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The socio-cultural interrelations and the socio-spatial dynamics between dogs and peoples in subarctic communities : the case of Kawawachikmach, Matimekush-Lac-John and Schefferville

Cohen-Bucher, Elisa Emily 04 1900 (has links)
The following research focuses on sociocultural relationships and sociospatial dynamics between humans and dogs in the Naskapi Nation of Kawawachikamach and in the Innu Nation of Matimekush-Lac John and the town of Schefferville. These communities face multiple issues related to dogs including the lack of veterinary services, coupled with issues related to canine overpopulation, and the transmission of zoonoses such as rabies from contact between dogs and wildlife. We examined the role of dogs and their keepers in these subarctic communities. We also explored how dogs impact the wellbeing of the population living in said communities and how keepers impact the wellbeing of dogs. Despite being described as a pet rather than a working dog, specific roles are assigned to dogs by research participants, particularly the provision of protection and companionship. However, the findings of the study indicate that keepers also plays an essential role, not only through protection and companionship, but also by tending to their dog(s). The evidence from this study suggests that dogs and their keepers have mutually beneficial relations. These research results suggest that the narrative portrayed through mainstream media outlets disregard the daily roles played by dogs and their Indigenous keepers within the communities of Kawawachikamach and Matimekush-Lac-John. / Ce projet de recherche porte sur les relations socioculturelles et la dynamique sociospatiale entre les humains et leurs chiens dans la nation Naskapi de Kawawachikamach, la nation Innu de Matimekush-Lac John et la ville de Schefferville. Ces communautés sont confrontées à de multiples problèmes liés aux chiens, y compris le manque de services vétérinaires, couplé à des problèmes liés à la surpopulation de chien et à la transmission de zoonoses telles que la rage par contact entre les chiens et la faune. Nous avons examiné́ le rôle des chiens et de leurs gardiens dans ces communautés subarctiques ainsi que l'impact des chiens sur le bien-être de la population vivant dans ces communautés et l'impact des gardiens sur le bien-être de leurs chiens. Bien que le chien soit décrit comme un animal de compagnie plutôt que comme un animal de travail, des rôles spécifiques lui sont attribués par les participants, en particulier le rôle de protecteur et de compagnon. Cependant, les résultats de cette étude indiquent que le gardien du chien joue également des rôles essentiels, non seulement celui de protection et de compagnon, mais aussi celui de « prendre soin » de son (ses) chien (s). Les données de cette étude suggèrent que les relations des chiens et de leurs gardiens sont mutuellement bénéfiques. Ces résultats suggèrent que le récit présenté sur les chiens dans les communautés du nord par les principaux médias ne prend pas en compte les rôles quotidiens joués par les chiens et leurs gardiens autochtones au sein des communautés de Kawawachikamach et Matimekush-Lac-John.
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Rare earth element bioaccumulation and anomalies in organisms of northeastern Nunavik (Quebec, Canada)

Marginson, Holly 07 1900 (has links)
Comme la demande mondiale des éléments de terres rares (ETR) ne cesse d'augmenter, de nouveaux projets d'exploration ont été lancés dans de nombreux pays, incluant au Canada. Le présent projet découle d'un programme communautaire environnemental issu d'une collaboration entre des chercheurs et la communauté inuite de Kangiqsualujjuaq suite à la proposition d’un projet minier d'ETR au Nunavik. Pour répondre aux études limitées sur la distribution des ETR dans les environnements non pertubés, cette étude rapporte les niveaux actuellement observés des sédiments, des lichens et de multiples espèces animales provenant d'écosystèmes terrestres, d’eau douce et du milieu marin du subarctique de l’est du Canada. Les résultats suggèrent que toutes les matrices ont la capacité d'accumuler les ETR, bien qu'une dilution trophique soit notée. De plus, l’analyse des tissus d’espèces alimentaires traditionnelles a démontré que le foie des vertébrés avait des concentrations d'ETR plus élevées que le muscle et le gras, tandis que les tissus osseux et rénaux présentaient généralement des concentrations intermédiaires. En outre, les tendances observées pendant l'analyse des anomalies du cérium sensibles aux transformations d’oxydoréduction ont suggéré que ces anomalies peuvent servir de biomarqueur dans l’exposition aux ETR et leur transformation biologique. Dans l'ensemble, cette étude présente une bioaccumulation et un fractionnement d’ETR spécifiques aux espèces et aux tissus, ce qui justifie des recherches plus approfondies afin de comprendre les facteurs de contrôle du comportement d’ETR au sein des espèces animales. Ces résultats peuvent également servir à établir des lignes directrices nationales d’ETR, et servir de référence dans les futures études de biosurveillance. / A gradual increase in the release of rare earth elements (REE) to the environment has been reported, as well as a continuous rise in their global demand. New REE exploration projects have been initiated in multiple countries, including within Canada where REE deposits are frequently located in northern regions. This project stems from a community-based environmental program between researchers and the Inuit community of Kangiqsualujjuaq in the context of a prospective REE mine in Nunavik. To address the limited review of REE distribution in natural environments, the present study reports the current REE values for sediments, lichens, and multiple animal species from terrestrial, freshwater and marine ecosystems of the eastern Canadian subarctic. Results suggest that all matrices have the capacity to accumulate REE, though a biodilution across taxonomic groups is noted. Also, a study of animal tissue samples from country food species demonstrated that liver tissues have significantly higher concentrations of REE than the muscle and blubber, with bone and kidney tissues typically presenting intermediate concentrations. Further, the analysis of redox-sensitive cerium anomalies supported the presence of tissue-specific mechanisms that suggest these anomalies may serve as a biomarker in REE exposure and biological transformation. Overall, this study presents a species- and tissue- specific bioaccumulation and fractionation of REE that warrants further investigation to better understand the controlling factors of REE processing within animal species. The results may additionally serve in the establishment of national REE guidelines for environmental health and human consumption, and act as a reference in future biomonitoring studies.
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Caractérisation hydrogéomorphométrique du bassin versant de la Rivière George (Nunavik) par télédétection et analyse typologique

Sicaud, Eliot 12 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d’approfondir les connaissances scientifiques sur les comportements hydrologiques des bassins versants arctiques et subarctiques. Les rivières drainant ces bassins versants sont parmi les systèmes fluviaux les moins étudiés et compris, étant donné leur vaste étendue et leur localisation éloignée. L’approche utilisée, issue de la discipline de l’hydrologie paysagère, présente une technique de classifications non-supervisées jumelées à des données de télédétection afin de caractériser le comportement hydrologique et les changements à l’échelle du paysage qui se sont produits sur les 35 dernières années dans un bassin versant subarctique de 42 000 km2. Plus précisément, plusieurs analyses géographiques d’image orientées-objet (AGIOO), employant des variables hydrogéomorphométriques et combinées à l’algorithme de classification Fuzzy C-Means, ont été produites, puis comparées afin de classifier et identifier les changements dans le paysage du vaste bassin versant de la Rivière George (BVRG), situé au Nunavik (Canada). Nos résultats indiquent que le BVRG contient deux types distincts de sous-bassins versants typologiquement similaires, distribués selon un gradient latitudinal, mettant en lumière une hétérogénéité spatiale dans les structures des sous-bassins constituant le BVRG. De plus, une expansion du type de bassins versants du sud dans le nord du BVRG est observée depuis les 35 dernières années. Cette expansion est principalement due à une augmentation de la production végétale et de l’humidité contenue dans les sols et la végétation, elle-même induite par une augmentation des températures moyennes annuelles et des précipitations totales annuelles associée aux changements climatiques. Ces changements observés dans la couverture terrestre ont des impacts importants et à long terme sur les processus hydrologiques du BVRG en augmentant les taux d’évapotranspiration. Ce phénomène pourrait expliquer la diminution d’environ 1% des débits annuels observée dans le BVRG entre les années 1970 et 2017. / The objective of this study is to develop scientific knowledge on the hydrological behaviors of Arctic and Subarctic watersheds. Rivers draining high-latitude watersheds are among the least studied and understood fluvial systems, given their large extent and their remote locations. Here we develop a landscape hydrology approach which pairs unsupervised classifications with remote sensing data to characterize the hydrological behavior and landscape scale changes that have occurred over a 42 000 km2 sub-arctic watershed over the last 35 years. More precisely, multiple Geographic Object-Based Image Analysis (GeOBIA), employing hydrogeomorphometric variables and combined to the Fuzzy C-Means clustering algorithm, were produced and then compared to classify and identify landscape change across the vast George River Watershed (GRW), situated in Nunavik (Canada). Our results indicate that the GRW contains two distinct subwatershed types which are distinct in their typology and distributed along a latitudinal gradient, which highlights spatial heterogeneity in the structures of the subwatersheds constituting the GRW. Moreover, an expansion of the southern type subwatersheds in the north of the GRW has been observed since the last 35 years. This expansion is principally due to increases in vegetation production and moisture content in soils and vegetation, themselves induced by increases in mean annual temperature (MAT) and total annual precipitation (TAP) associated with the changing climate in this northern watershed. These land cover changes are likely to have important and long-term impacts on the hydrological processes within the GRW by increasing rates of evapotranspiration. This phenomenon may explain the decrease of about 1% in the George River’s annual discharge observed between the mid-1970s and 2017.
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Inuit ethnobotany and ethnoecology in Nunavik and Nunatsiavut, northeastern Canada

Clark, Courtenay 12 1900 (has links)
Les habitats uniques de l'écotone forêt boréale-subarctique dans le nord du Canada subissent les contrecoups du changement climatique. Combinés aux effets de la mondialisation, les changements environnementaux touchent les Inuits de cette région et imposent des contraintes importantes sur leur mode de vie traditionnel, ce qui a des répercussions sur leur langue et les savoirs qui l'accompagnent. Cette étude compare deux aspects de l’ethnobiologie inuite : a) les noms et les utilisations des plantes par les Inuits de Nain, Nunatsiavut, suivis par une comparaison des utilisations avec la communauté inuite de Kangiqsualujjuaq, Nunavik, et b) une analyse des types de lieux ou d’habitats que les Inuits reconnaissent et nomment. Des interviews semi-dirigés ont été menés à Nain, Nunatsiavut et à Kangiqsualujjuaq, au Nunavik. Les plantes mentionnées sont utilisées comme aliment, thé, médecine, combustible, construction, nettoyage, et autres utilisations. Les deux communautés ont utilisé un nombre égal de plantes, avec des proportions équivalentes de taxons vasculaires/invasculaires, de formes de croissance (habitus), et d’espèces par catégorie d'utilisation. Les éléments du paysage les plus fréquemment rapportés sont d’ordre topographique, hydrologique ou écologique. L’intégration des concepts inuits, quant aux plantes et au paysage, à ceux de la science occidentale peut améliorer notre compréhension de l'écologie subarctique, aider à impliquer les acteurs locaux dans les décisions sur le développement de leur territoire et, conséquemment, modifier l'aménagement du territoire ainsi que les initiatives de conservation de la biodiversité. Ces concepts ont également des répercussions sur les stratégies d'adaptation face aux changements climatiques. / Unique habitats of the boreal-subarctic ecotone in northeastern Canada are being impacted by climate change. Combined with effects of globalization, changing environmental conditions are causing Inuit of this region to see significant strains on their traditional lifestyle and on the language and knowledge that go with it. This study compared two aspects of Inuit ethnobiology: we compared plant names and uses from two Inuit communities and examined what kinds of places or habitats Inuit recognize and name. Semi-structured interviews were conducted in Nain, Nunatsiavut and Kangiqsualujjuaq, Nunavik, by showing interviewees (mostly Elders) plant specimens or photos of the region. Plants were used for food, tea, medicine, fuel, construction, cleaning, and other uses. Both communities used equal numbers of plants, with equivalent proportions of vascular/non-vascular taxa, growth forms, and species per use category. Forty-three species were reported in each community, for a total of 78 species from 39 families. Despite high overlap in species distributions, only half of all species were shared, reflecting community-specific bodies of traditional knowledge, or perhaps an overall decline in ethnobotanical knowledge use. The most frequently reported landscape features were topographical, hydrological, and ecological (i.e. plant associations and animal habitats). Some Inuit categories reflected their significance to traditional Inuit lifestyle (e.g. ‘berry-patch’, ‘seal-place’), aiding navigation and resource finding. Integrating Inuit conceptions of plants and landscape with those of contemporary science can improve our understanding of subarctic ecology, help involve local stakeholders in sustainable development discussions, and inform land-use planning, biodiversity conservation initiatives, and climate change adaptation strategies.
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Inuit Ethnobotany in the North American Subarctic and Arctic: Celebrating a Rich History and Expanding Research into New Areas Using Biocultural Diversity

Norton, Christian H. 11 1900 (has links)
No description available.
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Inuit ethnobotany and ethnoecology in Nunavik and Nunatsiavut, northeastern Canada

Clark, Courtenay 12 1900 (has links)
Les habitats uniques de l'écotone forêt boréale-subarctique dans le nord du Canada subissent les contrecoups du changement climatique. Combinés aux effets de la mondialisation, les changements environnementaux touchent les Inuits de cette région et imposent des contraintes importantes sur leur mode de vie traditionnel, ce qui a des répercussions sur leur langue et les savoirs qui l'accompagnent. Cette étude compare deux aspects de l’ethnobiologie inuite : a) les noms et les utilisations des plantes par les Inuits de Nain, Nunatsiavut, suivis par une comparaison des utilisations avec la communauté inuite de Kangiqsualujjuaq, Nunavik, et b) une analyse des types de lieux ou d’habitats que les Inuits reconnaissent et nomment. Des interviews semi-dirigés ont été menés à Nain, Nunatsiavut et à Kangiqsualujjuaq, au Nunavik. Les plantes mentionnées sont utilisées comme aliment, thé, médecine, combustible, construction, nettoyage, et autres utilisations. Les deux communautés ont utilisé un nombre égal de plantes, avec des proportions équivalentes de taxons vasculaires/invasculaires, de formes de croissance (habitus), et d’espèces par catégorie d'utilisation. Les éléments du paysage les plus fréquemment rapportés sont d’ordre topographique, hydrologique ou écologique. L’intégration des concepts inuits, quant aux plantes et au paysage, à ceux de la science occidentale peut améliorer notre compréhension de l'écologie subarctique, aider à impliquer les acteurs locaux dans les décisions sur le développement de leur territoire et, conséquemment, modifier l'aménagement du territoire ainsi que les initiatives de conservation de la biodiversité. Ces concepts ont également des répercussions sur les stratégies d'adaptation face aux changements climatiques. / Unique habitats of the boreal-subarctic ecotone in northeastern Canada are being impacted by climate change. Combined with effects of globalization, changing environmental conditions are causing Inuit of this region to see significant strains on their traditional lifestyle and on the language and knowledge that go with it. This study compared two aspects of Inuit ethnobiology: we compared plant names and uses from two Inuit communities and examined what kinds of places or habitats Inuit recognize and name. Semi-structured interviews were conducted in Nain, Nunatsiavut and Kangiqsualujjuaq, Nunavik, by showing interviewees (mostly Elders) plant specimens or photos of the region. Plants were used for food, tea, medicine, fuel, construction, cleaning, and other uses. Both communities used equal numbers of plants, with equivalent proportions of vascular/non-vascular taxa, growth forms, and species per use category. Forty-three species were reported in each community, for a total of 78 species from 39 families. Despite high overlap in species distributions, only half of all species were shared, reflecting community-specific bodies of traditional knowledge, or perhaps an overall decline in ethnobotanical knowledge use. The most frequently reported landscape features were topographical, hydrological, and ecological (i.e. plant associations and animal habitats). Some Inuit categories reflected their significance to traditional Inuit lifestyle (e.g. ‘berry-patch’, ‘seal-place’), aiding navigation and resource finding. Integrating Inuit conceptions of plants and landscape with those of contemporary science can improve our understanding of subarctic ecology, help involve local stakeholders in sustainable development discussions, and inform land-use planning, biodiversity conservation initiatives, and climate change adaptation strategies.
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Insects tell a story : a web interwoven with entomology and Naskapi knowledge in Kawawachikamach

Carrier, Marion 03 1900 (has links)
No description available.
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Hétérogénéité de la croissance de Betula Glandulosa en milieu subartique à l'échelle du paysage

Trudel, Marilie January 2020 (has links) (PDF)
No description available.

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