ et sur sa mise en œuvre sont offertes, en se basant sur trois essais rédigés en format article. Le premier essai propose un modèle de théorie des jeux reflétant le processus de négociation Nord-Sud du mécanisme REDD. Il étudie les conditions régissant le partage de fonds entre les pays en développement et leurs impacts sur l'efficacité du système d'incitations. Le deuxième essai utilise un modèle en économétrie de panel pour différencier des comportements nationaux de déforestation selon la dotation relative en forêts de chaque pays. Le troisième essai s'intéresse à la mise en œuvre du mécanisme REDD+, en comparant les résultats de deux programmes de paiement pour services environnementaux pour deux types de gouvernements. Le modèle développé dans cet essai est ensuite testé dans le contexte de la déforestation en Indonésie, grâce à une base de données fournie par l'ONG Conservation International. / Curbing deforestation in tropical countries is one of the main current challenges for international community in the United Nations Framework Convention on Climate Change. Indeed, deforestation is the second leading cause of greenhouse gas emissions just behind industrial emissions. Since 2005, a new instrument to slow down CO2 emissions from tropical deforestation is under negotiations at the UNFCCC. This mechanism, called REDD+ (for Reducing Emissions from Deforestation and forest Degradation) is supported by a simple principle: it consists to reward developing countries for their efforts to avoid deforestation. However, the national and international implementations of REDD+ raise lot of methodological questions and meet several hurdles. The aims of the thesis are twofold. First, it proposes a description and an analysis of the REDD+ mechanism. Second, it is composed by three essays, which raise some questions about REDD+ design and implementation, in order to offer new perspectives on this mechanism. The first essay develops a game-theoretic bargaining model, simulating the on-going negotiation process over the REDD+ mechanism. It shows that the conditions under which developing countries are left to bargain over the allocation of the global forest fund may lead to an ineffective system of incentives. The second essay used a panel data analysis to reveal contrasted deforestation behaviors of tropical countries according to their relative endowment in forest cover. The aim of the third essay offered an illustration of REDD+ implementation, comparing the outcomes in terms of avoided deforestation and utility of two payments for environmental services designs for two types of governments. The model developed in this article is applied in the Indonesian context of deforestation, thanks to a database supplied by the NGO Conservation International.
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Jungle policy en forêts privées : la traduction tica des paiements pour services environnementaux : gouvernement par les coalitions et pluralisme limité en démocratie costaricienne / Jungle policy in private forests : the tica translation of Payment for Environmental Services : government by coalitions and limited pluralism in Costa Rican democracy

Cathelin, Cécile 09 September 2015 (has links)
Forgés par les théoriciens de l’économie environnementale dans les années 1990, les Paiements pour Services Environnementaux (PSE) sont des instruments promus comme d’innovants mécanismes de marché permettant la conservation des ressources naturelles. Cette construction savante circulant dans les sphères académiques et politiques internationales coexiste dans la pratique avec une « variété de PSE ». Présenté comme un idéaltype en matière de PSE, le Programme de Paiement pour Services Environnementaux (PPSE) du Costa Rica, introduit en 1996, est pourtant aux antipodes du modèle théorique de l’économie environnementale. En effet, les PSE tico sont des instruments incitatifs largement financés et mis en oeuvre par l’Etat, qui subventionnent non seulement la conservation des forêts privées mais également la production de bois. Cette thèse « réinjecte » les variables politiques, très souvent occultées dans la littérature en économie environnementale, afin d’expliquer les spécificités des instruments PSE costariciens. En cherchant à saisir « par le bas » les impacts de l’internationalisation de l’action publique, elle identifie deux variables dans les processus de « traduction » de ces instruments importés de l’international, opérant au niveau national et local : le gouvernement par les coalitions d’acteurs et les règles formelles et informelles du régime politique national. Cette enquête interroge la démocratisation et l’éclipse de l’Etat associées communément aux politiques environnementales. Elle montre au contraire que le régime politique costaricien structure et autorise un jeu plutôt fermé et « discret » (Culpepper, 2011) de coalitions d’acteurs, distant du « politics » et structuré autour des intérêts productifs du bois. Ce jeu tend à capturer la fabrique des instruments PSE, afin d'accaparer les flux financiers de la redistribution étatique et de la coopération internationale. Il façonne une enclave de « pluralisme limité » (Linz, 1964 ; Hermet, 2004), confinée au sein du régime démocratique costaricien. / Developed by environmental economists during the 1990s, Payments for Environmental Services (PES) are market mechanisms, promised as being innovative for natural resource conservation. This theoretical construction, circulating within academic and international political spheres, coexists in practice with a « variety of PES ». Presented as an ideal example of PES, the Programme for Payment for Environmental Services (PPES) of Costa Rica, introduced in 1996, is however very far from the theoretical model of environmental economics. In fact, tico PES are incentives, financed and put into place largely by the state. They subsidize not only private forest conservation but also wood production. This work « reinserts » political variables, too often omitted in the environmental economic literature, in order to explain the specificities of the Costa Rican PES. By looking at the impacts of the internationalization of public action on national and local level, we identify two variables which help to comprehend the « translation» process of these international tools : government by coalitions and formal and informal rules of the national political regime. This study questions the democratization and the eclipse of the state usually associated with environmental politics. It shows that the Costa Rican political regime structures and authorizes a game by coalitions, which is rather closed and «discrete » (Culpepper, 2011), distant from « politics » and structured around the stakes linked with wood production. This game tends to take over the construction of PES mechanisms, in order to appropriate the financial flows which stem from the state’s redistribution and international cooperation. This game engenders an enclave of « limited pluralism » (Linz, 1964 ; Hermet, 2004) confined within the democratic Costa Rican regime.
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Gouvernance(s) sur un volcan. Controverses, arrangements et reconfigurations autour des instruments participatifs d'une aire naturelle protégée mexicaine (le Nevado de Toluca) / Governance(s) on a volcano. Controversies, arrangements and reconfigurations around participative instruments of a Mexican natural protected area (the Nevado of Toluca)

Lebreton, Clotilde 18 December 2015 (has links)
Sous l’injonction internationale à la participation, de nouvelles modalités de gouvernance sont apparues, invitant de nouveaux acteurs dans la gestion des aires naturelles protégées et remodelant les politiques de conservation à l’échelle internationale comme nationale.Le Mexique n’est pas exempt de ces remises en question et ses nouvelles orientations stratégiques pour la gestion des aires naturelles protégées se concentrent désormais sur la «gouvernance ». De nouveaux programmes d’appui aux communautés ont ainsi été développés pour les inciter à participer à la gestion des ressources naturelles communes. Pour contourner les restrictions liées au statut de Parc National, une vingtaine d’aires naturelles protégées ont ou vont ainsi changer de statut d’ici 2018. Le Parc National Nevado de Toluca représente l’un des premiers espaces protégés à avoir été déclassifié au statut d’Aire de Protection de la Faune et de la Flore, afin de permettre aux 54 communautés agraires réparties sur le territoire de mettre en place des projets productifs et participer in fine à la conservation de l’espace protégé. Mêlant action publique, modèles de gestion locale et dynamiques écologiques, le Nevado de Toluca constitue ainsi un laboratoire in situ qui permet de comprendre comment les notions de gouvernance environnementale et de participation mises en avant dans les programmes gouvernementaux se traduisent sur le terrain. Ce laboratoire permet d’évaluer plus spécifiquement comment les instruments de gestion participative, tels que la gestion forestière communautaire et les paiements pour services environnementaux ont modifié les pratiques locales de gestion et in fine, les dynamiques écologiques forestières. Puis, l’analyse des processus participatifs établis dans le cadre du changement de catégorie et de l’élaboration du plan de gestion permet de mieux comprendre l’appropriation de l’injonction internationale à la participation par le gouvernement mexicain ainsi que ses effets, attendus ou non, sur la gouvernance de l’aire naturelle protégée. Les paiements pour services environnementaux présentés généralement comme une stratégie de conservation plus efficiente que les projets intégrés, semblent être, sur le Nevado de Toluca, des instruments moins performants socialement et écologiquement que la gestion forestière communautaire. Les instruments de gestion participative ont néanmoins en commun de reproduire les injustices sociales du système agraire mexicain. Par ailleurs, malgré des processus participatifs limités, la recatégorisation a conduit à des controverses, alliances et innovations sociotechniques, qui reconfigurent les modalités de gouvernance du territoire. Si le gouvernement ne cède pas pour autant son pouvoir de décision, des arrangements informels viennent s’insérer dans cette nouvelle configuration et constituent des formes de contre-pouvoirs. L’institutionnalisation de la participation ne conduit pas à l’éradication des conflits et à la production d’un consensus. Au contraire, elle met en lumière la dimension agonistique des politiques de conservation. / Under the international context of supporting participation for the co-management of natural resources, new governance arrangements have emerged, inviting new actors in the management of natural protected areas and reshaping conservation policies. Mexico has not been exempted from this process with the new strategic directions for protected natural areas having focused on "governance". New community support programs have been developed to encourage local forest communities to participate in the management of their natural resources. To bypass the restrictions related to the status of a National Park, twenty Mexican natural protected areas have changed or are going to change of status by 2018. The Nevado de Toluca National Park is one of the first protected areas to have been declassified to the status of Wildlife and Flora Area Protection, to allow the 54 agrarian communities established in the territory to implement productive projects and ultimately participate in the conservation of the protected area.Combining public action, local management models and ecological dynamics, the Nevado de Toluca constitutes a laboratory for understanding how the concepts of environmental governance and participation, promoted in government programs, are being applied on the field. This empirical laboratory allows for the evaluation of how participatory management instruments, such as community forest management and payment for environmental services, have modified local management practices and, ultimately, forest ecosystems. Moreover, the analysis of participatory processes, a key part in the process of change in the protection category of the protected natural area, allows us to better understand the appropriation of international premises into effective participation by mechanisms held by the Mexican government. These mechanisms will, in turn, potentially have an effect on the governance of the protected natural area. Payments for environmental services, generally presented as a more efficient conservation strategy than integrated conservation and development projects, seem to be on the Nevado de Toluca, less socially and environmentally efficient than community forest management. However, these two participatory management instruments have reproduced the social injustices of the Mexican agrarian system. Besides, despite limited participatory processes, the reclassification resulted in controversies, alliances and socio-technical innovations that are reshaping the governance of the territory. As a response to the non-transfer of decision-making power by the government, informal arrangements are appearing as a new governance configuration and as a form of countervailing-power. The institutionalization of participation has not led to the eradication of conflict or to a consensus. Instead, it highlights the agonistic dimension of conservation policies.

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