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La traducción de Simaco en el libro de los Salmos /Busto Saiz, José Ramón. January 1985 (has links)
Tesis doctoral--Facultad de filología--Universidad Complutense de Madrid, 1978. / Textes en hébreu avec trad. en grec ancien et comment. en espagnol. Bibliogr. p. 3-18. Index.
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Studies on Symmachus' language and style /Haverling, Gerd. January 1988 (has links)
Doct. diss.--Language section of the Arts Faculty--Göteborg, 1988.
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Störungen der Rechtslage in den Relationen des Symmachus : Verwaltung und Rechtsprechung in Rom 384/385 n. Chr. /Hecht, Bettina. January 1900 (has links) (PDF)
Univ., Diss.-2004--Freiburg, 2003. / Literaturverz. S. [631] - 650.
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L'épigramme et la lettre d'Ausone à Ennode de Pavie : étude stylistique, littéraire et historique d'une contiguïté générique dans l'antiquité tardive / The epigram and the letter from Ausonius to Ennodius of Pavia : a stylistic, literary and historical study of a generic contiguity in Late AntiquityBonnan-Garçon, Camille 16 November 2018 (has links)
D’Ausone à Ennode de Pavie, de nombreux hommes de lettres de l’Antiquité tardive ont conjugué une production épistolaire abondante avec la rédaction d’épigrammes.. Ennode de Pavie a d’ailleurs organisé le recueil complet de ses œuvres autour d’une alternance entre épigrammes et lettres, mettant ainsi en relief la relation étroite, véritable dialogue générique, qui se noue entre l’épigramme et la lettre. Cependant, malgré ces nombreux points communs, les travaux critiques ont dans l’ensemble négligé d’en conduire l’étude de façon parallèle. C’est à ce projet original que nous entendons consacrer notre thèse. Tout d’abord, nous nous penchons sur l’aspect stylistique de cette contiguïté générique, à travers les critères communs de breuitas et d’humilitas, ainsi que sur la prédominance d’une certaine forme de maniérisme. Nous penchant ensuite sur l’aspect social et communicationnel des deux genres, nous les rapprochons en tant que media adoptant un système communicationnel commun et des lieux de créations sociaux identiques. Enfin, comme terme de notre logique comparative, nous incluons la contiguïté entre lettre et épigramme dans une réflexion plus large sur le phénomène général d’hybridation qui sous-tend cette époque. Ce dernier mouvement consiste dans l’étude de formes hybrides, mêlant lettre et épigramme, dans une perspective à la fois stylistique, littéraire et ecdotique, mais également dans l’étude d’une autre forme d’hybridation littéraire présente dans les deux genres : le bilinguisme où grec et latin se mêlent et se réinventent dans une époque de transition culturelle. / From Ausonius to Ennodius of Pavia, including Paulinus of Nola, Symmachus and Sidonius Apollinaris, many men of letters, in late Antiquity, wrote both letters and epigrams. Besides, Ennodius himself has organized his complete work alternating epigrams and letters, and highliting the close connection between those two genres. However, despite theirs numerous common features, the critics did not bother to draw a parrallel between them. Thus, we want to devote ourselves to this original point of view. First of all, we study the stylistic aspect of this generic connection, through two main common criteria. One the one hand, the breuitas and the humilitas, and in the other hand, the predominance of a certain form of mannerism. Then, considering the social and communicational aspects of those genres, we bring them together as medias adopting a common communicationnal system, and using the same places of creation. Finally, we include our reflexion in a broader one, about the phenomenon of genre-switching in Late Antiquity. This final movement consists in a studic of hybrid forms, in an ecdotic, stylistic point of view, but also in the study of latin-grec bilingualism.
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Éloge et critique de l’empereur chez Ambroise de Milan et Symmaque : au confluent de deux conceptions idéologiques du pouvoir impérial romainGamache, Valérie 05 1900 (has links)
L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale.
Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles. / The ideological expression of Roman Imperial power in the fourth century AD was profoundly marked by the religious, cultural and literary contexts of which it was a part, and within which two religions, and thus two different systems of thought and of representation of the world, co-existed: paganism, the traditional cult of the Roman state, and Christianity, increasingly ascendant throughout the Empire beginning notably during the reign of Constantine. Contrary to the long-held view, this framework, far from signifying a complete end to paganism to the benefit of the Christian religion (which, with Imperial support, engaged in a new relationship with political power), in fact conditioned new criteria for the exercise of power and for the conceptions of the Imperial ideal expressed in the panegyric discourse directed at the Emperor. As mirrors of the prince and means of communication between him and the elite, the encomia of Ambrose and Symmachus became part of the political debate of their time, constructing an archetype of the Emperor and determining his duties. To gauge the full scope of the symbolism conveyed by such discourse, it is important, with regard to the fourth century AD, to consider the mentalities of the authors, both Christian and pagan, who praised—as well as criticized—the Imperial person.
In analyzing the ideology of Imperial power according to the Christian and pagan discourses through the encomia of Ambrose and Symmachus, the author seeks to discern points of contact, influence or divergence between these representations of the world—and, more specifically, of Imperial power—which have long been viewed as entirely antithetical and incompatible.
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Éloge et critique de l’empereur chez Ambroise de Milan et Symmaque : au confluent de deux conceptions idéologiques du pouvoir impérial romainGamache, Valérie 05 1900 (has links)
L’expression idéologique du pouvoir impérial romain au IVe siècle apr. J.-C. fut profondément marquée par les contextes religieux, culturel et littéraire dans lesquels elle s’inséra et dans lesquels coexistèrent deux religions et donc deux systèmes différents de pensée et de représentation du monde, soit le paganisme, religion traditionnelle de l’État romain, et le christianisme, religion émergente qui s’imposa de plus en plus dans l’Empire, notamment à partir du règne de Constantin. Cette trame de fond, loin de signifier à cette époque la fin totale du paganisme – comme il a longtemps été admis – au profit de la religion chrétienne qui entretint, grâce au support impérial, une relation nouvelle avec le pouvoir politique, modela de nouveaux critères d’exercice du pouvoir et des conceptions de l’idéal impérial qui s’exprimèrent dans les discours d’éloge destinés à l’empereur. Miroir du prince et moyen de communication entre ce dernier et l’élite, les éloges d’Ambroise de Milan et de Symmaque s’insérèrent dans le débat politique de leur temps en élaborant un archétype de l’empereur et en déterminant ses devoirs. Pour mesurer toute l’ampleur de la symbolique véhiculée dans de tels discours, il importe, pour le IVe siècle, de considérer la mentalité des auteurs, chrétiens et païens, d’où émanaient les éloges – ou encore les critiques – de la personne impériale.
Ce mémoire propose ainsi d’analyser l’idéologie du pouvoir impérial selon les discours chrétien et païen, à travers les éloges d’Ambroise et de Symmaque, afin de relever les points de rencontre, d’influence ou de divergence entre ces représentations du monde et, plus spécifiquement, du pouvoir impérial, qui ont longtemps été considérées comme totalement opposées et incompatibles. / The ideological expression of Roman Imperial power in the fourth century AD was profoundly marked by the religious, cultural and literary contexts of which it was a part, and within which two religions, and thus two different systems of thought and of representation of the world, co-existed: paganism, the traditional cult of the Roman state, and Christianity, increasingly ascendant throughout the Empire beginning notably during the reign of Constantine. Contrary to the long-held view, this framework, far from signifying a complete end to paganism to the benefit of the Christian religion (which, with Imperial support, engaged in a new relationship with political power), in fact conditioned new criteria for the exercise of power and for the conceptions of the Imperial ideal expressed in the panegyric discourse directed at the Emperor. As mirrors of the prince and means of communication between him and the elite, the encomia of Ambrose and Symmachus became part of the political debate of their time, constructing an archetype of the Emperor and determining his duties. To gauge the full scope of the symbolism conveyed by such discourse, it is important, with regard to the fourth century AD, to consider the mentalities of the authors, both Christian and pagan, who praised—as well as criticized—the Imperial person.
In analyzing the ideology of Imperial power according to the Christian and pagan discourses through the encomia of Ambrose and Symmachus, the author seeks to discern points of contact, influence or divergence between these representations of the world—and, more specifically, of Imperial power—which have long been viewed as entirely antithetical and incompatible.
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