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Les nouvelles de Richard Matheson (1950-1971) : un imaginaire américain entre science-fiction et fantastique / Richard Matheson's short stories (1950-1971) : an American imagination between science fiction and the fantastic

Engélibert, Gwenthalyn 14 June 2018 (has links)
Entre 1950 et 1971, Matheson publie 89 nouvelles dont plusieurs ont constitué des jalons de la culture populaire, par exemple «Born of Man and Woman», «Nightmare at 20,000 Feet», «Steel» ou encore «Duel».Très versatile, il s'imprègne des attentes des magazines de science-fiction et de fantastique américains qui sont en plein bouleversement dans les années 1950. Cette thèse se propose d'étudier les caractéristiques génériques des nouvelles, qui se comprennent également au prisme de la société américaine d'après-guerre : traumatisme de l'utilisation de la bombe sur Hiroshima et Nagasaki, peurs liées à la menace nucléaire, rhétorique paranoïaque du Maccarthysme, développement des banlieues et de leur espace conformiste et attentes de la société vis-à-vis des hommes blancs de la classe moyenne. Les structures et thématiques de la littérature de l'imaginaire, l'aliénation, l'altérité (les monstres, les extraterrestres, les robots), la mécanisation et la robotisation du travail, les objets hantés, la possession, permettent de mettre en évidence les tendances de l'imaginaire mathesonien. Écrivain de la solitude, Matheson excelle à faire partager le point de vue du paranoïaque, du monstre, du robot, et plus largement du marginal qui ne parvient pas à donner un sens au monde qui l'entoure, et dont les interrogations ontologiques et métaphysiques représentent autant de mise-enabyme de récits de création du monde. Le solitaire trouve son paroxysme dans la figure du survivant, qui devient le paradigme de l'imaginaire de Matheson. / Between 1950 and 1971, Matheson published 89 short stories, among which several proved essential in popular culture, such as "Born of Man and Woman", "Nightmare at 20,000 Feet", "Steel", or "Duel". As a very versatile author, Matheson was also a pragmatic and he understood what the science fiction and fantasy magazines expected, especially in the 1950s when such magazines were undergoing deep changes. This study is an attempt to analyze the generic characteristics of Matheson's short fiction, also to be understood from a cultural point of view and through the main features of American society after the second world war: traumas after the bombings of Hiroshima and Nagasaki, fears of nuclear annihilation, paranoid style in politics and Maccarthyism, development of the suburbs and conformism, as well as social expectations for middleclass white males.Structures such as alienation, alterity (monsters, aliens, robots), mechanization of work, haunted objects, possession, that all highlight Matheson's recurrent themes.Matheson specialized in the writing of loneliness, excelling in making the reader share the character's point of view, that of the paranoid, the monster, the robot or more generally speaking, of the marginal who cannot make sense of their environment. Their metaphysical and ontological questioning create mise-en-abyme of narratives of world building and creation. The solitary character culminate into the character of the survivor, paradigmatic of Matheson's fiction.
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Fictions and forced forgetfulness in the plays of Edward Albee during the long 1960s

Vyas, Divyansh 08 1900 (has links)
Ce mémoire explore comment Edward Albee peut être perçu comme un postmoderniste, s’appuyant sur une compréhension du postmodernisme formulée par Linda Hutcheon et le contexte américain pendant les longues années 1960 pour examiner de façon critique deux des premières pièces d’Albee. Les pièces en question, The Zoo Story (1959) et Who’s Afraid of Virginia Woolf? (1962), dépeignent des personnages qui ne peuvent supporter la ligne floue entre les faits et la fiction de la condition postmoderne, où il n’y a pas de motifs ou de vérités incontestables. Le besoin désespéré de vivre dans la certitude absolue et l’assurance fait que les personnages nient la condition postmoderne, et s’engagent dans un processus d’oubli forcé de leur appréhension de la condition postmoderne et des différents événements qui les ont amenés à elle. Les personnages des deux pièces utilisent différents métarécits pour créer un sens et vivre leur vie avec l’illusion de la certitude complète. Le processus de l’oubli forcé sera déduit à travers les théories de la mémoire et de l’oubli tel que compris et expliqué par Jonathan K. Foster. Le mémoire démontre comment, en raison de leur cartographie de toute leur vie sur la base de différentes métanarrations, les personnages finissent par vivre d’une manière aliénée et inauthentique. L’état apathique et émasculé de leurs identités les font se livrer à des actes extrêmes de violence et de rage. Albee montre comment les identités de ses personnages sont compromises de différentes façons en subissant leur mort sociale. / This thesis explores how Edward Albee can be perceived as a postmodernist, relying on an understanding of postmodernism formulated by Linda Hutcheon and the American context during the long 1960s to critically scrutinize two of Albee’s early plays. The plays in question, The Zoo Story (1959) and Who’s Afraid of Virginia Woolf? (1962), portray characters who cannot bear the blurred line between fact and fiction of the postmodern condition, wherein there are no unquestionable grounds or truths. The desperate need to live in absolute certainty and assurance makes characters deny the postmodern condition, and engage in a process of forced forgetfulness to forget about their apprehension of the postmodern condition and different events which brought them to it. The characters in both plays use different metanarratives to create meaning and live their lives with the illusion of complete certainty. The process of forced forgetfulness will be deduced through theories of memory and forgetting as understood and explained by Jonathan K. Foster. The thesis demonstrates how, due to them charting their entire lives on the basis of different metanarratives, characters end up living in an alienated and inauthentic manner. The apathetic and emasculated state of their identities make them indulge in extreme acts of violence and rage. Albee shows how identities of his characters get compromised in different ways by suffering their social death.
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Les filles qui aimaient les vampires : la construction de l'identité féminine dans Twilight de Stephenie Meyer et deux autres séries romanesques de bit lit, Vampires Diaries et House of Night / Girls who like vampires : the construction of feminity in Stephenie Meyer's Twilight and two other series of "supernatural romance" novels

Bernard, Lucie 11 March 2016 (has links)
La bit lit, un genre littéraire très contemporain qui associe le récit amoureux et le récit vampirique et s'adresse principalement à un public adolescent féminin, a acquis une visibilité mondiale avec la parution de Twilight de Stephenie Meyer en 2005. Ce mouvement littéraire reprend l'un des thèmes les plus récurrents et centraux des histoires d'amour comme des histoires de vampires occidentales : la construction du féminin, la position attribuée à ce dernier, et ses interactions avec un univers majoritairement hostile et dangereux. Or, malgré des représentations très conservatrices, voire rétrogrades, le genre connaît un succès très important en particulier auprès des jeunes femmes. Il est donc indispensable de s'interroger sur cette apparente contradiction, qui amène des auteures exclusivement de sexe féminin et un lectorat très majoritairement féminin à écrire et lire des récits sentimentaux peu féministes. Pour ce faire, la présente étude se penche sur trois oeuvres de bit lit : Twilight de Stephenie Meyer, The Vampire Diaries de L. J. Smith et House of Night de P. C. et Kristin Cast. Elle s'appuie sur trois approches, les études culturelles et l'étude de la réception, la narratologie, puis les études de genre. Les influences littéraires qui nourrissent les romans, le mode de lecture qu'ils encouragent et les choix narratifs qu'ils déploient sont analysés afin de comprendre ce qu'ils mettent en scène : la rencontre entre le sujet féminin et une conception patriarcale du monde. / Supernatural romance (or 'bit lit' in French) is a contemporary literary genre which associates sen-timental and vampiric stories and is primarily aimed at a female teenage audience. It acquired global visibility in 2005 with the publication of Stephenie Meyer's Twilight. This literary movement takes up one of the most recurring and central themes of Western love stories and vampire stories alike: the construction of the feminine, of its positioning and its interactions with an essentially hos-tile and dangerous environment. Despite very conservative and even reactionary representations, the genre has met a huge success among young women. It is thus necessary to question this ap-parent contradiction: why do exclusively female writers and mostly female readers write and read sentimental stories that can be qualified at best as 'hardly feminist'? To do so, the current study focuses on three supernatural romance series: Twilight by Stephenie Meyer, The Vampire Diaries by L. J. Smith and House of Night by P. C. and Kristin Cast. It relies on three approaches: cultural and reception studies, narratology and gender studies. The literary influences that inform the nov-els, the reading mode they incite and the narrative choices they unfold are analyzed in order to understand how they stage the encounter between the feminine subject and a patriarchal worldview.
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Essay on firm dynamics, competition and International trade

Siwe, Guy Leonel 06 1900 (has links)
Le pouvoir de marché des entreprises a toujours été un sujet d’intérêt tant du point de vue du bien-être économique que de l’allocation des ressources. D’une part, le pouvoir de marché incite les entreprises à moins produire - réduisant le bien-être des consommateurs et d’autre part, la variation de la marge bénéficiaire entre les entreprises induit une friction sur l’allocation des intrants et diminue la productivité agrégée. Suite aux récents débats sur la concentration des parts de marché dans l’économie américaine par une minorité d’entreprises, la question du pouvoir de marché et ses implications ont été largement débattues. Cette thèse, divisée en trois chapitres, contribue à cette vaste littérature d’étude du pouvoir de marché de l’entreprise. Le premier chapitre examine les causes de la hausse des marges bénéficiaires aux États-Unis dans un environnement où les entreprises accumulent des actifs intangibles. En effet, au cours des quatre dernières décennies, l’économie américaine a connu une augmentation en moyenne des marges bénéficiaires par les entreprises et une augmen- tation de la concentration des parts de marché. Ces faits ont suscité des inquiétudes quant au pouvoir de marché détenu par certaines entreprises et à l’étendue de la concur- rence. Dans ce chapitre, nous proposons une nouvelle méthode d’agrégation des marges bénéficiaires des entreprises utilisant la distribution des parts de marché. Ensuite, nous documentons trois faits empiriques basés sur la distribution jointe des marges et des parts de marché des entreprises cotées en bourse. Premièrement, la hausse de la marge agrégée a été bien inferieure à celle suggerée par la moyenne. Deuxièmement, les plus grandes entreprises en termes de part de marché, appelées "superstars", ne possèdent pas les marges bénéficiaires les plus élevées et troisièmement, la hausse de la marge agrégée résulte principalement d’une réallocation des parts de marché, associée conjointement à une variation des marges des entreprises. Pour expliquer ces faits, nous proposons un modèle où les entreprises accumulent des actifs intangibles sous forme de base de clients le long de leur cycle de vie, en investissant une valeur fixe de leurs ventes. Une baisse dans la rentabilité des entreprises entrainent une réduction temporaire des marges, afin que ces dernières fixent des prix bas et attirent de nouveaux clients. Une hausse des investissements en base de clientèle profite aux entreprises ayant de fortes opportunités de croissance, leur permettant d’accroitre les parts de vente et d’augmenter davantage leur marge bénéficiaire. Ainsi, l’augmentation des investissements en base de clientèle au cours des quatre dernières décennies explique de moitié l’augmentation globale des marges bénéficiaires aux États-Unis. Le deuxième chapitre examine les implications d’une variation endogène des marges bénéficiaires sur la productivité des usines le long de leur cycle de vie. En effet, la variation des marges bénéficiaires est une potentiel source d’inefficience dans l’allocation des ressources, réduisant la productivité globale. En utilisant l’enquête annuelle sur le secteur manufacturé en Colombie, nous montrons une diminution de la dispersion des marges bénéficiaires avec l’âge, suggérant une convergence des marges bénéficiaires des usines avec l’âge. Nous expliquons et testons cette dynamique à travers d’une théorie d’apprentissage de la demande le long du cycle de vie (à l’exemple de la formation d’une base de la clientèle). Les nouvelles usines obtiennent une productivité et une de demande dès leur entrée et apprenent de leur demande en ajustant leur marge bénéficiaire. Au cours de leur vie, elles accumulent leur demande, ce qui entraine leur croissance et une hausse de leur marge bénéficiaire. La convergence résulte d’une inadéquation entre l’échelle optimale qu’une usine souhaite opérer compte tenu de sa productivité et son échelle de production actuel. Le modèle prédit que la grande dispersion des marges bénéficiaires à l’entrée du marché, entraine une inefficience dans l’allocation des ressources productives et reduit la productivité moyenne à des nouvelles usines. Au fur et à mesure que l’usine prend de l’age, cette friction à l’allocation diminue et contribue à augmenté la productivité moyenne des usines agées. Dans le troisième chapitre, j’étudie les gains de bien-être associés à des nouveaux investissements en infrastructures de transport. Il s’agit d’un travail de recherche con- joint avec Mathilde Lebrand de la Banque mondiale. En effet, de nombreux travaux ne prennent pas en compte la demande de services de transport lors de l’étude des gains associés à de nouveaux projets d’investissements en infrastructures. Nous développons ainsi un modèle Ricardien multi-pays, multisectoriel avec un secteur des transports dont l’équilibre est déterminer de manière endogène et qui présente deux caractéristiques prin- cipales : une diversité de modes de transport et l’absence de concurrence dans le secteur de transport. Les predictions nous montre que une hausse des investissements en in- frastructures réduisent les coûts d’expédition selon trois marges : une réduction du coût marginal des transporteurs, une diminution de la marge de profit des transporteurs et une reallocation des parts de marché vers les modes de transport les plus bénefiques. Ces deux dernières marges sont particulièrement affectées par les préférences des importateurs en matière de choix de mode de transport. / Firms’ market power has always been a topic of interest in terms of welfare and resource allocations analysis. On the one hand, market power reduces the firms’ incentive to produce, reducing consumer welfare. On the other hand, the variation in firms’ markup induces friction to input allocation and lowers aggregate productivity. With the ongoing debate on sales concentration in the US economy by a few firms, there is a lot of question concerning the causes and implications of market power. This thesis, divided into three chapters, contributes to this vast literature of studying the firm’s market power. The first chapter discusses the causes of US markup rise in an environment where firms are building intangibles assets. Indeed, over the last four decades, both the average price markups charged by firms and market shares concentration have increased. This raised concerns about market power and the extent of competition. I develop a new method to aggregate firm-level markups using the sales shares distribution. I then document three facts based on the joint distribution of markups and sales shares among publicly listed firms. First, the rise in the aggregate markup has been much less than that suggested by average markups. Second, the largest sales firms-called "superstar firms" are not at the top of the markups distribution and third, the rise in US markup has been driven by a reallocation of sales shares, jointly associated with a change in firm-level markup. To explain these trends, I develop a model where firms accumulate customers base over their life cycle by investing a fixed share of their sales. Changes in firm profitability lead to a temporary reduction in markups as firms attract new customers. An exogenous increase in the share of investment into the customer base benefits firms with high growth oppor- tunities, allowing them to gain more sales share and increase their markup. Therefore, I find that the rise in the share of investment into customer base over the last four decades explains half of the overall increase in US markup. The second chapter discusses the implications of an endogenous variation in markups to plant productivity over the life cycle. Indeed, markup varies across plants, inducing an inefficiency in allocating resources that lower the aggregate productivity. Using the Annual Columbia Manufacturing survey, I find a decrease in markup dispersion with age, suggesting a convergence of all plant-level markup with age in cross-sectional. I explain and test this dynamic through active learning on demand by plants over the life cycle (e.g. customer base formation). New plants draw a productivity shock and demand shock at entry and actively learn about their demand by adjusting their markup. Over their life, they build their demand and growth in both size and markup. This convergence results from a mismatch between the optimal scale a plant desire to operate and its current scale for a given level of productivity. The model predicts that the high variation in markups at entry induces inefficient input allocation, lowering the average productivity. Along with age, the declines in markups dispersion reduce the allocative inefficiency and foster productivity growth over the life cycle. In the third chapter, I study the welfare gain from new infrastructures investments. It is joint work with Mathilde Lebrand from the World Bank. Indeed, many frameworks don’t take into account the demand for transport services when studying trade policies. We develop a multi-countries and multi-sectoral Ricardian model with an endogenous transport sector. We introduce two main features for endogeneity: the multi-modality and a lack of competition in the transport sector. New infrastructure investments reduce the shipping cost along three margins: a transporters marginal cost reduction, a decline in the transporters profit margins and a reallocation of market shares across shipping modes. The two last margins are driven by the shipping mode preference for a good.

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