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Führer und Geführte bei den Zaporoger Kosaken : Struktur und Geführte kosakischer Verbände im polnisch-litauischen Grenzland (1550-1648) /Kumke, Carsten. January 1993 (has links)
Diss.--Fachbereich Geschichtswissenschaften--Freie Universität Berlin, 1991. / N ° spécial de "Forschungen zur osteuropäischen Geschichte", ISSN 0067-5903, T. 49. Bibliogr. p. 507-551.
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Im Gewand von Herrschaft : Modalitäten der Macht im Borgou (Nord-Benin) 1900-1995 /Alber, Erdmute. January 2000 (has links)
Diss.--Berlin--Freie Universität, 1999. / Glossaire. Bibliogr. p. 307-325.
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Amini islanders : social structure and change /Ittaman, Kottorapad Paremeswaran. January 1976 (has links)
Texte remanié de: Doctoral thesis--University of Saugar, 1974. Titre de soutenance : Social structure and change on Amini, Lakshadweep. / Bibliogr. p. 257-263. Glossaire. Index.
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Göttingen um 1400 : Sozialstruktur und Sozialtopgraphie einer mittelalterlichen Stadt /Steenweg, Helge. January 1994 (has links)
Diss.--Historisch-philologische Wissenschaften--Göttingen--Georg-August-Universität, 1990. / Le dos porte comme mention de collection "IHLF 34" Bibliogr. p. 347-365. Index.
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Socially embedded exchange /Braun, Norman, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Ph. D.--University of Chicago, 1992. Titre de soutenance : Restricted exchange systems. / Bibliogr. p. 112-117.
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Dualism and hierarchy in lowland South America trajectories of indigenous social organization /Hornborg, Alf. January 1988 (has links)
Thesis (doctoral)--Uppsala University, 1986. / Includes bibliographical references (p. 292-304).
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Dualism and hierarchy in lowland South America trajectories of indigenous social organization /Hornborg, Alf. January 1988 (has links)
Thesis (doctoral)--Uppsala University, 1986. / Includes bibliographical references (p. 292-304).
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Conception du rapport individu/société : distinction fondamentale entre les concepts d'institution et d'organisationNantel, Lyne January 2010 (has links) (PDF)
En reprenant de front la question intrinsèque de la sociologie que constitue l'articulation du rapport de l'individu et de la société, l'objectif de ce mémoire est de comprendre comment celui-ci se déploie dans les approches institutionnelle et organisationnelle de la régulation sociétale. Pour sortir de l'opposition entre l'individualisme et le holisme, nous analyserons d'abord les théories sociologiques qui posent l'articulation de ce rapport sous la forme d'une relation basée sur la réciprocité des deux pôles par opposition aux théories qui fondent son articulation à travers la médiation symbolique. À partir de cette première distinction, nous pourrons conceptualiser l'institution, concept que nous préciserons en procédant à une division entre les niveaux de médiations culturelles et langagières et les médiations politico-institutionnelles. Après avoir posé les fondements théoriques d'une approche institutionnaliste de la société, nous serons alors en mesure d'apprécier les conséquences sur l'articulation individu/société que constitue les approches organisationnelles de la régulation sociétale. Finalement, il s'agit dans ce mémoire d'éclairer la confusion entre l'institution et l'organisation qui persiste à l'heure actuelle dans les théories sociologiques. Pour ce faire, nous entreprendrons de distinguer ces deux conceptions parallèlement à une analyse sur les représentations libérale et républicaine de la liberté. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Rapport individu/société, Régulation et reproduction sociétales, Médiations symboliques, Institutions
sociales, Institutions politiques, Organisations, Idéologie, Liberté libérale, Liberté républicaine.
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Effet de l'augmentation de la densité de la population et de la diminution de l'habitat sur la structure sociale chez les girafes du Niger (Giraffa camelopardalis peralta)Grou, Caroline 06 1900 (has links) (PDF)
Les girafes vivent dans un système social que l'on dit caractérisé par la fission-fusion aléatoire des groupes d'individus. Ce n'est que récemment que nous avons eu recours à l'analyse des réseaux sociaux (ARS) pour étudier les structures sociales chez ces sociétés fluides. Dans cette étude, nous utilisons l'ARS afin de déterminer si les girafes de la dernière population vivant en liberté en Afrique de l'Ouest, Giraffa camelopardalis peralta, s'associent de manière aléatoire et, dans le cas où il ne s'agit pas d'associations aléatoires, nous tentons de déterminer quels facteurs entrent en jeu. De plus, au cours des 20 dernières années, ces girafes ont été soumises à de nouvelles conditions sur le plan écologique : moins de pression de la part des prédateurs, augmentation de la densité des populations (des girafes ainsi qu'humaine) et diminution de leur habitat. Nous examinons donc, dans un premier temps, quelles ont été les conséquences de ces facteurs sur la structure sociale de ces ongulés en comparant les réseaux sociaux de deux périodes où les conditions différaient (1996-1998 vs 2006-2009). De plus, nous vérifions, à l'aide des caractéristiques individuelles issues de chaque réseau, si certains individus ont des positions centrales et jouent donc un rôle social dans leur réseau. Finalement, pour les individus qui se trouvaient dans les deux périodes d'étude, nous examinons si leur position au sein du réseau a changé avec le temps. Au cours de ces deux périodes, nous avons trouvé que les écarts-types des indices d'associations des deux réseaux étaient plus élevés que ceux des réseaux où les associations étaient distribuées aléatoirement. Dans les deux réseaux, le sexe des individus jouait un rôle dans l'établissement des associations; il y avait un plus grand nombre d'associations d'individus de même sexe que de sexe opposé. Contrairement à nos attentes, ce sont surtout les mâles adultes qui démontraient de fortes associations préférentielles entre eux alors que les femelles accompagnées de girafons avaient tendance à s'éviter, et ce, dans les deux réseaux. Les classes d'âge ne semblent pas affecter les forces d'association dans cette population sauf chez les femelles de classes d'âges différentes (adultes et juvéniles) dans le premier réseau, ce qui semblerait être causé par le lien mère-jeune. Ainsi, ces liens entre la mère et son girafon étaient plus forts dans le réseau de la période 1996-1998 comparé à ceux qui existaient chez les individus du réseau 2006-2009. En effet, malgré le peu de données sur l'apparentement des individus nous avons constaté une relation positive entre les forces d'association et le degré d'apparentement des individus. Toutefois, cette corrélation était plus forte dans le réseau 1996-1998. Finalement, les caractéristiques individuelles variaient très peu à l'intérieur d'un réseau laissant croire qu'aucun individu ou type d'individu n'occupe un rôle central dans cette population. De plus, nous n'avons noté aucun changement au niveau des caractéristiques des individus entre les deux réseaux, ce qui nous permet de dire que les individus, même s'ils étaient plus âgés en 2006-2009, ne devenaient pas moins sociables ni qu'ils occupaient la même position. On peut conclure, que malgré leur système social fluide de fission-fusion, les girafes ne s'associent pas de façon aléatoire et qu'en dépit de l'augmentation de la population et de la diminution de l'habitat, la structure sociale observée aux deux époques montre des caractéristiques très semblables.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : réseaux sociaux, grégarisme, disponibilité de l'habitat, densité de population, Giraffa camelopardalis peralta
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La mise en oeuvre de la politique nationale de l'eau du Québec : la prise en compte des dynamiques sociales locales dans la gestion par bassin versantMilot, Nicolas January 2009 (has links) (PDF)
La gouvernance de l'eau s'est grandement transformée au cours des vingt dernières années. Alors qu'à la fin des années 1960, une première génération d'actions collectives s'était essentiellement centrée autour de l'État, on observe aujourd'hui des modèles de gouvernance plus complexes où s'articulent les actions de l'État et de la société civile. L'adoption de la Politique nationale de l'eau en 2002 confirme que le Québec se déplace d'un modèle de gouvernance stato-centré vers une forme d'action collective davantage multipartite. Plus spécifiquement, la mise en place de la gestion intégrée de l'eau par bassin versant et le recours généralisé aux approches collaboratives témoignent de l'intention de l'État québécois de transformer le régime de gouvernance de l'eau. Or, la mise en place d'un tel modèle implique une série d'ajustements cohérents aux dynamiques sociales locales des collectivités visées. Cette thèse vise à comprendre ces ajustements. Selon une perspective néo-institutionnelle, nous expliquons l'influence qu'ont le contexte institutionnel et les dynamiques sociales l'un sur l'autre. Pour ce faire, nous avons analysé trois Organismes de bassin versant (OBV), lieux dédiés aux approches collaboratives. Nous avons d'abord réalisé le portrait du contexte institutionnel. Ensuite, nous avons procédé à l'étude des dynamiques organisationnelles de chaque organisme par une démarche d'enquête par entretiens semi-dirigés. Enfin, notre démarche inductive nous a mené à nous interroger sur un facteur précis influençant l'ajustement du modèle de gouvernance proposé: le mode d'organisation sociale des collectivités. L'étude du contexte institutionnel indique que la gestion de l'eau au Québec est fortement structurée par des institutions publiques. Ces institutions sont morcelées entre différents ministères selon les fonctions de l'eau, divisant dans l'administration publique les actions de lutte à la pollution de celles liées au développement économique. Également, on observe le rôle incontournable des administrations publiques locales en matière d'aménagement et d'approvisionnement en eau potable. Toutefois, ces dernières détiennent peu de pouvoir d'initiative en matière de gestion de l'eau. Il en résulte une coupure entre les processus de définition des règles (centralisés) et de leur mise en oeuvre (locaux). Enfin, nous remarquons que les collectivités locales s'impliquent essentiellement par la production d'actions concrètes sur leur milieu et non par la création d'institutions civiques à leur échelle. L'analyse organisationnelle des dynamiques sociales locales démontre que les ajustements du modèle de gouvernance proposé par l'État s'effectuent sur deux plans: au niveau de la dynamique interne des OBV et sur la scène régionale de la gouvernance de l'eau. De ces deux perspectives, nous dégageons certaines tensions. D'abord, la jeunesse des organismes étudiés oblige les acteurs locaux à se positionner par rapport à la pertinence même des OBV comme nouvel espace collaboratif. Ensuite, chaque cas étudié témoigne d'un débat relatif à la possibilité pour un OBV de réaliser des actions concrètes sur le terrain -alors que sa mission première en est une de concertation -ou à l'éventualité de prendre position envers certains enjeux précis. Également, l'articulation du rôle des OBV au sein des administrations publiques locales est au coeur des ajustements organisationnels. Enfin, et de manière générale, deux visions du rôle des OBV s'affrontent chez les acteurs de l'eau: l'OBV doit soutenir la règle publique ou il doit être le lieu de production d'institutions civiques locales. Selon nous, le mode d'organisation sociale des collectivités permet d'expliquer les tensions observées. En posant comme prémisse la présence générale de repères sociétaux auxquels se réfèrent les acteurs de l'eau, nous avons élaboré une grille d'analyse visant à repérer l'existence de faits communautaires, eux aussi structurant l'action individuelle et collective. L'utilisation de cette grille nous permet de constater l'impact de l'organisation sociale sur le modèle collaboratif, de même que sur l'inévitable complémentarité entre l'État et la société civile. Nos travaux montrent que les faits communautaires se développent inégalement entre les collectivités étudiées et qu'il en découle une disposition inégale de ces dernières à jouer le jeu de la gestion par bassin versant telle que définie par l'État. Sur la base de ces résultats, nous concluons que le modèle de gouvernance présenté par l'État comme une «solution» aux enjeux hydriques peut être considéré par les collectivités interpellées comme un «problème à résoudre». Les OBV ne sont pas des institutions en soi, mais un processus où peut être modifiée la manière dont on perçoit les institutions existantes et où peuvent être élaborées de nouvelles institutions. Sachant que les réponses à ces défis sociaux seront multiples, il est essentiel de définir un partenariat clarifiant le rôle de chaque pôle de gouvernance. Ce partenariat peut s'inscrire dans le paradigme administratif actuel en précisant la manière d'articuler le produit des approches collaboratives aux rôles de l'État, notamment via les administrations publiques locales. Toutefois, la gouvernance actuelle de l'eau appelle à la reconfiguration de la légitimité de chacun des acteurs et certaines collectivités souhaitent participer activement au développement du cadre institutionnel. Dans ce contexte, la définition d'un partenariat public-civique nécessite le dépassement des seules dimensions procédurales et l'inclusion d'une réflexion sur les aspects substantiels de la gouvernance. Ce faisant, le Québec inscrirait pleinement son modèle de gestion de l'eau dans le nouveau paradigme de la gouvernance. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Gouvernance de l'eau, Approches collaboratives, Gestion par bassin versant, Mode d'organisation sociale, Analyse organisationnelle, Gestion intégrée, Québec.
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