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Analyse expérimentale du biais de négligence de la corrélation dans un contexte de sondage pré-électoral

Lea Jombi, Nathan Roger 01 February 2021 (has links)
L’objectif de ce mémoire est de mieux comprendre un des biais cognitifs susceptibles d’affecter le pouvoir prédictif des sondages : le biais de négligence de la corrélation. Intuitivement, le biais de négligence de la corrélation est une simplification du processus de décision chez les votants qui les amène à ignorer la corrélation entre leurs préférences électorales et les coûts de participation au vote. Afin d’analyser ce biais, nous avons conduit une expérience consistant en une série de questions-réponses sous la forme de sondages. Les participants se réfèrent à un ensemble d’informations sur les gains et les coûts rattachés à leurs choix de vote. Les résultats expérimentaux montrent que le biais de négligence envers la corrélation affecte significativement les réponses des participants aux questions de sondage. De plus, certaines caractéristiques socioéconomiques des participants semblent augmenter la probabilité de souffrir du biais. Enfin, l’analyse des données recueillies lors de l’expérience montre que la mesure proposée du biais n’était pas calculable pour certaines observations car les participants avaient effectué des choix certains.
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Les cycles électoraux au Canada : une question d'ordre?

Boucher-Lafleur, Véronique January 2021 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'étudier les cycles électoraux au Canada. Le cadre théorique mobilisé pour cette recherche s'appuie sur deux théories de ce champ d'étude soit la théorie des élections de premier et de deuxième ordre ainsi que la théorie du contrepoids électoral (« electoral balancing »). Dans un système politique à multi-niveaux, ces deux théories postulent que les résultats électoraux des différents paliers électoraux sont en fait reliés entre eux. D'après ces théories, les élections nationales auraient plus d'importance pour les électeurs, ce pourquoi les résultats d'une élection régionale seraient en fait déterminés par des facteurs provenant à l'arène politique nationale. Au Canada, cela implique que les résultats d'une élection provinciale seraient alors influencés par l'élection fédérale précédente. Pour étudier ce phénomène, l'ensemble des résultats électoraux des élections générales fédérales et provinciales de 1988 jusqu'à aujourd'hui ont été compilé dans une base de données. Des régressions linéaires et polynomiales ont ensuite été réalisées en prenant les résultats fédéraux comme variable explicative et les résultats provinciaux comme variable expliquée dans un premier temps, puis en étudiant la relation inverse. Les résultats électoraux ont été divisés par province puis en cinq familles de partis politiques : libérale, conservatrice, travailliste, écologiste et régionaliste. Les résultats de cette recherche varient selon la province considérée : les élections fédérales ont parfois plus d'influence sur l'élection provinciale suivante dans certains cas alors que dans d'autres il s'agit de la relation inverse qui prévaut. Ce mémoire conclut également qu'il y a une dynamique de balancement entre le vote fédéral et provincial dans certaines provinces, mais il n'y a aucune tendance générale qui se dégage à l'échelle du Canada. Cette recherche apporte une contribution significative à la littérature sur les cycles électoraux au Canada. / This research project is studying electoral cycles in Canada. Two main theories from this field of research are mobilized in this paper. The first one is the theory of first and second order election and the second is the theory of electoral balancing. In a multi-level electoral system, these two theories suggest that electoral results from different electoral levels are related to each other. These theories assumed that national elections are more important to voters. Therefore, regional electoral results are explained by factors coming from the national electoral level. In Canada, this theory implies that provincial electoral results are influenced by the previous federal election. To study this phenomenon, all provincial and federal electoral results from 1988 until today were coded into a dataset. A first set of linear and polynomial regressions was performed using federal electoral results as the independent variable and provincial electoral results as the dependent variable. Then, another set of regressions was performed but to study the opposite relation. Electoral results were split by province and into five families of political parties: liberal, conservative, labor, ecologist, and regionalist. Results vary between provinces: federal elections have more influence on provincial results in some provinces while the opposite relation is more important in others. This paper also concludes that there is a dynamic of electoral balancing between federal and provincial results in certain provinces, but that no general tendency can be seen across Canada. This research project is a significant contribution to the literature on electoral cycles in Canada.
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Modélisation de la tendance de l'opinion publique à partir de la sphère digitale

Ben Ayed, Slim 16 April 2018 (has links)
Au niveau de notre étude, nous avons comparé la performance de prévision de plusieurs modèles statistique de prévisions, modèles simples et modèles sophistiqués. Pour atteindre notre bute nous avons utilisé le ± MAPE ¿ comme mesure de précision des prédictions pour voir le quel de ces modèles est la plus appropriés à fournir les meilleures prévisions de l'opinion publique. Pour le faire nous nous somme basé sur une liste de données composée de séries chronologiques gracieusement fourni par Swammer. Ces séries comportent des données journalières couvrant la campagne présidentielle de France de 2007. Nous résultats montrent clairement que les méthodes statistiques simples ont un pouvoir de prédiction plus important que celui des méthodes sophistiquées pour un horizon de prédiction à très court terme. Nous constatons aussi que pour un horizon de prévision un peu plus long la méthode paramétrique de la régression robuste non linéaire représente la meilleure perspective de prévision parmi tous les modèles étudiés. Nous concluons ainsi que les méthodes statistiques sophistiquées ont un pouvoir de prédiction plus élevé que ce lui des méthodes statistiques simples pour un horizon de prévision un peu plus long que le très court terme.
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Pouvoir prédictif des questions de sondage

Allodehou, Amos 23 April 2018 (has links)
Les sondages pré-électoraux jouent un rôle important dans les élections en aidant les candidats à sélectionner leur plateforme et les électeurs à coordonner leurs votes. Ils influencent le bien-être de la société à travers les mesures de politiques qui seront mises en oeuvre après les élections. Mais, les prédictions obtenues à partir des réponses aux sondages sont souvent biaisées et volatiles. Les biais proviennent soit du format de question utilisé dans le sondage soit du processus cognitif par lequel les individus élaborent la réponse. La négligence de corrélation est l’un des biais cognitifs susceptibles d’affecter les réponses au sondage. Le présent mémoire vise à comparer théoriquement et empiriquement les pouvoirs prédictifs des différents formats de questions posées dans les sondages puis à mesurer l’effet du biais de négligence de corrélation sur les réponses des individus à l’aide d’une expérience de laboratoire. Les sondeurs utilisent trois types de question pour prédire le résultat de l’élection : les questions binaires, binaires avec incertitude et probabilistes. Les résultats théoriques montrent que les questions binaires avec incertitude donnent une estimation plus précise du résultat de l’élection que les questions binaires. Cette précision dépend de la proportion des électeurs indécis dans la population et de la façon dont les répondants interprètent la question. Les questions probabilistes sont plus précises que les deux autres formats de question. Selon les résultats expérimentaux, la corrélation entre les préférences électorales et les coûts de participation aux élections affecte significativement les réponses données par les individus dans les sondages.
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Comparaison des questions de sondage pré-électoral dans leur capacité à prédire le résultat d'une élection et à diminuer le biais causé par l'inattention envers la corrélation : une analyse expérimentale

Hamel, Rudy 21 December 2018 (has links)
Par leur utilité, les sondages sont devenus des éléments importants de toute campagne électorale. Ils ont d’ailleurs beaucoup évolué au fil du temps et on les retrouve maintenant sous plus d’une forme. En effet, inspirés par les marchés de prédiction, les sondeurs ont développé un type de questionnement complémentaire aux sondages classiques interrogeant les individus sur leurs propres préférences. Cette autre méthode invite plutôt les participants à faire part de leurs anticipations sur le comportement agrégé de la population. Néanmoins, aucune de ces deux approches n’est parfaite. Leur pouvoir prédictif peut être affecté par plusieurs facteurs. Parmi ceux-ci, on compte l’inattention envers la corrélation, un biais cognitif susceptible d’affecter les réponses des individus sondés. À la lumière de qui précède, ce mémoire a pour premier objectif de comparer le pouvoir prédictif de ces deux types de méthode afin de distinguer la plus performante. Le second objectif est de mesurer l’effet potentiel du biais d’inattention envers la corrélation sur les réponses de participants à des sondages. Pour y arriver, des sujets ont été invités à participer à une expérience en laboratoire où ils ont occupé à la fois le rôle de sondé et de preneur de décision. Les résultats de l’expérience montrent que l’inattention envers la corrélation affecte significativement les réponses de participants à des sondages. De plus, certains facteurs personnels semblent être associés à une probabilité plus élevée d’être victime du biais.
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Les cycles électoraux au Canada : une question d'ordre?

Boucher-Lafleur, Véronique 24 September 2021 (has links)
Ce mémoire a pour objectif d'étudier les cycles électoraux au Canada. Le cadre théorique mobilisé pour cette recherche s'appuie sur deux théories de ce champ d'étude soit la théorie des élections de premier et de deuxième ordre ainsi que la théorie du contrepoids électoral (« electoral balancing »). Dans un système politique à multi-niveaux, ces deux théories postulent que les résultats électoraux des différents paliers électoraux sont en fait reliés entre eux. D'après ces théories, les élections nationales auraient plus d'importance pour les électeurs, ce pourquoi les résultats d'une élection régionale seraient en fait déterminés par des facteurs provenant à l'arène politique nationale. Au Canada, cela implique que les résultats d'une élection provinciale seraient alors influencés par l'élection fédérale précédente. Pour étudier ce phénomène, l'ensemble des résultats électoraux des élections générales fédérales et provinciales de 1988 jusqu'à aujourd'hui ont été compilé dans une base de données. Des régressions linéaires et polynomiales ont ensuite été réalisées en prenant les résultats fédéraux comme variable explicative et les résultats provinciaux comme variable expliquée dans un premier temps, puis en étudiant la relation inverse. Les résultats électoraux ont été divisés par province puis en cinq familles de partis politiques : libérale, conservatrice, travailliste, écologiste et régionaliste. Les résultats de cette recherche varient selon la province considérée : les élections fédérales ont parfois plus d'influence sur l'élection provinciale suivante dans certains cas alors que dans d'autres il s'agit de la relation inverse qui prévaut. Ce mémoire conclut également qu'il y a une dynamique de balancement entre le vote fédéral et provincial dans certaines provinces, mais il n'y a aucune tendance générale qui se dégage à l'échelle du Canada. Cette recherche apporte une contribution significative à la littérature sur les cycles électoraux au Canada. / This research project is studying electoral cycles in Canada. Two main theories from this field of research are mobilized in this paper. The first one is the theory of first and second order election and the second is the theory of electoral balancing. In a multi-level electoral system, these two theories suggest that electoral results from different electoral levels are related to each other. These theories assumed that national elections are more important to voters. Therefore, regional electoral results are explained by factors coming from the national electoral level. In Canada, this theory implies that provincial electoral results are influenced by the previous federal election. To study this phenomenon, all provincial and federal electoral results from 1988 until today were coded into a dataset. A first set of linear and polynomial regressions was performed using federal electoral results as the independent variable and provincial electoral results as the dependent variable. Then, another set of regressions was performed but to study the opposite relation. Electoral results were split by province and into five families of political parties: liberal, conservative, labor, ecologist, and regionalist. Results vary between provinces: federal elections have more influence on provincial results in some provinces while the opposite relation is more important in others. This paper also concludes that there is a dynamic of electoral balancing between federal and provincial results in certain provinces, but that no general tendency can be seen across Canada. This research project is a significant contribution to the literature on electoral cycles in Canada.
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Response order effects in dichotomous voting intention questions : evidence from the 2008 US presidential election

Morin-Chassé, Alexandre 16 April 2018 (has links)
Mon mémoire vérifie si les répondants aux questions d'intentions de vote dichotomiques posées par questionnaires téléphoniques sont influencés par l'ordre de présentation des candidats. La théorie du contentement prédit l'absence d'effet d'ordre. Mon mémoire teste cette hypothèse de "non-effet". J'élabore le cadre d'analyse du tir à la corde, distinguant six scénarios éventuellement cachés derrière les effets mesurés. Deux scénarios correspondent à mon hypothèse. Ma stratégie de recherche consiste à éliminer les scénarios rivaux jusqu'à ce qu'il ne reste que les deux scénarios de non-effet. Les intentions de vote de la campagne présidentielle américaine de 2008 sont extraites du Roper Center. L'expérience 1 effectue une méta-analyse des effets d'ordres dans 53 questions. Trois scénarios rivaux sont éliminés. L'expérience 2 confirme que les effets mesurés sont dus à des divisions légèrement asymétriques des échantillons lors de la rotation aléatoire des candidats, éliminant le dernier scénario rival. Ce test échoue à rejeter l'hypothèse de non-effet.
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Measuring public opinion using Big Data : applications in computational social sciences

Temporão, Mickael 15 April 2019 (has links)
La démocratie est fondée sur l’idée que les gouvernements sont sensibles à l’opinion des citoyens qu’ils sont élus pour représenter. Des mesures fiables de l’opinion publique sont requises afin de permettre aux élus de gouverner de manière efficace. Les sources traditionnelles d’information sur l’opinion publique se complexifient avec l’accroissement des modalités de communication et les changements culturels qui y sont associés. La diversification des technologies de l’information et de la communication ainsi que la forte baisse des taux de réponse aux enquêtes de sondages provoquent une crise de confiance dans les méthodes d’échantillonnage probabiliste classique. Une source d’information sur l’opinion publique de plus en plus riche, mais relativement peu exploitée, se présente sous la forme d’ensembles de données extraordinairement volumineuses et complexes, communément appelées Big Data. Ces données présentent de nombreux défis liés à l’inférence statistique, notamment parce qu’elles prennent généralement la forme d’échantillons non probabilistes. En combinant des avancées récentes en sciences sociales numériques, en statistiques et en technologie de l’information, cette thèse, constituée de trois articles, aborde certains de ces défis en développant de nouvelles approches, permettant l’extraction d’informations adaptées aux larges ensembles de données. Ces nouvelles approches permettent d’étudier l’opinion publique sous de nouveaux angles et ainsi de contribuer à des débats théoriques importants dans la littérature sur la recherche sur l’opinion publique en rassemblant les preuves empiriques nécessaires afin de tester des théories de la science politique qui n’avaient pas pu être abordées, jusqu’à présent, en raison du manque des données. Dans le premier article, sur le placement idéologique des utilisateurs sur les médias sociaux, nous développons un modèle permettant de prédire l’idéologie et l’intention de vote des utilisateurs sur les médias sociaux en se basant sur le jargon qu’ils emploient dans leurs interactions sur les plateformes de médias sociaux. Dans le second article, sur l’identité nationale au Canada, nous présentons une approche permettant d’étudier l’hétérogénéité de l’identité nationale en explorant la variance de l’attachement à des symboles nationaux parmi les citoyens à partir de données provenant d’un vaste sondage en ligne. Dans le troisième article portant sur les prédictions électorales, nous introduisons une approche se basant sur le concept de la sagesse des foules, qui facilite l’utilisation de données à grande échelle dans le contexte d’études électorales non-aléatoires afin de corriger les biais de sélection inhérents à de tels échantillons. Chacune de ces études améliore notre compréhension collective sur la manière dont les sciences sociales numériques peuvent accroître notre connaissance théorique des dynamiques de l’opinion publique et du comportement politique. / Democracy is predicated on the idea that governments are responsive to the publics which they are elected to represent. In order for elected representatives to govern effectively, they require reliable measures of public opinion. Traditional sources of public opinion research are increasingly complicated by the expanding modalities of communication and accompanying cultural shifts. Diversification of information and communication technologies as well as a steep decline in survey response rates is producing a crisis of confidence in conventional probability sampling. An increasingly rich, yet relatively untapped, source of public opinion takes the form of extraordinarily large, complex datasets commonly referred to as Big Data. These datasets present numerous challenges for statistical inference, not least of which is that they typically take the form of non-probability sample. By combining recent advances in social science, computer science, statistics, and information technology, this thesis, which combines three distinct articles, addresses some of these challenges by developing new and scalable approaches to facilitate the extraction of valuable insights from Big Data. In so doing, it introduces novel approaches to study public opinion and contributes to important theoretical debates within the literature on public opinion research by marshalling the empirical evidence necessary to test theories in political science that were previously unaddressed due to data scarcity. In our first article, Ideological scaling of social media users, we develop a model that predicts the ideology and vote intention of social media users by virtue of the vernacular that they employ in their interactions on social media platforms. In our second article, The symbolic mosaic, we draw from a large online panel survey in Canada to make inferences about the heterogeneous construction of national identities by exploring variance in the attachment to symbols among various publics. Finally, in our third article, Crowdsourcing the vote, we endeavour to draw on the wisdom of the crowd in large, non-random election studies as part of an effort to control for the selection bias inherent to such samples. Each of these studies makes a contribution to our collective understanding of how computational social science can advance theoretical knowledge of the dynamics of public opinion and political behaviour.
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Le jeu des chiffres : les journalistes québécois sont-ils outillés pour traiter des sondages d'opinion publique?

McCracken, Deirdra 16 April 2018 (has links)
Selon plusieurs politologues, les sondages d'opinion publique ont transformé les campagnes électorales en une sorte de "course de chevaux". Considérant l'importance de ces campagnes pour la vie démocratique, nous avons cherché à connaître les connaissances et les compétences des journalistes en matière de techniques de sondage. Notre mémoire comporte entre autres une évaluation de l'enseignement des méthodes de sondages dans les écoles de journalisme canadiennes et une analyse d'entrevues avec des journalistes québécois. Les résultats confortent la notion de définisseurs secondaires des nouvelles de Hall et al. (1978). Nous postulons, de plus, que les journalistes sont non seulement secondaires aux politiciens et aux élites, mais également aux sondeurs. Nous avons construit un continuum qui nous permet de situer les journalistes interviewés; à une extrémité se trouve le "journaliste de chaîne de production", tandis qu'à l'autre, il y a le journaliste "diagnostique". Cette étude démontre qu'indépendamment de la formation reçue en matière de sondages, une extrémité du continuum - la chaîne de production - l'emporte dans la pratique à cause des contraintes du métier. Notre travail permet de saisir concrètement les limites des journalistes à traiter l'information de nature quantitative.

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