• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 12
  • Tagged with
  • 18
  • 6
  • 6
  • 6
  • 4
  • 4
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Caractéristiques, santé psychologique et sexualité de personnes pratiquant ou non des activités fétichistes

Lapointe, Nadia January 2013 (has links) (PDF)
La présente étude s'inscrit dans le cadre de l'Étude sur le Développement et le Comportement Sexuel des Hommes et des Femmes (ÉDECS) menée à l'Université du Québec à Chicoutimi en collaboration avec l'Université de Montréal. La présente étude a évalué et comparé les caractéristiques, la santé psychologique et la sexualité de personnes qui s'affichent comme étant fétichistes et qui affirment pratiquer des activités sociales ou sexuelles en lien avec le fétichisme avec celles d'un groupe de comparaison composé de personnes non fétichistes. Un total de 57 personnes âgées de 18 ans et plus ont participé à l'étude dont 30 personnes qui s'affichent comme étant fétichistes et qui affirment pratiquer des activités sociales et sexuelles en lien avec le fétichisme (âge moyen = 40,1 ans) et 27 personnes qui ne s'affichent pas comme étant fétichistes et qui ne pratiquent pas d'activités sociales en lien avec le fétichisme (âge moyen = 41 ans). Les participants ont répondu à un questionnaire auto-administré composé d'un questionnaire sociodémographique, d'un questionnaire concernant les habitudes de sorties sociales (Lapointe & Côté, 2010), la version française du SCL-90-R (Derogatis, 1977, 1994) qui a été traduite et validée par Fortin et Coutu-Wakulczyk (1985), la version française du Sexual History Scale (SHS; Lalumière, Chalmer, Quinsey, & Seto, 1996) traduite par Côté et Lalumière (1999a), la version française du Sociosexual Orientation Inventory (SOI; Simpson & Gangestad, 1991) traduite par Côté et Lalumière (1999b), la version française de L'Échelle de Kinsey (Kinsey, Pomeroy & Martin, 1948) traduite par Côté et Lalumière (1999c), l'Inventaire des fétiches et des comportements fétichistes (Lapointe, 2010a) et l'inventaire des comportements sexuels autres (Lapointe, 2010b). Les analyses statistiques ont consistées principalement en test t de Student, test du Chi-carré (x2) et en analyses de variance univariée (ANOVA). La présente étude a tout d'abord démontré que les personnes fétichistes ne diffèrent pas signifîcativement des personnes non fétichistes sur la majorité des caractéristiques sociodémographiques. Elles rapportent toutefois être davantage célibataire et avoir une durée significativement plus courte de leur relation de couple que les personnes non fétichistes. Les résultats révèlent également que les personnes fétichistes ne diffèrent pas significativement des personnes non fétichistes quant à leur santé psychologique. Les résultats indiquent des différences significatives en lien avec l'histoire sexuelle des participants. Ainsi, les personnes fétichistes rapportent avoir fait l'expérience de leurs premiers contacts sexuels signifîcativement plus jeune, avoir un nombre signifîcativement plus élevé de partenaires sexuels et un nombre significativement plus élevé de rapports sexuels au cours d'une période inférieure à un mois comparativement aux personnes non fétichistes. Les résultats démontrent aussi que la facilité avec laquelle les participants fétichistes s'impliquent dans les relations intimes ne diffère pas significativement de celle des personnes non fétichistes. Les résultats indiquent que les personnes fétichistes diffèrent significativement des personnes non fétichistes quant à leur orientation sexuelle et qu'ils démontrent significativement moins de comportements et de fantaisies sexuels exclusivement hétérosexuels. Les résultats obtenus révèlent que les personnes fétichistes démontrent un score global d'intérêt fétichiste significativement plus grand que les personnes non fétichistes. Les personnes fétichistes présentent ainsi un nombre significativement plus élevé de fétiches sexuellement excitants. Bien que la majorité des personnes fétichistes rapportent la présence d'un grand nombre de fétiches sexuellement excitants (M = 26,8 fétiches, E.T. ? 13,78), les personnes composant le groupe de personnes non fétichistes rapportent aussi être excités sexuellement par certains fétiches (M= 7,41 fétiches, É.T. = 7,86). De même, bien que plus présents dans les pratiques sexuelles des personnes fétichistes, il y a des comportements fétichistes qui sont aussi pratiqués par les personnes non fétichistes, les plus fréquents étant lécher le fétiche et masturber son/sa partenaire en présence du fétiche. Les résultats ont également permis de préciser que, parmi les participants qui ne pratiquent pas les comportements fétichistes proposés, certaines personnes non fétichistes rapportent avoir de l'intérêt à essayer 23,1% des comportements fétichistes proposés (n=6) alors que les personnes fétichistes démontrent de l'intérêt à essayer plus de 75% des comportements fétichistes proposés (n=20). Enfin, les résultats ont démontré que l'ensemble des comportements sexuels autres sont signifîcativement plus pratiqués par les personnes fétichistes et que, bien que plus pratiqués par les personnes fétichistes, il y a certains comportements sexuels autres qui sont aussi pratiqués par les personnes non fétichistes, les plus fréquents étant pratiquer un « french », avoir des rapports sexuels génitaux, donner du sexe oral, recevoir du sexe oral, se masturber, masturber votre partenaire et fantasmer au sujet du sexe. De même, parmi les participants qui ne pratiquent pas les comportements sexuels autres proposés, les personnes non fétichistes rapportent avoir de l'intérêt à essayer 41,2% (n=21) des comportements sexuels autres proposés alors que les personnes fétichistes rapportent avoir de l'intérêt envers la pratique de plus de 80% (n=42) des comportements sexuels autres proposés. L'intérêt à essayer ces comportements sexuels autres par les personnes non fétichistes varie de 3,8% (visiter des sites Internet échangiste) à 50,0% (se masturber) et de 3,8% (se faire déféquer dessus) à 100,0% (recevoir du sexe oral) chez les personnes fétichistes. Les résultats sont discutés et des perspectives de recherches ultérieures sont proposées.
2

Sexualité et satisfaction conjugale des femmes ayant des symptômes dépressifs : une étude contrôlée

Gagné, Mélissa January 2011 (has links) (PDF)
La présente étude avait comme objectif d'évaluer et de comparer la sexualité des femmes ayant des symptômes dépressifs et des femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs et ce, en incluant toutes les variables sexuelles ayant été évaluées dans les études antérieures, en plus de trois autres variables sexuelles n'ayant jamais fait l'objet d'une évaluation empirique (i.e., orientation sexuelle, histoire sexuelle, aisance lors des rapports sexuels). Le deuxième objectif de la présente étude a été d'évaluer et de comparer la satisfaction conjugale des femmes ayant des symptômes dépressifs et des femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs. Le troisième objectif de la présente étude a été d'évaluer le lien entre la sexualité, la satisfaction conjugale et les symptômes dépressifs des femmes. Au total, 87 femmes ayant un conjoint ou un partenaire sexuel ont participé à l'étude et ont complété un questionnaire sociodémographique et les versions françaises du Beck Depression Inventory (BDI-II), du Brief Index of Sexual Functioning for Women, du Sexual History Scale, du Sociosexual Orientation Inventory, de la Kinsey Scale et de la Dyadic Adjustment Scale de Spanier. L'âge moyen des 20 participantes ayant des symptômes dépressifs est de 32,05 ans et celui des 67 participantes n'ayant pas de symptômes dépressifs est de 27,94 ans. La présente étude a tout d'abord démontré que les femmes ayant des symptômes dépressifs ont un fonctionnement sexuel global significativement inférieur à celui des femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs, principalement pour les pensées sexuelles et la libido, la fréquence des activités sexuelles, la satisfaction sexuelle par rapport au partenaire et les problèmes affectant le fonctionnement sexuel (i.e., lubrification vaginale, dysfonctions sexuelles, dyspareunie, problèmes affectifs reliés à la sexualité, problèmes orgasmiques, préoccupations sexuelles). Toutefois, aucune différence significative entre les groupes n'a été obtenue pour ce qui est du plaisir sexuel, de l'atteinte de l'orgasme, de l'excitation sexuelle, de la réponse et l'initiative sexuelle, de la fréquence d'activités de masturbation solitaire ou avec partenaire, de l'orientation sexuelle, ainsi que de l'histoire et l'aisance sexuelles. Les résultats ont également démontré que les femmes ayant des symptômes dépressifs sont significativement moins satisfaites de leur relation conjugale que les femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs. Par ailleurs, les analyses corrélationnelles ont démontré que chez les femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs, plus la satisfaction conjugale est grande, meilleur est le fonctionnement sexuel. Aucun lien significatif n'a pu être établi entre ces mêmes variables chez les femmes ayant des symptômes dépressifs. Des analyses corrélationnelles supplémentaires évaluant de façon continue (au lieu de dichotomique) le lien entre les symptômes dépressifs et la sexualité et le lien entre les symptômes dépressifs et la satisfaction conjugale ont permis de constater que les symptômes dépressifs sont significativement liés à toutes les sous-échelles évaluant le fonctionnement sexuel, à l'échelle globale évaluant le fonctionnement sexuel général et à la satisfaction conjugale. Cependant, aucun lien significatif n'a été obtenu entre les symptômes dépressifs et les autres variables (orientation sexuelle, aisance sexuelle, histoire sexuelle, désir pour des activités de masturbation solitaire et avec partenaire). Ainsi, plus il y a présence de symptômes dépressifs chez les femmes, plus il y a d'insatisfaction de la relation conjugale et plus le fonctionnement sexuel est problématique. Mais encore, les analyses corrélationnelles partielles effectuées entre les symptômes dépressifs et le fonctionnement sexuel en contrôlant pour la satisfaction conjugale ou amoureuse ont démontré que la présence de symptômes dépressifs semble avoir beaucoup moins d'effets négatifs sur le fonctionnement sexuel lorsque la satisfaction conjugale ou amoureuse est grande. Les résultats sont discutés et des avenues de recherche sont proposées.
3

Sexualité et satisfaction conjugale des femmes ayant des symptômes dépressifs : une étude contrôlée

Gagné, Mélissa January 2011 (has links) (PDF)
La présente étude avait comme objectif d'évaluer et de comparer la sexualité des femmes ayant des symptômes dépressifs et des femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs et ce, en incluant toutes les variables sexuelles ayant été évaluées dans les études antérieures, en plus de trois autres variables sexuelles n'ayant jamais fait l'objet d'une évaluation empirique (i.e., orientation sexuelle, histoire sexuelle, aisance lors des rapports sexuels). Le deuxième objectif de la présente étude a été d'évaluer et de comparer la satisfaction conjugale des femmes ayant des symptômes dépressifs et des femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs. Le troisième objectif de la présente étude a été d'évaluer le lien entre la sexualité, la satisfaction conjugale et les symptômes dépressifs des femmes. Au total, 87 femmes ayant un conjoint ou un partenaire sexuel ont participé à l'étude et ont complété un questionnaire sociodémographique et les versions françaises du Beck Depression Inventory (BDI-II), du Brief Index of Sexual Functioning for Women, du Sexual History Scale, du Sociosexual Orientation Inventory, de la Kinsey Scale et de la Dyadic Adjustment Scale de Spanier. L'âge moyen des 20 participantes ayant des symptômes dépressifs est de 32,05 ans et celui des 67 participantes n'ayant pas de symptômes dépressifs est de 27,94 ans. La présente étude a tout d'abord démontré que les femmes ayant des symptômes dépressifs ont un fonctionnement sexuel global significativement inférieur à celui des femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs, principalement pour les pensées sexuelles et la libido, la fréquence des activités sexuelles, la satisfaction sexuelle par rapport au partenaire et les problèmes affectant le fonctionnement sexuel (i.e., lubrification vaginale, dysfonctions sexuelles, dyspareunie, problèmes affectifs reliés à la sexualité, problèmes orgasmiques, préoccupations sexuelles). Toutefois, aucune différence significative entre les groupes n'a été obtenue pour ce qui est du plaisir sexuel, de l'atteinte de l'orgasme, de l'excitation sexuelle, de la réponse et l'initiative sexuelle, de la fréquence d'activités de masturbation solitaire ou avec partenaire, de l'orientation sexuelle, ainsi que de l'histoire et l'aisance sexuelles. Les résultats ont également démontré que les femmes ayant des symptômes dépressifs sont significativement moins satisfaites de leur relation conjugale que les femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs. Par ailleurs, les analyses corrélationnelles ont démontré que chez les femmes n'ayant pas de symptômes dépressifs, plus la satisfaction conjugale est grande, meilleur est le fonctionnement sexuel. Aucun lien significatif n'a pu être établi entre ces mêmes variables chez les femmes ayant des symptômes dépressifs. Des analyses corrélationnelles supplémentaires évaluant de façon continue (au lieu de dichotomique) le lien entre les symptômes dépressifs et la sexualité et le lien entre les symptômes dépressifs et la satisfaction conjugale ont permis de constater que les symptômes dépressifs sont significativement liés à toutes les sous-échelles évaluant le fonctionnement sexuel, à l'échelle globale évaluant le fonctionnement sexuel général et à la satisfaction conjugale. Cependant, aucun lien significatif n'a été obtenu entre les symptômes dépressifs et les autres variables (orientation sexuelle, aisance sexuelle, histoire sexuelle, désir pour des activités de masturbation solitaire et avec partenaire). Ainsi, plus il y a présence de symptômes dépressifs chez les femmes, plus il y a d'insatisfaction de la relation conjugale et plus le fonctionnement sexuel est problématique. Mais encore, les analyses corrélationnelles partielles effectuées entre les symptômes dépressifs et le fonctionnement sexuel en contrôlant pour la satisfaction conjugale ou amoureuse ont démontré que la présence de symptômes dépressifs semble avoir beaucoup moins d'effets négatifs sur le fonctionnement sexuel lorsque la satisfaction conjugale ou amoureuse est grande. Les résultats sont discutés et des avenues de recherche sont proposées.
4

Caractéristiques, santé psychologique et sexualité de personnes pratiquant ou non des activités fétichistes

Lapointe, Nadia January 2013 (has links) (PDF)
La présente étude s'inscrit dans le cadre de l'Étude sur le Développement et le Comportement Sexuel des Hommes et des Femmes (ÉDECS) menée à l'Université du Québec à Chicoutimi en collaboration avec l'Université de Montréal. La présente étude a évalué et comparé les caractéristiques, la santé psychologique et la sexualité de personnes qui s'affichent comme étant fétichistes et qui affirment pratiquer des activités sociales ou sexuelles en lien avec le fétichisme avec celles d'un groupe de comparaison composé de personnes non fétichistes. Un total de 57 personnes âgées de 18 ans et plus ont participé à l'étude dont 30 personnes qui s'affichent comme étant fétichistes et qui affirment pratiquer des activités sociales et sexuelles en lien avec le fétichisme (âge moyen = 40,1 ans) et 27 personnes qui ne s'affichent pas comme étant fétichistes et qui ne pratiquent pas d'activités sociales en lien avec le fétichisme (âge moyen = 41 ans). Les participants ont répondu à un questionnaire auto-administré composé d'un questionnaire sociodémographique, d'un questionnaire concernant les habitudes de sorties sociales (Lapointe & Côté, 2010), la version française du SCL-90-R (Derogatis, 1977, 1994) qui a été traduite et validée par Fortin et Coutu-Wakulczyk (1985), la version française du Sexual History Scale (SHS; Lalumière, Chalmer, Quinsey, & Seto, 1996) traduite par Côté et Lalumière (1999a), la version française du Sociosexual Orientation Inventory (SOI; Simpson & Gangestad, 1991) traduite par Côté et Lalumière (1999b), la version française de L'Échelle de Kinsey (Kinsey, Pomeroy & Martin, 1948) traduite par Côté et Lalumière (1999c), l'Inventaire des fétiches et des comportements fétichistes (Lapointe, 2010a) et l'inventaire des comportements sexuels autres (Lapointe, 2010b). Les analyses statistiques ont consistées principalement en test t de Student, test du Chi-carré (x2) et en analyses de variance univariée (ANOVA). La présente étude a tout d'abord démontré que les personnes fétichistes ne diffèrent pas signifîcativement des personnes non fétichistes sur la majorité des caractéristiques sociodémographiques. Elles rapportent toutefois être davantage célibataire et avoir une durée significativement plus courte de leur relation de couple que les personnes non fétichistes. Les résultats révèlent également que les personnes fétichistes ne diffèrent pas significativement des personnes non fétichistes quant à leur santé psychologique. Les résultats indiquent des différences significatives en lien avec l'histoire sexuelle des participants. Ainsi, les personnes fétichistes rapportent avoir fait l'expérience de leurs premiers contacts sexuels signifîcativement plus jeune, avoir un nombre signifîcativement plus élevé de partenaires sexuels et un nombre significativement plus élevé de rapports sexuels au cours d'une période inférieure à un mois comparativement aux personnes non fétichistes. Les résultats démontrent aussi que la facilité avec laquelle les participants fétichistes s'impliquent dans les relations intimes ne diffère pas significativement de celle des personnes non fétichistes. Les résultats indiquent que les personnes fétichistes diffèrent significativement des personnes non fétichistes quant à leur orientation sexuelle et qu'ils démontrent significativement moins de comportements et de fantaisies sexuels exclusivement hétérosexuels. Les résultats obtenus révèlent que les personnes fétichistes démontrent un score global d'intérêt fétichiste significativement plus grand que les personnes non fétichistes. Les personnes fétichistes présentent ainsi un nombre significativement plus élevé de fétiches sexuellement excitants. Bien que la majorité des personnes fétichistes rapportent la présence d'un grand nombre de fétiches sexuellement excitants (M = 26,8 fétiches, E.T. ? 13,78), les personnes composant le groupe de personnes non fétichistes rapportent aussi être excités sexuellement par certains fétiches (M= 7,41 fétiches, É.T. = 7,86). De même, bien que plus présents dans les pratiques sexuelles des personnes fétichistes, il y a des comportements fétichistes qui sont aussi pratiqués par les personnes non fétichistes, les plus fréquents étant lécher le fétiche et masturber son/sa partenaire en présence du fétiche. Les résultats ont également permis de préciser que, parmi les participants qui ne pratiquent pas les comportements fétichistes proposés, certaines personnes non fétichistes rapportent avoir de l'intérêt à essayer 23,1% des comportements fétichistes proposés (n=6) alors que les personnes fétichistes démontrent de l'intérêt à essayer plus de 75% des comportements fétichistes proposés (n=20). Enfin, les résultats ont démontré que l'ensemble des comportements sexuels autres sont signifîcativement plus pratiqués par les personnes fétichistes et que, bien que plus pratiqués par les personnes fétichistes, il y a certains comportements sexuels autres qui sont aussi pratiqués par les personnes non fétichistes, les plus fréquents étant pratiquer un « french », avoir des rapports sexuels génitaux, donner du sexe oral, recevoir du sexe oral, se masturber, masturber votre partenaire et fantasmer au sujet du sexe. De même, parmi les participants qui ne pratiquent pas les comportements sexuels autres proposés, les personnes non fétichistes rapportent avoir de l'intérêt à essayer 41,2% (n=21) des comportements sexuels autres proposés alors que les personnes fétichistes rapportent avoir de l'intérêt envers la pratique de plus de 80% (n=42) des comportements sexuels autres proposés. L'intérêt à essayer ces comportements sexuels autres par les personnes non fétichistes varie de 3,8% (visiter des sites Internet échangiste) à 50,0% (se masturber) et de 3,8% (se faire déféquer dessus) à 100,0% (recevoir du sexe oral) chez les personnes fétichistes. Les résultats sont discutés et des perspectives de recherches ultérieures sont proposées.
5

Sexopathologie en milieu étudiant : approches en sexothérapie dans le cadre du Centre d'orthogénie de la M.N.E.F., Paris.

Benghozi, Pierre Richard, January 1900 (has links)
Th.--Méd.--Paris 6--Pitié-Salpêtrière, 1978. N°: 261.
6

La perception des jeunes hommes homosexuels vivant au Saguenay-Lac-Saint-Jean à l'égard des facteurs qui influencent leur état de santé mentale

Gobeil, Pierre-Luc January 2010 (has links) (PDF)
La condition des personnes homosexuelles a beaucoup évolué au cours des dernières décennies, notamment en raison des nombreuses avancées législatives qui ont permis à la communauté homosexuelle d'acquérir des droits qui leur étaient jusque-là refusés. Cette reconnaissance civile ne s'est toutefois pas accompagnée d'une transformation majeure dans la perception sociale que ce font les individus. En effet, la prédominance de la culture hétérosexiste rend difficile le développement d'une identité non hétérosexuelle et les conditions sociales réservées à la population homosexuelle, qu'il s'agisse de discrimination ou de stigmatisation, sont souvent à la remorque de problèmes de santé mentale. Le milieu dans lequel évolue une personne homosexuelle pourrait également avoir une incidence sur son bien-être, que l'on pense par exemple au manque de services de santé et de soutien, à la difficulté de maintenir son anonymat sexuel et à la plus grande exposition au risque de subir une quelconque forme de violence. Peu d'études québécoises ont examiné l'implication du milieu d'où l'intérêt de la présente étude qui va sans doute amener un éclairage intéressant sur les conditions de vie des personnes homosexuelles qui évoluent dans un contexte qui diverge de celui des grands centres urbains. La présente étude poursuit donc trois objectifs : en premier lieu elle cherche à établir comment se vit l'expérience de deux périodes spécifiques au processus identitaire des personnes homosexuelles, soient la découverte de l'orientation sexuelle et celle du coming-out. En second lieu, elle tente d'identifier comment ces étapes influencent la santé mentale des personnes homosexuelles. Finalement, l'étude pose un regard sur l'environnement des personnes homosexuelles et cherche à identifier quels sont les facteurs d'ordre social, environnemental et culturel ayant une influence sur leur état de santé mentale. Pour atteindre ces objectifs, un devis de recherche qualitatif a été utilisé. Des entrevues semi dirigées ont donc été menées auprès neuf participants homosexuels âgés entre 18 et 35 ans afin de connaître leur perception sur ces aspects. Les résultats indiquent dans un premier temps que les étapes du processus identitaire se sont avérées relativement difficiles pour les participants. Les réactions négatives qui ont suivi la découverte de l'attirance pour la gent masculine ont rapidement été oblitérées par la mise en place de stratégies adaptatives (déni, fuite, refoulement). À l'égard du dévoilement de l'orientation sexuelle, la totalité des répondants de cette études ont indiqué avoir choisi comme première confidente, une personne de sexe féminin, qu'il s'agisse d'une amie ou encore de leur mère. Ce résultat suggère que les femmes posséderaient certaines caractéristiques qui inviteraient au dévoilement. Concernant l'influence des facteurs sociaux, il ressort de cette étude que le soutien social semble être un important facteur de protection qui prévient l'apparition de problème de santé mentale et réduit de façon considérable les symptômes de détresse psychologiques lorsque ceux-ci sont déjà installés. Nous avons également pu constater que la dimension culturelle est précisément celle qui a le plus de répercussions sur la santé mentale des personnes homosexuelles, car les problèmes de santé expérimentés par les répondants découlent bien souvent de la stigmatisation sociale vécue par la population homosexuelle. Les participants ont toutefois noté que la population du Saguenay - Lac-Saint-Jean fait preuve de tolérance et accepte l'homosexualité. Conséquemment, il semble que le fait de vivre dans cette région n'a que très peu d'impacts négatifs sur la qualité de vie des personnes homosexuelles. Néanmoins, cette conclusion tend à diverger d'un milieu à l'autre. Cette recherche, en débit du fait que les résultats ne peuvent être généralisés à l'ensemble de la population homosexuelle en raison de son échantillon restreint, constitue néanmoins un premier pas dans l'accroissement des connaissances québécoises sur le sujet. Elle invite notamment à mettre en place des stratégies d'intervention pour mieux soutenir les jeunes hommes dans les différentes étapes que sont la prise de conscience et le dévoilement de leur homosexualité, le tout afin de minimiser la détresse ressentie et l'apparition de problèmes de santé mentale plus graves.
7

La perception des jeunes hommes homosexuels vivant au Saguenay-Lac-Saint-Jean à l'égard des facteurs qui influencent leur état de santé mentale

Gobeil, Pierre-Luc January 2010 (has links) (PDF)
La condition des personnes homosexuelles a beaucoup évolué au cours des dernières décennies, notamment en raison des nombreuses avancées législatives qui ont permis à la communauté homosexuelle d'acquérir des droits qui leur étaient jusque-là refusés. Cette reconnaissance civile ne s'est toutefois pas accompagnée d'une transformation majeure dans la perception sociale que ce font les individus. En effet, la prédominance de la culture hétérosexiste rend difficile le développement d'une identité non hétérosexuelle et les conditions sociales réservées à la population homosexuelle, qu'il s'agisse de discrimination ou de stigmatisation, sont souvent à la remorque de problèmes de santé mentale. Le milieu dans lequel évolue une personne homosexuelle pourrait également avoir une incidence sur son bien-être, que l'on pense par exemple au manque de services de santé et de soutien, à la difficulté de maintenir son anonymat sexuel et à la plus grande exposition au risque de subir une quelconque forme de violence. Peu d'études québécoises ont examiné l'implication du milieu d'où l'intérêt de la présente étude qui va sans doute amener un éclairage intéressant sur les conditions de vie des personnes homosexuelles qui évoluent dans un contexte qui diverge de celui des grands centres urbains. La présente étude poursuit donc trois objectifs : en premier lieu elle cherche à établir comment se vit l'expérience de deux périodes spécifiques au processus identitaire des personnes homosexuelles, soient la découverte de l'orientation sexuelle et celle du coming-out. En second lieu, elle tente d'identifier comment ces étapes influencent la santé mentale des personnes homosexuelles. Finalement, l'étude pose un regard sur l'environnement des personnes homosexuelles et cherche à identifier quels sont les facteurs d'ordre social, environnemental et culturel ayant une influence sur leur état de santé mentale. Pour atteindre ces objectifs, un devis de recherche qualitatif a été utilisé. Des entrevues semi dirigées ont donc été menées auprès neuf participants homosexuels âgés entre 18 et 35 ans afin de connaître leur perception sur ces aspects. Les résultats indiquent dans un premier temps que les étapes du processus identitaire se sont avérées relativement difficiles pour les participants. Les réactions négatives qui ont suivi la découverte de l'attirance pour la gent masculine ont rapidement été oblitérées par la mise en place de stratégies adaptatives (déni, fuite, refoulement). À l'égard du dévoilement de l'orientation sexuelle, la totalité des répondants de cette études ont indiqué avoir choisi comme première confidente, une personne de sexe féminin, qu'il s'agisse d'une amie ou encore de leur mère. Ce résultat suggère que les femmes posséderaient certaines caractéristiques qui inviteraient au dévoilement. Concernant l'influence des facteurs sociaux, il ressort de cette étude que le soutien social semble être un important facteur de protection qui prévient l'apparition de problème de santé mentale et réduit de façon considérable les symptômes de détresse psychologiques lorsque ceux-ci sont déjà installés. Nous avons également pu constater que la dimension culturelle est précisément celle qui a le plus de répercussions sur la santé mentale des personnes homosexuelles, car les problèmes de santé expérimentés par les répondants découlent bien souvent de la stigmatisation sociale vécue par la population homosexuelle. Les participants ont toutefois noté que la population du Saguenay - Lac-Saint-Jean fait preuve de tolérance et accepte l'homosexualité. Conséquemment, il semble que le fait de vivre dans cette région n'a que très peu d'impacts négatifs sur la qualité de vie des personnes homosexuelles. Néanmoins, cette conclusion tend à diverger d'un milieu à l'autre. Cette recherche, en débit du fait que les résultats ne peuvent être généralisés à l'ensemble de la population homosexuelle en raison de son échantillon restreint, constitue néanmoins un premier pas dans l'accroissement des connaissances québécoises sur le sujet. Elle invite notamment à mettre en place des stratégies d'intervention pour mieux soutenir les jeunes hommes dans les différentes étapes que sont la prise de conscience et le dévoilement de leur homosexualité, le tout afin de minimiser la détresse ressentie et l'apparition de problèmes de santé mentale plus graves.
8

Parole – Sexualité – Discours Incompatibilité entre systèmes de représentation de victimes et intervenants dans des situations de viols à Tucumán. Proposition de paradigme transdisciplinaire d'une «sexualogie»

Viola, Francisco fjj 16 May 2003 (has links)
Thèse: Parole – Sexualité – Discours Francisco Juan José Viola Résumé L'origine de cette étude se fonde sur la contradiction éprouvée devant la complexité de la sexualité vécue, qui interpelle tout intervenant dans la pratique médicale; une pratique qui, dans son approche spécifique de la sexualité, persiste à dominer l'espace d'intervention où la dimension du vécu reste essentiellement excentrique. Or, la réalité à laquelle nous a confronté la pratique médicale, exige très clairement une approche de la sexualité prenant la mesure de la complexité de cet objet d'étude très particulier. Une formation poursuivie dans le domaine de la sexualité à l'Institut d'études de la famille et de la sexualité (PSP/UCL) a davantage encore mis en évidence la dérive constante qui pousse vers la réduction primordiale de la sexualité aux fonctions génitales. Dès l'instant où le débat devait donner lieu à une prise de position factuelle, la nécessité s'accroît de maintenir au cœur de l'efficacité voulue l'espace de l'expression subjective. Partant dès lors d'une réflexion théorique sur les structures fondamentales de la sexualité, s'est imposée une nécessaire investigation complémentaire du terrain d'où avait surgi la question essentielle concernant l'approche globale de la sexualité. C'est ainsi que la situation particulière à Tucuman, en Argentine, des femmes adultes ayant fait l'expérience du viol et qui sont confrontées ensuite aux discours dominants, médical et juridique, s'est proposée comme un révélateur aidant à vérifier l'opportunité d'un nouveau paradigme en matière d'étude et d'intervention thérapeutique. Quelle analyse pourrait-elle rendre à un tel vécu, soit à une telle réalité purement subjective, ce reste de prise en compte, qui est négligé dans l'intervention thérapeutique subséquente à l'expérience d'un viol, quand celle-la se fractionne en autant de discours que de disciplines, qui se succèdent, en sus, dans un espace-temps morcelé? Notre analyse tend à dégager les arguments du paradigme manquant, en mettant à jour les facteurs déterminant l'exclusion des paroles du vécu, dans la suite d'intervention donnée au viol d'une femme d'âge adulte, qui, pour nous, est à voir comme paradigmatique pour l'étude de la sexualité. Notre hypothèse se structure du fait que la confrontation première des victimes aux intervenants médicaux, puis judiciaires, tend à assurer prévention de la parole des victimes sous la prédominance des discours d'intervention, restant axés sur la seule objectivation de la situation. Nous sommes ainsi dans l'attente de la possibilité d'émergence des paroles du vécu subjectif qui, d'évidence, nécessite l'élaboration d'un paradigme d'approche globale, dont la nouveauté serait représentée provisoirement par un néologisme: la sexualogie. Le profil du nouveau paradigme a pu se préciser. Il devrait pouvoir répondre aux deux limitations rencontrées : d'une part, cette métonymie qui prend la partie (génitalité) pour le tout (sexualité), et d'autre part, le réductionnisme disciplinaire qui reste opérant, quelquefois même sous les traits de la multi ou de la pluridisciplinarité. A l'issue de ce travail nous avons dégagé la transdisciplinarité comme élément essentiel de réponse au questionnement concernant le vécu de la sexualité et nous avons pu avancer des pistes pour orienter les discussions futures ainsi que les mises à l'épreuve ultérieures d'une proposition de paradigme enrichi.
9

Les caractéristiques du dévoilement de l’agression sexuelle chez les enfants et les adolescents en contexte d’entrevue d’enquête

Alain, Samuel 08 1900 (has links) (PDF)
Le dévoilement est un enjeu central pour l’aide aux victimes d’agression sexuelle. Il est à la source de plusieurs bienfaits sur le plan psychologique et constitue un moyen privilégié afin d’obtenir un accès à des ressources d’aide adaptées. Cependant, les données sur la prévalence du dévoilement nous informent qu’un nombre important de victimes choisissent de taire l’agression. L’objectif de cette étude est donc de brosser un portrait du dévoilement de l’agression sexuelle en prenant en compte les caractéristiques du dévoilement, celles des victimes et celles de l’agression. Pour ce faire, 64 transcriptions d’entrevues d’enquête de victimes d’agression sexuelle âgées entre 3 et 17 ans ont été codifiées. La grille de codification permet de prélever l’information portant sur les caractéristiques du dévoilement (p. ex., type de dévoilement, receveur, obstacles, incitateurs, délai, nombre de tentatives). Les résultats des analyses statistiques descriptives effectuées à l’aide des données codifiées suggèrent que contrairement au sexe des victimes, l’âge de celles-ci est relié à certaines caractéristiques du dévoilement, notamment le choix du receveur du dévoilement ainsi que le type d’obstacles au dévoilement. Par ailleurs, la majorité des participants mentionne avoir eu à dévoiler l’agression à plus d’une personne avant que des démarches formelles soient entamées. Enfin, pour la majorité des victimes, ce sont des influences internes (émotions, cauchemars, prise de conscience) qui ont enclenché le processus de dévoilement. Les nouvelles connaissances issues de cette étude pourront être utilisées à titre de soutien théorique à la mise en place des mesures préventives visant à augmenter la prévalence du dévoilement de l’agression sexuelle.
10

De la question sexuelle à la sexologie médicale : une histoire des savoirs sur les sexualités (Suisse romande, 1890-1970) / From the sexual question to the medical sexology : a history of knowledge on sexuality (French speaking Switzerland, 1890-1970)

Garibian, Taline 28 June 2017 (has links)
L’histoire de la sexualité dont il est question ici commence donc au tournant du siècle. Les écrits sur la sexualité se multiplient et si tous n’ont pas le succès de l’ouvrage du médecin vaudois Auguste Forel (1848 – 1931), en 1905, ils témoignent de l’intérêt du public pour ces questions. Cette période marque donc le début d’une véritable clinique de la sexualité, qui, si elle demeure cantonnée à des consultations privées, n’en pose pas moins les bases de ce qui va devenir une discipline enseignée à l’université à la fin des années 1960.Dans les premières décennies du siècle, les théories analytiques marquent profondément le champ des sciences du psychisme en Suisse. Outre les apports théoriques des doctrines freudiennes, on voit émerger un véritable front d’action en faveur de l’hygiène mentale agrégé au mouvement pour l’hygiène sociale et morale qui ne tarde pas à s’intéresser aux couples hétérosexuels. Mais les écarts à la norme ne sont pas pour autant délaissés et de nombreux travaux consacrés aux paraphilies contribuent dès les années 1940 à l’édification d’un dispositif médico-légal d’encadrement des « déviant.e.s ».À partir de année 1950, la sexologie gagne progressivement les institutions académiques. Cette évolution doit se comprendre à l’aune des dynamiques sociales et politiques qui caractérisent les années 1960. Alors que les luttes en faveur du droit à l’avortement et à la contraception donnent une résonance importante aux questions sexuelles, on observe une relative libération des mœurs. Il s’agit saisir les étapes de cette institutionnalisation en nous intéressant non seulement aux contenus scientifiques proposés mais aussi à leurs portées politiques. Le développement de la sexologie et son intégration au système de santé ne sauraient s’envisager indépendamment de l’agenda politique des autorités en matière de famille, de natalité ou de criminalité, pour ne prendre que quelques exemples. / The history of sexuality presented here starts at the end of the 19th century when the number of medical books on sexuality increases. In French speaking Switzerland, Auguste Forel is already a well-known psychiatrist when he is publishing The sexual question. During this period there are not only books, which are published, but also numerous private clinics are treating ordinary sexual disorders.During the first decade of the 20th century psychoanalysis and others sciences of the psyche have a great influence on the knowledge of sexuality. In the same time many reformers are spreading a program of Social Hygiene among the population but also among the sanitary authorities. This program includes a struggle for the defence of the family, which seems to them threated by many dangers – including divorce. In this context the sexual pleasure becomes central. An important part of the sexologists are focusing on the heterosexual couple. But this must not hide that some people remain in the margin because of their “abnormal sexuality”. Far from ignore them, the medical science take an active part in the politics of regulation and normalisation of sexuality.During this century, the specialists of sexuality participate in many debates on social and political issues related to their field. This process includes a kind of specialisation and at the end of the sixties sexuality becomes an area of studies in the universities of Lausanne and Geneva.

Page generated in 0.1079 seconds