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Évolution des paysages irrigués dans le Souss Oriental (Maroc)Boujnikh, Mohamed 11 February 2008 (has links)
Situé à l’est de Taroudant, l’ancienne capitale saâdiene, le pays des Ouled-Berrhil occupe une grande partie de la plaine amont du Souss. La majorité des paysages agraires de cet espace est encore aujourd’hui liée au fonctionnement des vieux systèmes hydrauliques. Pendant des siècles, ces systèmes sont et restent essentiels à la survie des vieux terroirs paysans. En effet, une grande partie des communautés villageoises vit principalement de céréales, cultivées surtout dans des terroirs de crue (faïd), mais également des oliviers, et de la luzerne des terroirs irrigués. Toutefois, ces dernières années ces systèmes hydrauliques sont entrés en concurrence avec d’autres, plus modernes, et fondés sur les performances hydrauliques de la motopompe. Ajouté à la multiplication des périodes sèches, ce nouveau système – le pompage - a engendré la mort des vieux systèmes traditionnels : l’entretien des galeries drainantes (khettaras) est devenu inutile devant la baisse considérable du niveau des aquifères, et les ouvrages qui servaient au captage permanent des inféroflux se sont brutalement transformés en simples ouvrages périodiques de dérivation des eaux faïd. Même les puits à dlou (irghrare) et les norias, premières manifestations de l’« individualisme » hydraulique, ont été remplacés par des motopompes. En peu de temps, la « fatalité » de la motopompe a transformé les bour et les arganeraies en grandes exploitations irriguées, et a crée de nouveaux paysages portant des cultures commerciales nouvelles. Cette dernière n’a d’ailleurs pas uniquement remodelé le paysage, elle a aussi entraîné de profonds bouleversements sociaux. Les paysans n’ayant pas les moyens de creuser un puits et de s’offrir une motopompe, ont été amenés à vendre parcelles et terrains à de grands exploitants capitalistes. Certains ont fui les douars pour les grandes villes, d’autres ont préféré rester dans la région. Ces derniers offrent généralement leurs services dans les grandes exploitations agrumicoles ou dans les nouveaux centres urbains où ils travaillent dans le bâtiment. Face à ces changements, le développement de cette partie du Souss, qui dépend totalement de ses ressources en eaux souterraines, a commencé à être troublé par la surexploitation des réserves aquifères. Situation de plus en plus inquiétante, surtout lorsque l’on prend conscience du fait que les barrages – en principe – destinés à la recharge de la nappe, sont loin de garantir un équilibre hydraulique. / No summary in English / Situado al este de la antigua capital saadiense, Taroudant, el país de los Ouled-Berrhil ocupa una gran parte de la llanura oriental del Souss. La mayor parte de los paisajes agrarios de este espacio están hoy todavía vinculados al funcionamiento de los antiguos sistemas hidráulicos. Desde varios siglos, estos sistemas son y siguen siendo esenciales a la superviviencia de los antiguos terruños campesinos. En efecto, al dia de hoy una gran parte de las comunidades aldeanas viver principalmente de cereales, cultivadas sobre todo en los terruños faïd, pero también de los olivos, y de la alfalfa en los terruños irrigados. No obstante, en estos últimos años, estos sistemas hidráulicos han estado en competencia con otros, más modernos, y basados en una técnica más avanzada, siendo la motobomba el mayor artefacto empleado. Añadido a la multiplicación de los periodos secos, este nuevo sistema – el bombeo – ha generado la muerte de los sistemas tradicionales : el manteninsiento de las khettaras se había vuelto inútil frente a la considerable bajada del agua freatica, y las obras que servían a la captación permanente de los inferoflujos se han transformado brutalmente en simples obras periódicas de derivación de las aguas faïd. Los irghare y las norias, primeras muestras del “individualismo” hidráulico, han sido substituido por motobombas. En poco tiempo, la “fatalidad” de la motobomba ha transformado los bures y arganares en grandes explotaciones irrigadas, y ha creado nuevos paisajes que llevan cultivos comerciales. Pues esta ultimano no solo ha reestructurado el paisaje, también ha generado hondos trastornos sociales. No teniendo los campesinos los recursos para cavar un poso y adquirir una motobomba, han sido obligados a vender parcelas y terrenos a grandes explotadores capitalistas. Algunos han huido los aduares a favor de las grandes ciudades, otros han preferido quedarse en la región. Estos ofrecen generalmente sus servicios en las explotaciones agrumicolas o en los nuevos centros urbanos, donde trabajan en la construcción. Frente a estos cambios, el desarrollo de esta parte del Souss, que depende totalmente de sus recursos en aguas subterráneas, ha empezado a ser perturbado por la sobreexpoltación de las reservas freaticas. La situación es cada vez mas inquietante, sobre todo cuando se toma conciencia de que las presas – por lo que dicen – destinadas a recargar la capa freatica, son lejos de garantizar un equilibrio hidráulico.
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Etude de la recharge artificielle des nappes en zone semi-aride : application au bassin du Souss-Maroc / Study of artificial recharge in semiarid : application of Morocco Souss- BasinBouragba, Latifa 02 February 2011 (has links)
La plaine du Souss est délimitée au nord par le Haut-Atlas, au sud par l’Anti-Atlas et à l’estpar le massif cristallin de Siroua. Les principales formations géologiques sont des marnocalcaireset conglomérats assez perméables, les calcaires du Turonien qui leur sont sousjacentset le lit fossile de l’oued Souss composé d’alluvions sablo-graveleuses trèsperméables.La nappe du Souss est la plus importante du sud du Maroc, elle est très exploitée par unsecteur agricole exportateur, la surexploitation de la nappe s’est traduite par une baissecontinue des niveaux. Depuis 1970, les prélèvements dépassent de loin les ressourcesrenouvelables de la nappe (déficit : 185 Mm3 en 1976, 358 Mm3 en 1998, 228 Mm3 en 2003).Le barrage d’Aoulouz est principalement destiné à la recharge artificielle de la nappe par deslâchers d’eaux stockées pendant les périodes pluvieuses. En zone semi-aride, une estimationprécise de la recharge est souvent délicate, la variabilité spatio-temporelle de la recharge étantgénéralement forte et les processus variés.Ce travail a permis de mieux caractériser l’impact de la recharge sur la nappe et d’évaluer letemps de séjour et le renouvellement des eaux souterraines.L’évolution de la piézométrie à la suite des lâchers d’eau à partir du barrage Aoulouz montredes remontées locales du niveau piézométrique sur la haute plaine, environ 85% des eauxlâchées à partir du barrage d’Aoulouz s’infiltrent 80 km entre Aoulouz et Taroudant.Toutefois, le niveau général de la nappe continue de baisser.Le faciès géochimique est principalement bicarbonaté calcique (dissolution des carbonates), etpar endroits sulfaté calcique (évaporites au pied du Haut-Atlas). Les eaux de surface ont unfaciès bicarbonaté calcique et magnésien acquis lors de leur circulation sur des calcaires et desdolomies.[...] / The Souss valley is bounded to the North by the High Atlas, to the South by the Anti-Atlasand to the East by the Siroua crystalline massif. The main geological formations arecalcareous marls of the Plio-Quaternary, the Turonian limestones that underlie them, and thefossil bed of River Souss formed by sands, sandstones and gravels from high permeabilityalluvium.The Souss aquifer is the most significant aquifer in southern Morocco, highly exploited by anagricultural exporting activity. Groundwater overexploitation induced a decreases ofpiezometric heads. Since 1970, water demand far exceeds renewable groundwater resources(balance defecit: 185 Mm3 in 1976, 358 Mm3 in 1998, and 228 Mm3 in 2003).The mean role of the Aoulouz dam is the artificial recharge of the Souss plain by release ofwater stored during rainy periods in the plain.In semi-arid areas, estimating recharge is often difficult, the spatial and temporal variabilitiesof recharge are generally high, and processes are varied.This work has enabled to characterize the impact of artificial recharge and to estimate therenewal of water in the aquifer.Water releases from Aoulouz dam has permitted an increase of the piezometric level on thehigh plain, about 85% of the water released are unfiltered in the first 80 Km between Aoulouzand Taroudant cities. However, the general water level decline goes on.The geochemical facies is mainly calcium bicarbonate type (dissolution of limestone), andlocally calcium sulphate type (evaporites of the High Atlas). Surface waters are a calcium andmagnesium bicarbonate types, acquired during their flow through limestones and dolomitesoutcrops.[...]
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Archéologie du peuplement médiéval et moderne de la plaine de Taroudant et des piémonts des Atlas (Maroc) / Medieval and modern settlement in the Taroudant plain and the Atlas foothills (Morocco) : an archaeological studyGodener, Morgane 23 June 2016 (has links)
La plaine du Sous, au cœur de laquelle est implantée la ville de Taroudant, est une grande plaine alluviale du Sud-ouest marocain. Les sources historiques témoignent de la richesse agricole de cette région, dont le contrôle a représenté un enjeu stratégique pour les pouvoirs centraux successifs tout au long des périodes médiévale et moderne. Elle offre ainsi l’opportunité d’examiner l’occupation d’un territoire entre centres de pouvoir, grands programmes d’aménagement, fortifications et établissements ruraux. Encadrée par les chaînes montagneuses du Haut Atlas et de l’Anti-Atlas, elle constitue également un espace privilégié pour analyser les liens entre zones de plaine et secteurs de piémont. Cette thèse propose ainsi d’examiner l’évolution du peuplement de la plaine et des piémonts adjacents, autour de la capitale Taroudant, du début de l’époque médiévale au début de l’époque moderne (VIIIe-début du XVIIe siècle). Fondée sur une enquête de terrain, cette étude s’appuie sur un corpus de sites archéologiques en grande partie inédit. L’analyse des modes de construction, des structures, et du mobilier de surface a permis de préciser les caractéristiques de la culture matérielle de la région. L’organisation et l’implantation des sites ont également été examinées afin de comprendre les modalités d’installation des populations et leur évolution sur l’ensemble de la période concernée. La ville de Taroudant a par ailleurs fait l’objet d’une analyse spécifique pour cerner l’évolution du centre urbain et son insertion dans un territoire à forte dominante agricole. Enfin, l’ensemble de ces données a été mis en perspective afin de proposer une analyse diachronique du peuplement de la région. / The Sous plain, in the heart of which the city of Taroudant is settled, is a large alluvial plain in south-west Morocco. Historical sources attest to the agricultural wealth of this region, whose control has been a strategic issue for successive central governments throughout the medieval and modern periods. It thus offers the opportunity to consider the occupation of territory between power centers, major development programs, fortifications and rural settlements. Surrounded by the mountain ranges of the High Atlas and Anti-Atlas, it is also a privileged space to analyze the connections between lowlands and foothills areas. This thesis proposes to examine the evolution of settlement in the plain and adjacent foothills, around the capital Taroudant, from early medieval times to early modern period (VIIIth-early XVIIth century). This study is based on fieldworks, and on a corpus of archaeological sites, which are new for the most of them. The analysis of modes of construction, structures, and surface material allowed to specify the characteristics of the material culture of the region. The organization and location of these sites were examined as well in order to highlight settlement forms and their evolution throughout the period. A specific analysis has also been carried out on the capital city, Taroudant, for identifying changes in the urban center and its insertion in an area dominated by agriculture. Finally, all of these data have been put in perspective to offer a diachronic analysis of the settlement in this region.
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Les conflits autour de l'eau au Maroc: origines sociopolitiques et écologiques et perspectives pour une transformation des conflits.<br />(Konflikte um Wasser in Marokko: ökologische und soziopolitische Konfliktursachen sowie Möglichkeiten der Konflikttransformation)Houdret, Annabelle 18 December 2008 (has links) (PDF)
La pénurie croissante en eau douce provoque de plus en plus souvent des conflits parfois violents. Compte tenu de la forte influence des structures sociopolitiques locales sur la gestion de l'eau, l'émergence et le traitement des conflits, au delà du contexte environnemental, sont surtout une question de gouvernance. Le travail présent cherche à répondre aux trois questions de recherche centrales suivantes : (1) Quelles sont les causes politiques, écologiques et socio-économiques structurelles de l'émergence et de l'escalade des conflits autour de l'eau ? (2) Quelles sont les possibilités de médiation, de prévention et de transformation de ces conflits que nous pouvons développer sur la base des connaissances acquises à travers l'étude de cas? Et (3) comment une étude de cas locale peut-elle contribuer au développement d'une approche théorique plus générale et quels enseignements pour l'approche méthodologique pouvons-nous en tirer? <br />L'objectif essentiel de ce travail est de comprendre, à l'exemple du Maroc, comment différents facteurs politiques, sociaux, économiques influencent l'émergence et le déroulement des conflits autour de l'eau. L'étude est organisée en neuf chapitres. Dans un premier temps, nous introduisons la thématique et l'état de la recherche. Au delà de l'impact de la pénurie en eau dans la région du Proche et Moyen Orient et de l'Afrique du Nord nous analysons également le rôle politique particulier de l'agriculture irriguée et les implications sécuritaires de la pénurie. Le deuxième chapitre évalue l'état de la recherche dans trois domaines proches de notre problématique : la recherche sur la sécurité environnementale, les théories de la gestion des biens communs, et la recherche sur les conflits. Sur la base de notre constat des forces et des faiblesses des théories existantes, nous développons notre approche d'analyse et méthodologique et présentons nos hypothèses de travail (chapitre 3). Celles-ci assument qu'une combinaison de processus de marginalisation écologique et socio-économique provoque les conflits autour de l'eau. Nous présumons aussi que le succès d'initiatives de médiation dans ces conflits dépend de la légitimité des intervenants, et que les organisations locales jouent un rôle important à cet égard. <br />Les chapitres 4 et 5 sont consacrés à l'analyse des structures politiques et socio-économiques du Maroc dans le but d'identifier de potentielles causes structurelles de conflits. Le système politique et la position particulière du roi ainsi que ses alliances traditionnelles avec les élites rurales se trouvent au centre du quatrième chapitre. Nous concluons que le système socio- politique marocain se trouve aujourd'hui dans un processus de mutation conditionné par la faible légitimité des institutions démocratiques, la popularité croissante des acteurs de la société civile mais aussi de groupements religieux, et l'émergence d'une nouvelle élite. Le cinquième chapitre se concentre sur les changements dans la politique de l'eau et de l'agriculture et des conflits potentiels qui en résultent. Nous identifions la pénurie en eau, la libéralisation économique, une décentralisation inachevée et les grandes disparités entre les zones rurales et urbaines comme problèmes cruciaux et potentiellement conflictuels du développement rural. <br />L'étude de cas dans la zone du Souss au Sud du Maroc se trouve au centre des chapitres 6 et 7. Dans le sixième chapitre, nous analysons la situation paradoxale de la simultanéité d'une forte dégradation des ressources eau et terre dans la région d'une part, et de son importance stratégique pour les cultures agricoles hautement rentables d'autre part. Dans ce contexte, nous étudions également la marginalisation croissante des petites exploitations agricoles ainsi que les problèmes de la gestion de l'eau. Par ailleurs, nous analysons le projet pilote d'un partenariat public-privé pour l'irrigation. Au-delà de l'étude du montage financier et technique de ce projet, nous révélons également ses implications politiques et environnementales. Dans cette étude de cas, nous avons procédé à l'étude de sources bibliographiques mais surtout aussi à de nombreuses enquêtes de terrain. Le septième chapitre introduit d'abord notre typologie des conflits autour de l'eau et présente ensuite les résultats des enquêtes. Nous concluons entre autres qu'un profond décrochement entre petites et grandes exploitations agricoles a eu lieu dans les dix dernières années et qui s'accentue encore aujourd'hui. Par ailleurs, nous révélons la fréquence de l'affectation des petites, moyennes et grandes exploitations par différents types de conflits d'eau et évaluons le succès de différents médiateurs. Finalement, sur la base de ces données et compte tenu de l'impact du projet de partenariat public-privé, nous évaluons le potentiel de conflits présent et à venir dans cette région. Dans les chapitres 8 et 9, nous tirons les conclusions de notre étude de cas. Nous présentons premièrement les enseignements méthodologiques et analysons ensuite les tendances majeures concernant la continuité et le changement des relations entre la société marocaine, le gouvernement et le roi. Nous concluons le huitième chapitre par une analyse des possibilités d'une transformation des conflits autour de l'eau. <br />Le neuvième et dernier chapitre présente un concept pratique pour l'évaluation et la prévention des conflits autour de l'eau. Dans ce but, nous développons trois principes suivis d'une série de mesures pour leur mise en oeuvre: (1) le développement et la réalisation d'une compréhension globale de la politique de l'eau, (2) un meilleur diagnostic des conflits autour de l'eau et de leurs causes structurelles, ainsi que le soutien à leur transformation, et (3) une modification de la manière d'appréhender les conflits, orientée vers leur potentiel innovateur et de coopération. Finalement, nous résumons les résultats principaux de notre travail, signalons les défis essentiels liés aux conflits de l'eau à l'avenir et proposons des pistes de réflexion pour de nouvelles recherches dans ce domaine.
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Les souks et l'organisation de l'espace régional dans le Souss (Maroc)Mohaine, Abdelkader 26 May 1997 (has links) (PDF)
LE PHENOMENE SOUKIER EST FORT ANCIEN DANS LE SOUSS. LA PERIODE COLONIALE A TRES PEU AFFECTE LE RESEAU SOUKIER SOUSSI MAIS ELLE L'A MARQUE PAR LE DESEQUILIBRE QU'ELLE Y A INTRODUIT. LES AUTORITES DU MAROC INDEPENDANT ONT CONTINUE DANS LA MEME DIRECTION. SUR LE PLAN GEOGRAPHIQUE, LES SOUKS SOUSSIS SONT INEGALEMENT REPARTIS ET SONT GENERALEMENT DE PETITE TAILLE. LE SECTEUR DE L'ALIMENTATION PREDOMINE ET LA FONCTION D'APPROVISIONNEMENT DES SOUKS SOUSSIS DEMEURE IMPORTANTE. LE COMMERCE SOUKIER D'UNE PART ET LE COMMERCE RURAL FIXE PERMANENT ET LES CENTRES COMMERCIAUX FIXES ET ADMINISTRATIFS D'AUTRE PART SONT COMPLEMENTAIRES. CETTE ETUDE A FAIT RESSORTIR UNE OPPOSITION DE DEUX ESPACES : LES PLAINES DYNAMIQUES S'OPPOSENT AUX MONTAGNES VIVANT DANS UNE CERTAINE LANGUEUR. SUR LE PLAN ORGANISATIONNEL, LE SOUSS JOUIT D'UNE ARCHITECTURE ASSEZ COMPLETE DES SOUKS MAIS ELLE EST MAL REPARTIE. AUSSI LE RESEAU URBAIN SOUSSI EST BIEN HIERARCHISE, MAIS LES INFLUENCES URBAINES EXTERNES AU SOUSS SONT PARTOUT PRESENTES. LES AIRES D'INFLUENCE DES SOUKS ET DES CENTRES URBAINS SOUSSIS SONT CEPENDANT PARTOUT CONQUERANTES. LES HIATUS COMMERCIAUX (LES MONTAGNES ET LE DIR NOTAMMENT) SONT DE PLUS EN PLUS DESENCLAVES. DE FAIT, LE SOUSS EST UNE JUXTAPOSITION DE PLUSIEURS ZONES COMMERCIALEMENT DEPENDANTES ET DIFFEREMMENT STRUCTUREES. IL EST PAR CONSEQUENT ENCORE LOIN D'ETRE UNE REGION COMMERCIALE HOMOGENE. TOUT AU PLUS CONSTITUE T-IL UN "TERRITOIRE" EN VOIE DE FORMATION.
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