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La reformulation en anglais contemporain : indices linguistiques et constructions discursives

Pennec, Blandine 13 December 2006 (has links) (PDF)
Cette recherche s'inscrit dans le cadre de la Théorie des Opérations Enonciatives. Elle analyse, à partir de corpus oraux et écrits, les éléments permettant l'identification de reformulations en anglais contemporain. L'analyse de la notion conduit à distinguer deux grands types de reformulations : la reformulation paraphrastique et la reformulation non paraphrastique. A chacune sont associés des introducteurs, certains spécifiques, d'autres non. Ils constituent les indices linguistiques d'opérations de reformulation. Leur présence n'est toutefois pas systématique. En l'absence d'introducteur, c'est alors la construction discursive elle-même qui permet l'interprétation. Les reformulations se réalisent ainsi sous des formes variées, tant sur le plan syntaxique qu'interprétatif. L'étude s'intéresse enfin aux fonctions des reformulations dans l'économie discursive : elles peuvent, selon le cas, faire progresser la nomination, favoriser la cohésion et la structuration du discours, ou faciliter les ajustements inter-énonciateurs.
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Relations entre discours, intonation et gestualité en anglais britannique

Ferre, Gaelle 05 March 2004 (has links) (PDF)
Ma recherche est une étude de cas basée sur un corpus vidéo d'une conversation entre deux jeunes Anglaises. Tout en montrant les liens qui existent entre discours, intonation et gestualité, j'ai analysé dans un premier temps les constituants du paragraphe oral, tel qu'il a été défini par Morel et Danon-Boileau (1998). J'en déduis qu'il existe des différences structurelles et prosodiques entre l'anglais et le français qui expliquent les différences sur le plan de la gestualité : l'anglais oral ayant une structure syntaxique très liée, certains gestes tels que les gestes d'organisation du discours sont peu utilisés par les locutrices.<br />En revanche, l'étude des pauses, de la gestion des tours de parole et des hyperparagraphes (unités plus larges que le paragraphe oral) fait ressortir le fait que les rapports de co-locution et de co-énonciation passent par les mêmes marques prosodiques et gestuelles en français et en anglais, malgré quelques différences interculturelles.
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Apprendre à écrire des textes qui suscitent des émotions : vers un investissement énonciatif et subjectif

Clemenson, Aurelie 03 October 2011 (has links) (PDF)
L'écriture de textes qui suscitent des émotions est une situation d'énonciation particulière. Celle-ci implique l'investissement de l'énonciateur dans son discours et renforce les liens que noue le sujet avec : le monde, qui est source d'émotion ; l'interlocuteur, qu'il faut émouvoir ; l'énoncé, qui doit contenir et / ou transmettre l'émotion. S'inscrivant dans un cadre théorique multiréférencé (psychologie, linguistique et didactique), notre travail repose sur l'hypothèse didactique que l'investissement énonciatif et subjectif, nécessaire pour écrire un texte qui suscite des émotions, permet d'infléchir l'investissement dans l'écriture des apprenants. Pour vérifier cette hypothèse, nous avons mis en place une expérimentation didactique, auprès de lycéennes de série technologique, pendant une année scolaire. Nous avons évalué les effets de cette expérimentation en comparant deux types de données recueillies dans cette classe et une autre classe, dite classe témoin : des productions d'élèves, afin d'analyser les indices de l'implication énonciative et subjective, et des questionnaires, afin d'observer l'évolution du rapport à l'écriture des élèves. À l'issue de l'expérimentation, les résultats obtenus montrent que les élèves de la classe expérimentale s'investissent davantage dans l'écriture. Du point de vue énonciatif, ces élèves expriment davantage leur subjectivité et utilisent des outils linguistiques, marquant leur investissement, plus variés que ceux de la classe témoin. Du point de vue du rapport à l'écriture, les discours produits par ces mêmes élèves contiennent des traces d'un investissement plus fort que ceux de l'autre classe.
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Émergence de la servitude subjectale au XVIe siècle. : Textes narratifs en prose (1504-1585)

Taddei, Edith 26 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse aborde un phénomène du changement linguistique spécifique à la langue française en tant que langue romane : la généralisation de l'emploi des personnels sujets considérée comme acquise au 17e siècle. Les relevés opérés dans un corpus littéraire en prose réparti sur le 16e s. montrent que cette progression, bien qu'elle soit continue, est inégale selon que les personnels sujets réfèrent au locuteur ou à l'allocutaire de la situation contextuelle ou qu'ils réfèrent à un élément cotextuel. Aussi, pour expliciter cette disparité, cette étude s'appuie sur l'hétérogénéité interne au paradigme des personnels sujets et distingue les personnels déictiques locutifs je/nous, et allocutifs tu/vous, et les anaphoriques il(s)/elle(s), et propose la raison énonciative comme principal facteur d'emploi. Elle s'efforce de démontrer que leur emploi correspond à un choix émanant de l'énonciateur qui s'effectue dans des cadres cotextuels repérables, illustrés par deux corpus, les assertions fictionnelles postérieures à un discours direct fictif (chap. 3) et un ensemble de propositions subordonnées (chap. 4). Dans le premier, le recours aux personnels sujets quel que soit leur mode référentiel pallie une saturation textuelle traditionnelle en voie de disparition. Dans le second, l'énonciateur (fictif ou fictionnel) signifie son intention de prendre en charge la représentation des instances de la situation coénonciative (je ou vous) au lieu de la laisser à l'initiative de son allocutaire. Au terme de cette thèse, le passage d'une morphosyntaxe variée à la progressive fixation de l'ordre phrastique PSV se trouve justifiée par trois critères, énonciatif, pragmatique et textuel.
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Énonciation et dénonciation du pouvoir dans quelques romans négro-africains d'après les indépendances.

Mbow, Fallou 08 December 2010 (has links) (PDF)
Le roman négro-africain de dénonciation que nous appelons " roman subversif " et que d'aucuns insèrent dans la catégorie dite roman de la rupture, en tant que macro-acte de langage, comporte bien une visée illocutoire subversive. Cela est vrai même si le discours littéraire négro-africain d'après les indépendances, à l'instar de tout discours, reste contraint, c'est-à-dire en grande partie déterminé par le contexte sociopolitique, mais également le champ littéraire francophone où entrent en concurrence divers " positionnements " et " postures " d'auteurs. Nous montrons dans ce travail que cette visée qui est une entreprise de dévoilement des dérives des nouveaux régimes politiques et/ou religieux, résultante de l'intrication du contexte non verbal négro-africain et de l'intérieur des romans, et qui se traduit par la construction littéraire de divers ethos individuels et collectifs, peut s'étudier, entre autres, au moyen de la méthode d'analyse du discours. En reliant extérieu r et intérieur du texte littéraire, ce qui écarte l'immanence structuraliste, nous abordons le roman négro-africain d'après les indépendance comme un dispositif d'énonciation dont le centre déictique et modal est le garant du discours, à savoir le narrateur principal qui est le plus souvent " homodiégétique " dans notre corpus à l'exception de Perpétue où il est " extradiégétique ". Ainsi, la thèse ruine la conception romantique qui distingue le moi social de l'écrivain et le moi créateur. Nous considérons donc que les romans de notre corpus sont des activités sociales s'insérant dans les pratiques discursives d'une société, ce qui consacre définitivement la relation texte et société en mettant en branle des notions de la problématique de l'énonciation à grande portée socioculturelle comme la " scénographie ", la " scène générique ", la " scène validée ", la " paratopie ", etc. Nous confirmons donc la possibilité d'un enrichissement des approches de la littéraire négro-afric aine considérant l'histoire littéraire composée de trois entités séparées (l' " homme ", l' " uvre " et le " milieu ") et qui sont restées plus ou moins classiques, c'est-à-dire thématiques, souvent sociologiques. En recourant systématiquement aux outils de la linguistique de l'énonciation, de la pragmatique, de la linguistique textuelle, de l'argumentation, de la linguistique interactionniste, etc., nous appliquons à quelques romans négro-africains d'après les indépendances et à plusieurs séquences textuelles que nous avons sélectionnées et tirées de ce corpus, la méthode de l'analyse du discours telle qu'elle est théorisée dans la sphère européenne par des chercheurs tels que Dominique Maingueneau et Patrick Chareaudeau, mais également d'autres qui ont développé des problématiques linguistiques proches ou similaires : Jean Michel Adam, Ruth Amossy, Emile Benveniste, Catherine Kerbrat-Orecchioni, Oswald Ducrot, etc., pour ne citer que ceux-là. L'étude de la polyphonie pour la détermination des voix en présence dans les romans nous conduit à l'étude, d'une part, de la double énonciation qui se traduit par les dialogues en tant que modalité narrative où plusieurs énonciateurs sont mis en scène, de l'autre, de tous les types de discours rapporté, mais également de la manifestation verbale du peuple négro-africain. Ces voix définissent des identités énonciatives, celles des camps opposés, à savoir le pouvoir politique et/ou religieux et les opposants qui sont sans cesse en conflit dans les romans. Bannissant l' " authenticité " qui était la visée des conceptions identitaires négro-africaines comme la Négritude, les auteurs du corpus utilisent le discours rapporté et la double énonciation non pour restituer la réalité crue, comme dans le roman à thèse, mais pour dénoncer en dictant, en creux, au lecteur modèle ce qu'il faut penser ou croire. La tourmente politique et/ou religieuse est décriée par la présentation au lecteur de " patrons discursif " et d'un code langagier qui s'insérèrent dans l' " interdiscours " et qui montrent différents ethos populaires ou individuels fonctionnant comme des repoussoirs utilisés pour la dénonciation. Le lecteur modèle arrive à produire l'effet discursif attaché aux textes par l'activité d'" incorporation " de ces ethos qui se manifestent par une certaine corporalité et une vocalité précise.Mots clés :Énonciation, polyphonie, " scène d'énonciation ", genre, dialogue, interaction, argumentation, " posture ", " paratopie ", ethos, discours, texte, contexte.
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Enunciação e intersubjetividade : o que revela o ato de resumir?

Titello, Diego Vilanova January 2015 (has links)
Ce mémoire se consacre à explorer, sur la base de la Théorie de l‟Énonciation d‟Émile Benveniste, le traitement de l‟acte de résumer et, à travers celui-ci, de son produit – le texte du résumé tandis que discours/énoncé, en assumant, comme hypothèse principale, le fait que, au moyen de cet acte, le locuteur-apprenant instaure la subjectivité/intersubjectivité dans le discours et promeut sa compréhension du texte source. En d‟autres termes, on défend que, par l‟entremise de l‟acte de résumer, le locuteur exprime l‟écrite de sa lecture du texte source. Voici l‟expression de la subjectivité : il s‟agit d‟une lecture singulière, parmi d‟autres qui sont également possibles. En ce sens, cette recherche a pour objectif de répondre fondamentalement à trois questions, malgré le fait que des autres peuvent être dérivées au long du texte : premièrement, on questionne si, dans l‟opération de passage de la lecture d‟un article d‟opinion à l‟écrite d‟un résumé qui doit contempler les idées centrales présentées par le texte source, l‟apprenant-locuteur réalise seulement une « collage » d‟extraits du texte source ou, en effet, il s‟approprie du discours de l‟autre, en se constituant comme sujet dans ce processus ? Deuxièmement, on questionne si, dans l‟acte de résumer, l‟apprenant réussit à opérer la délimitation entre les références produites par le locuteur du texte source et les références produites par lui-même. Troisièmement, on questionne comme l‟intersubjectivité énonciative se constitue dans le résumé. À ces fins, on cherche, dans la Théorie Énonciative d‟Émile Benveniste, un cadre théorique qui ancre l‟acte de résumer des textes comme un acte d‟énonciation sur l‟autre énonciation, dont la réflexion permet qu‟on le pense comme une resémantisation du discours de l‟autre, c‟est-à-dire dans laquelle il y a un mouvement de retour au discours de l‟autre pour l‟énoncer à nouveau. Par cette conception, on passe à l‟analyse de deux faits énonciatifs (des résumés informatifs) sélectionnés à partir de l‟élaboration de principes théoriques et méthodologiques. Ces principes permettent qu‟on observe l‟interrelation entre les plans global et analytique et qu‟on conclue que, malgré les résumés choisis ressemblent quant à l‟idée générale dans le plan d‟une lecture globale, dans le plan analytique, à partir des resyntagmatisations, il est possible d‟appréhender la subjectivité d‟une expérience humaine de lecteur et producteur de textes à travers l‟inférence de mécanismes énonciatifs saillants dans chaque résumé.. En synthèse, la contribution de ce travail se concentre, par un côté, sur la pratique pédagogique en ce qui concerne l‟enseignement de l‟écrite de résumés dans l‟Université et dans l‟école et, par l‟autre côté, sur le développement des études d‟énonciation benvenistienne qui se consacrent à réfléchir sur les relations intrinsèques entre langue, culture, expérience humaine et subjectivité, comme on a essayé de développer, même que sommairement, ici. / Esta dissertação dedica-se a explorar, com esteio na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, o tratamento do ato de resumir e, através deste, do seu produto – o texto do resumo enquanto discurso/enunciado, assumindo, como principal hipótese, o fato de que, por meio desse ato, o locutor-aluno instancia a subjetividade/intersubjetividade no discurso e promove a sua compreensão do texto-base. Em outras palavras, defende-se que, por intermédio do ato de resumir, o locutor expressa a escrita de sua leitura do texto-base. Eis a expressão da subjetividade: trata-se de uma leitura singular, dentre outras que são igualmente possíveis. Neste sentido, esta pesquisa objetiva responder basicamente a três questionamentos, podendo ser outros derivados ao longo do texto: 1) Na operação de passagem da leitura de um artigo de opinião para a escrita de um resumo que deve contemplar as ideias centrais trazidas no texto-base, o locutor-aluno apenas realiza uma “colagem” de trechos do texto-base ou, de fato, se apropria do discurso do outro, constituindo-se como sujeito nesse processo? 2) O aluno consegue, no ato de resumir, operar a delimitação entre as referências produzidas pelo locutor do texto-base e as referências produzidas por ele próprio? e 3) Como se constitui a intersubjetividade enunciativa no resumo? Com esses propósitos, busca-se, na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, um quadro teórico que ancore o ato de resumir texto como um ato de enunciação sobre outra enunciação, cuja reflexão encaminha a pensá-lo como uma ressemantização do discurso alheio, ou seja, em que há um movimento de retorno ao discurso do outro para enunciá-lo novamente. Por essa concepção, passa-se à análise de dois fatos enunciativos (resumos informativos) por nós selecionados, a partir da elaboração de princípios teórico-metodológicos. Esses princípios nos permitem observar a inter-relação entre os planos global e analítico e concluir que, embora no plano de uma leitura global os resumos escolhidos se assemelhem quanto à ideia geral, no analítico, a partir das ressintagmatizações, é possível flagrar a subjetividade de uma experiência humana de leitor e escrevente por meio da depreensão de mecanismos enunciativos salientes em cada resumo. Em síntese, espera-se, com este trabalho, contribuir, por um lado, para a prática docente no que tange ao ensino da escrita de resumos na universidade e na escola e, por outro lado, para o desenvolvimento dos estudos de enunciação benvenistiana que se dediquem a refletir sobre as relações intrínsecas entre língua, cultura, experiência humana e subjetividade, como tentamos desenvolver, ainda que sumariamente, aqui.
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A sintagmatização-semantização : uma proposta de análise de texto

Mello, Vera Helena Dentee de January 2012 (has links)
Esta tese apresenta, com esteio na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, uma proposta de análise de textos que explora a relação entre a sintagmatização e a semantização nos planos analítico e global. Pretende-se responder à seguinte questão no desenvolvimento do trabalho: qual o papel e a abrangência da sintagmatização na promoção de sentidos, na singularidade de cada instância enunciativa? Para nortear a análise, são derivados da teoria benvenistiana cinco princípios teórico-metodológicos: (1) o texto é um índice global de subjetividade; (2) o texto cria referência; (3) o texto é produzido na imbricação entre forma e sentido; (4) o texto constitui um modo de ação do locutor sobre o alocutário; (5) uma análise translinguística do texto focaliza a relação entre os planos global e analítico. O trabalho situase, pois, na segunda via proposta por Benveniste na ultrapassagem da noção saussuriana do signo como princípio único: a análise translinguística, pela elaboração de uma metassemântica erigida sobre a semântica da enunciação. O desenvolvimento da análise de textos corrobora a hipótese de que, se os índices específicos apontam para os elementos do quadro enunciativo (eu-tu-aqui-agora), os procedimentos acessórios (sintagmatização) fazem emergir o sujeito que advém da enunciação, atestando a singularidade de cada ato enunciativo. Evidencia-se, na análise, que cada texto possui um mecanismo enunciativo particular, dependendo da forma como o locutor produz sentidos em uma dada relação interlocutiva: o primeiro tem como mecanismo estruturante a não pessoa; o segundo, a pessoa e o terceiro, o tempo. Conclui-se que é no rompimento da complexidade das formas – convivência e conivência das palavras e estruturas entre si – que se deve buscar o sentido. / Cette thèse présente, en appui sur la théorie de l’énonciation d’Emile Benveniste, une proposition pour l’analyse de texte qui explore la relation entre sémantisation et syntagmatisation sur les plans analytique et global. Au cours du développement du travail, notre intention est de répondre à la question suivante: quels sont le rôle et la portée de la syntagmatisation dans la promotion du sens, dans la singularité de chaque instance énonciative? A fin d’orienter l’analyse, sont dérivés de la théorie benvenistienne cinq principes théorique-méthodologiques: (1) le texte est un indice global de la subjectivité, (2) le texte crée des références, (3) le texte est produit dans l’imbrication de la forme et du sens; (4) le texte est un mode d'action du locuteur sur l’allocutaire; (5) une analyse translinguistique du texte se focalise sur la relation entre les plans global et analytique. Le travail se situe donc sur la deuxième voie proposée par Benveniste dans le dépassement de la notion saussurienne du signe en tant que principe unique: l'analyse translinguistique à travers l’élaboration d’une méta-sémantique construite sur la sémantique de l'énonciation. Le développement de l'analyse de textes corrobore l’hypothèse que, si les indices spécifiques pointent vers les éléments du cadre énonciatif (je-tu-ici-maintenant), les processus accessoires (syntagmatisation) font apparaître le sujet qui découle de l’énonciation, attestant la singularité de chaque acte énonciatif. Il ressort lors de l’analyse que chaque texte possède un mécanisme énonciatif particulier, selon la manière dont le locuteur produit des sens dans une relation interlocutive donnée: le premier possède comme mécanisme structurant la non-personne; le deuxième, la personne et le troisième, le temps. Nous concluons que c’est dans la rupture de la compléxité des formes – convivence e
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Enunciação e intersubjetividade : o que revela o ato de resumir?

Titello, Diego Vilanova January 2015 (has links)
Ce mémoire se consacre à explorer, sur la base de la Théorie de l‟Énonciation d‟Émile Benveniste, le traitement de l‟acte de résumer et, à travers celui-ci, de son produit – le texte du résumé tandis que discours/énoncé, en assumant, comme hypothèse principale, le fait que, au moyen de cet acte, le locuteur-apprenant instaure la subjectivité/intersubjectivité dans le discours et promeut sa compréhension du texte source. En d‟autres termes, on défend que, par l‟entremise de l‟acte de résumer, le locuteur exprime l‟écrite de sa lecture du texte source. Voici l‟expression de la subjectivité : il s‟agit d‟une lecture singulière, parmi d‟autres qui sont également possibles. En ce sens, cette recherche a pour objectif de répondre fondamentalement à trois questions, malgré le fait que des autres peuvent être dérivées au long du texte : premièrement, on questionne si, dans l‟opération de passage de la lecture d‟un article d‟opinion à l‟écrite d‟un résumé qui doit contempler les idées centrales présentées par le texte source, l‟apprenant-locuteur réalise seulement une « collage » d‟extraits du texte source ou, en effet, il s‟approprie du discours de l‟autre, en se constituant comme sujet dans ce processus ? Deuxièmement, on questionne si, dans l‟acte de résumer, l‟apprenant réussit à opérer la délimitation entre les références produites par le locuteur du texte source et les références produites par lui-même. Troisièmement, on questionne comme l‟intersubjectivité énonciative se constitue dans le résumé. À ces fins, on cherche, dans la Théorie Énonciative d‟Émile Benveniste, un cadre théorique qui ancre l‟acte de résumer des textes comme un acte d‟énonciation sur l‟autre énonciation, dont la réflexion permet qu‟on le pense comme une resémantisation du discours de l‟autre, c‟est-à-dire dans laquelle il y a un mouvement de retour au discours de l‟autre pour l‟énoncer à nouveau. Par cette conception, on passe à l‟analyse de deux faits énonciatifs (des résumés informatifs) sélectionnés à partir de l‟élaboration de principes théoriques et méthodologiques. Ces principes permettent qu‟on observe l‟interrelation entre les plans global et analytique et qu‟on conclue que, malgré les résumés choisis ressemblent quant à l‟idée générale dans le plan d‟une lecture globale, dans le plan analytique, à partir des resyntagmatisations, il est possible d‟appréhender la subjectivité d‟une expérience humaine de lecteur et producteur de textes à travers l‟inférence de mécanismes énonciatifs saillants dans chaque résumé.. En synthèse, la contribution de ce travail se concentre, par un côté, sur la pratique pédagogique en ce qui concerne l‟enseignement de l‟écrite de résumés dans l‟Université et dans l‟école et, par l‟autre côté, sur le développement des études d‟énonciation benvenistienne qui se consacrent à réfléchir sur les relations intrinsèques entre langue, culture, expérience humaine et subjectivité, comme on a essayé de développer, même que sommairement, ici. / Esta dissertação dedica-se a explorar, com esteio na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, o tratamento do ato de resumir e, através deste, do seu produto – o texto do resumo enquanto discurso/enunciado, assumindo, como principal hipótese, o fato de que, por meio desse ato, o locutor-aluno instancia a subjetividade/intersubjetividade no discurso e promove a sua compreensão do texto-base. Em outras palavras, defende-se que, por intermédio do ato de resumir, o locutor expressa a escrita de sua leitura do texto-base. Eis a expressão da subjetividade: trata-se de uma leitura singular, dentre outras que são igualmente possíveis. Neste sentido, esta pesquisa objetiva responder basicamente a três questionamentos, podendo ser outros derivados ao longo do texto: 1) Na operação de passagem da leitura de um artigo de opinião para a escrita de um resumo que deve contemplar as ideias centrais trazidas no texto-base, o locutor-aluno apenas realiza uma “colagem” de trechos do texto-base ou, de fato, se apropria do discurso do outro, constituindo-se como sujeito nesse processo? 2) O aluno consegue, no ato de resumir, operar a delimitação entre as referências produzidas pelo locutor do texto-base e as referências produzidas por ele próprio? e 3) Como se constitui a intersubjetividade enunciativa no resumo? Com esses propósitos, busca-se, na Teoria da Enunciação de Émile Benveniste, um quadro teórico que ancore o ato de resumir texto como um ato de enunciação sobre outra enunciação, cuja reflexão encaminha a pensá-lo como uma ressemantização do discurso alheio, ou seja, em que há um movimento de retorno ao discurso do outro para enunciá-lo novamente. Por essa concepção, passa-se à análise de dois fatos enunciativos (resumos informativos) por nós selecionados, a partir da elaboração de princípios teórico-metodológicos. Esses princípios nos permitem observar a inter-relação entre os planos global e analítico e concluir que, embora no plano de uma leitura global os resumos escolhidos se assemelhem quanto à ideia geral, no analítico, a partir das ressintagmatizações, é possível flagrar a subjetividade de uma experiência humana de leitor e escrevente por meio da depreensão de mecanismos enunciativos salientes em cada resumo. Em síntese, espera-se, com este trabalho, contribuir, por um lado, para a prática docente no que tange ao ensino da escrita de resumos na universidade e na escola e, por outro lado, para o desenvolvimento dos estudos de enunciação benvenistiana que se dediquem a refletir sobre as relações intrínsecas entre língua, cultura, experiência humana e subjetividade, como tentamos desenvolver, ainda que sumariamente, aqui.
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Por uma dimensão antropológica do discurso : as passagens do aluno nas instâncias de ensino

Knack, Carolina January 2016 (has links)
Cette thèse, sur la base de la théorie énonciative d’Émile Benveniste et de la dimension anthropologique du discours qu’on peut en déduire, explore le mode dont l’étudiant – à travers le passage d’une instance d’enseignement à l’autre –, à partir de l’occupation d’une nouvelle position dans la société, révèle une position de locuteur renouvelée dans le discours. Pour développer cette possibilité d’approche, on propose, d’abord, une brève incursion dans des études du champ de l’Anthropologie, afin d’élaborer une notion non théorique du passage qui considère le changement d’un lieu social à l’autre. Ensuite, on entreprend un itinéraire de lecture des textes benvenistiens, en prenant comme guide l’article Structure de la langue et structure de la société (BENVENISTE, 1968/2006), qui permet de situer, à partir de l’inclusion du parlant dans son discours, l’individu comme participant à la société, en l’enlaçant par la langue/le langage. Tenant en compte cet itinéraire, on élabore une notion théorique de passage qui considère l’indissociabilité entre l’homme et le langage et la relation mutuelle entre individu et société par la langue-discours. Des fondements théoriques qui soutiennent la proposition de cette thèse, on passe aux fondements méthodologiques, qui rendent possible l’analyse des faits linguistiques consistant à des récits issus de deux interlocutions orales avec une étudiante participant au Programme d’Appui à la Licence de l’Université Fédérale du Rio Grande do Sul et de deux textes écrits par cette étudiante, la dissertation de l’examen d’entrée à l’université et une nouvelle dissertation à partir du même sujet. L’analyse de ces faits révèle que, en raison de l’instauration de l’étudiante dans des nouvelles positions dans les instances d’enseignement où elle est insérée, sont produits des changements dans ces rapports à l’autre, à la langue qui comporte la culture, ce qui se reflète dans des nouvelles positions de locuteur dans le discours, en leur rendant possible de se constituer dans la double nature, individuelle et sociale, que le langage fonde chez l’homme. Le chemin entrepris dans ce travail permet de conclure qu’il devient possible, par le discours, de regarder avec l’Énonciation au-delà de l’énonciation. Voilà comment la dimension anthropologique du discours peut être entrevue dans la théorie du langage d’Émile Benveniste. / Esta tese, com base na teoria enunciativa de Émile Benveniste e na dimensão antropológica do discurso que dela se pode depreender, explora o modo como o aluno – pela passagem de uma instância de ensino a outra –, a partir da ocupação de uma nova posição na sociedade, revela uma renovada posição de locutor no discurso. Para desenvolver essa possibilidade de abordagem, propõe-se, primeiro, uma breve incursão em estudos do campo da Antropologia, a fim de elaborar uma noção não teórica de passagem que considera a mudança de um lugar social a outro. Em seguida, empreende-se um itinerário de leitura dos textos benvenistianos, tomando como guia o artigo Estrutura da língua e estrutura da sociedade (BENVENISTE, 1968/2006), o qual permite situar, pela inerente inclusão do falante em seu discurso, o indivíduo como participante na sociedade, enlaçando-o pela língua(gem). Levando em conta esse itinerário, elabora-se uma noção teórica de passagem que considera a indissociabilidade entre homem e linguagem e a relação mútua entre indivíduo e sociedade pela língua-discurso. Dos fundamentos teóricos que sustentam a proposta desta tese, passa-se aos fundamentos metodológicos, que viabilizam a análise dos fatos linguísticos, que consistem em relatos oriundos de duas interlocuções orais com uma aluna participante da oficina de Língua Portuguesa do Programa de Apoio à Graduação da Universidade Federal do Rio Grande do Sul e de dois textos escritos por essa aluna, a redação do Concurso Vestibular (UFRGS/2014) e uma nova redação a partir da mesma proposta do Vestibular. A análise desses fatos revela que, em virtude de a aluna instaurar-se em novas posições nas instâncias de ensino em que está inserida, produzem-se mudanças em suas relações com o outro e com a língua, que comporta a cultura, o que se reflete em novas posições de locutor no discurso, possibilitandolhe constituir-se na dupla natureza, individual e social, que a linguagem fundamenta no homem. O percurso empreendido neste trabalho permite concluir que se torna possível, pelo discurso, olhar com a Enunciação para além da enunciação, ou seja, olhar para as atividades significantes do homem na sociedade e para o modo como ele nela se situa na e pela linguagem. Eis como a dimensão antropológica do discurso pode ser entrevista na teoria da linguagem de Émile Benveniste.
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Em busca do espaço perdido? : um estudo do estatuto da noção de espaço em Émile Benveniste

Barboza, Gabriela January 2013 (has links)
Cette dissertation est consacrée à entreprendre une étude sur la notion d'espace dans les oeuvres Problèmes de Linguistique Générale I et II, d’Émile Benveniste. En raison de la constatation d'une lacune en ce qui concerne les études d’espace dans le champ d’action de l'énonciation au Brésil, et par le fait d’être Benveniste considéré comme responsable des études des notions de personne-temps-espace, il est urgent d'aborder la notion qui, selon Fiorin (2008), avait été peu étudié par le sémanticien syrien. En d'autres termes, il y a une manque observée en ce qui concerne le traitement de l'espace, un espace destiné à être rempli, dans une certaine mesure, avec cette enquête. Dans ce sens, l'objectif général de ce travail est de trouver l'espace de l'espace dans la théorie énonciative d'Émile Benveniste. Néanmoins, il y a encore cinq buts de caractère plus spécifique qui, dans la mesure où les chapitres sont développés, sont atteints. Ils sont les suivants: 1) montrer et décrire comment l'espace apparaît dans les études linguistiques au Brésil, en particulier dans les études grammaticales et les études spécifiques de la Linguistique de l'Énonciation, avec l’observation de la théorie linguistique qui tient sa réflexion, 2) déterminer dans quelle mesure l'absence d’études sur la notion-catégorie d’espace est tributaire de la supposée absence d'études dans l’oeuvre de celui qui est considéré comme responsable de la délimitation des notions de personne-temps-espace, le linguiste Émile Benveniste, 3) démontrer qu'il y a la présence d'études sur espace dans ses oeuvres; 4) observer et décrire le mode d'insertion de la réflexion sur l'espace dans le travail de Benveniste, 5) proposer un moyen de lire la configuration de la notion d'espace, de sorte à développer opérateurs de lecture et d'analyse de la notion. Par la compréhension de la nécessité d'une étude plus large sur l'espace que la recherche exclusive dans l’oeuvre benvenistienne, une enquête est développée dans les grammaires de langue portugaise et dans les revues scientifiques brésiliens sur les études linguistiques. À la suite, on part pour la problématisation de l'absence d'études sur l'espace et pour la recherche proprement des textes de Benveniste. À la recherche de la meilleure façon possible de définir les étapes de la dissertation sont explicités les critères pour le choix des documents de référence pour cette enquête. Après avoir choisi les textes, on va à la lecture et l'analyse d'extraits contenant des mots pertinents pour l'étude et, à partir de cela, on vérifie la mesure dans laquelle l'emploi de mots trouvés est liée à la construction énonciative benvenistienne. Une fois constatée la présence de la notion d'espace dans l’oeuvre du linguiste, on présente ses relations avec la notion du temps, au-delà de la mise en place de systématisations et de déplacements de lecture de l’espace. Enfin, on espère, avec cette enquête, présenter des contributions au champ de la Linguistique de l'Énonciation, d’une manière générale, et à la théorie de l'énonciation d'Émile Benveniste, en particulier, dans la mesure où on mentionne un thème pour l'instant rarement abordé par les chercheurs, mais d'une grande importance pour la consolidation de ce champ disciplinaire au Brésil. / Esta dissertação se dedica a empreender um estudo sobre a noção de espaço nas obras Problemas de Linguística Geral I e II, de Émile Benveniste. Devido à constatação de uma lacuna no que diz respeito aos estudos de espaço no âmbito enunciativo brasileiro, e pelo fato de Benveniste ser considerado o responsável pelos estudos das noções de pessoa-tempo-espaço, urge abordar a noção que, conforme Fiorin (2008), fora pouco estudada pelo semanticista sírio. Dito de outro modo, há uma falta observada no que tange ao tratamento do espaço, cujo espaço pretende-se preencher, em alguma medida, com esta investigação. Nesse sentido, o objetivo geral deste trabalho é o de encontrar o espaço do espaço na teoria enunciativa de Émile Benveniste. Não obstante, há ainda outros cinco objetivos, de caráter mais específico, e que, na medida em que os capítulos são desenvolvidos, são atendidos. São eles: 1) mostrar e descrever como o espaço comparece nos estudos linguísticos brasileiros, principalmente nos estudos gramaticais e nos estudos específicos de Linguística da Enunciação, com a observação da teoria linguística que sustenta sua reflexão; 2) verificar em que medida a falta de estudos sobre a noção-categoria de espaço é tributária da suposta falta de estudos desenvolvidos na obra de quem é considerado o responsável por delinear as noções de pessoa-tempo-espaço, o linguista Émile Benveniste; 3) demonstrar que há a presença de estudos sobre espaço na obra do autor; 4) observar e descrever o modo de inserção da reflexão sobre espaço em Benveniste; 5) propor um modo de leitura da configuração da noção de espaço, de modo a desenvolver operadores de leitura e de análise da noção. Por compreender a necessidade de uma pesquisa mais ampla relativa ao espaço do que a busca somente na obra benvenistiana, é desenvolvida uma investigação em gramáticas de língua portuguesa e em periódicos brasileiros no campo dos estudos linguísticos. Após isso, parte-se para a problematização da falta de estudos sobre espaço e para a pesquisa propriamente dos textos benvenistianos. Buscando definir os passos da dissertação, são explicitados os critérios de escolha dos textos-base para esta investigação. Com os textos escolhidos, passa-se à leitura de excertos que contenham palavras pertinentes ao estudo e, a partir disso, à análise com os operadores ideia e emprego para verificar em que medida o emprego das palavras encontradas está relacionado ao constructo enunciativo benvenistiano. Constatada a presença da noção de espaço na obra do linguista, apresenta-se relações dela com a noção de tempo, além do estabelecimento de leituras e deslocamentos de leitura do espaço, como a diferenciação de espaço topológico e espaço enunciativo e a sistematização de espaço DE e DA enunciação. Por fim, espera-se, com esta investigação, apresentar contribuições para o campo da Linguística da Enunciação, de modo geral, e da teoria da enunciação de Émile Benveniste, de modo específico, na medida em que se traz à baila uma temática por ora pouco abordada pelos estudiosos, mas de grande pertinência para a sedimentação desse campo disciplinar no Brasil.

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