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A legal analysis of the social security rights of domestic workers in South Africa : issues and challengesSenyolo, Matome Johannes January 2022 (has links)
Thesis (LLM. (Labour Law)) -- University of Limpopo, 2022 / This study discusses the legal analysis of social security rights of domestic workers
in the South African social security law. The notion social security is concerned with
the protection of individuals during the happening of certain event such as
unemployment, maternity, disability, old age, sickness, and death. For the purpose of
this study, social insurance schemes which arise from the employment relationship
will be explored. It is submitted that domestic workers like any other employees
should also be afforded social security protection as envisaged in the Constitution of
the Republic of South Africa, 1996 (the Constitution). Therefore, domestic workers
must also be provided social security rights arising out of their employment. Thus,
the research process will involve thorough analysis of statutes, case law, textbooks
and scholarly articles dealing with the social security law protection afforded to
domestic workers, in particular the social insurance component of social security.
For an exceptionally long time, domestic workers have been excluded from the
formal employment sector, which followed that they were automatically excluded
from social security protection. Despite section 9 of the Constitution, this espouses
non-discrimination and equal treatment of all the workers in South Africa. To this
end, there is no comprehensive social security system in South Africa that is capable
of providing adequate social protection to domestic workers. For example, most
domestic workers have no pension fund, and some are not registered with
Unemployment Insurance fund and Compensation for Injuries and Diseases
schemes.
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[en] UNEMPLOYMENT INSURANCE AND LABOR TURNOVER: EVIDENCE FROM BRAZIL / [pt] SEGURO DESEMPREGO E ROTATIVIDADE DO TRABALHO: EVIDÊNCIAS DO BRASILALISON ROCHA DE FARIAS 21 January 2019 (has links)
[pt] Estudos recentes estimam que a elegibilidade ao programa de seguro desemprego aumenta a probabilidade de demissão em 12 por cento no Brasil. Esse artigo desenvolve um modelo de equilíbrio parcial onde trabalhadores buscam por emprego e podem se demitir para coletar benefícios do seguro desemprego. Calibramo-lo usando dados do Brasil e o utilizamos para medir as consequências desse comportamento sobre o acúmulo de capital humano específico à firma e sobre a produtividade do trabalho na economia. Por meio de exercícios contrafactuais, descobrimos que tornar a elegibilidade ao seguro desemprego mais estrita aumentaria o salário médio, a estabilidade no emprego, mas também a taxa de rotatividade. Discutimos esse último resultado e concluímos que isso depende de como a política modifica a fração de trabalhadores empregados que voluntariamente se separam de seus empregos. Em outro exercício, encontramos uma relação negativa entre a mudança na taxa de reposição do programa de seguro desemprego e a duração média do emprego. / [en] Recent studies estimate that eligibility for unemployment insurance program raises layoff probability by 12 per cent in Brazil. This paper develops a partial equilibrium model where workers search for jobs and might quit them in order to collect UI benefits. We calibrate it using data from Brazil and use it to assess the consequences of this behavior on firmspecific human capital accumulation and labor productivity in the economy. Through counterfactual exercises, we find that a stricter job tenure eligibility threshold would raise the average wage, the job tenure, but also the turnover rate. We discuss this last result and conclude that it depends on how the policy modifies the fraction of employed workers who voluntarily separate from their jobs. In another exercise, we find a negative relationship between the change in the UI replacement rate and the average employment duration.
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Droit au travail et troubles mentaux: une analyse critique des exclusions et des inclusions par le droit en assurance chômage et en aide socialeDe Greef, Vanessa 29 April 2015 (has links)
Ma thèse de doctorat a poursuivi un double objectif :d’une part, présenter la situation des personnes souffrant de troubles mentaux face à certains mécanismes d’exclusion et d’inclusion engendrés par le droit et, d’autre part, approfondir l’examen du caractère idéologique des droits fondamentaux, plus spécifiquement du droit au travail. L’hypothèse générale est que la personne malade mentale serait exclue du bénéfice ou aurait le bénéfice de certains droits fondamentaux non pas en raison principalement des conséquences concrètes de son état mental sur sa situation individuelle, mais surtout en raison de l’idéologie dominante des droits fondamentaux. <p><p>Les deux premières parties de la thèse comportent une analyse de la réglementation du chômage et de la législation relative au droit à l’intégration sociale. Dans ces deux premières parties, j’ai analysé les conditions d’octroi de l’assurance chômage et du droit à l’intégration sociale et ai examiné dans quelle mesure les allocataires souffrant de troubles mentaux sont accompagnés dans leur recherche d’emploi par les services régionaux de l’emploi et les centres publics d’action sociale (CPAS). Les évolutions qui ont marqué ces domaines au cours des dernières années en Belgique révèlent que loin d’être uniquement un individu totalement exclu du droit au travail, la personne souffrant de troubles mentaux devient progressivement un sujet du droit au travail. Cette transformation de la représentation de la personne souffrant de trouble mentaux est plus marquée dans le domaine de l’assurance chômage, mais influence progressivement les acteurs de l’aide sociale, plus particulièrement en Flandre. <p><p>La troisième partie propose une grille d’analyse du caractère idéologique du droit. Dans cette optique, j’ai développé les concepts d’exclusion et d’inclusion juridique qui ont pour but d’analyser l’idéologie des dispositifs de restriction ou d’extension d’un droit fondamental, qu’ils soient explicites (en étant prévu dans un texte juridique) ou implicites (en étant la résultante du silence du texte ou d’une pratique informelle des autorités publiques). Ensuite, j’ai dégagé des deux premières parties de la thèse six dispositifs spécifiques :trois cas d’exclusion juridique de la personne souffrant de troubles mentaux et trois cas d’inclusion juridique. J’ai retracé les justifications qui ont conduit les autorités publiques à élaborer (ou non) certains dispositifs et ce faisant, à diminuer ou à accroître le champ d’application du droit au travail des personnes souffrant de troubles mentaux. <p><p>Pour ce faire, je me suis appuyée sur la théorie des justifications du sociologue L. Boltanski et du sociologue et économiste L. Thévenot. L’exploration des justifications a permis de confirmer mon hypothèse :l’évolution des représentations dominantes de la personne souffrant de troubles mentaux reflète l’évolution de son droit au travail. L’analyse idéologique des dispositifs d’exclusion et d’inclusion juridiques a revélé que, malgré sa faible effectivité, le droit au travail est fréquemment mobilisé par les autorités juridiques, en particulier lorsqu’elles évoquent des valeurs d’ « efficacité » ou « d’intérêt général ». Les autorités publiques insistent généralement sur l’accès au travail des personnes souffrant de troubles mentaux et non sur les autres dimensions du droit au travail, telles que le droit à une rémunération ou à des conditions de travail équitables. Mon hypothèse n’a, par contre, pas pu être strictement confirmée dans les domaines où la représentation de la personne souffrant de troubles mentaux est plus effacée. Ce silence juridique ne signifie pas que l’idéologie est absente de ces domaines ;celle-ci ne vise cependant pas à offrir une représentation spécifique de la personne souffrant de troubles mentaux et il est donc plus délicat de l’identifier. <p> / Doctorat en Sciences juridiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Les syndicats, le chômage et les chômeurs: raisons et évolution d'une relation complexe / Trade unions, the unemployment and the unemployed: reasons and evolution of a complex relationshipFaniel, Jean 20 March 2006 (has links)
En Belgique, 85% des chômeurs sont affiliés à une organisation syndicale. Cette situation inhabituelle est principalement due à la fonction d’organisme de paiement des allocations de chômage que remplissent les trois syndicats interprofessionnels. L’objet de la thèse est d’examiner les origines de la relation particulière qui découle de cet état de fait et de questionner ses implications tout à la fois pour les syndicats et pour les chômeurs.<p><p>Les développements théoriques se penchent sur le mode de fonctionnement et sur les déterminants de l’action des organisations syndicales, sur les causes du chômage et ses conséquences pour les travailleurs salariés et leurs organisations, ainsi que sur les obstacles et les incitants à l’action collective contestataire des sans-emploi.<p><p>Ces outils d’analyse sont ensuite utilisés pour examiner, depuis l’origine des organisations syndicales contemporaines et de l’indemnisation du chômage, au XIXe siècle, jusqu’à la réforme du mode de contrôle des chômeurs en 2004, les fondements et l’évolution de la relation que les syndicats belges entretiennent avec les questions de l’emploi et du chômage d’une part, avec les chômeurs d’autre part.<p><p>In Belgium, 85% of the unemployed are unionised. This peculiar situation is mainly related to the specific position of the trade unions, as the jobless can choose to receive their benefits through the intervention of one of the three national unions. The Ph.D. dissertation aims at examining the origins of that specific relationship and its implications on both the trade unions and the unemployed.<p><p>The theoretical part explores the features of union action and functioning, the causes of unemployment and its consequences for the workers and their organisations, as well as the impediments and impetus to the contentious mobilisation of the unemployed.<p><p>Based on that theoretical framework, the Ph.D. dissertation then examines the origins and the evolution from the 19th century till 2004 of the union positions on the issues of employment and unemployment on the one hand, and their links with the jobless on the other.<p> / Doctorat en sciences politiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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