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Carl Schmitt und die Juden : eine deutsche Rechtslehre /Gross, Raphael, January 2000 (has links) (PDF)
Univ., Diss.--Essen, 1997. / Literaturverz. S. 391 - 429.
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Der Beutewert des Staates : Carl Schmitt und der PluralismusWaldstein, Thor von January 2008 (has links)
Zugl.: Bochum, Univ., Diss., 1989 u.d.T.: Waldstein, Thor von: Die Pluralismuskritik in der Staatslehre von Carl Schmitt
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Legitimität gegen Legalität : der Weg der politischen Philosophie Carl Schmitts /Hofmann, Hasso. January 2002 (has links) (PDF)
Univ., Diss.--Erlangen-Nürnberg, 1962.
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Katechon oder Großinquisitor? : eine Studie zu Inhalt und Struktur der politischen Theologie Carl Schmitts /Motschenbacher, Alfons. January 2000 (has links) (PDF)
Univ., Diss.--Bamberg, 1997. / Bibliographie S. 393 - 416.
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Political poetics /Reyes, Cyril. January 2008 (has links)
Thesis (M.A.)--York University, 2008. Graduate Programme in Interdisciplinary Studies. / Typescript. Includes bibliographical references (leaves 139-141). Also available on the Internet. MODE OF ACCESS via web browser by entering the following URL: http://gateway.proquest.com/openurl?url_ver=Z39.88-2004&res_dat=xri:pqdiss&rft_val_fmt=info:ofi/fmt:kev:mtx:dissertation&rft_dat=xri:pqdiss:MR45968
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Der politische Mythus des Antichristen : eine prinzipielle Untersuchung zum Widerstandsrecht und Carl Schmitt /Stemeseder, Heinrich. January 1997 (has links) (PDF)
Univ., Diss.--Innsbruck, 1997.
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Le libéralisme tragique : discussion philosophique sur l’essence du politique entre Raymond Aron et Julien FreundLeclerc Provencher, Olivier 27 October 2021 (has links)
Notre thèse de doctorat cherche, de manière générale, à répondre à une question fondamentale sur la nature du politique, en parvenant au terme de notre analyse à une définition de ce phénomène qui soit compatible avec le libéralisme. Nous estimons que, dans les dernières décennies, la philosophie politique a majoritairement négligé des éléments essentiels de la politologie (souveraineté, États, guerres, etc.) pour se livrer à des réflexions normatives dans lesquelles le rapport dialectique entre l’idéal et la réalité était souvent absent. Par conséquent, selon nous, la philosophie politique peine depuis quelque temps à analyser les difficultés que traversent les démocraties libérales en ce début de XXIe siècle.
Ainsi, pour redécouvrir le phénomène politique et les tensions qui l’habitent, nous nous sommes tournés vers le philosophe français Julien Freund qui, dans les années 1960, avait tenté avec sa thèse de doctorat de répondre à la question : qu’est-ce que le politique? Nous avons donc jugé que ce texte, L’essence du politique (1965), représentait une conceptualisation philosophique susceptible de nous fournir des concepts pour repenser le politique avec le libéralisme. Cependant, le problème avec L’essence du politique c’est que cette thèse fut marquée par l’influence de deux célèbres intellectuels européens, dont Carl Schmitt, un antilibéral notoire. De la sorte, notre travail consiste, de manière plus spécifique, à dévoiler l’influence du second intellectuel à avoir influencé le travail de Freund, c’est-à-dire son directeur de thèse: le sociologue Raymond Aron.
Pour ce faire, dans un premier temps, nous illustrons le contexte historique dans lequel Aron et Freund ont été amenés à collaborer. Dans un deuxième temps, nous montrons en quoi la conceptualisation de Freund se distingue de celle de Schmitt. Dans un troisième temps, nous dévoilons plus précisément l’influence aronienne sur L’essence du politique. Nous l’avons fait d’abord avec l’étude de la correspondance entre les deux hommes, en soulignant les points sur lesquels Aron a conseillé Freund et la façon dont ce dernier a appliqué les conseils de son directeur dans son travail. Ensuite, pour étoffer la thèse du lien entre les idées d’Aron et celles de Freund, nous exposons la manière dont le sociologue a lui-même traité, avant 1965, de certaines notions qui sont au cœur de L’essence du politique. Finalement, nous révélons la part la plus libérale de la thèse de Freund en expliquant le présupposé privé-public et le lien que celui-ci peut avoir avec la conception que se faisait Aron des régimes constitutionnels pluralistes. Dans un dernier temps, dans le but d’éviter les défauts de la thèse de Freund, nous examinons la pertinence des criques qu’Aron a formulées à l’endroit de ce travail. Ce n’est qu’au terme de ce dernier examen que nous parvenons à produire une définition du politique qui soit, selon nous, compatible ultimement avec le libéralisme. En terminant, dans notre conclusion, nous analysons les implications de notre conceptualisation du politique pour le libéralisme contemporain. Au terme de notre étude, nous croyons ainsi être parvenus à une vision singulière du libéralisme que nous qualifions de libéralisme tragique.
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Ruská kritika západního liberalismu za vlády Vladimira Putina / Russia's Critique of Western Liberalism under Vladimir PutinFrenzel, Stefanie January 2018 (has links)
While most of the states have embraced capitalist market economy, liberal and democratic norms face resistance in large parts of the world. The \enquote{liberal West} under the leadership of the United States has to face critique of his democratization practices and alleged hypocrisy when dealing with the enforcement of its own norms. One of the loudest critics is Russia under President Vladimir Putin. The first objective of my thesis is to understand the rationale behind Russia's Foreign Policy because without that, no efficient and deescalating policies towards Russia can be developed. I do this by means of an ideological discourse analysis of some of the most famous of Putin's speeches. The concepts of the German philosopher Carl Schmitt serve as a frame for tracing the ideas expressed in the speeches of the Russian President. The analysis concludes that, at least rhetorically, democracy, trust, disarmament, freedom of speech, balance of power and the UN as universal institution have a central place for both the Western World and Russia. NATO expansion, U.S. intervention in the Middle East and, related to that, the alleged non--respect of sovereignty are the most dividing issues between Russia and the Western liberal democracies. It becomes clear that Russia has the impression that Western liberal...
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Beskyddarna av Weimarrepublikens författningar : En analys av Vossische Zeitungs ställningstagande till Preussenkonflikten 1932-1933Walter, Niclas January 2022 (has links)
<p>Slutgiltigt godkännandedatum: 2022-10-03</p>
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Exception and Governmentality in the Critique of SovereigntyBurles, Regan Maynard 30 April 2014 (has links)
This thesis investigates the relation between exception and governmentality in the critique of sovereignty. It considers exception and governmentality as an expression of the problem of sovereignty and argues that this problem is expressed both within the accounts of sovereignty that exception and governmentality articulate, as well as between them. Taking Michel Foucault and Carl Schmitt as the paradigmatic theorists of governmentality and exception, respectively, I engage in close readings of the texts in which these concepts are most thoroughly elaborated: Security, Territory, Population and Political Theology. These readings demonstrate that, despite their apparent differences, exception and governmentality cannot be differentiated from one another. The instability evident in Schmitt and Foucault’s concepts show that the relation between them is best characterized as aporetic. / Graduate / 0615 / 0616 / reganburles@gmail.com
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