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Le conflit touareg et ses enjeux géopolitiques au Mali. / The Tuareg conflict and its geopolitical stakes in Mali

Tamboura, Abdoulaye 08 September 2015 (has links)
Depuis 2012, le Mali est confronté à une rébellion des minorités touarègues menée par les insurgés du MNLA (mouvement national pour la libération de l’Azawad) et leurs alliées du MAA (Mouvement arabe de l’Azawad) et du HCUA (Haut conseil pour l’unicité de l’Azawad) ; tous, regoupés au sein de la CMA (Coordination des mouvements de l’Azawad). Ainsi, les parties nord du pays (Azawad : objet de revendication pour une autonomie ou pour une indépendance) ont servi de lieux d’affrontements les plus meurtriers entre l’armée malienne et les insurgés. Grâce à une coalition MNLA-AQMI (Al Qaïda au Maghreb islamique) et alliés (narcotrafiquants, An Sar Dine, etc.), ils ont défait l’armée malienne et occupé les territoires revendiqués avant d’être chassé à leur tour les terroristes. Cependant, si, les interventions française (de l’Opération Serval) et africaine depuis janvier 2012 ont mis un frein à l’offensive des terroristes et libérer les grandes villes du Nord, elles n’ont pas mis fin à la guerre qui oppose rebelles et soldats maliens qui continuent jusqu’au mois de mai 2015. Malgré les pourparlers d’Alger (entamés depuis début 2015), les insurgés qui occupent toujours la ville de Kidal, poursuivent leur revendication d’un statut juridique et politique pour l’Azawad. De manière générale, la présente rébellion est une suite logique des précédentes (des années 60, 90 et 2000). Elles émanent d’un malaise de certaines communautés arabo-touarègues manifesté par la mauvaise gouvernance et la marginalisation dont celles-ci pensent avoir subi. Ce mal être des insurgés résulte aussi de la part de l’héritage des rapports difficiles et conflictuels entre nomades et sédentaires, entre « noirs » et « blancs », entre maîtres et esclaves, entre assujettis et « seigneurs ». Aussi, la crise du Sahel a aggravé l’enclavement et l’isolement du Mali-Nord, notamment de l’Azawad, et accentué le sentiment d’être oublié. Elle a desserré et distendu les liens d’avec le reste du Mali « utile ». Toutefois, le soulèvement de 2012 n’a pas entraîné toutes les communautés de l’Azawad dont les rebelles supposent défendre ou parler en leur nom. Il intervient également dans un contexte de soulèvements populaires dans certains Etats arabo-berbères (« printemps arabe » pour les médias), notamment en Libye (guerre civile, puis, la chute de Kadafi). De nombreux combattants touaregs de l’armée libyenne ont ainsi rejoint (avec armes) les rangs du MNLA. / Since 2012, Mali ha been facing a rebellion of the Tuareg minority-led insurgents MNLA (National Movement for the Liberation of Azawad) and allied MAA (Arab Movement of Azawad) and HCUA (High Council for the Uniqueness of Azawad); all together within the CMA (Coordination of movements of Azawad). Thus, the northern parts of the country (Azawad claim object for autonomy or independence) have served as scene of the deadliest clashes between the Malian army and the insurgents. Through MNLA-AQIM coalition (Al Qaeda in Islamic Magrheb) and allies (drug traffickers, An Sar Dine, etc.), they defeated the Malian army and have occupied territories claimed before have being chased in turn terrorists. However, if the French and African’s intervention (Operation Serval) since January 2012 have curbed the terrorist offensive and freed the major cities of the North but, they have not ended the war between rebels and Malian soldiers continue until May 2015. Despite the Algiers talks (started since early 2015), the insurgents who still occupy the city of Kidal, continue to claim a legal and political status for Azawad. In general, this rebellion is a logical continuation of insurrections (1960, 1990 and 2000). These rebellions erupted because certain Arab and Tuareg communities feel discontented and they have suffered from poor governance and marginalization. The insurgent unrest also results from the legacy of difficult and conflicting relations between nomads and settled, between "black" and "white", between masters and slaves, and between subjects and "lords". Also, the Sahel crisis have aggravated the isolation of North Mali (particularly Azawad) and accentuated the feeling of being forgotten. It has stretched and distended the bonds of the rest of "useful" Mali. However, all the communities’ Azawad didn’t participate in the 2012 uprising therefore rebels cannot defend or speak for them. It also comes amid popular uprisings in some Arab-Berber States ("Arab Spring" for the media), especially in Libya (civil war, then the fall of Kadafi). Many Tuareg fighters of the Libyan army joined (with then weapons) the ranks of the MNLA.
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Les relations épistolaires entre la famille Kunta de Tombouctou et la Dina du Macina (1818-1864) / The correspondence between the Kunta family of Timbuktu and the Dina of Macina (1818-1864)

Traore, Ismail 08 October 2012 (has links)
La thèse porte sur deux aspects interdisciplinaires de la science à savoir : les études critiques et l’histoire (particulièrement celle du Mali). L’aspect études critique est écrit en arabe, il étudie la plus volumineuse et la plus intéressante correspondance échangée entre Shaykh Sīdī Ahmad al-Bakkay Kunta et le dernier émir du Macina (Amadou Amadou). Ce manuscrit traite de la majeure partie des différends qui opposaient les deux protagonistes particulièrement, mais aussi, les sujets brûlants entre les .deux familles en général. Elle est la réponse à une première correspondance envoyée par Amadou Amadou, bien que nous n’ayons pas retrouvé la copie, la réponse de Sīdī al-Bakkay en retrace les grandes lignes et y répond.L’aspect histoire se focalise sur l’étude d’une zone restreinte locale, ensuite prend ses sources naturellement dans les manuscrits inédits de l’Institut Ahmad Baba de Tombouctou (IHERIAB). Il s’agit de discuter de la nature, de l’importance des rapports Kunta Peuls et leur évolution durant la période 1818-1864, qui résume la vie de l’empire théocratique de Hamdallaye. Ce jeune Etat dès sa naissance n’a pas hésité à prendre possession de deux pôles de commandements religieux et commerciaux, sous l’autorité de trois émirs, ensuite lance sa conquête sur la ville de Tombouctou et ses environnants. Cette période n’a pas manqué d’être mouvante ; sans oublier le poids de la présence Touareg dans la création de cette complicité. Pour bien cerner la question, il importe justement de rappeler le climat politique du delta central du Niger pendant les années finissantes du XVIIIe siècle et avant 1818 et de montrer comment ce contexte a permis l’émergence des Kunta et leur suprématie à Tombouctou. Les Kunta ont été à la fois porteurs d’un message religieux traditionnel et acteurs politiques dans la sous-région, cette double responsabilité ne les laisse pas indifférents face aux événements de cette époque. Les contenus de ces correspondances, adressées à diverses personnalités de différentes communautés, relatent la postérité de leurs actions entreprises dans le règlement de ces oppositions, témoignent de leur rôle joué dans la recherche de la stabilité et d’un climat de paix et de dialogue dans cette partie de la boucle du Niger. Ces correspondances venant des Shaykh-s Kunta ou des émirs peuls du Macina, ainsi que celles reçues de leurs auxiliaires traitent différents sujets de la vie quotidienne : Des appels à la justice, la meilleure gestion et la bonne gouvernance, des conseils, prêches et des plaidoiries, aux textes administratifs, politiques et jurisconsultes, en passant par les récits de menaces physiques et violences verbales, en allant jusqu’aux médiations, réconciliations et présentations de condoléances etc. / This thesis deals with two interdisciplinary aspects of science, namely critical studies and history (particularly the history of Mali). The section devoted to critical studies is written in Arabic and examines the most substantial and most interesting piece of correspondence exchanged between Shaykh Sīdī Ahmad al-Bakkay Kunta and the last Emir of Macina (Amadou Amadou). This manuscript deals with most of the differences which opposed the two protagonists, in particular, as well as dealing, more generally, with the burning issues concerning the two families. It was the reply to a first piece of correspondence sent by Amadou Amadou, which we have been unable to find although Sīdī al-Bakkay outlined its content in this reply.The historical aspect focuses on the study of a limited local zone. The sources are naturally the unpublished manuscripts of the Ahmad Baba Institute in Timbuktu (IHERIAB). In essence, this section of the thesis discusses the nature and importance of the Kunta - Peuls relationships and their evolution during the period 1818-1864 – a summary of the theocratic empire of Hamdallaye. From its birth, under the authority of three emirs, this young state unhesitatingly took control of religious leadership and commerce before invading Timbuktu and the surrounding area. The period was turbulent and the creation of this complicity was heavily influenced by the Tuareg presence. A proper apprehension of the subject requires one to bear in mind the political climate of the central Niger delta from the end of the 18th century to 1818 and how this context enabled the emergence of the Kunta and their supremacy in Timbuktu.The Kunta were both bearers of a traditional religious message and political figures in this sub-region. This double responsibility meant that they were not mere spectators of the events of the period, events tainted with interminable conflicts and a multitude of unexpected disputes. The content of this correspondence sent to various figures in different communities recounts the actions undertaken to settle these conflicts and shows the role played by the Kunta in the quest for dialogue and a peaceful climate in this area along the Niger.The letters comprising this correspondence written by Shaykh-s Kunta or the Peul Emirs of Macina as well as the letters received from their auxiliaries dealt with various subjects of daily life: appeals for justice, calls for better administration and good governance, advice, sermons and pleas, administrative, political and jurisconsult texts, tales of physical and verbal violence, mediations, reconciliations and the presenting of condolences etc.
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Framing Mali : Swedish media portrayal of an armed conflict

Norberg, Niklas January 2018 (has links)
Research has shown that news media reporting on foreign affairs tend to rely heavily on official sources (e.g. Schwalbe, 2013; Entman, 2004; Lawrence, 2009). This thesis analyse whether this is the case in Swedish news media reporting on the armed conflict in Mali, where Sweden has troops sanctioned by the UN. A more broader perspective is also analysed: How does the news media portray the armed conflict, and are there any differences between national daily newspapers (considered more “sober”) and national evening newspapers (considered more sensational)? An inductive framing analysis is used to identify frames not available in previous research. These frames, together with frames identified in other studies, are then used in a quantitative content analysis to measure to what extent the frames occur in the texts. Among the most important findings were that Swedish news media did in fact rely on Swedish official reporting to a large extent. The two evening newspapers, Aftonbladet and Expressen, used Swedish official sources in approximately 60% of their articles. The daily newspapers, Dagens Nyheter and Svenska Dagbladet, used Swedish official sources in about 35% of their articles. The main source used was also analyzed: This showed that Swedish official sources were the most common, in between 23% to 62% of the articles. The second most used source differed, but were in the range 9% to 18%. Other important results of the main themes of the articles showed that direct actions of war and other types of violence were the most commonly used. Peace efforts/negotiations and life of Mali civilians were the least common. The thesis also concludes that while there are variables where the evening newspapers and the daily newspapers can be grouped in those categories, that is often not the case.
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Drought: an oasis for conflict? : A qualitative case study about why some conflicts escalate during drought whilst others do not

Lindquist, Lovis January 2022 (has links)
Although the armed conflict-drought nexus has gained increased attention lately, it isstill unclear what the causal mechanism looks like. In order to gain more knowledgeabout this I have attempted to answer the question of why some conflicts escalateduring drought while others do not by conducting a cross case comparison of theconflict between Al-Shabaab and the government of Somalia and the conflict betweenthe Tuaregs and the government of Mali. The results show that drought could lead toboth escalation and de-escalation of armed conflict, acting mostly as a trigger. Themost important thing for people is the access to vital resources, such as food andwater, and their group affiliation can change based on who provides these resources.This could show policy makers what to focus on in order to prevent radicalisation butit first and foremost gives a ground to researchers that want to investigate thedrought-armed conflict nexus further.
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Le cheikh al-Mukhtâr al-Saghîr al-Kuntî (1790-1847) : médiation entre l'Etat peul du Macina et les Touaregs de Tombouctou de 1826 à 1847 : édition, traduction et commentaire de manuscrits / Cheikh al-Muḫtār aṣ-ṣaġīr al-kuntī : mediation between the fulaani state of Macina and the tuaregs of Timbuctu from 1826 to 1847 : Edition, translation and comment of manuscripts

Sissoko, Boubacar 18 May 2019 (has links)
L’État peul du Macina a été fondé en 1818 par le pasteur Sékou Amadou (m. 1845), qui a entretenu des relations épistolaires avec la prestigieuse famille kunta de Tombouctou. Les informations rapportées de la tradition orale considèrent le rapport entre ces deux parties comme conflictuel. Selon cette dernière, les Kunta auraient été agitateurs qui tentaient de soulever les Touaregs contre les souverains peuls du Macina. Or, d’après leur diffèrent échanges épistolaires, il nous semble que leurs relations ont connu deux périodes distinctes La nature de leur rapport varie selon les époques : celle qui s’étend de la prise du pouvoir par Sékou Amadou jusqu’en 1847, puis celle qui s’ouvre avec Aḥmad al-Bakkāy al-Kuntī, notamment à partir de 1851/2, jusqu’à la victoire d’al-Ḥāğğ cUmar Tall sur le dernier émir, Amadou Amadou, en 1862.L’un des chefs kunta de la première période fut le cheikh al-Muḫtār aṣ-Ṣaġīr (m. 1847). Il a accompagné la dynastie peule du Macina, entretenu les bons rapports que ses prédécesseurs avaient noués avec les Peuls et entrepris des bons offices entre ces derniers et les Touaregs de Tombouctou. Cependant, au cours de la médiation du cheikh kunta entre les Peuls et les Touaregs, quelques difficultés sont survenues, des divergences d’avis et d’interprétation se sont révélées sans pour autant avoir des conséquences notoires sur leurs rapports. Ses correspondances avec les souverains peuls du Macina ont permis de traiter les sujets brûlants de son époque, dont certains sont toujours d’actualités au Mali.Notre travail se propose d’éditer, de faire le commentaire, de traiter les quelques épîtres manuscrites que ces hommes, religieux et politiques, ont échangées, de montrer à quel point les deux traditions, orale et écrite, convergent ou divergent, et de faire une étude historique de la question touarègue au Mali, qui devient un conflit cyclique ! / The Fulani state of Macina was founded in 1818 the shepherd Sékou Amadou (1845), who had epistolary relations with the Kunta family of Timbuktu. The reported information from the oral tradition considers the relationship between these two parties as conflictual. According to the latter, the Kunta were agitators attempting to rise up the Tuaregs against the Fulani rulers of Macina. Now, according to their different epistolary exchanges, it seemed to us that this relation had known two distinct periods the nature of which varies, according to that which extends from the rise to power of Sekou Amadou until 1847, or that which opens with Aḥmad al-Bakkāy al-Kuntī, especially from 1851/2 until the victory of al-Ḥāğğ cUmar Tall on the last emir, Amadou Amadou, in 1862.One of the Kunta chiefs of the first period was Sheikh al-Muḫtār al-ṣaġīr (1847). He accompanied the Fulani dynasty of Macina, maintained the good relationship that his predecessors had forged with the Fulani and undertook good offices between them and the Touaregs of Timbuktu. However, during the mediation of Sheikh Kunta between the Fulani and the Tuaregs, some difficulties arose, differences of opinion and interpretation without having noticeable consequences on their mutual relations. His correspondences with the Fulani rulers of Macina made it possible to treat the burning topics of his time, some of whichare still relevant in Mali.Our work proposes to publish, to comment, to treat the few handwritten epistles that these men, religious and political, have exchanged, to demonstrate to what extent the two traditions, oral and written, converge or diverge, and to make a historical study of the Tuareg question in Mali, which has become a recurrent conflict.

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