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Imaginaire et quotidien à travers le discours du kiosque à Brazzaville (Congo): une nouvelle appropriation de la rue en tant que lieu de discours et de sociabilité

Banzouzi, Jean-Pierre January 1997 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Théâtre, ville et pouvoir: Pour une étude de la spatialité urbaine du théâtre à Téhéran (2009-2019)

Zamani, Mohammadamin 16 October 2020 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie la scène théâtrale et ses transformations dans le contexte socio-politique de Téhéran entre 2009 et 2019 à travers le prisme de la spatialité (Lussault, 2007). Cette période se caractérise d’un côté par l’éclosion de nouveaux espaces de représentation de diverses natures architecturales, urbaines et institutionnelles et, de l’autre, par l’apparition de nouvelles formes d’investissement et d’appropriation d’espaces urbains à des fins théâtrales par les artistes et spectateurs. Pour interroger ces mutations, cette étude analyse trois cas– représentatifs du théâtre privé, du théâtre Off Stage et du théâtre Underground – à partir d’une approche théorique qui conjugue social production of space et social construction of space (Low, 2017). Ce faisant, la présente thèse démontre qu’au-delà des dimensions esthétiques et dramaturgiques, les évolutions de la scène théâtrale à Téhéran se traduisent surtout par un changement qui touche à la spatialité urbaine du théâtre. Cela se concrétise d’une part dans la transformation de l’agencement spatial du théâtre dans la ville et, de l’autre, dans les manières dont les relations et dynamiques sociales et politiques de la ville se spatialisent dans le théâtre. Du fait de ce double processus, et dans la conjoncture socio-politique tendue et changeante du Téhéran des années 2010, l’espace théâtral, jusqu’alors quasiment cloisonné et exclu de la sphère publique, émerge en tant qu’espace public. Il devient ainsi non seulement le lieu du politique, là où se rencontrent différentes forces politiques et sociales (Balme, 2014), mais aussi l’élément principal dans les dynamiques de pouvoirs entre elles. Sa production en tant qu’entité architecturale et urbaine, son occupation, son appropriation et même ses caractéristiques et frontières sociales, symboliques et discursives font alors l’objet de luttes, débats, négociations et interventions – parmi les plus tendus voire virulents que la capitale iranienne ait connus au cours de la dernière décennie – de la part des trois forces principales présentes sur le terrain :le pouvoir autoritaire et idéologique en place, les opérateurs économiques et financiers et les citoyens, en l’occurrence artistes et spectateurs. D’un côté, les forces politiques, idéologiques et financières dominantes mettent en place la privatisation du théâtre, qui est conceptualisée ici comme une stratégie spatiale (De Certeau, 1990). Elles régulent l’espace théâtral, sa production et son utilisation au moyen de multiples processus d’exclusion, d’uniformisation et de domination politiques, idéologiques et économiques. De l’autre côté, des citoyens déploient des tactiques (De Certeau), c’est-à-dire de nouvelles formes d’appropriation de l’espace en utilisant les brèches, incohérences et interstices dans la stratégie dominante. De ce fait, des espaces urbains produits, régulés et surveillés à des fins politiques, idéologiques, voire capitalistes, ouvrent la voie à de nouvelles formes d’agencies pour des artistes et spectateurs. Tantôt ces formes se traduisent par des actes de résistance, de lutte, de contestation (le théâtre Underground), tantôt par des négociations et des compromis (les théâtres privés) ou même par des contournements et des contre-expériences (le théâtre Off Stage). Cependant, quelles que soient la forme et les conséquences de ces interactions, celles-ci ouvrent des fractures dans l’ordre politique, idéologique et économique dominant la ville et son espace. Elles rendent ainsi possibles l’émergence et la survie de formes d’altérité dans la sphère et l’espace publics. / This thesis studies the theatre and its transformations in the socio-political context of Tehran between 2009 and 2019 through the question of spatiality (Lussault, 2007). This period is characterized, on the one hand, by the blossoming of new performance spaces of various architectural, urban and institutional natures throughout the city and, on the other hand, by the appearance of new forms of appropriation of urban spaces for theatrical purposes by artists and spectators. To question these mutations, this study analyses the three case studies – representative of private theatre, off stage theatre and underground theatre - from a theoretical approach that combines social production of space and social construction of space (Low, 2017). In doing so, the present thesis demonstrates that beyond the aesthetic and dramaturgical dimensions, the evolution of the theatre scene in Tehran results from a more significant change in the urban spatiality of the theatre. This materializes, on the one hand, in the transformation of the spatial organization of the theatre within the urban context and, on the other hand, in the ways in which the social and political relations and dynamics of the city are spatialized in the theatre. As a result of this double process, and in the tense and changing socio-political conjunctures of Tehran in 2010s, the theatre space, hitherto an almost compartmentalized space excluded from the public sphere, is manifesting itself as a new public space. Not only it becomes the political field where different political and social forces meet (Balme,2014), it also turns into one of the principal elements in the power dynamics among them. Its production as an architectural and urban entity, its occupation, its appropriation and even its social, symbolic and discursive characteristics and boundaries are then the object of struggles, debates, negotiations and interventions - among the most tense and even virulent ones that the Iranian capital has experienced in the last decade - on the part of the three main forces :the authoritarian and ideological power in place, the economic and financial operators and the citizens, in this case artists and spectators. On the one hand, the dominant political, ideological and financial forces are establishing the privatization of theatre, which is conceptualized here as a spatial strategy. (De Certeau, 1990). They regulate theatre space, its production and use through multiple processes of political, ideological and economic exclusion, homogenization and domination. On the other hand, citizens deploy tactics (De Certeau) that is, new forms of appropriation of space within the breaches, inconsistencies and interstices of the dominant strategy. As a result, urban spaces produced, regulated and monitored for political, ideological or even capitalist purposes immediately become the fields for new forms of artists and spectators’ agencies. Sometimes these forms take the form of acts of resistance, struggle, contestation (the Underground theatre), sometimes of negotiation, compromise (the private theatres) or even circumvention and counter-experiences (the Off Stage theatre). However, whatever the form and consequences of these interactions, they open up breaches and fractures in the political, ideological and economic order that dominates the city and its space. They thus make possible the emergence and survival of forms of otherness in the public sphere and the public space. / Doctorat en Arts du spectacle et technique de diffusion et de communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le franquisme et la production de la ville : politiques du logement et de l’urbanisme, mondes professionnels et savoirs urbains en Espagne des années 1930 aux années 1970 / Francoism and urban production : housing and urban policies, professionals and urban science in Spain from the 1930's to the 1970's

Vaz, Céline 13 December 2013 (has links)
Urbanisation désordonnée, manque d’équipements urbains, prééminence de la promotion privée dans la production de logements, domination de la propriété d’occupation, telles sont les caractéristiques du développement urbain et immobilier sous le régime franquiste, qui ont perduré jusqu’à aujourd’hui pour certaines d’entre elles. Cette ville « sans qualité » constitue un objet de préoccupation sociale majeur et une voie de contestation du régime dans les dernières années de la dictature franquiste. Le mode de production de la ville qui se met en place durant l’époque franquiste, et la question urbaine sur lequel il débouche, constituent l’objet de cette thèse. Cette recherche repose sur l’analyse conjointe des politiques nationales d’urbanisme et du logement, et du groupe professionnel des architectes. Ce choix a été guidé par un double constat. L’interventionnisme du régime franquiste s’est en effet aussi concrétisé dans les domaines du logement et de l’urbanisme : un ensemble d’organismes centraux, de dispositions et de dispositifs officiels ont ainsi encadré et déterminé le mode de production urbaine. Les architectes, par la position particulièrement privilégiée qu’ils occupent dans le secteur de la construction en Espagne, jouent un rôle clé dans l’élaboration et la mise en œuvre de ces politiques. Des membres du groupe professionnel sont par ailleurs les fers de la critique urbaine à la fin de la dictature. Ce dispositif de recherche permet d’étudier la constitution de l’espace urbain et immobilier en catégorie de l’action publique et les effets de ce processus sur les champs professionnel et scientifique sur l’ensemble de la période franquiste. Il offre les bases d’une histoire sociale des politiques urbaines qui éclaire à la fois l’histoire du régime franquiste, l’histoire des sciences sociales de la ville, ainsi que la sociologie de l’action publique et des groupes professionnels. / Francoism and urban production. Housing and urban policies, professionals and urban sciences in Spain from the 1930's to the 1970's.An urban model oriented towards growth, lack of public facilities and infrastructure, high proportion of owner-tenancy, shortage of public housing, or the relevance of real state in the national economy are some of the characteristics of Spain’s urban development during Franco’s dictatorship. It became a main social concern and way to criticize Franco’s regime at the end of the dictatorship. The aim of this PhD thesis is to study the mode of production of Spanish cities during the dictatorship and the social urban movement at the end of the regime. This research is based on the double analysis of national urban planning and housing policies and of the role of one of their principal actors: the architects. During the Franco’s era, State’s intervention was indeed reflected on housing and town-planning through a set of central institutions or bodies, of legal provisions and official measures. Theses decisions determined the mode of urban development. Owing to their privileged position in the building sector in Spain, architects play a key role in the definition and implementation of these policies. Moreover, some architects were years later the leaders of urban criticism and urban social movement. This set-up brings into light the development, if not the constitution, of the urban space as a category of public action during the Franco years, as well as its effects on the professional and scientific fields. This PhD thesis intends to constitute a social history of urban policies during the Franco’s era (1939-1975). Through this approach, it contributes to a better knowledge of the history of this period, of the history of urban social sciences and public action and of the sociology of professions.

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