• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 1
  • 1
  • 1
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

L’émergence du coworking dans l’offre d’immobilier d’entreprise en Ile-de-France : un service relationnel coproduit par ses utilisateurs / The rise of coworking in the corporate real estate market in Paris : a networking service coproduced by its users

Blein, Alexandre 21 November 2017 (has links)
Les espaces de coworking sont des espaces de travail partagés par des individus de plusieurs organisations au sein d’un espace ouvert. Cette thèse analyse le développement d’un marché du coworking en Ile-de-France au regard des modalités de réalisation du travail dans ces espaces. Le rôle de la proximité physique dans le développement de pratiques collaboratives y est observé dans un espace de coworking parisien. L’étude des croisements entre échanges marchands et non-marchands permet de montrer que les effets de réciprocité contribuent à renforcer les liens entre coworkers. Les espaces peuvent faciliter les projets entrepreneuriaux par un apprentissage entre pairs et l’accès à des ressources communes au sein de l’espace. Cela nécessite cependant que les gestionnaires de coworking organisent la collaboration et la rendent visible. Ils font du coworking une nouvelle forme de service immobilier qui articule espace physique et service informel de mise en relation des travailleurs. La valeur des espaces de coworking est alors coproduite par les utilisateurs. Cette thèse resitue également le développement du coworking en Ile-de-France par rapport à un ensemble de politiques publiques. Les collectivités territoriales ont contribué à structurer le marché avant que des promoteurs immobiliers n’opèrent un changement d’échelle dans la notion-même de coworking. L’opérateur de coworking devient un intermédiaire permettant de mutualiser la demande de bureaux des petites entreprises en zone métropolitaine, et est amené à prendre une place au sein de la chaîne de valeur de l’immobilier / Coworking spaces are flexible workspaces shared by individuals from different organizations in an open-plan space. This thesis analyses the development of a coworking market in the Greater Paris region in light of the working arrangements in those spaces. The role of proximity in collaboration is observed in a Parisian coworking space. The overlap between commercial and non-commercial exchanges shows that reciprocity contributes to reinforcing ties between coworkers. Coworking spaces can encourage entrepreneurial projects through peer learning and the access to resources in the space. However, this requires the work of coworking managers who are key in organizing collaboration and making it visible. They are thus creating a new form of real estate service that ties physical space to an informal networking service between coworkers. The value in coworking spaces is therefore coproduced by its users. This research also shows that the development of coworking in Greater Paris was first structured by local public policies, and that real estate developers are now scaling up the idea of coworking. Coworking space operators are becoming intermediaries enabling small companies to share their offices in metropolitan regions, thus positioning themselves in the corporate real estate value chain
2

L'usage en partage : Analyse comparative des modèles socio-économiques d' "économie de (la) fonctionnalité" et d' "économie collaborative" / Shared use : A comparative analysis of the socio-economic models called « functional economy » and « sharing economy »

Sidoli, Yoann 20 March 2017 (has links)
Parmi les désignations qui fleurissent dans la presse économique sous l’appellation attractive de « new business models », deux ont pour point commun de s’appuyer sur une logique de partage de biens : l’ « économie de (la) fonctionnalité » et l’ « économie collaborative ». Elles articulent l’exploitation d’innovations technologiques récentes avec l’évolution de pratiques sociales. Ces approches entendent tirer profit d’une transformation contemporaine des modes de consommation, caractérisée par une désacralisation du rôle accordé aux biens matériels.Notre axe de recherche questionne la construction et la signification de plusieurs modèles socio-économiques a priori tournés vers un développement durable. Bien que la multiplication des désignations sème le trouble dans leurs définitions, chacune d’entre elles peut être reliée à des réseaux d’acteurs distincts. Si les expressions « économie de fonctionnalité » et « économie de la fonctionnalité » ne se distinguent que par un déterminant, elles renvoient à deux approches en tension. De même, alors que le terme « économie collaborative » évoque au moment de son émergence la bannière « peer-to-peer », il se diffuse rapidement pour qualifier une forme de capitalisme connexionniste.Le déploiement des modèles étudiés permet de capter certaines transformations des représentations contemporaines. Le relatif succès des modèles est fonction de la correspondance des idéaux qui y sont attachés avec les faits socio-économiques éprouvés par les acteurs. Évolution des formes de travail, modification des contours de / Among the designations that flourish in the economic press through the attractive name of « new business models » (in English in the text), two of them are specifically based on property sharing : « functional economy » and « sharing economy ». They both connect technological innovations with the evolution of social practices. These approaches intend to take advantage of a contemporary transformation of consumption patterns, characterized by a desecration of the role given to material goods.Our research focuses on the construction and meaning of several socio-economic models, in principle aiming to foster sustainable development. Although the multiplication of designations muddles the definitions of the models, each of them is connected to its own network of actors. Even if the French translations for « functional economy », « économie de fonctionnalité » and « économie de la fonctionnalité », are distinguished only by a definite article, they refer to two contradictory approaches. Similarly, while the term « sharing economy » firstly evokes the « peer-to-peer » (in English in the text) banner, it rapidly spreads to describe a form of connexionist capitalism.The deployment of the studied models makes it possible to capture certain transformations of contemporary representations. The relative success of the models depends on the correspondence of the ideals attached to each of them and the socio-economic facts experienced by actors. Evolution of work, changes in the outlines of property or distrust towards the political class are revealed by the analysis of discourses related to our topics.
3

Communication et Economie sociale et solidaire : Identification des problèmes et des solutions / Communication and Social and Solidarity Economy : Identifying issues and solutions

Delille, Pascale 15 December 2015 (has links)
Ce travail de recherche, en sciences de l'information et de la communication, s'intéresse à un secteur peu étudié par les SIC : l’économie sociale et solidaire. Il vise, d'une part, à identifier les problèmes de communication des acteurs de l'ESS et, d'autre part, à explorer les solutions déployées pour répondre à ces problèmes. Pour mener cette analyse, nous avons d'abord, construit un cadre théorique spécifique articulant les travaux d’ E.Morin, J.Habermas, E.Ostrom et J-L. Laville. Puis nous avons successivement déployé trois méthodes : une observation participante dans un atelier international consacré à la communication de l'ESS, une série d'entretiens semi-directifs auprès de différents acteurs (initiatives solidaires, journalistes, responsables administratifs, etc.), puis une étude de cas élargie conduite auprès du Parlement Européen. Ce cadre théorique et ces différentes méthodes nous ont permis de mettre en évidence les problèmes communicationnels récurrents de l'ESS (terminologie difficile d’accès, hétérogénéité peu lisible, transversalité peu développée, etc.) et de voir comment différentes pratiques économiques innovantes (PTCE, entreprises récupérées, SCIC, etc.) permettaient de remédier, en partie, à ces problèmes. Au final, il ressort de notre travail que les pratiques de l’économie collaborative, qui s’enracinent historiquement dans l’ESS, semblent apporter une solution communicationnelle efficace aux problèmes identifiés et que l’ESS est en capacité d’assurer la durabilité, selon la grille de lecture d’Ostrom sur la gouvernance des biens communs, des formes d’organisations de cette nouvelle économie. / The following research work on Information and Communication Sciences, focuses on a fieldunderstudied by this scientific discipline, the Social and Solidarity Economy (SSE). It aims to identifyon one hand the communication issues among the SSE stakeholders, and to explore their relatedsolutions on the other hand. This analysis has been first based on a theoretical framework articulatingthe work of Morin, Habermas, Ostrom, and Laville. Then, three methods have then been successivelyemployed: a participative observation during an international workshop treating of all aspects of SSEcommunication; a series of semi-directive interviews with various key actors (from the solidarityinitiatives, some journalists, administrative heads, etc.), and finally an enlarged case study conductedwithin the European Parliament. This methodology allowed us to determine the recurrentcommunication issues encountered within the SSE (difficult access to its terminology, unclearheterogeneity, low-developed transversality, etc.) as well as to assess how different innovativeeconomical practices (such as PTCE, recovered enterprises, SCIC, etc.) could potentially overcomethese challenges. In conclusion, it appears from this work that the practices linked to the collaborativeeconomy, which are historically rooted within SSE, can bring an effective solution on thecommunicative level. Furthermore, and according to the new Ostrom reading greed related to thecommon goods governance, the SSE seems to be able to ensure the sustainable development of this newform of economy
4

Les systèmes d'échanges locaux / Local Exchanges Systems

Bradburn, Suzie 11 December 2015 (has links)
Nés en France en 1994 dans les milieux ruraux en réponse à une conjoncture difficile, les systèmesd’échanges locaux s’inscrivent dans une logique en marge du modèle économique dominant, en permettant àleurs membres d’échanger des biens, des services et des savoir-faire au moyen d’une monnaie conventionnellebasée sur le temps, concurrente, mais licite, de la monnaie légale.La crainte de voir des personnes trouver dans le SEL le moyen de dissimuler une activité économiquerémunératrice est écartée dès lors que l’on distingue les sélistes-particuliers qui participent aux échanges demanière occasionnelle, de sorte qu’ils n’en tirent qu’un complément de revenu modeste, et les sélistesprofessionnelsexerçant une activité économique permanente et rémunératrice dans les conditions analogues àcelles d’un professionnel. Ces derniers doivent être soumis aux mêmes règlementations que celles applicablesaux professionnels, sous peine de sanctions.Le recours à une structure juridique permet d’organiser les échanges en leur apportant les moyens nécessaires àleur développement, spécialement par l’édition d’un catalogue des offres et des demandes et la mise en placed’un compte courant multilatéral. Même si la forme sociale est envisageable, l’association est la structure lamieux adaptée pour répondre aux besoins en organisation juridique des SEL. Elle correspond tant à leur but nonlucratif qu’à leur philosophie fondée sur des valeurs humaines et la solidarité. / Born in France in 1994 in the rural areas in reply to a difficult economic situation, Local ExchangesSystems became an alternative of the dominant economic model, which enables members to exchange goods,services and know-how thanks to a conventional currency based upon time, which is a competitive licit solutionof the existing legal currency.The fear of seeing people using the LES to hide a remunerative econonomical activity would be taken away assoon as a clear distinction is made between private-members, who take part in exchanges occasionally to add asmall additionnal income, and those who become professional by developping a permanent and lucrative activitywithin professional conditions. This category of members must abide by the same rule that applies toprofessionals, subject to sanctions.In order to organize the exchanges, the members can use a legal structure. This would give them the necessaryhelp for their development by providing a catalogue of offers and demands and the creation of a multilateralcurrent account. Even if a type of company structure is possible, an association is better adapted for the needs ofthe legal organization of the LES. It corresponds to their non lucrative and philosophical goals based uponhuman values and solidarity.

Page generated in 0.098 seconds