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In search of Asterius : studies on the authorship of the homilies on the psalms /Kinzig, Wolfram, January 1990 (has links)
Diss.--Evangelisch-Theologische Fakultät--Heidelberg--Ruprecht-Karls-Universität, 1988.
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Asterius von Kappadokien : die theologischen Fragmente /Vinzent, Markus. January 1993 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Katholisch-Theologische Fakultät--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1991. / Notes bibliogr. Bibliogr. p. 327-347. Index.
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Vergangenheitsbezug in der zweiten Sophistik? : die Varia Historia des Claudius Aelianus /Stamm, Caroline. January 2003 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Freiburg im Breisgau--Albert-Ludwigs-Universität, 1995. / Bibliogr. 287-298.
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Discours 34, 35, 36 et 43 de Libanios : édition, traduction et commentaire / Orations 34, 35, 36 and 43 by Libanius : edition, translation and commentaryBry, Catherine 19 November 2016 (has links)
Cette thèse présente une nouvelle édition critique de quatre discours de Libanios : les discours 34 (En réponse aux médisances du pédagogue), 35 (À ceux qui ne prennent pas la parole), 36 (Sur les maléfices), et 43 (Sur la convention), ainsi que de nouvelles traductions commentées. Ce premier ensemble est complété par des études thématiques prenant en compte la dimension rhétorique et historique de ces textes. Le corpus libanien a joué un rôle déterminant dans l’émergence et le développement des études sur l’Antiquité tardive. Une nouvelle approche de ces quatre textes offre un intérêt indiscutable pour la connaissance du monde scolaire de cette époque : ils délivrent un grand nombre d’informations sur l’univers et le statut des maîtres de rhétorique, sur le rôle social de l’école et la place de la rhétorique dans l’enseignement. Ils constituent ainsi une source très riche pour l’histoire institutionnelle, culturelle et sociale du IVe siècle ap. JC. Leur contribution à l’histoire de l’espace urbain d’Antioche, champ de recherche actuellement en cours d’exploration, ne doit pas non plus être dédaignée. / This thesis presents a new critical edition of four orations by Libanius : oration 34 (in response to the pedagogue’s badmouthing), 35 (To those who do not speak), 36 (About witchcraft) and 43 (About the convention) and new translations with commentaries. This first set is completed by thematic studies taking into account the rhetoric and historical dimension of these texts. The Libanius corpus played a key role in the emergence and development of Late Antiquity studies. A new approach to these four texts offers an undisputable interest for the knowledge of the school world of that time; they issue indeed a lot of information about the world and the status of teachers of rhetoric, on the social role of the school and the place of rhetoric in education. They constitute a very rich source for institutional, cultural and social history of the 4th century AD. Their contribution to the history of the urban area of Antioch, search field currently being explored, should not be left out.
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Apparences et dialectique dans le Sophiste de PlatonZaks, Nicolas 23 April 2016 (has links)
Apparences et dialectique dans le Sophiste de Platon (résumé) A la différence des commentateurs qui estiment que seul le cœur du Sophiste (236d-264b), voire seule la partie constructive de ce cœur (251a-264b), est digne d’intérêt, j’ai tenté de produire, dans ma thèse de doctorat, un commentaire qui parvienne à articuler les différentes parties du Sophiste et à mettre en évidence leur unité. Pour restituer cette unité, il m’a semblé plausible et fécond de me concentrer sur la différence entre les apparences (ou les jugements perceptifs, cf. 264a-b), qui peuvent être vraies ou fausses, et la dialectique (ou la science suprême, cf. 253c), qui ne peut pas ne pas être vraie. Cette distinction correspond en effet à la distinction fondamentale et structurante pour le platonisme entre la doxa et l’epistêmê que les commentateurs semblent le plus souvent négliger quand ils interprètent le Sophiste. L’effort de ma recherche consistait donc à montrer que, dans le Sophiste, Platon, loin d’oublier que la science et l’opinion diffèrent, maintient une distinction entre, d’une part, l’expérience interrogative, dialogique et productive de la connaissance, dont le critère de vérité est la cohérence avec soi-même, et, d’autre part, l’acte prédicatif et propositionnellement structuré consistant à juger, dont le critère de vérité est la correspondance avec son objet empirique. La progression argumentative du Sophiste confirme une telle thèse. En effet, opérer le distinguo entre dialectique et apparences permet d’expliquer pourquoi, dans la coque du dialogue (216a-236d ;264b-268d), la méthode de division, qui est la méthode propre à la science dialectique, est appliquée au sophiste de sept façons différentes. C’est que l’étranger cherche, en entrelaçant méthodiquement des déterminations, à clarifier dialectiquement les différentes façons dont le sophiste apparaît à lui-même et à Théétète. Dans cette lecture, seules ces différentes apparences sont susceptibles d’être vraies ou fausses ;les entrelacements dialectiques qui permettent de les expliciter ne peuvent, quant à eux, qu’être vrais. En outre, la partie qui opère la transition de la coque au cœur du Sophiste (232b-236d) peut se lire comme une thématisation progressive du rôle de l’art sophistique dans la production des apparences qui le concernent. Il est vrai que cette partie transitionnelle est aussi l’occasion, pour l’étranger, de basculer vers le paradigme de l’image. Cependant, j’ai essayé de montrer que ce basculement intervient dans le but de réserver au sophiste la production d’apparences fausses intrinsèquement associées à tout type d’image et singulièrement aux simulacres. Quant à la partie aporétique (236d-251a) du cœur du Sophiste, elle se lit volontiers comme un travail extrêmement complexe de mise au jour des incohérences qui surgissent lorsque sont suivies, relativement à l’être et au non-être, les apparences non-conformes qui gouvernent les spéculations pré-platoniciennes. Restait à démontrer l’applicabilité de ma thèse à la partie constructive du cœur du dialogue. Schématiquement, j’ai cherché à montrer que le coup de force de l’étranger contre Parménide (251a-259d) n’a pas pour fonction d’établir une ontologie pour la prédication (comme on le croit le plus souvent), mais qu’il permet principalement d’assurer les conditions de possibilité de la dialectique (cf. 259d-260a). Une telle façon d’envisager les choses dissout la plupart des problèmes soulevés par la littérature secondaire concernant cette partie du Sophiste :puisque l’étranger ne considère pas que le mélange du Mouvement avec les autres très grands genres donne lieu à des « états-de-choses » complexes rendant vraies ou fausses des propositions structurées prédicativement, mais qu’il estime plutôt que ce mélange garantit la disponibilité d’un genre unique susceptible d’être divisé dialectiquement, il n’est plus nécessaire d’arracher du cœur du dialogue une distinction anachronique entre l’identité et la prédication (256a-b) ni d’y trouver à tout prix une explication de la prédication négative (257b-c) ou de la raison pour laquelle le Mouvement n’est pas prédicativement au repos (252d, 254d, 255a). Enfin, c’est seulement après avoir effectué ce coup de force garantissant la possibilité de la science dialectique que l’étranger peut, en adaptant sa nouvelle conception du non-être comme altérité à la structure des énoncés, des jugements et des apparences, démontrer la possibilité de la fausseté de ces phénomènes (260a-264b). Une telle logique argumentative conditionnant la fausseté de l’opinion à une clarification préalable de la science est en accord complet avec le programme annoncé par Socrate en Théétète 200c-d et confirme définitivement ma thèse. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Machiavel et le(s) machiavélisme(s) : l’esprit du droit / Machiavelli and Machiavellianism : the spirit of rightSinéty, Jocelyn de 09 November 2018 (has links)
Le sens commun et la philosophie se disputent la signification qu’il convient de donner à l’œuvre de Machiavel. Le premier l’accuse d’être pire qu’un sophiste car son rôle historique serait d’avoir inoculé la perversité dans la théorie et la pratique politiques. La seconde prétend qu’il serait l’un des fondateurs de la science politique moderne qui aurait avec lucidité défini les conditions de la raison d’État. Nous essayons d’abord de rendre justice à ces interprétations qui mettent chacune en lumière un aspect fondamental de l’enseignement machiavélien : d’une part, la nécessité « d’entrer dans le mal » en politique pour sortir la société de l’anomie, et, d’autre part, l’impossibilité que le sujet qui s’y résout soit bien intentionné et bien avisé. Le sujet du machiavélisme, en effet, est dans un rapport d’étrangeté à l’institution objective de l’État et à l’universel ; il veut et pense son « stato », et non l’État. Pour autant, paradoxalement, c’est parce qu’il est doué de malignité qu’il peut participer à l’effectivité du droit. Nous essayons donc de montrer, ensuite, comment Machiavel s’est efforcé de résoudre ce paradoxe. Son originalité consiste à ne pas se fier aux réquisits idéalistes de la raison pratique : ni à ceux de la moralité sociale, ni à ceux de l’éthique conséquentialiste. Dans une perspective matérialiste, il opte au contraire pour un conseil équivoque adressé à une pluralité de destinataires ; des destinataires bornés, aux appétits opposés, mais capables de se réfréner et de se corriger mutuellement, malgré eux. Car notre thèse, enfin, est que la « république » performativement activée par ses conseils est un État non-hégélien, un régime d’équilibre écologique entre des puissances socio-politiques d’espèces différentes mais appariées. / Common sense and philosophy are arguing about the interpretation of Machiavelli’s works. The first one accuses him of being even worse than a sophist, because his historical part would have been to inoculate perversity in political practice and theory. Whereas the second one claims that he would be one of the first builders of modern political science, who would have thought with lucidity the conditions of reasons of State. At first, we try to defend the pertinency of those interpretations, which bring to light, both, a fundamental aspect of Machiavellian’s lessons: the necessity, on the one hand, of “getting into the evil” in politics, in order to rise the society out of anomie, and, on the other hand, the impossibility for the subject who resolves to do it of being well-intentioned and well-advised. The subject of Machiavellianism, indeed, is in a relation of strangeness to the objective institution of State and to universal; he wants and thinks his "stato", and not the State. Paradoxically, however, it is because he is endowed with malignity that he can take part in the effectiveness of right. We then try to show how Machiavelli strove to solve this paradox. His originality consists in not relying on the idealistic requisites of practical reason: neither those of social morality nor those of consequentialist ethics. From a materialistic perspective, he opts for an equivocal advice addressed to a plurality of recipients; narrow-minded recipients, with opposite appetites, but able to restrain and to enhance one another, in spite of themselves. Our thesis, finally, is that the "republic" performatively activated by his advice is a non-Hegelian state, an ecological balance order between socio-political powers of different but paired species.
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Alcidamas d'Élée discours et fragments : avec introduction, texte, traduction, notes et commentaire des fragments et témoignages d’Alcidamas d'Élée, suivi d'une étude sur la constitution d'un vocabulaire psychologique chez Alcidamas / Alcidamas of Elea discourses and fragments : with introduction, text, translation, notes and commentary of the fragments and testimonials of Alcidamas, followed by a study about the constitution of a psychological vocabulary in Alcidamas’ work.Tramonte, Julie 17 December 2015 (has links)
L'objectif de ce travail est de donner accès aux discours, fragments et témoignages d'Alcidamas d'Élée (IVè s. avant J.-C.), orateur originaire d’Asie mineure, disciple de Gorgias et grand rival d'Isocrate. Cet auteur est une figure méconnue car marginale de l'histoire de la philosophie: l'établissement de ses textes sur de nouveaux frais puis leur analyse fournissent des éléments qui mettent en évidence des éléments conceptuels récurrents dans sa pensée et qui nous permettent, donc, de dessiner les contours d’une cohérence dans la réflexion du penseur. Ce travail comprend une première partie introductive et méthodologique où sont abordés les problèmes posés par la nature du corpus fragmentaire et la nature de la citation, l'état de la recherche et les raisons qui rendent nécessaire la retraduction de l'oeuvre alcidamantéenne. La deuxième partie est la traduction proprement dite: les discours, fragments et témoignages sont édités avec un apparat actualisé, une notice introductive, une traduction ainsi que de nombreuses notes complémentaires. Une étude lexicale synthétique du vocabulaire psychologique est proposée en troisième partie et vise à démontrer l'existence chez Alcidamas de la constitution d'un vocabulaire psychologique philosophiquement dense. Cette étude permettra de montrer en quoi le vocabulaire de la psychologie permet de se forger une idée de la cohérence des apports et de la pensée novatrice d’Alcidamas. / The main purpose of this work is to give access to the discourses, fragments and testimonials of Alcidamas of Elea (4th century BC), a rhetor born in Asia Minor, Gorgias' disciple and Isocrates’ great rival. This author is a relatively unknown figure of the history of philosophy.This work includes a first part introductive and methodological where are treated the problems posed by the very nature of the fragmentary corpus and of the quotation in Ancient Greece, the state of investigation and the motives why it is necessary to retranslate Alcidamas’ works. The second part is the translation itself: the discourses, fragments and testimonials are edited with an updated critical apparatus, an introduction, a translation and numerous complementary notes. A synthetic lexical study of the psychological vocabulary makes up the third part and aims to prove the existence in Alcidamas’ works of a philosophically consistent psychological vocabulary. This study will allow us to show the reason why a psychological vocabulary puts the emphasis on the coherence and innovative view of Alcidamas.
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Division et dialectique : évolution et unité dans les dialogues tardifs de PlatonLalande-Corbeil, Anna-Christine 12 1900 (has links)
Le présent mémoire décrit le rôle et l’application de la méthode platonicienne des divisions telle que
décrite dans le Sophiste, le Politique, le Phèdre et le Philèbe. Il met en relief les différences et les
similitudes du rôle et de l’application de la méthode dans ces quatre dialogues, afin d’analyser la
possibilité ou bien de postuler l’unité de la doctrine platonicienne, ou bien de retracer les lieux de son
évolution. Certains auteurs du siècle dernier affirment qu’il n’est pas possible de retracer quelque
évolution que ce soit dans la doctrine, et estiment même que la méthode des divisions est utilisée bien
au-delà de ces quatre dialogues, et que son absence des dialogues de jeunesse ne doit en aucun cas
être prise pour une absence de la doctrine de l’époque. D’autres sont au contraire convaincus que la
méthode des divisions est propre à un stade de la pensée de Platon qui ne peut être que postérieur à
l’introduction de la théorie des Formes intelligibles, et que cette méthode incarne même, à toutes fins
pratiques, la dialectique platonicienne des dialogues tardifs. / This thesis aims to describe the role and application of Plato's method of divisions as it is seen and
described mainly in Sophist, Statesman, Phaedrus, and Philebus. Through analysis of similarities and
differences of the method in the different dialogues I intend to describe the possibilities of claiming the
unity of Plato's doctrine, or to see in which regards it has evolved. In the last century some authors
were convinced that no such evolution could clearly be seen in Plato's thought, and that the method of
divisions was to be found in a lot of passages both before and after the four dialogues mentioned
above, whereas others argue that the method of divisions is to be seen as specific t the later dialogues,
because it cannot possibly be used before the introduction of the theory of the Forms, and further, that
it is to be identified with Plato's later method of dialectic.
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La lecture aristotélicienne du non-être chez Platon : le platonisme comme une pensée de l’être en puissanceDrouin-Léger, Phillip 04 1900 (has links)
Il est souvent dit que l’aristotélisme représente un renversement du platonisme. Or, une lecture de Mét. N.2 nous porte à croire qu’il s’agit moins d’un renversement que d’un dépassement. Cette thèse a l’ambition d’étudier ce dépassement selon un point de vue spécifique, celui de l’être en puissance. En effet, dans le deuxième chapitre du livre N de la Métaphysique, Aristote critique les platoniciens pour avoir cru que tous les étants seraient « un » s’ils ne réfutaient pas l’argument de Parménide selon lequel il est impossible de contraindre le non-être à être. Aristote identifie ensuite l’erreur fondamentale des platoniciens comme étant d’avoir dit que le non-être « est » et il suggère à la fin de N.2 que le principe que Platon cherchait était véritablement celui de l’être en puissance. Ainsi, faute d’avoir bien distingué les sens de l’être et du non-être, Platon aurait été incapable de penser la distinction entre être en acte et être en puissance, ce qui, selon Aristote, le condamnerait à rester un penseur de l’être en puissance, voire de l’être matériel. L’analyse portera d’abord sur l’importance du Sophiste pour le projet platonicien, car Aristote soutient que ce dialogue est le lieu où s’enracine l’erreur de son maitre. Ensuite, nous démontrerons l’importance du non-être dans la conception aristotélicienne de l’être en puissance par une lecture des passages pertinents du livre Q de la Métaphysique. Ayant établi que Platon intègre le non-être au sein de l’être dans le Sophiste et que l’être au sein duquel il y a non-être est l’être en puissance pour Aristote, nous serons à même de lire N.2 de près dans notre chapitre central, afin de libérer entièrement la conception aristotélicienne du non-être de celle de Platon. Enfin, notre dernier chapitre mettra en évidence à la fois les raisons pour lesquelles le principe « matériel » de Platon est insuffisant pour Aristote et les raisons pour lesquelles de toute façon, un principe premier ne peut jamais être une matière. Cela nous permettra de conclure que selon Aristote, les idées platoniciennes ne sont que des composés matériels, des êtres en puissance, voire de simples possibles. / It has often been said that Aristotle’s philosophy represents an overturning of Platonism. Yet, a close reading of the second chapter of Book N of the Metaphysics reveals that we call an overturning might be closer to a surpassing. This thesis will explore this surpassing from a specific point of view, that of potential being. Indeed, in the aforementioned second chapter of Book N, Aristotle criticizes Platonists for having believed that all beings would form a single one if they did not refute Parmenides’ argument against the being of non-being. Aristotle then situates the Platonists’ fundamental mistake as having argued that non-being in some way « is ». However, Plato did not need to make non-being « be » he simply needed to think the multiplicity of ways which being can be said. Only then would he have found the principle of multiplicity that he wanted : potential being (dunamei on). Hence, having failed to notice that being is said in many ways, he could never think « matter » through properly. This, according to Aristotle, condemns Plato to a thought of potential being and material being. In order to argue for this position, we will firstly establish the importance of the Sophist in the platonic project, for as we have said, Aristotle places the Platonist mistake squarely in this dialogue. Secondly, we will need to show how Aristotle’s concept of non-being is central to his conception of potential being. We will do this by offering a close reading of the relevant passages of Book Q of the Metaphysics. Having established in the first chapter that Plato does indeed integrate non-being into being in the Sophist and in the second that Aristotle considers being penetrated by non- being to be merely potential being, we can read N.2 with more precise knowledge of the platonic « error » and in turn liberate Aristotle’s conception of non-being from Plato’s ; the topic of our third chapter. Finally, in our fourth chapter we will show why platonic conceptions of matter can never be adequate for Aristotle and explore the consequences of not having properly distinguished actual being from potential being, namely all of Plato’s principles are merely potential principles and not actual ones. Hence, we can conclude that for Aristotle, Plato’s ideas and principles of being are composite potential beings, close to mere possibilities.
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