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Love's calling : how eroticism encourages religious intentions in "Joseph and Aseneth" and the "Æthiopika"

Glass, Rivkah Gillian 24 April 2018 (has links)
Ce mémoire s’intéresse à l’emploi de l’érotisme et de l’amour comme outils littéraires dans deux romans de l’Antiquité. Le texte principal est un écrit dérivé de la Torah intitulé Joseph et Aséneth. Le second est le roman grec d’Héliodore d’Émèse, Les Éthiopiques. Puisque tout auteur, peu importe sa foi, avait une éducation hellénique semblable, on retrouve des motifs similaires dont les détails se distinguent et les buts sont aux antipodes dans ces textes. Dans le cas de cette recherche, il s’agit de deux oeuvres du genre romanesque écrites en grec qui emploient chacune une histoire romantique à des fins édifiantes. Les buts de cette analyse sont triples. Ce travail cherche à montrer que Joseph et Aseneth a droit au titre de « roman grec, » de qualifier les expériences religieuses présentées dans ces oeuvres et de participer au débat sur la datation de Joseph et Aseneth par une étude comparée. Cette recherche se divise en trois sections. D’abord, le topos bien connu des romans a été analysé : la maladie d’amour. Dans les deux cas, le coup de foudre et la maladie émotionnelle qui s’en suit ont été dévoilés comme moteur important de la trame narrative, ainsi qu’une manière d’introduire des thèmes religieux ou philosophiques. En second lieu, les paroles des personnages au sujet de l’amour et le mariage ont été considérées. Puisque les protagonistes refusent le mariage initialement, les raisons données pour ce refus ont été révélatrices encore une fois de soucis sociaux, soit religieux, soit politiques. En dernier lieu, la relation entre le couple romantique et les dieux présents dans ces récits a été analysée. Les deux romans témoignent de la croyance contemporaine du grand rôle des dieux dans la vie des humains. Cette implication divine dans la vie mortelle s’est manifestée de manières différentes, car elle relève des buts divergents des deux romans. Le parallèle qui se présente est un lien individuel avec les dieux qui est évident dans les romans d’amour. / This thesis examines the use of eroticism and love as literary devices in two ancient novels. The primary text analysed is a work derived from the Torah entitled Joseph and Aseneth. The second piece is the Æthiopika, the romance written by Heliodorus of Emesa. Despite their divergent backgrounds, all authors received a similar Hellenic education, and motifs bearing striking similarities are thus found in these narratives of antithetical purposes. Moreover, both of these texts are novels, were written in Greek, and exploit romance in order to edify their public. This thesis has three purposes. It aims to show that Joseph and Aseneth is deserving of classification as a Greek romance, to qualify the religious experiences had by the characters, and to contribute to the discussion of dating of Joseph and Aseneth by this comparative study. A tripartite analysis is used in this research. To begin with, the well known romantic trope of lovesickness is analysed. In both cases, the use of love at first sight and the emotional illness that follows are shown to be not merely genre requirements, but motors of the plot, as well as a means by which an author can introduce either religious or philosophical elements. The second section takes up speech pertaining to love and romance. As protagonists from both novels initially refuse matrimony, the language regarding these refusals is highly informative of social anxieties, particularly political or religious concerns, regarding marriage. Lastly, the relationship between the romantic couple and the gods present in their narrative is considered. The two novels display the historically appropriate understanding that the gods intervene in the private lives of mortals. The fashions and reasons for which they do so is different in each story, a convergence stemming from the purposes of these two works. Parallels can be drawn, however, for both narratives display a shift from institutional to personal religion, through the individual relationships of characters with divinities.
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Oltre l’erotismo : per una ridefinizione dell’opera poetica di Domenico Tempio (1750-1821) / Au delà de l'érotisme : pour une nouvelle définition de l'oeuvre de Domenico Tampio (1750-1821) / beyond erotism : Redefining the poetry by Domenico Tempio (1750-1821)

Monzone, Chiel Canzio 17 January 2013 (has links)
Le poète sicilien Domenico Tempio, ayant vécu à Catane entre la seconde moitié du XVIIIe siècle et le premier quart du XIXe siècle, a été classé pendant longtemps comme un auteur obscène, dont le profil humain aurait été, de façon tout à fait injustifiée, celui d’un libertin. En réalité, l’analyse du corpus des poèmes publiés (au nombre de 332) et inédits (56) démontre qu’il est faux de désigner ses textes comme pornographiques, suivant les jugements critiques qui ont été consacrés dans le passé à sa figure de poète et à son oeuvre. S’il est vrai, en effet, qu’une partie fort réduite de ses textes(16 sur 388) contient des représentations ayant un caractère licencieux, en termes de langage et de situations, il est tout aussi vrai que l’écriture obscène véhicule très souvent des connotations plus complexes. Cela résulte des poèmes érotiques qui ont été analysés et traduits du dialecte de Catane (parfois pour la première fois) dans cette thèse (L’imprudenza o lu Mastru Staci, Il Padre Siccia, Ad Reverendum N.N., La monica dispirata, Lu cojtuimperfettu, etc.). Il s’agit de textes dont l’attribution à cet auteur n’est pas toujours incontestable. Bien qu’une petite partie d’entre eux ne figure pas dans les manuscrits qui se trouvent dans deux bibliothèques de Catane (Biblioteche Riunite Civica e Ursino Recupero et Biblioteca Regionale), une tradition orale, relayée par les recueils imprimés, les a attribués depuis longtemps au poète sicilien. En effet, les textes en question abordent, entre autres, des thèmes tels que les comportements immoraux des ecclésiastiques, l’importance du mariage, la nécessité d’une sexualité conforme aux bonnes moeurs, la force corruptrice de l’argent, les effets néfastes de l’entrée forcée au couvent, etc. Tout cela se joint à une sexualité représentée dans ses modalités les plus brutales en tant que reflet des appels de la nature et que l’hypocrisie de cette époque-là voilait. Si la pornographie consiste en la représentation obscène du domaine sexuel, visant à susciter l’excitation des sens, cela ne vaut absolument pas pour désigner l’œuvre de Domenico Tempio : ses textes les plus licencieux ne l’impliquent aucunement. C’est plutôt un sourire malicieux qu’ils suscitent éventuellement auprès du lecteur. L’écriture obscène, chez lui, renvoie surtout au registre de la dénonciation, ayant pour but de fustiger les mauvaises mœurs et de moraliser. Mais le poète de Catane alla bien au-delà de l’érotisme. La plupart de ses textes (odes, petits poèmes, épithalames, huitains, fables, etc.), à commencer par La Carestia, son œuvre la plus marquante (20 chants comprenant près de 26 000 vers), présentent une grande variété de formules d’expression et de thèmes. Pour ce qui est des genres, on relève, par exemple, la satire, la parodie, l’ironie, la critique sociale, l’invective politique, etc. Quant à la langue employée, on enregistre plusieurs modalités (dialecte sicilien, vers toscans, emprunts à la langue latine, etc.). En ce qui concerne les thèmes évoqués,on signale, par exemple, l’amour romantique, l’infidélité des femmes, l’amour paternel, la dénonciation des injustices, l’indifférence du pouvoir,l’exploitation du peuple, etc. Dans le cadre du contexte culturel sicilien, Tempio représenta la seule voix qui dénonça, avec insistance, les erreurs et les abus d’une société décadente, tout en invoquant la nécessité de réformes et de changements majeurs. / The Sicilian Domenico Tempio (1750-1821) was a dialectal poet. He’s still known as a pornographic author: though he wrote very few obscene poems, they gave him a bad reputation. On the contrary, he was an active poet who denounced the nobles, the priests and the monks who abused their power and rank in a decadent fin-de-siècle Catania.Starting from his most important work, the poem La Carestia, Tempio was an author attentive to the need of justice, of solidarity and of equality – of reforms, in one word – in order to improve people’s living conditions.The thesis intends, therefore, to illustrate on the one hand the presumed pornography and on the other hand Tempio’s commitment in the framework of the Sicilian Enlightenment and despite some personal contradictions.
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La foi en l’obscur : le sacré sale et le mysticisme du jeu chez Georges Bataille

Lavoie, Vincent 11 1900 (has links)
C’est durant la première moitié du vingtième siècle, c’est en étant contemporain des deux guerres mondiales, dans une France qui se sécularise, que Georges Bataille (1897 – 1962) construit une pensée – profondément nietzschéenne – scandaleuse. Conceptuellement, le corps n’est pas seulement au centre des préoccupations de Bataille, il se pense maintenant dans sa réalité outrancière : l’érotisme, l’ivresse et la souillure. On assiste à une sacralisation des débauches de toutes sortes. Et c’est ainsi que s’opère la singularité philosophique de Bataille puisque ce qui est sacré ne loge plus, selon lui, dans un sublime céleste, dans une divinité ou, en d’autres mots, dans les hauteurs, mais bien dans son exact contraire, c’est-à-dire dans le bas, dans l’excès, dans l’érotisme et dans le sale. Devant cette inversion de l’ordre du monde, ce qui est sacré, c’est la profanation même. C’est pourquoi, à partir de Mary Douglas, j’ai pu relier deux idées qui paraissent contraires : la souillure et le sacré. Ainsi, étant donné que Bataille est aussi écrivain (Sade fut l’une de ses influences majeures), j’ai pu inclure des récits de l’auteur qui illustrent parfaitement ces deux antinomies. C’est d’ailleurs l’un des traits les plus fondamentaux de son œuvre que j’ai aussi soulevé : toute l’œuvre de Bataille est paradoxale et antinomique. C’est justement à partir de ce même constat que j’aborde la question du mysticisme chez Bataille. Mais comme avec la question du sacré, la conception du mysticisme implique une critique implicite du christianisme (opposition du ciel contre la terre, par exemple). Nécessairement, c’est l’instant et son hasard – l’absence de but – qui ouvrent la voie à l’expérience, alors que l’écriture communique son essence tout en la rendant davantage intelligible. De là provient justement, par le caractère arbitraire de l’expérience, l’idée de chance que Bataille établit en diapason avec Nietzsche. À ce sujet, Nietzsche devient très présent dans le mysticisme bataillien, pensons à la figure du surhumain qu’on peut associer à celle de l’homme souverain ou encore à la volonté de puissance qu’on peut relier à celle de la volonté de chance. Dès lors, Bataille met de l’avant une mystique du jeu, celle-ci étant une mise en jeu radicale de soi-même d’où émerge la chance que Bataille évoque et qui n’est rien d’autre que la possibilité de l’expérience même. Somme toute, force est de constater que la fragilisation mentale et physique du mysticisme bataillien cache également un sacrifice de soi au nom de la jouissance, certes, mais aussi au nom du texte. / It was in the first half of contemporary 20th century when France was well secularized that Georges Bataille (1897 - 1962) constructed a scandalous - deeply Nietzschean - thought. The body is then conceptually not only at the center of Bataille's preoccupations, it now thinks of itself through its scandalous reality: eroticism, exhilarating and dirty. We are witnessing a sacralization of debauchery of all kinds and this is how Bataille's philosophical singularity operates. Indeed, a sacred thing does not exist in the sublime sky, in any deity or, in other words, in the heights, but in its exact opposite wich his the low, the excess, the eroticism and the dirty. This inversion in the order of the world is the desecration itself. This is why, with Mary Douglas, I was able to link two ideas that seemed contradictory to me: the dirty and the sacred. Knowing that Bataille is also a writer (Sade is a major influence), I can include a few stories to perfectly illustrate these two opposites. This is one of the most fundamental characteristics of the work I have mentioned: all of Bataille's works are paradoxical and antinomic. It is precisely from this same observation that I approach the question of mysticism in Bataille works. With the question of the sacred, the conception of mysticism involves an implicit critique of Christianity (opposition of sky and earth, for example). It is the instant and its hazard - the absence of purpose - that opens necessarily the way to experience as writing communicates its essence while making it more intelligible. From there precisely, Bataille developed the idea of chance in agreement with Nietzsche. Nietzsche becomes at the same time very present in the conception of the mysticism of Bataille. We can just think about the figure of the superhuman that we can associate with the sovereign man or even the will of power that we can compare to the will of chance. From then on, Bataille puts forward a mystic game, by placing himself in this radical game, from which the luck evoked by Bataille can emerge and which is nothing else than the possibility of experience itself. Finally, it is clear that the mental and physical fragility that are triggered in Bataille mystical experience also hide a form of self-sacrifice in the name of enjoyment but also in the name of the text.
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Plongeons, précipitations et projections d'offrandes : mort et mouvement dans la poésie grecque archaïque

Sakellarides, Thalia 05 1900 (has links)
Cette thèse se propose d’étudier l’expression du mouvement dans la poésie grecque ancienne et plus particulièrement le lien qui unit la mort au mouvement de chute dans la poésie homérique. La question du mouvement apparaît en filigrane dans toutes les études qui se préoccupent de la mort en Grèce ancienne et de ses différentes représentations. À travers non seulement différentes expressions métaphoriques, mais aussi via la chute des corps sur le champ de bataille, la chute de certains objets et le plongeon de différents personnages, le mouvement illustre la mort ou son imminence. Loin de figurer seulement le plongeon de l’âme vers les Enfers, le mouvement de chute figure aussi un large éventail d’états émotionnels et s’avère un moyen efficace d’exprimer des états altérés de conscience, par exemple le passage entre la vie et la mort, le sommeil, la folie et l’ivresse, mais aussi des émotions d’une grande intensité telles que la colère, la douleur et la tristesse. Cette utilisation du mouvement de chute dans la poésie grecque s’exprime dans l’imaginaire poétique, mais également dans les pratiques rituelles recensées dans la poésie homérique. En effet, dans l’Iliade, le mouvement de chute, qui apparaît dans la libation, le serment rituel et les rites funéraires, ne signifierait pas seulement la mort, mais dans certains cas, la mort sans inhumation. Cette découverte nous permet de poser un regard nouveau sur les pratiques rituelles du poème qui mettent en lumière la véritable volonté des Achéens, explicitée au chant 3 (Il. 3. 276-301). Celle-ci consisterait non seulement à tuer les hommes et les enfants, et à mettre les femmes en esclavage, mais aussi à abandonner les corps de leurs ennemis aux éléments et donc de leur refuser l’inhumation, ce qui pose problème dans le contexte religieux de la Grèce ancienne. Le mouvement de chute, à travers le geste de projection, exprime une menace que le public grec devait parfaitement comprendre et qui s’avère centrale pour l’ensemble de l’intrigue. Il apparaît aussi que le mouvement posséderait une « efficacité magique » qui permettrait de déclencher et de sceller un serment. Durant toute l’Antiquité, la signification du mouvement change à travers le temps, s’approfondit, se complexifie et s’il permettait de représenter la mort et la tristesse chez Homère, durant toute la fin de l’époque archaïque jusqu’aux derniers jours de l’Empire romain, le mouvement prend parfois une connotation érotique. En raison de la capacité du mouvement à représenter différents états altérés de conscience et de ses liens étroits avec la mort et le deuil, le plongeon devient alors le modèle exemplaire de la souffrance amoureuse. Cette thèse permet donc d’observer l’évolution d’un motif qui conserve tout au long de l’Antiquité sa dimension mortifère, mais qui, encore aujourd’hui, exprime un lien poétique étroit entre la mort et l’érotisme. / This thesis proposes to study the expression of movement in ancient Greek poetry and particularly the link between death and the physical act of falling in Homeric poetry. The question of movement appears implicitly in all studies concerned with death in ancient Greece and its different representations. Through not only different metaphorical expressions, but also through the fall of bodies on the battlefield, the fall of certain objects and the plunge of different characters, human and divine, the movement illustrates death or its imminence. Far from representing only the plunge of the soul into the Underworld, the falling movement also represents a wide range of emotional states and proves to be an effective way of expressing altered states of consciousness, for example the passage between life and death, sleep, madness and drunkenness, but also emotions of great intensity such as anger, pain and sadness. This use of the movement in Greek poetry is expressed in the poetic imagination, but also in the ritual practices recorded in Homeric poetry. Indeed, in the Iliad, the movement of fall which appears in libation, ritual oath and funeral rites would not only mean death, but in certain cases, death without burial. This discovery allows us to take a new look at the ritual practices of the poem which bring to light the true will of the Achaeans, explicitly shown in the third book (Il. 3. 276- 301), which is not only to kill men and children, and to enslave women, but to abandon the bodies of their enemies to the elements and thus to refusing them burial, which is problematic in the religious context of the ancient Greece. The falling movement, through the gesture of projection, expresses a threat that the Greek audience had to fully understand and is central to the entire plot. It also appears that the movement would possess a "magical efficiency" which would make it possible to trigger and seal an oath. Throughout Antiquity, the meaning of the movement through time became more complex and if it represents death and sadness in Homer, throughout the end of the archaic period until the last days of the Roman Empire, the movement eventually took an erotic connotation. Because of his capacity to represent various altered states of consciousness and its close links with death and mourning, the plunge then becomes the exemplary model of the suffering in love. This thesis thus makes it possible to observe the evolution of a motive which preserves throughout Antiquity its mortiferous dimension, but which, even today, expresses a close poetic link between death and eroticism.

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