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La récréation poétique : traduction et commentaire des Epigrammes de John Owen (1564 ?-1622) / The poetical recreation : translation and commentary of John Owen’s Epigrams (1564 ?-1622)

Durand, Sylvain 03 December 2012 (has links)
Les Epigrammes de John Owen (1564 ?-1622) constituent un ensemble unique dans la production néo-latine, tant par le nombre de pièces qui le composent, environ mille cinq cent, que par le niveau d’excellence atteint par le « Martial anglais » (gallois, plutôt) qui fit du monodistique l’instrument privilégié de son génie. Le recueil du poète, qui connut pendant plus d’un siècle un véritable rayonnement européen, reflète son époque de composition en bien des points : la préférence accordée à l’inspiration satirique et morale, le culte de la brièveté ingénieuse, la recherche du bon mot et le plaisir du jeu verbal étaient en effet à même de satisfaire les zélateurs de l’esprit nouveau qui s’affirmait alors en Angleterre, vers la fin de l’ère élisabéthaine. L’épigramme owenienne est donc d’abord un exercice de subtilité, et l’étude du recueil, qui se présente au lecteur dans un savant désordre, révèle aussi la subtilité des liens qui régissent son organisation. Celle-ci ne dit pas seulement le soin apporté par le poète à son texte, qui témoigne d’une ambition certaine, mais souligne encore l’extraordinaire variété des sujets qui répond à une caractéristique du genre et à la volonté affirmée d’Owen de faire feu de tout bois. De cet ensemble kaléidoscopique, riche de ses propres échos et où le second degré apparaît souvent comme un témoignage de respect à l’égard de la tradition sur laquelle l’œuvre s’est construite (celle de la poésie morale et gnomique), il faut, enfin, souligner la modernité et la beauté qui sont les secrets du grand œuvre ; en cela, John Owen est bien l’héritier légitime de Martial / John Owen’s Epigrams represent an exceptional contribution in the neo-latin production, not only by the number of the poems, but also by the near perfection reached by the « English Martial » (welsh, actually) who made the elegiac couplet the prime instrument of his personal genius. Owen’s collection was met immediately with tremendous success in Great Britain as well as on the continent ; this success should last for more than a century, especially on the continent. The collection reflects his age of composition in many ways : the preference given to the satirical and moral inspiration, the cult of wity brevity and the passion for different types of puns were able to please the devotees of the new wit which spread then in England towards the end of elizabethan era. Thus, Owen’s epigram is above all an exercise of subtlety, and the study of the ten books, which are built on an artistic disorder, show as well the subtlety of the links! which rule their organisation. This organisation not only show the care given by the author to his work, which is a sign of ambition, but emphasize the remarkable variety of the subject which is certainly the rule for this special type of poetry, but also tell us Owen’s will for major eclecticism. Finally, we have to insist on the tradition to which the Epigrams are linked, that of moral poetry, and on the ironic treatment that the poet apply to commonplaces of gnomic sayings (or ordinary ones), inexhaustible source of inspiration for the witty epigrammatist who found there a way to surprise the reader. John Owen Latin epigrams are probably the wittiest and most pointed that have ever been produced in that tongue
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La récréation poétique : traduction et commentaire des Epigrammes de John Owen (1564 ?-1622)

Durand, Sylvain 03 December 2012 (has links) (PDF)
Les Epigrammes de John Owen (1564 ?-1622) constituent un ensemble unique dans la production néo-latine, tant par le nombre de pièces qui le composent, environ mille cinq cent, que par le niveau d'excellence atteint par le " Martial anglais " (gallois, plutôt) qui fit du monodistique l'instrument privilégié de son génie. Le recueil du poète, qui connut pendant plus d'un siècle un véritable rayonnement européen, reflète son époque de composition en bien des points : la préférence accordée à l'inspiration satirique et morale, le culte de la brièveté ingénieuse, la recherche du bon mot et le plaisir du jeu verbal étaient en effet à même de satisfaire les zélateurs de l'esprit nouveau qui s'affirmait alors en Angleterre, vers la fin de l'ère élisabéthaine. L'épigramme owenienne est donc d'abord un exercice de subtilité, et l'étude du recueil, qui se présente au lecteur dans un savant désordre, révèle aussi la subtilité des liens qui régissent son organisation. Celle-ci ne dit pas seulement le soin apporté par le poète à son texte, qui témoigne d'une ambition certaine, mais souligne encore l'extraordinaire variété des sujets qui répond à une caractéristique du genre et à la volonté affirmée d'Owen de faire feu de tout bois. De cet ensemble kaléidoscopique, riche de ses propres échos et où le second degré apparaît souvent comme un témoignage de respect à l'égard de la tradition sur laquelle l'œuvre s'est construite (celle de la poésie morale et gnomique), il faut, enfin, souligner la modernité et la beauté qui sont les secrets du grand œuvre ; en cela, John Owen est bien l'héritier légitime de Martial
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Luciano di Samosata e la civiltà ellenistica : imitazione e “ri-creazione / Lucien de Samosate et la civilisation hellénistique : imitation et "ré-création" / Lucian of Samosata and the Hellenistic civilisation : imitation and "re-creation"

Marcinnò, Micol 07 April 2017 (has links)
Comme le titre le suggère, la thèse s’inspire du "Lucien écrivain. Imitation et création de Jacques Bompaire". Dans l’introduction nous reparcourons l’histoire de l’Hellenismus de Droysen et nous surlignons le poids du mélange culturel gréco-oriental dans la vie et dans l’œuvre de Lucien. Le premier chapitre consiste en un corpus commenté de passages lucianesques contenant des éléments hellénistiques évidents. Dans le deuxième chapitre nous analysons plusieurs aspects de la civilisation hellénistique présents dans l’œuvre de Lucien comme la politique, l’art, le mythe, les programmes littéraires. Dans le troisième chapitre nous étudions l’influence de la poésie alexandrine dans l’œuvre de l’A., alors que le quatrième chapitre analyse l’influence que des formes littéraires relevant d’un substrat culturel de sagesse populaire ont eue sur l’A. L’approche textuelle et philologique adoptée permet d’affirmer que Lucien connaissait la civilisation hellénistique et sa littérature. / As the title suggests, the thesis takes inspiration from Jacques Bompaire’s Lucien écrivain. Imitation et creation. In the introduction we retrace the history of Droysen’s Hellenismus and we detect the importance of the greco-oriental cultural fusion in Lucian’s life and works. The first chapter consists of a commented corpus of lucianic passages containing evident hellenistic elements. In the second chapter we analyse different aspects of the hellenistic civilisation which are detectable in Lucian’s works such as politics, arts, myth or literary programs. In the third chapter we compare Lucian’s literary production with Alexandrian poetry, while the forth chapter focuses on the literary influence that hellenistic philosophical and historiographical productions had on Lucian’s composition. This research makes it possible to state that the author of Samosata had a deep knowledge of hellenistic civilisation and that hellenistic literature influenced his way of writing.
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L'épigramme et la lettre d'Ausone à Ennode de Pavie : étude stylistique, littéraire et historique d'une contiguïté générique dans l'antiquité tardive / The epigram and the letter from Ausonius to Ennodius of Pavia : a stylistic, literary and historical study of a generic contiguity in Late Antiquity

Bonnan-Garçon, Camille 16 November 2018 (has links)
D’Ausone à Ennode de Pavie, de nombreux hommes de lettres de l’Antiquité tardive ont conjugué une production épistolaire abondante avec la rédaction d’épigrammes.. Ennode de Pavie a d’ailleurs organisé le recueil complet de ses œuvres autour d’une alternance entre épigrammes et lettres, mettant ainsi en relief la relation étroite, véritable dialogue générique, qui se noue entre l’épigramme et la lettre. Cependant, malgré ces nombreux points communs, les travaux critiques ont dans l’ensemble négligé d’en conduire l’étude de façon parallèle. C’est à ce projet original que nous entendons consacrer notre thèse. Tout d’abord, nous nous penchons sur l’aspect stylistique de cette contiguïté générique, à travers les critères communs de breuitas et d’humilitas, ainsi que sur la prédominance d’une certaine forme de maniérisme. Nous penchant ensuite sur l’aspect social et communicationnel des deux genres, nous les rapprochons en tant que media adoptant un système communicationnel commun et des lieux de créations sociaux identiques. Enfin, comme terme de notre logique comparative, nous incluons la contiguïté entre lettre et épigramme dans une réflexion plus large sur le phénomène général d’hybridation qui sous-tend cette époque. Ce dernier mouvement consiste dans l’étude de formes hybrides, mêlant lettre et épigramme, dans une perspective à la fois stylistique, littéraire et ecdotique, mais également dans l’étude d’une autre forme d’hybridation littéraire présente dans les deux genres : le bilinguisme où grec et latin se mêlent et se réinventent dans une époque de transition culturelle. / From Ausonius to Ennodius of Pavia, including Paulinus of Nola, Symmachus and Sidonius Apollinaris, many men of letters, in late Antiquity, wrote both letters and epigrams. Besides, Ennodius himself has organized his complete work alternating epigrams and letters, and highliting the close connection between those two genres. However, despite theirs numerous common features, the critics did not bother to draw a parrallel between them. Thus, we want to devote ourselves to this original point of view. First of all, we study the stylistic aspect of this generic connection, through two main common criteria. One the one hand, the breuitas and the humilitas, and in the other hand, the predominance of a certain form of mannerism. Then, considering the social and communicational aspects of those genres, we bring them together as medias adopting a common communicationnal system, and using the same places of creation. Finally, we include our reflexion in a broader one, about the phenomenon of genre-switching in Late Antiquity. This final movement consists in a studic of hybrid forms, in an ecdotic, stylistic point of view, but also in the study of latin-grec bilingualism.

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