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Du diabète traumatique /Jacquier, Alfred. January 1900 (has links)
Thèse--Médecine--Paris, 1869-07-08. / Voyez tome 7. N ° 160.
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Considérations sur quelques accidents traumatiques dans le diabète et en particulier de la gangrène. Pierre Laversin.Laversin, Pierre. January 1883 (has links)
Th.--Méd.--Paris, 1883. / Paris - 1883 - Tome 13 N ° 85.
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Thérapie cognitive-comportementale pour l'état de stress post-traumatique administrée en vidéoconférence : efficacité et impact sur l'alliance thérapeutiqueGermain, Vanessa January 2008 (has links) (PDF)
Plusieurs victimes d'événements traumatiques sont à risque de développer un état de stress post-traumatique (ÉSPT). Certaines formes d'interventions psychologiques comme la thérapie cognitive-comportementale (TCC) ont démontré leur efficacité à traiter l'ÉSPT. Toutefois, les ressources valables pouvant aider les victimes à cheminer vers la guérison demeurent parfois inaccessibles car la plupart des cliniciens possédant une expertise dans l'application de la TCC se trouvent dans les régions urbaines ou dans les centres spécialisés. Les individus vivant loin de ces services et dont la condition physique ou psychologique complique les déplacements requis sont souvent privés de soutien professionnel adéquat. Dans ce contexte, il apparaît souhaitable et nécessaire de rendre ce type d'intervention accessible à tous afin d'alléger les souffrances des victimes de traumatismes et d'améliorer leur niveau de fonctionnement. Une solution envisageable et prometteuse consiste à administrer des services psychologiques à distance par l'entremise de moyens technologiques tels que la vidéoconférence. La présente étude vise à évaluer l'efficacité d'une TCC offerte en vidéoconférence auprès d'individus souffrant d'un ÉSPT. Quarante-huit personnes participent au projet et reçoivent une TCC administrée soit en vidéoconférence, soit de manière conventionnelle en face à face. Le chapitre I du présent document expose le contexte général de cette thèse en situant notamment l'état des écrits effectués à ce jour sur la télépsychothérapie. Le chapitre Il, pour sa part, expose les principaux résultats comparatifs obtenus sur l'efficacité de la thérapie offerte en vidéoconférence et en face à face. Dans l'ensemble, les données permettent de constater une amélioration significative de la symptomatologie et du fonctionnement global des victimes suite aux traitements proposés. Aucune différence significative entre les deux modalités thérapeutiques n'est observée. Par la suite, considérant l'importance d'établir une relation thérapeutique de qualité auprès de cette population fragilisée, le chapitre III examine l'impact de l'utilisation de la vidéoconférence sur l'alliance thérapeutique. Les résultaIs démontrent que l'alliance n'est pas compromise par la distance et l'emploi d'un tel outil technologique. Finalement, le chapitre IV constitue une discussion générale des résultats obtenus. Différentes considérations méthodologiques, cliniques et pratiques y sont aussi exposées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Télépsychothérapie, État de stress post-traumatique, Thérapie Cognitive-Comportementale, Efficacité, Alliance thérapeutique.
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Facteurs prévisionnels du développement de l'état de stress post-traumatique à la suite d'un événement traumatique chez les policiersMartin, Mélissa January 2010 (has links) (PDF)
Les événements traumatiques (ÉT) peuvent susciter des séquelles psychologiques importantes pour les individus qui en sont victimes, comme un état de stress post-traumatique
(ÉSPT). Les policiers représentent une population à risque d'être exposée à des ÉT dans le cadre de leur travail et sont donc susceptibles de développer un ÉSPT. Ce trouble peut amener des répercussions considérables sur le fonctionnement psychosocial, la qualité de vie des individus qui en souffrent, entraîner une interférence marquée au niveau du travail et peut conduire à des coûts sociaux exorbitants. Ainsi, après l'exposition à un ÉT, il importe de pouvoir distinguer les facteurs qui influencent le développement et le maintien de réactions post-traumatiques (facteurs de risque) de ceux qui favorisent un retour plus rapide à une vie normale en prévenant l'apparition de symptômes post-traumatiques ou en atténuant leur intensité (facteurs de protection). L'identification des prédicteurs de l'ÉSPT chez une population policière s'avère primordiale et permettra de développer ultérieurement des stratégies de prévention et d'intervention efficaces. Le chapitre I présente une recension des principaux facteurs prévisionnels pouvant influencer l'ÉSPT dans la population générale et chez les policiers. Le chapitre II comprend un article empirique qui porte sur les facteurs de risque et de protection qui prédisent les réactions post-traumatiques chez une population de policiers. Le chapitre III dévoile les résultats d'un deuxième article empirique qui examine l'impact de l'exposition à un ÉT et l'impact d'un ÉSPT chez les policiers. Finalement, le chapitre IV présente une discussion générale et une analyse critique des résultats obtenus dans les deux articles empiriques tout en exposant des considérations méthodologiques, des pistes de recherche futures et des implications cliniques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : État de stress post-traumatique, Prédicteurs, Facteurs de risque, Facteurs de protection, Policiers, Facteurs prévisionnels.
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Investigation des fonctions mnésiques impliquées dans le processus de rémission de l'état de stress post-traumatiqueDavid, Annie-Claude 03 1900 (has links) (PDF)
L'étude de l'état de stress post-traumatique (ÉSPT) amène à se poser deux types de questions fondamentales : 1) pourquoi certains individus exposés à un événement traumatique développent le trouble alors que d'autres non? et 2) parmi ceux qui développent le trouble, pourquoi la majorité des individus entrent en rémission après quelques mois alors que d'autres développent un ÉSPT chronique qui persiste pendant plusieurs mois, voire plusieurs années? La présente thèse avait donc pour but de trouver certaines explications à cette deuxième question qui semble plus importante d'un point de vue clinique en raison des répercussions que ce trouble peut avoir sur le fonctionnement quotidien des victimes et de leur entourage. Effectivement, pour certaines victimes, plus le temps passe, plus les symptômes s'installent et se cristallisent. Pour ces individus, les symptômes chroniques et dommageables seraient souvent jumelés à différentes complications, notamment un trouble dépressif ou anxieux, un trouble de dépendance ou d'abus de substances, un changement au niveau de la personnalité, ainsi qu'à une dégradation durable au plan du fonctionnement social et professionnel (Ehlers & Clark, 2000). Il a été proposé que le processus de rémission ne requiert pas un oubli, mais reflète plutôt un nouvel apprentissage (Foa, 2000) et que les dysfonctions mnésiques (souvenirs récurrents et involontaires du trauma et difficultés à se souvenirs du trauma) observées chez les victimes d'événements traumatiques pourraient interférer avec la rémission du trauma, un processus d'adaptation qui requiert ce nouvel apprentissage par extinction (Shalev, 2000). La thèse se compose de quatre chapitres. Le premier consiste en une description des modèles théoriques et neuronaux ainsi qu'une recension de la littérature sur les processus mnésiques impliqués dans l'ÉSPT ainsi que les facteurs neurobiologiques sous-jacents aux dysfonctions mnésiques retrouvées dans l'ÉSPT. Cette recension met en évidence la controverse dans la littérature en ce qui a trait à la mémoire traumatique ainsi que les principales failles méthodologiques qui empêchent de répondre au questionnement soulevé. Le deuxième chapitre présente une étude qui avait pour but d'examiner, de façon longitudinale, la fidélité des souvenirs rétrospectifs des expériences émotionnelles péritraumatiques (détresse et dissociation vécues au moment du trauma) chez des individus exposés à un événement traumatique en fonction de leur statut diagnostic. Il était anticipé qu'en appliquant la théorie d'une relation en « U » inversée entre l'intensité du stress et le système mnésique hippocampique (Metcalfe & Jacobs, 1998) et en tenant compte du statut diagnostique, nous pourrions mieux comprendre les résultats contradictoires obtenus jusqu'à maintenant au sujet des souvenirs traumatiques. Les résultats de cette étude ont démontré que le statut diagnostique est associé à la fidélité des souvenirs rétrospectifs des réponses péritraumatiques. Ces résultats sont donc en accord avec la théorie de Metcalfe & Jacob (1998) sur la mémoire traumatique humaine qui suggère qu'un niveau de stress modéré produit un souvenir formé à l'aide de l'hippocampe et est associé avec la mémoire épisodique, autobiographique et contextuelle, alors qu'un niveau de stress extrême mène à un encodage indépendant de l'hippocampe, mais associé à l'activation de l'amygdale, menant à la création d'un souvenir décontextualisé, sensoriel et chargé émotionnellement. Le troisième chapitre présente une deuxième étude qui avait pour but d'examiner, de façon longitudinale, le rôle des facteurs neurobiologiques sous-jacents aux fonctions mnésiques dans l'évolution des symptômes d'ÉSPT en étudiant l'implication de certains SNPs (single-nucleotide polymorphism) du gène FKBP5 dans le processus de rémission du trouble. Les résultats ont démontré que le gène FKBP5 pouvait prospectivement prédire le manque d'amélioration des symptômes d'ÉSPT chez des individus ayant recours à une thérapie pour un ÉSPT aigu. Des analyses plus spécifiques ont aussi démontré un effet interactif des SNPs du gène FKBP5 et du souvenir subjectif de la sévérité du trauma (c.-à-d., les réponses péritraumatiques) sur les dysfonctions mnésiques. Les résultats démontrent donc une relation entre les corticostéroïdes et les performances mnésiques, ce qui pourrait interférer avec l'apprentissage par extinction, et par conséquent, en partie expliquer la persistance du trouble. Le dernier chapitre propose une discussion générale des résultats qui permettent de constater que les processus mnésiques sont impliqués dans la rémission/persistance de l'ÉSPT. Les différentes forces et limites ainsi que les implications cliniques et théoriques de la présente thèse sont aussi examinées.
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Le trouble de stress post-traumatique chez les enfants : état des connaissances et examen de l'efficacité d'un traitement cognitivo-comportemental suite à un événement traumatique uniqueBerthiaume, Caroline January 2007 (has links) (PDF)
Cette thèse de doctorat s'inscrit dans le contexte actuel de vouloir développer des programmes de traitement adaptés aux besoins des enfants d'âge scolaire présentant un trouble de stress post-traumatique (TSPT) suite à un événement traumatique unique et non anticipé. Cette population se distingue des autres tranches d'âge par une présentation clinique différente du trouble. Le taux élevé de prévalence du TSPT chez les enfants confirme qu'il s'agit d'une période critique qui rend l'individu plus à risque de développer le trouble. D'autres facteurs de vulnérabilité ont été identifiés comme jouant un effet médiateur sur l'ajustement à long terme de l'enfant traumatisé. Les impacts du TSPT sont d'ailleurs reconnus pour compromettre le développement optimal de l'enfant. Ces éléments confirment donc l'importance
d'augmenter l'accès à des ressources spécialisées dans le domaine. La thèse comporte trois articles. Le premier présente une recension exhaustive de la littérature des 15 dernières années en décrivant les études ayant examiné l'efficacité des programmes de traitements existants. Les approches thérapeutiques les plus fréquemment utilisées auprès des enfants souffrant d'un TSPT concernent la thérapie cognitivo-comportementale (TCC), la désensibilisation par mouvements oculaires (DMO), les interventions psychosociales ou psychoéducatives, les thérapies par l'art ou par le jeu et la participation active des parents. La revue de la littérature actuelle révèle que les études ayant examiné l'impact de la TCC sont plus nombreuses (n=15) par rapport à la DMO (n=2), la thérapie par le jeu ou par l'art (n=3) et les stratégies psychoéducatives ou psychosociales (n=I). L'examen des forces et des limites de ces études confirme que, bien que la plupart ait obtenu des résultats significatifs sur la diminution de la symptomatologie post-traumatique, plusieurs limites doivent être contrecarrées pour augmenter la validité des améliorations observées et l'efficacité des programmes de traitement auprès des enfants.
Le deuxième article de la thèse présente les résultats obtenus suite à l'application d'un manuel de traitement élaboré par notre équipe pour cibler le TSPT chez des enfants d'âge scolaire ayant développé le trouble suite à un événement traumatique unique. Un devis à cas unique en fonction des individus avec l'ajout de niveaux de base multiples a été utilisé pour mesurer l'impact du traitement comportant 12 séances hebdomadaires. Trois enfants âgés respectivement de 8, 9 et 11 ans ont pris part à l'étude. Des entrevues semi-structurées et des questionnaires auto-administrés ont été utilisés pour mesurer les symptômes de TSPT, d'anxiété générale et de dépression de l'enfant. Ces instruments de mesure ont été administrés à tous les temps de mesure soit, au niveau de base, à la mi-traitement, suite à l'intervention ainsi que lors des suivis prévus 3, 6 et 12 mois plus tard. Des données quotidiennes des symptômes d'anxiété générale, de TSPT et de dépression ont également été recueillies par des calepins d'auto-observations remplis par l'enfant. Les résultats de l'étude révèlent que les trois participants ne répondaient plus au diagnostic de TSPT suite au traitement. Ils montraient également une amélioration de leurs symptômes d'anxiété générale et de dépression par un fonctionnement similaire à ceux de populations non cliniques. Ces résultats ont également été maintenus à travers le temps, tel que montré par les données obtenues lors des moments de relances. Les conclusions de cet article suggèrent que la TCC est efficace pour réduire les symptômes associés au TSPT chez les enfants d'âge scolaire qui présentent le trouble suite à une exposition traumatique unique. Le troisième article de la thèse propose une avenue novatrice pour miser sur la participation active des parents dans le traitement du TSPT chez les enfants. Cette étude avait donc pour but principal d'examiner l'effet de l'ajout d'une bibliothérapie auprès des parents dans le cadre de la TCC offerte à l'enfant. Elle a été réalisée pour répondre à un objectif général qui était d'observer la présence de symptômes d'anxiété et de dépression chez les parents au cours de l'application du protocole de traitement. Pour y arriver, des questionnaires et une entrevue semi-structurée ont été administrés auprès des parents lors des six temps de mesure (niveau de base, mi-traitement, post-traitement
et relances 3, 6 et 12 mois). Des données quotidiennes ont également été recueillies auprès d'eux concernant leurs symptômes d'anxiété générale Bien que préliminaires, les résultats montrent une certaine amélioration des symptômes des parents au cours du traitement. Une diminution des symptômes a été notée à l'entrevue semi-structurée pour la participante 1 et aux questionnaires autoadministrés pour la participante 2. Par contre, les symptômes de la participante 3 sont demeurés stables tout au long du protocole de recherche. L'inspection visuelle des symptômes d'anxiété générale de la première participante révèle également une diminution graduelle tout au long du traitement et une absence de ce symptôme lors des suivis 6 et 12 mois après l'intervention. Les résultats de cette étude permettent de conclure que la bibliothérapie s'avère une alternative de choix pour impliquer activement les parents dans le traitement auprès des enfants, car elle implique des coûts thérapeutiques moindres et propose du matériel de qualité auquel les parents peuvent se référer en cas de rechute. Le dernier chapitre de la thèse propose une discussion générale sur les implications cliniques des résultats exposés dans les trois articles. Des avenues pour les recherches futures sont également proposées. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Trouble de stress post-traumatique, TSPT, Enfant, Thérapie cognitivo-comportementale, TCC, Bibliothérapie.
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Proposition d'intégration de stratégies thérapeutiques centrées sur les émotions à la thérapie par exposition pour le trouble de stress post-traumatique /Taillefer, Alain, January 2005 (has links)
Thèse (D. en psychologie)--Université du Québec à Montréal, 2005. / En tête du titre: Université du Québec à Montréal. Bibliogr.: f. [138]-145. Publié aussi en version électronique.
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Symptoms of posttraumatic stress disorder in young males diagnosed with testicular or lymphatic cancerRobitaille, Roxane January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Symptoms of posttraumatic stress disorder in young males diagnosed with testicular or lymphatic cancerRobitaille, Roxane January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Etude évolutive de la dissociation péri-traumatique chez des victimes confrontées au Réel de la mort dans le cadre d'actes terroristes / An evolutionary study of peritraumatic dissociation among victims confronted with the real of death during terrorist attacksCedile, Elisabeth 12 June 2019 (has links)
Cette recherche a étudié l’évolution psychique de neuf victimes directes des attentats qui ont touché Paris durant l’année 2015 et dont les symptômes étaient atypiques, voire, inexistants, a priori. Si les symptomatologies d’états de stress post traumatiques caractéristiques sont communément admises, tant par les soignants, que par les acteurs juridiques de la réparation en dommage corporel, les états de dissociation péri et post traumatiques, lorsqu’ils sont identifiés, ne sont, en revanche, jamais envisagés autrement que comme des temps de latences augurant de futurs états de stress post traumatiques sévères. A l’aide des contenus d’entretiens cliniques réalisés à trois mois puis dix-huit mois des attentats, accompagnés de deux passations d’une échelle d’évaluation des états de stress post traumatiques (PCL/S), l’évolution psychologique de neuf victimes directes, sans symptômes caractéristiques apparents, a ainsi été effectuée. Cette étude a permis de démontrer que chez certains sujets, la confrontation au Réel de la mort se fait dans une telle violence qu’elle engendre la mise en marche de mécanismes de défense archaïques tel le déni de l’effroi décrit par Lebigot (2005) puis le clivage, et non des tableaux caractéristiques d’état de stress post traumatiques. Chez deux tiers des sujets, il a été démontré que la réassociation par le langage et le retour aux processus de symbolisation étaient néanmoins possibles, sans effondrement pathologique, mais en respectant une progression lente vers l’élaboration du traumatisme, dans le cadre d’alliances thérapeutiques étayantes et ininterrompues. Chez un tiers des sujets, en revanche, la permanence de tels tableaux cliniques, c’est-à-dire asymptomatiques pour deux d’entre eux, ou caractérisé par une amnésie dissociative pour l’un d’entre eux, n’a pas permis de déterminer le caractère adaptatif et non pathologique de tels mécanismes dissociatifs. L’ensemble des résultats démontre néanmoins la nécessité d’accroître les connaissances sur le sens, le repérage et la fonction de tels mécanismes, qui ne sont pas toujours identifiés, du fait même de leur origine qui exclue toute capacité de verbalisation de la part des victimes, mais qui nécessitent cependant des proposition soins appropriées. / This research studied the psychological evolution of nine direct victims of the terrorist attacks that struck Paris in 2015 and whose symptoms were, at first glance, atypical, or even non-existent. While the symptomatologies of post-traumatic stress disorder are commonly recognised, both by carers and legal bodies involved in physical injury compensation, peri and post-traumatic dissociative disorders, when they are identified, are never perceived as anything other than periods of latency, predicting future severe post-traumatic stress disorder.The psychological evolution of the nine direct victims lacking apparent typical symptoms was thus studied based on the content of clinical interviews carried out three months and eighteen months after the attacks, backed by two assessments using the PCLS rating scale for post-traumatic stress disorder. This study has enabled us to show that with some subjects the confrontation with the real of death occurred in such violence that it triggered archaic defence mechanisms, such as denial of the dread as described by Lebigot (2005) then splitting, and not the typical presentations of post-traumatic stress disorder. With two-thirds of the subjects, it was shown that reassociation through language and a return to the process of symbolisation were still possible, without a pathologic breakdown, by respecting a slow progression towards the formulation of the trauma as part of continuous and substantiated therapeutic relationships. However, with one third of subjects the permanence of such clinical presentations, i.e. asymptomatic for two of them or characterised by dissociative amnesia for one of them, made it impossible to determine the adaptive and non-pathological character of such dissociative mechanisms. Nevertheless, the combined results show there is a need to learn more about the meaning, identification and function of these mechanisms which are not always identified, precisely because of their cause which excludes all ability on the part of victims to express themselves, but which nonetheless require that appropriate treatment be offered.
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