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Exploration longitudinale du trauma, de la résilience et de la guérison chez des adolescentes agressées sexuellement suivies par un Centre jeunesseDaigneault, Isabelle January 2003 (has links)
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Psychotraumatisme, troubles du sommeil et de l'éveil et effets sur le travailBuzatelu, Oana-Ileana. Louville, Patrice. January 2009 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine. Médecine du travail : Paris 12 : 2008. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. f. 71-78.
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Symptoms of posttraumatic stress disorder in young males diagnosed with testicular or lymphatic cancerRobitaille, Roxane January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Religiosité, spiritualité et régulation des émotions : le cas du Liban / Religiosity, spirituality and emotion regulation : Lebanon’s caseChemaly, Zeina Sama 22 January 2015 (has links)
Les publications disponibles s’accordent sur l’éventuel développement, suite à un évènement extrême, d’un trouble état de stress post-traumatique accompagné d’autres troubles comme l’anxiété et la dépression. Plusieurs variables moduleraient la relation entre l’évènement potentiellement traumatisant vécu et son impact. La présente étude, menée au Liban, s’intéresse particulièrement au rôle modulateur des croyances religieuses et spirituelles dans la modulation de cet impact, en mettant l’accent sur l’importance des émotions positives. Les données recueillies par l’entretien clinique, les échelles et les questionnaires et illustrées par des vignettes cliniques ont permis de formuler des définitions de la religiosité et de la spiritualité selon la population d’étude et d’évaluer les variables « consultation » et «confession », menant ainsi à des comparaisons intergroupes. Les résultats obtenus indiquent une association de la religiosité aux émotions négatives chez les participants en consultation psychologique. Par ailleurs, chez les participants tout-venant l’interprétation symbolique du contenu religieux et les émotions positives se sont révélées jouer un rôle important pour une meilleure santé mentale, malgré le grand nombre d’évènements de guerre vécus. Cependant, ce rôle s’avère différent selon les confessions. Les rôles importants de la foi et de l’espoir ont été mis en avant. / Available publications agree on the possible development of a post-traumatic stress disorder, accompanied by other disorders such as anxiety and depression, following an extreme event. Several variables modulate the relationship between the potentially traumatic event experienced and its impact. The present study, conducted in Lebanon, is particularly interested in the role of religious and spiritual beliefs, and positive emotions in modulating this impact.Gathered information from the clinical interview, scales and questionnaires, illustrated by some clinical vignettes, allowed to formulate definitions of religiosity and spirituality according to the studied population, and to assess the “counseling” and “religion” variables, leading to inter-group comparisons.Findings indicate an association of religiosity with negative emotions among participants in psychological counseling. Furthermore, the symbolic interpretation of religious content, and positive emotions, played an important role in the construction of a better mental health, among the other participants, despite the high incidence of war events experienced. However, this role seems to vary according to
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Résurgence des traumatismes chez le sujet âgé, impact sur un processus démentiel et traitement : étude en institution auprès de sujets atteints de la maladie d'Alzheimer / Trauma resurgence in the elderly, impact on a dementia process and treatment : institutional study in patients with Alzheimer's diseaseDelrue, Nicolas 01 December 2017 (has links)
Contexte – Cette recherche analyse les liens entre la pathologie démentielle de type maladie d’Alzheimer (MA) et le Trouble Stress Post Traumatique (TSPT) et vérifie si un traitement du TSPT chez les sujets souffrant de MA peut améliorer l’efficience de la mémoire épisodique, des fonctions cognitives globales et de la qualité de vie des patients. Méthode – Après avoir passé en revue la littérature sur les liens existants entre TSPT et pathologies de type MA, nous proposons l’hypothèse que la détection et le traitement d’un TSPT chez les sujets souffrant de MA pourrait améliorer la mémoire épisodique verbale et la mémoire autobiographique épisodique avec des effets positifs sur l’évolution de la pathologie démentielle. Nous présentons une recherche longitudinale, analysant les données recueillies auprès de 20 sujets cibles (TSPT et MA) et de 20 sujets témoins (MA sans TSPT). Durant trois sessions successives (T0, T1 et T2) séparées par des intervalles de six mois, les différentes composantes de la mémoire épisodique ont été suivies à l’aide de tests spécifiques. L’évolution d’une MA a été vérifiée avec le Mini-Mental State Examination (MMSE). Pour le groupe cible, la présence du TSPT et la qualité de vie ont été testées et un traitement du TSPT a eu lieu entre T0 et T1.Résultats – La littérature scientifique souligne des similitudes entre le TSPT et la MA, avec un rôle clé de la mémoire épisodique. Nos résultats confirment que le traitement d’un TSPT chez les sujets souffrant de MA améliore significativement tous les indicateurs testés : rappel et reconnaissance de mots, rappel immédiat et différé, rappel d’événements de vie, fonctionnement cognitif global et qualité de vie.Discussion/Conclusion – Des données solides existent en faveur de la proposition d’une détection systématique et d’un traitement du TSPT chez les patients avec MA. Cette recherche suggère une voie prometteuse pour les soins de patients atteints de MA et souffrant d’un traumatisme psychique non résolu. / Purpose – This research aims to analyze the links between Alzheimer’s disease (AD) and Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD) and to verify if a PTSD treatment can improve episodic memory, global cognitive functioning and quality of life in AD patients.Methods – We review the literature about the links between PTSD and AD, building on several theoretical models. We propose the hypothesis that the treatment of PTSD in AD can improve verbal episodic memory and autobiographical episodic memory with some positive effects on AD evolution. We present a longitudinal study in order to confirm the likely benefits of such an approach. There were 20 participants in the target group (AD and PTSD) and 20 participants in the control group (AD without PTSD). During three sessions (T0, T1 and T2) separated by an interval of six months, different components of episodic memory were assessed with specific tests. AD evolution was assessed with the Mini-Mental State Examination (MMSE). For the target group, PTSD presence and quality of life were also assessed, and treatment for PTSD was undertaken between T0 and T1 for the target group.Results/Findings – The analysis of scientific literature highlighted some clinical, cognitive and neurobiological similarities between AD and PTSD with a key-role of episodic memory. The results of the research indicate that PTSD treatment in AD participants improves significatively all assessed indicators: word recall, word recognition, immediate recall, delayed recall, personal recent events recall, personal lifetime events recall, global cognitive abilities (MMSE) and quality of life.Discussion/Conclusion – There are strong theoretical and practical reasons to search for an effective intervention for PTSD in AD patients. This study indicate a promising avenue for therapeutic care of AD patients with involved trauma.
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Étude des stratégies d'adaptation au stress des individus présentant à la fois une consommation problématique de psychotropes et des symptômes de stress post-traumatiqueBeauregard, Jennifer January 2017 (has links)
La comorbidité d’une consommation problématique de psychotropes (CPP) et de symptômes de stress post-traumatique (SSPT) toucherait une personne sur deux dans les centres de réadaptation en dépendance (Woo et Vedelago, 2012). Or, pour certains auteurs, certaines stratégies d’adaptation utilisées par les individus présentant cette double problématique pourraient diminuer le risque de développer et maintenir des difficultés, alors que d’autres stratégies augmenteraient ces mêmes difficultés (Lalonde et Nadeau, 2012). Ce mémoire a pour objectifs a) de décrire et comparer le type et la diversité des stratégies d’adaptation au stress utilisées par les adultes, hommes et femmes, présentant à la fois une CPP et des SSPT et b) d’identifier la présence d’association entre les types de stratégies d’adaptation au stress (recherche de soutien social, fuite/évitement, résolution de problèmes, réévaluation positive) utilisées et les échelles de SSPT (auto-perturbation, stress post-traumatique, externalisation, somatisation) selon le genre tout en contrôlant pour l’âge et le moment de survenue du traumatisme (enfance, âge adulte). Méthodologie. L’échantillon de convenance de la présente étude est composé de 75 adultes (38 hommes et 37 femmes) présentant une consommation problématique de psychotropes, ayant été victimes d’un traumatisme interpersonnel et rapportant des symptômes de stress post-traumatique. Ceux-ci proviennent tous du programme Maître de sa vie offert au Centre de réadaptation Portage-Québec. Le DÉBA-A/D (Tremblay, Rouillard et Sirois, 2001, Tremblay et Blanchette-Martin, 2009), le Trauma Symptoms Inventory-2 (Brière, 2011) et le Ways of coping questionnaire (revised) (Folkman et Lazarus, 1985) sont les instruments de mesure utilisés. Des statistiques descriptives et comparatives bivariées ainsi que des régressions linéaires ont été réalisées pour répondre aux objectifs de l’étude. Résultats. Les résultats obtenus indiquent que les hommes utilisent plus fréquemment que les femmes la stratégie de résolution de problèmes. De plus, lorsqu’ils présentent une forte sévérité de SSPT (auto-perturbation, de stress post-traumatique, externalisation, somatisation), les individus, hommes et femmes, présentant la double problématique utilisent fréquemment la stratégie de fuite/évitement. Inversement, lorsqu’ils présentent une faible sévérité de symptômes d’auto-perturbation et d’externalisation, les hommes et les femmes utilisent fréquemment les stratégies de résolution de problèmes et de réévaluation positive. Le genre n’a démontré aucun effet modérateur. Discussion. La présente étude est l’une des rares dans le domaine de la comorbidité CPP/SSPT à cibler, en proportion égale, des hommes et des femmes provenant d’une population clinique d’adultes ayant tous été victimes d’un traumatisme interpersonnel. À la lumière des résultats obtenus, les interventions auprès de cette clientèle, hommes et femmes, devraient viser à faire diminuer la fréquence d’utilisation de la stratégie de fuite/évitement et augmenter la fréquence d’utilisation des stratégies de résolution de problèmes et de réévaluation positive.
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Etude évolutive de la dissociation péri-traumatique chez des victimes confrontées au Réel de la mort dans le cadre d'actes terroristes / An evolutionary study of peritraumatic dissociation among victims confronted with the real of death during terrorist attacksCedile, Elisabeth 12 June 2019 (has links)
Cette recherche a étudié l’évolution psychique de neuf victimes directes des attentats qui ont touché Paris durant l’année 2015 et dont les symptômes étaient atypiques, voire, inexistants, a priori. Si les symptomatologies d’états de stress post traumatiques caractéristiques sont communément admises, tant par les soignants, que par les acteurs juridiques de la réparation en dommage corporel, les états de dissociation péri et post traumatiques, lorsqu’ils sont identifiés, ne sont, en revanche, jamais envisagés autrement que comme des temps de latences augurant de futurs états de stress post traumatiques sévères. A l’aide des contenus d’entretiens cliniques réalisés à trois mois puis dix-huit mois des attentats, accompagnés de deux passations d’une échelle d’évaluation des états de stress post traumatiques (PCL/S), l’évolution psychologique de neuf victimes directes, sans symptômes caractéristiques apparents, a ainsi été effectuée. Cette étude a permis de démontrer que chez certains sujets, la confrontation au Réel de la mort se fait dans une telle violence qu’elle engendre la mise en marche de mécanismes de défense archaïques tel le déni de l’effroi décrit par Lebigot (2005) puis le clivage, et non des tableaux caractéristiques d’état de stress post traumatiques. Chez deux tiers des sujets, il a été démontré que la réassociation par le langage et le retour aux processus de symbolisation étaient néanmoins possibles, sans effondrement pathologique, mais en respectant une progression lente vers l’élaboration du traumatisme, dans le cadre d’alliances thérapeutiques étayantes et ininterrompues. Chez un tiers des sujets, en revanche, la permanence de tels tableaux cliniques, c’est-à-dire asymptomatiques pour deux d’entre eux, ou caractérisé par une amnésie dissociative pour l’un d’entre eux, n’a pas permis de déterminer le caractère adaptatif et non pathologique de tels mécanismes dissociatifs. L’ensemble des résultats démontre néanmoins la nécessité d’accroître les connaissances sur le sens, le repérage et la fonction de tels mécanismes, qui ne sont pas toujours identifiés, du fait même de leur origine qui exclue toute capacité de verbalisation de la part des victimes, mais qui nécessitent cependant des proposition soins appropriées. / This research studied the psychological evolution of nine direct victims of the terrorist attacks that struck Paris in 2015 and whose symptoms were, at first glance, atypical, or even non-existent. While the symptomatologies of post-traumatic stress disorder are commonly recognised, both by carers and legal bodies involved in physical injury compensation, peri and post-traumatic dissociative disorders, when they are identified, are never perceived as anything other than periods of latency, predicting future severe post-traumatic stress disorder.The psychological evolution of the nine direct victims lacking apparent typical symptoms was thus studied based on the content of clinical interviews carried out three months and eighteen months after the attacks, backed by two assessments using the PCLS rating scale for post-traumatic stress disorder. This study has enabled us to show that with some subjects the confrontation with the real of death occurred in such violence that it triggered archaic defence mechanisms, such as denial of the dread as described by Lebigot (2005) then splitting, and not the typical presentations of post-traumatic stress disorder. With two-thirds of the subjects, it was shown that reassociation through language and a return to the process of symbolisation were still possible, without a pathologic breakdown, by respecting a slow progression towards the formulation of the trauma as part of continuous and substantiated therapeutic relationships. However, with one third of subjects the permanence of such clinical presentations, i.e. asymptomatic for two of them or characterised by dissociative amnesia for one of them, made it impossible to determine the adaptive and non-pathological character of such dissociative mechanisms. Nevertheless, the combined results show there is a need to learn more about the meaning, identification and function of these mechanisms which are not always identified, precisely because of their cause which excludes all ability on the part of victims to express themselves, but which nonetheless require that appropriate treatment be offered.
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L'utilisation de la stimulation cérébrale non-invasive pour réduire les symptômes de stress-post traumatique chez les militairesLevasseur-Moreau, Jean 07 May 2018 (has links)
Introduction. Le trouble de stress post-traumatique (PTSD) est une condition psychiatrique sévère pouvant atteindre 8% de la population générale et 30% de la population militaire. Malgré l'existence de plusieurs traitements tels que la psychothérapie et la pharmacothérapie, les taux de rémission demeurent sous les 50%. Il est donc crucial de développer de nouveaux traitements. Desétudes de validation de concept utilisant la stimulation magnétique transcrânienne répétée (rTMS) ont rapporté des résultats prometteurs chez des patients avec PTSD. La stimulation dite intermittent theta burst (iTBS) est un nouveau paradigme de rTMS qui pourrait s’avérer plus efficace que la rTMS conventionnelle entres autres en raison de ses effets plus durables. Objectifs et hypothèses. Notre objectif était d’approfondir les connaissances sur les effets de la iTBS chez des patients avec PTSD. Pour ce faire, nous avons testé les effets de la iTBS sur des variables cliniques, cognitives et neurobiologiques chez des militaires avec PTSD. Notre hypothèse était que la iTBS active, comparativement à la iTBS placébo, en modulant des aspects neurobiologiques pertinents au PTSD, entraînerait également une diminution des symptômes associés à cette pathologie ainsi qu’une amélioration au niveau cognitif. Méthodologie Nous avons mené une étude randomisée en double aveugle et contrôlée par condition placébo, testant les effets de 5 jours consécutifs de iTBS, à raison d’une session par jour, administrée au même moment de la journée (entre 7h00 et 10h00) active ou placébo au niveau du cortex préfrontal dorsolatéral droit chez 28 patients militaires avec PTSD. Les mesures cliniques consistaient en des échelles standardisées auto-rapportées mesurant 1- les symptômes de PTSD ; 2- les symptômes d’anxiété ; 3- les symptômes de dépression ; et 4- la qualité de vie. Les mesures cognitives consistaient en deux tâches attentionnelles (Dot probe et Rapid serial visual presentation) évaluant le biais attentionnel envers des stimuli exprimant de la colère. Les mesures neurobiologiques consistaient en 1- la connectivité fonctionnelle telle que mesurée par imagerie par résonance magnétique fonctionnelle ; 2- les métabolites (NAA et GABA) tels que mesurés via spectroscopie par résonance magnétique ; et 3- le cortisol tel que mesuré à partir d’échantillons salivaires. Toutes ces mesures étaient prises avant et après la iTBS. Les mesures cliniques et de cortisol salivaire étaient également prises en suivi, soit 1 mois après la dernière session de la iTBS. Résultats La iTBS s’est avérée sécuritaire et bien tolérée par les patients avec PTSD. Nous n’avons rapporté aucune différence statistiquement significative quant aux symptômes de PTSD, de dépression et d’anxiété entre le groupe ayant reçu la iTBS active et le groupe ayant reçu la iTBS placébo. Nous avons toutefois rapporté une diminution significative de la sévérité des symptômes au fil du temps pour ces trois échelles cliniques chez nos deux groupes de iTBS. Nous avons rapporté une différence significative au niveau de la qualité de vie entre les deux groupes à différents moments pour chacun des groupes par rapport au temps de mesure. Nous n’avons rapporté aucun effet de la iTBS sur le biais attentionnel. Une augmentation significative de la connectivité entre le DLPFC droit et le mPFC ainsi que le noyau caudé a été observée chez les patients ayant reçu la iTBS active comparativement à ceux ayant reçu la iTBS placébo. En raison de la mauvaise qualité des données de spectroscopie, nous n’avons pas procédé aux analyses statistiques. Les patients ayant reçu la iTBS active présentaient une augmentation du niveau de cortisol salivaire comparativement aux patients ayant reçu la iTBS placébo. Conclusion Une diminution (non statistiquement significative) de la sévérité des symptômes de PTSD, d’anxiété et de dépression ainsi qu’une augmentation (statistiquement significative) de la qualité de vie a été observée chez les patients avec PTSD ayant reçu la iTBS active et placébo. La iTBS active semble moduler certains substrats neurobiologiques pertinents au PTSD tel que la connectivité fonctionnelle entre des régions clés de cette pathologie ainsi que la concentration de cortisol salivaire. D’autres études utilisant la iTBS avec des protocoles de stimulation sur une plus longue période de temps seront nécessaires afin de mieux déterminer le potentiel clinique de la iTBS comme traitement chez des patients avec PTSD / Introduction. Posttraumatic stress disorder (PTSD) is a psychiatric condition that occurs in 8% of the general population and up to 30% of the military population. Despite several existing treatments, such as psychotherapy and pharmacotherapy, responsiveness rates in PTSD remain below 50%. There is thus a need to develop novel therapeutic approaches. Randomized controlled trial studies have reported promising results using repetitive transcranial magnetic stimulation (rTMS) to alleviate PTSD symptom severity. An analogue technique to rTMS, intermittent theta burst stimulation (iTBS), is believed to produce longer lasting effects through long-term potentiation. Objectives and hypotheses Our general objective was to develop a greater understanding of the effects of iTBS in patients with PTSD. Therefore, we aimed at testing the safety, as well as the effects of active iTBS on clinical, cognitive and neurobiological variables in military personnel diagnosed with PTSD, compared to sham iTBS. Our hypothesis was that active iTBS, by modulating neurobiological aspects relevant in PTSD, would decrease symptom severity associated with PTSD, and induce cognitive improvements, compared to sham iTBS. Method This study was a two-arm, 1-month prospective, double blind, randomized, sham-controlled study. Twenty-eight military patients with PTSD received daily iTBS session applied over the right dorsolateral prefrontal cortex (DLPFC) for 5 consecutive days, at the same time of the day (between 7:00 and 10:00 am). We measured clinical symptoms using standardized questionnaires assessing 1- PTSD symptoms; 2- anxiety symptoms; 3- depression symptoms; and 4- quality of life. Cognitive measures consisted of 2 attentional tasks (Dot Probe and Rapid serial visual presentation) assessing attentional bias for stimuli expressing anger. Neurobiological measurements included resting state functional connectivity using magnetic resonance imaging and metabolites concentration (NAA et GABA), as well as cortisol levels using salivary samples, before and after the iTBS regimen. All these measures were taken before and after iTBS. Clinical and cortisol assessments were also taken at follow-up, one month after the last iTBS session. Results The iTBS was safe and well tolerated. There was no significant difference between active and sham iTBS on PTSD, anxiety and depression outcomes. However, symptom severity significantly decreased over time for patients from both iTBS conditions. There was a significant difference between iTBS groups on quality of life that varied across time points assessments. We did not report any effect on attentional bias. Statistical analyses were not performed on metabolites concentrations due to poor data quality. There was a significant increase in cortisol levels for patients who received active iTBS as compared to those who received sham iTBS. There was also a significant increase in functional connectivity between the right DLPFC, the mPFC and the right caudate nucleus in patients who received iTBS compared to those who received sham iTBS. Conclusion We reported a decrease (not statistically significant) in symptoms of PTSD, anxiety and depression, as well as an improvement (statistically significant) in quality of life for the group who received the active iTBS. Active iTBS also modulated neurobiological substrates relevant in PTSD, such as the functional connectivity between key regions involved in this pathology, as well as salivary cortisol concentration. Other iTBS studies with longer lasting protocol could help shed some light on its clinical efficacy in treating PTSD
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Le soutien social et le trouble de stress post-traumatique chez les anciens combattants canadiensSanterre, Marie-Ève 24 April 2018 (has links)
Au cours des dernières années, les membres des Forces Armées Canadiennes (FAC) ont participé à des missions dangereuses, de longues durées avec de courtes périodes de récupération, ce qui constitue un terrain fertile pour le développement d'un Trouble de Stress Post-Traumatique (TSPT). Bien que ce trouble entraine des répercussions néfastes sur les relations interpersonnelles, il n'existe pas, à ce jour, de consensus quant à la direction de la relation entre la sévérité de la symptomatologie du TSPT et les comportements de soutien positifs ainsi que négatifs, particulièrement chez les Anciens Combattants Canadiens (ACC). Pour y pallier, une étude empirique longitudinale, avec deux temps de mesure, ayant pour objectif d'évaluer la bidirectionnalité de la relation entre la sévérité des symptômes du TSPT et le soutien social a été réalisée auprès de 64 ACC présentant un diagnostic probable de TSPT chronique. Sur le plan transversal, des symptômes sévères du TSPT sont significativement associés à la perception de la fréquence élevée des interactions sociales négatives reçues. Sur le plan longitudinal, les hypothèses ont été infirmées. Bien qu'il existe une corrélation positive entre les interactions sociales négatives et la sévérité des symptômes du TSPT, les comportements de soutien (positifs et négatifs) ne permettent pas de prédire la sévérité des symptômes de ce trouble trois mois plus tard, ces derniers étant mieux expliqués par la sévérité des symptômes au temps 1. De plus, la sévérité des symptômes du TSPT ne permet pas de prédire les comportements de soutien (positifs et négatifs) trois mois plus tard, ceux-ci étant mieux expliqués par les comportements de soutien au temps 1. La cristallisation probable des symptômes du TSPT et des comportements de soutien dans les deux premières années suivant la survenue du trouble, documentée dans les écrits scientifiques de même que la modification possible du sens de la relation à travers le temps peuvent expliquer l'absence d'une relation bidirectionnelle dans cet échantillon.
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Santé mentale des camionneurs québécois ayant vécu un accident de la route impliquant une tentative de suicide devant leur camionBlouin, Camille 10 February 2024 (has links)
En 2019, les accidents de la route ont fait 35 000 victimes au Québec. Leurs effets sur la santé mentale des survivants sont peu documentés statistiquement. La prévalence du trouble stress post-traumatique (TSPT) et de sa comorbidité avec l'insomnie, la dépression et la phobie des transports a été notée chez certaines victimes. Quant aux victimes d'accidents impliquant un véhicule lourd, elles sont surreprésentées. Dans la majorité de ces cas, le camionneur n'est pas la personne responsable. Dans ces situations, il est possible qu'une personne ait utilisé le véhicule lourd pour tenter de s'enlever la vie. L'impact des suicides devant les véhicules lourds sur la santé mentale est décrié par des associations de camionneurs, mais la nature et l'importance de ces conséquences sont peu connues. Le but de cette étude est d'établir un portrait de la santé mentale chez un échantillon de camionneurs québécois ayant vécu ou non un accident de la route, impliquant ou non une tentative de suicide. Quatre-vingt-cinq camionneurs québécois (64,7 % hommes, âge moyen = 42,8 ans) ont rempli une batterie de questionnaires maison et validés mesurant la sévérité des symptômes du TSPT, de l'insomnie, de la dépression, du fonctionnement quotidien et les habitudes de consommation de substances. Une différence significative a été observée entre ceux n'ayant pas vécu d'accident et ceux ayant vécu un accident n'étant pas une tentative de suicide sur la sévérité des symptômes intrusifs liés au TSPT (F (2,82) = 4,017, p = 0.022). Aucune différence significative n'a été observée entre les personnes rapportant des accidents impliquant une tentative de suicide et celles des autres groupes. L'échantillon de cette étude n'a pas permis d'observer d'impact spécifique sur la santé mentale des camionneurs ayant vécu des accidents de la route impliquant une tentative de suicide. De ce fait, les résultats obtenus indiquent que, pour cet échantillon de camionneurs, le contexte de l'accident n'est pas ce qui semble avoir la plus grande influence sur la santé mentale. Dans les recherches futures, la prise en compte du temps depuis l'accident ou du nombre d'accidents vécus, entre autres, permettrait d'obtenir un portrait plus fidèle de cette population. / In 2019, across the province of Quebec, 35,000 people were injured in road accidents. The effect of these accidents on the mental health of survivors are poorly documented statistically. The prevalence of post-traumatic stress disorder (PTSD) and its comorbidity with insomnia, depression and transportation phobia has been noted in some victims. Victims of accidents involving a heavy vehicle are over-represented and, in most cases, the truck driver is not at fault. In these situations, it is possible that a person may have used the heavy vehicle to take their own life (suicide-by-truck). The impact of suicides-by-truck on mental health is decried by trucker associations, but the nature and magnitude of these consequences are not well known. The aim of this study is to define a portrait of a sample of Quebec truck drivers' mental health, who have or have not experienced a road accident, whether involving a suicide attempt or not, to clarify the situation. Eighty-five truck drivers (64.7% male, average age = 42.8 years) completed a battery of validated and homemade questionnaires measuring the severity of PTSD symptoms, insomnia, depression, daily functioning, and substance use. A significant difference was observed between those who had not experienced an accident and those who had experienced an accident that was not a suicide attempt on the severity of intrusive symptoms related to PTSD (F (2.82) = 4.017, p = 0.022). No significant difference was observed between those reporting accidents involving a suicide attempt and those in other groups. The sample of this study did not reveal any specific impact on the mental health of truck drivers who had experienced road accidents involving a suicide attempt. Therefore, the results obtained indicate that, for this sample of truck drivers, the context of the accident is not what seems to have the greatest influence on mental health. In future research, considering some factors such as the time passed since the accident or the number of accidents experienced by each truck driver would provide a more accurate picture of this population.
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